Combien de fois avez vous touché un caillou?

En Chausiais, ce serait quelles grunes as tu tapé?
En effet, si vous n'êtes pas un menteur, il nous est tous arrivé de trouver un rocher sur notre route. Pour ma part, cela m'est arrivé 4 fois. A Granville, St Malo, Dinard et Minquiers.
Les échouements dans le sable ne comptant pas.

L'équipage
20 nov. 2013
20 nov. 2013
0

« C'EST A MAREE BASSE QUE LES ROCHERS
SONT LES PLUS HAUTS. « OU
« LES SEULS QUI N’ONT JAMAIS TAPE UNE GRUNE
SONT LES MENTEURS» « variante chausiaise

Certains de mes amis ont beau dire que je tutoie tous les cailloux par leur petit nom, il m’est arrivé par quatre fois de talonner l’un d’entre eux. Certains d’entre vous trouveront que c’est beaucoup, pour moi, cela ne fait qu’une fois tous les 10 ans !

Il semblerait que le maître en la matière s’appelait Eric Tabarly. Mais il a aussi navigué 100 fois plus que vous. !
« Sur le Silver Shamrok « Diablesse », nous avons talonné lors de l’arrivée d’une course entre St Malo et Granville juste après avoir franchi la ligne d’arrivée !

Cette ligne avait été malencontreusement positionnée à proximité de la pointe du Roc pour faciliter le travail des pointeurs du Yacht Club de Granville.

Malheureusement, ils n’avaient pas prévu que nous arriverions sous spi à l’heure de la marée basse. Et à Granville, avec un coefficient de 117, il n’y a pas beaucoup d’eau !

Sur « Ackel », un 38 pieds, en 1983, je connaissais parfaitement l’existence des Pourceaux, ces haut-fonds proches de Dinard. Il s’agit d’une négligence liée au fait que sur un 38 pieds en régate, il n’est pas simple d’être à la fois, barreur, skipper, navigateur, tacticien et bosco.

Lors du National Sigma championship de 2003 à Dinard, j’ai été « shangaïé » par l’ équipage anglais du Sigma 38 « Festina Lente « intéressé par mes connaissances des cailloux de la baie de St Malo. Lors du dernier bord de la dernière manche à moins d’un mille de la ligne d’arrivée, nous étions 3ième. Au louvoyage, à proximité de la tourelle des Petits Pointus, nos concurrents directs n’ont pas osé l’approcher et ont tiré un bord.

Flairant la possibilité de les devancer, j’ai proposé au skipper, Philip, de « shunter » la tourelle, sachant, qu’il y avait un passage de 10 m entre deux cailloux. En bon régatier, il a accepté. 20 secondes plus tard, à 6.5 noeuds, nous avons percuté violemment le rocher le plus à l’est, puis continué notre route. Grâce à cela, nous avons gagné le National anglais et sommes restons bons amis. Le Sigma 38 est solide et n’a eu qu’un « souvenir » dans son lest en plomb.

Aux Minquiers en 2008, sur un Bavaria 38, je le cite pour l’anecdote, et au ralenti, nous avons touché à l’approche de la Maitresse ile à 1° de l’alignement vers le Rocher blanc dont une perche était absente. Ce qui correspond surement à la déviation du compas. »

Retenez que seuls les navigateurs qui restent au port ne talonnent pas ! Normalement aussi, les méditerranéens. En effet, ce n’est pas facile quand, entre Monaco et Collioure, il y a moins de bouées et tourelles que dans les seules baies de Morlaix ou de St Malo …

20 nov. 2013
0

Jamais...
mais j'ai moins de mérite que toi. Dans les eaux que je fréquente habituellement, les seules pierres qu'on rencontre sont celles des digues. Les fonds sont en vase molle.
Entre la Norvège et le Cap Blanc Nez, il faut vraiment pas avoir de chance pour taper une roche...
Pour le reste, je fais très attention vu que ma quille profonde en T n'est vraiment pas faite pour les hauts fonds et encore moins ceux en cailloux.

20 nov. 2013
0

1 fois à Kérity (Penmarc'h), en contournant Locarec, mon équipière me dit : un gros rocher devant. Trop tard, j'ai glissé dessus, sans dommage.

1 fois aux Glenan. En regagnant la plage de la Chambre pour mouiller, après être allé voir des copains aux Bluiniers, j'ai coupé trop tôt au niveau de la Chambre

1 fois en regagnant mon mouillage habituel, coupé trop tôt, stoppé net, vol plané à travers le cockpit. Pas de bobo

20 nov. 2013
0

tres souvent
negligence, etourderie absence de carte etc..
en 35 ans au moins 100 fois, mais jamais rien casser meme avec des chocs tres violents , faut dire que dans les cas "sauvages" , c'etait avec mon actuel bateau alu tres solide..
quille mastoc soudée a la structure
helice protégée
pas de safran suspendu
.
moralité ; achtez des bateaux modernes pour faire marcher le commerce et la filiaire recyclage

22 nov. 2013
0

"au moins 100 fois"
Et moi qui veux te prêter mon futur canot! :-)

20 nov. 2013
0

même en méditerranée :coucou:
un passage autour de l'ile Katina (Croatie) est signalé par l'alignement de deux amers blancs à terre, on ne peut pas se tromper. Nous y étions passés sans problèmes plusieurs fois, puis un jour brannnnng, on gratte bien la quille
Comment ça se fait, comment c'est possible etc etc on ne comprend pas, puis peu après le hasard veut qu'on regarde le baromètre et hop il y avait genre 1040 1050 de pression :oups:

20 nov. 2013
1

Dis donc Daniel, tu ne veux pas faire concurrence à l'APOC des fois ???

apoc.infos.over-blog.com[...]/

20 nov. 2013
0

Vive la pastille VICHY Guillaume.
J'étais à la remise des pinoches cette année, grand moment.
Gilles

20 nov. 2013
0

Excellent ce blog...ou l'on voit les copains plantés.

06 déc. 2013
0

Salut Philipe,

ton équipage est complet?

Débarquement samedi 07/12; c'est un peu djust mais ça pourrait être sympa d'aller se g'ler les pieds......

23 nov. 2013
0

le 8 décembre, régate des pieds gelés, départ Paimpol arrivée Lézardrieux, certainement un parcours autour de Bréhat, si vous les Granvillais voulez venir vous aurez peut-être une chance d'être nominé, l'Apoc sera là aussi.

24 nov. 2013
0

Exact, tous ceux qui ont régaté avec l' APOC autour de l' île de Bréhat ont vu un caillou passer sous leur étrave... Personnellement je suis monté plusieurs fois sur le granit car 2m de tirant d' eau, un poids de 10 tonnes parce que bateau classic vieux de 40 ans, on était obligé de raser la caillasse pour se mettre à l' abrit du courant et paf... le bateau était hyper strong car quille longue en plomb, tous les autres quand ils tapaient avaient de la casse et moi non, j' ai dû monter sur la caille une bonne vingtaine de fois en près de 50 ans de nav...! Le summum a été en 2002 toujours à Loguivy avec l' APOC où j' ai gagné la pinoche d' Or (la plus belle bise aux cailloux...) 1 an après le célèbre Alain Minguy qui appelait les caillasses par leurs prénoms tellement il les connaissait... Au bout de quelques années j' ai arrêté les régates APOC afin de garder en vie mon merveilleux coursier...

20 nov. 2013
0

bonjour,
j'ai laissé la dérive de mon neptune 99 sur un calliou des lavezzy de nuit à l'époque ou on naviguait normalement sans assistance electronique à 1m près ça passait .
alain

20 nov. 2013
0

Une fois , sur le danger isolé de la mercière, route très, voir trop habituelle, je discutais, cela à râper un peu, deux personnes avaient vu que j'étais trop près et n'on pas signalé car elle s'imaginaient que je savais.... depuis je dis toujours de me prévenir même si cela semble évident de chez évident.
Ca coûte rien et ça peut sauver.
Pas de problème avec le DI la dérive s'est relevée et est retombée, juste du bruit.....

20 nov. 2013
0

Bienvenue au club, moi aussi je me suis "tapé la mercière", en traversant la Rance au moteur pour déposer un équipier pressé au ponton des pilotes; on quittait un coffre de Dinard après avoir bien déjeuné (le soleil, ça déshydrate, il faut compenser) !!!
Une autre fois à Chausey, de nuit et fatgués, la Crabière prise du mauvais coté (faut être c*n),
Encore une fois dans le sud de Chausey, les Roches de Bretagne, parce que mon barreur ne serrais pas assez le vent malgré mes injonctions.
Je garantis la solidité du Melody.

Ph

20 nov. 2013
0

pas plus tard que cet été en Grece au sud de Scorpios

pas bien fier ....mais j étais déja passé là et j avais oublié "ce caillou"

20 nov. 2013
0

aie pourtant il est sur toutes les cartes

20 nov. 2013
0

Zéro.

Il est où le smiley pour croiser les doigts ?

20 nov. 2013
0

je me souviens

d'une nav de nuit aux Glénan,dans les années 67-68:
-entrée à Trévignon par le secteur sud du phare et sortie par le secteur Ouest, vent de Nordet et marée basse de vive eau: pris au portant en plein axe du lest un rocher à tribord en sortant, fendu la quille du mousquetaire dans le sens de la longueur...et exploser 2 bouteilles..., rentré à Concarneau et changé de bateau dans la journée

en convoyage familial dans les glénan, dans les années 80
à marée montante et sans beaucoup de vent, avons rogné le lest en plomb de "Gwennili" sur un basse plate à l'ouest du Loch et au sud de Drenec...

Depuis, j'ai failli mais est manoeuvré à temps.

20 nov. 2013
0

Une fois en rentrant dans la rade de Lorient sous voile en tirant des bords. A marée haute, il y avait suffisamment d'eau pour se décaler hors du chenal devant Port Louis au passage du courrier de Groix. Sauf que la vague de la navette m'a fait descendre sur le caillou. j'ai touché le safran qui a remonté (c'est un dériveur, c'est prévu) sans rien abimer. Ouf.

20 nov. 2013
0

Bonjour à tous, pour moi une seule fois aux Chausey, bateau en bois, on a finit sur la plage afin de clouer une planche avec un morceau de chambre à air et on est rentré à Granville. Merci à Monsieur le Curé pour les clous. Ah oui c'était en 1971.
Depuis je suis en Méditerranée et rien que des petites touchettes dans les mouillages ou ports.
Gilles

20 nov. 2013
0

j'ai talonné 2 fois en med !!oui c'est possible ,
le premier c'était en Corse évidemment , j'avais lu le rondeau ,
qui me conseillait un super mouillage à la marina d'elbo ,
17 h soleil couchant j'ai tapé à 5 noeuds au moteur ,on se traite de tous les noms,je suis nul , blaireau ,etc ,
faut dire que sur le guide pas un mot sur ce rocher immergé !!!!d'au moins 10 m de diamètre ,redoutable ,heureusement aucune voie d'eau ,mais varangue fissurée .
L'autre ,bateau tout fraichement réparé ,re les boules ,après port santa lucia il y a un haut fond ,du bien nommé basses des iles d'or redoutable aussi ,j'étais à 2,5 noeuds ,heureusement .

20 nov. 2013
0

moi une fois dans le delta du rhone et une caille au venez vers chichireviche un des safrans n'as pas aimer, un tas de sable dans les roques pas signaler ces tout
pascal

20 nov. 2013
0

une fois dans la Rance, de nuit, au moteur, somnolent à la barre, je me suis pris de pleine face les cailloux de la pte de cancaval à la Richardais, au pied de la perche E:
bateau stoppé net, plongeon pour ma femme en bas de la cabine avec gros cocard, pte voie d'eau décelée le lendemain, mise à sec une semaine à SM et réparations ...

20 nov. 2013
0

Cet été un anglais (beau bateau de 11m) s'est pris le même caillou mais lui a perdu sa quille , a arraché l'axe de barre puis a déssalé, brisé le mât pour finir par couler devant La Richardais. Le bateau a été renfloué et est au sec au chantier de La Landriais . Sa quille a été récupérée par les plongeurs du chantier. Impressionnant à voir :-(

08 déc. 201308 déc. 2013
0

Bonsoir,
A priori, Il ne s'est pas pris le caillou mais la chaîne de la bouée de tribord. Le niveau de la Rance était très bas. C'est le deuxième de la saison. Cet Anglais a une maison sur les bords de la rance près de la cale de Mordreuc et navigue très bien. il a d'ailleurs eu un excellent réflexe en beachant pour évacuer ses équipiers avant de couler en 5 minutes. La snsm de St Suliac est arrivée avec la la vedette 323 ainsi que les pompiers. Ils ont essayé de tirer le bateau qui était coulé, sans résultat malgré la mise en place de "parachutes" gonflés avec des bouteilles de plongée. Le chantier de la Landriais est venu le lendemain avec des moyens de levage importants, et effectivement la quille était désolidarisée de la coque ce qui prouve la violence du choc.

20 nov. 201316 juin 2020
0

Même pas drôle... ;-) . Ça vient de m'arriver dans le port d'Arrecife (Lanzarote) en essayant, sur le conseil d'un autochtone, de faire passer mon dériveur dans le chenal des dinghys pour mouiller plus près du bord. Résultat :une mèche de safran tordue, impossible de tourner sur tribord, obligation de sortir la barque pour descendre le safran et redresser la mèche...
Motutunga a raison, le safran suspendu reste un point faible sur les bateaux métal...

20 nov. 2013
0

@Bara-gwin : J'ai vu que vous êtes sortis de l'eau, bonne chance maintenant pour le redressage...

20 nov. 2013
0

Une fois, il y a bien longtemps, dans les îles St Quay, en posant un palangre avec un Aloa 17....ça faisait cher le panier de vieilles !

20 nov. 201320 nov. 2013
0

Une fois en Norvége à 10nds safran tordu. l'homme de quart avait 6 jours d'expérience (première nav). Pour lui d'aprés la carto ca devait passer car le bateau passait à quelques mètres.

Deux jours après, alors que le skipper sort pour voir si tout va bien, il voit une tête de roche entre les deux sillages du catamaran !!!! elle n'était pas notée sur la cartographie.

On ne l'a plus laissé seul, trop dangereux comme garçon.

20 nov. 201320 nov. 2013
0

Je n'ai jamais touché de caillou, dieu merci. Faut dire qu'il y en a pas autant dans les coins où je navigue habituellement qu'en Bretagne Nord et dans le Cotentin.

Avec mon bateau actuel, je me suis échoué une seule fois en 5 ans, sur le banc de sable devant Breskens (dans l'embouchure de l'Escaut occidental). M'a fallu attendre 15 minutes pour que la marée montante me sorte de là.

20 nov. 201316 juin 2020
0

UN Dimanche matin de printemps (ça devait être en 2003 ou 4), petite sortie classique avec notre Gib Sea 302 au départ de Pornic pour aller mouiller au Bois de la Chaise ... Sortie tranquille du port, on envoie les voiles et je tire tout droit au près entre Notre Dame et "Le Caillou" . Force 3 à 4 ; beau temps, mer peu agitée à agitée. La marée est presque basse mais c'est po grave, Je passe par là quasiment tous les week-end ... Occupé à discuter dans le cockpit, je fais pas gaffe et BOUM ! dans le seul caillou qui dépasse (sonde à 0.40 m) ... J'en ai lâché la barre et ma femme qui se trouvait dans la descente a volé dans le carré . Pas de bobo, autre qu'à mon amour propre ...
Largué les voiles en urgence, démarrer le moteur et avant que j'ai le temps de faire demi-tour, RE-BOUM à cause d'une vague sans doute .

Je bats en arrière et j'arrive à faire demi-tour . J'affale tout . Je descend voir en bas . Pas d'eau sous les planchers . Rentré au port en Urgence . Tout semble OK . Le pique-nique se passera à quai !

Le lendemain je présente le bateau sous les sangles . : RAS ! On a du juste talonner mais ça fait drôle quand même ...

Depuis je calcule bien la marée, je fais le détour par le nord de Notre Dame et je ne suis plus jamais repassé par là ! ... :oups:

20 nov. 2013
0

J'ai connu des échouements, des échouages scabreux, voire des échecs, mais je n'ai jamais tapé de caillou. En revanche, en regardant ma trace a posteriori, je ne comprends pas comment c'est passé. Et pas qu'une fois.
Le c... bordé de nouilles, quoi !

20 nov. 2013
0

Non, jamais sur un caillou. Mais échoué oui, dans le sound (passe nord) à Chausey, sur du sable une fois. Sur la Rance, dans la vase, un mois d'avril frisquet... Les deux fois, fin des années 70 et il a fallu attendre la renverse, de nuit pour la Rance. Avec mon équipier, on a fait un concours de bananes flambées, puis on a fini la bouteille de rhum et lorsqu'on s'est présenté à minuit, complètement bourrés, à l'écluse et qu'on trouvait pas les ducs d'albe, on nous a allumé tous les projecteurs et on s'est fait eng... par l'éclusier...
Et puis, un fois au sud Sardaigne (Malfato, je crois...), je me suis payé une mate (orthographe non garantie), mais sans dégâts...
Je ne parle pas des peurs rétrospectives quand c'est passé juste, juste, juste...

20 nov. 2013
0

apparement vous ne frottez pas beaucoup les cailloux, je me demande si je suis pas insuffisant

20 nov. 2013
0

T'es encore vivant. T'as pas coulé un seul bateau. CQFD.

20 nov. 2013
0

Une fois en rentrant a marée basse dans mon port d'attache sur un caillou, ca a frotté sur le dessous de quille. j'ai rasé d'un peu près la bouée d’atterrissage tribord au lieu de suivre l'alignement.
Planté dans la vase une vingtaine de minutes dans le Pethuis sur le peu breton pendant une grande marée, pas loin du pont de l'Ile de Ré, Bhou, La honte que le gamins m'ont dit !!!

20 nov. 2013
1

Souvent touché, parfois couché, comme avec Pépette en Irlande près de Fenit.

20 nov. 2013
0

des nouvelles de Pepette (pascale ) ???

20 nov. 2013
0

Non, aucune !

20 nov. 2013
0

1/ Une matte au Langoustier (j'avais lu le Rondeau!)
2/ Dans le sable à Agay (le bateau au mouillage avait évité et s'est délicatement posé sur le sable)

20 nov. 2013
0

1 fois en 2004 sortant de Loctudy pour passer le raz de Sein le temps de descendre voir si c'était vrai qu'on pouvait raccourcir :tesur: on était déjà planté sur les cailloux. :oups:

20 nov. 201320 nov. 2013
0

J'ai débuté la voile en 2005 donc:
-en 2006 talonnage lors de l'attente pour entrer au Hérel Granville
-en 2006 sur le sable du chenal en sortant un peu trop tôt du Sound de Chausey par le Nord
-en 2008 en quittant le mouillage des Hébihens
-en 2009 près du grand Charpentier près de Pornichet
-en 2013 pour finir en Espagne sur une roche couverte mal signalée sur ma carte Garmin HXEU802X de Février 2013 position:41°42,430N 2°54,860E (à vos cartes)
tout celà avec le même voilier first26 à quille relevable
Cordialement
n.b: j'ajoute la nuit passée dans la vase entre Mordreuc et le Chatelier en flux descendant après avoir coupé un peu et vite une courbe pour ne pas rater le dernier éclusage au Chatelier!

20 nov. 201316 juin 2020
0

j'attache une copie d'écran de la carte Garmin vue avec homeport de la zone pour éviter qu'à d'autres celà n'arrive.
Cordialement

20 nov. 2013
0

Au mois d'aout dernier, à Concarneau, juste sous les remparts, le jour de l'ouverture des Filets Bleus, vers 17h00.

Bref, on a assuré le spectacle des touristes avant le concert des Sonnerien Du.

Pas de dégat sauf à l'amour propre....

PS: Il a fallut payer un gastro à ma Chère et Tendre sinon elle menacait de me dénoncer à l'APOC......

:-p

20 nov. 2013
0

Et tu t'offres ici ta propre pastille Vichi !

20 nov. 2013
0

Eh bien Gael, c'est Crayon qui va être heureux d'avoir de tes nouvelles..............Tu ne t'en ais pas vanté aux Lilas

20 nov. 201320 nov. 2013
0

Et tu te tais, Guillaume!!!

J'en ai déjà une......
:heu:

20 nov. 2013
0

AH.
Si le sable ne compte pas...
alors pas trop souvent, peut être quatre ou cinq fois.
La dernière, l'été 12 en rentrant à l'île de sein, faut bien, bien prendre l'alignement.

20 nov. 2013
0

Pour l'instant jamais. Mais mon TE de 1m05 me permet de limiter les risques.

20 nov. 2013
0

Une fois, sur la Pierre au Vraic au SW d'Aurigny.
Vers la fin des années 80, J'étais chef de bord dans une association et naviguais à l'époque à bord d'un Mélody.
Le programme était de se rendre à la Marina Beaucette à Guernesey. Les conditions de vent étant favorables, j'avais décidé de quitter Aurigny près de deux heures après la renverse alors que, habituellement, pour descendre le Singe, on sort de Port Braye juste à la renverse pour prendre le tapis roulant.
Donc premier facteur car moins d'eau que deux heures plus tôt.
Nous descendons le Singe à bonne vitesse, comme d'habitude. A la sortie, un coup d’œil à la carte, la voie est libre (seond facteur!) et je donne au barreur le cap direct pour Guernesey.
Nous marchions à quelque 13N sur le fond et tout à coup, le barreur a vu le caillou alors qu'il arrivant dessus.
Un très gros "bang" alors que j'étais dans le carré.
Première vérification en levant les planchers pour s'assurer que le bateau ne faisait pas d'eau. Nous avions à l'évidence un problème de gouvernail, donc affalage des voiles et mise en route du moteur afin de poursuivre notre route vers Guernesey, seul choix possible avec le courant.
J'alerte Guernsey Radio sur notre problème en leur indiquant que nous aurons peut être besoin d'une assistance à l'arrivée dans le Petit Russel.
45 minutes plus tard, nous faisons un 360° incontrôlable, ce qui me fait prendre conscience que le Petit Russel risque de nous poser de sérieux problèmes.
Donc à nouveau Guernsey Radio qui nous renvoie sur Alderney radio pour organiser une opération d'assistance.
Le canot de la RNLI d'Aurigny vient donc nous chercher et nous ramène à Aurigny, amarrage sur une bouée du port.
A la pleine mer suivante, mon ami Rowland qui possédait alors le chantier Maynbrace nous prend à couple pour nous amener au quai dans Port Crabby et examen de la situation à marée basse. La quille n'a rien (un bateau actuel l'aurait certainement perdue!), mais il manque les 2/3 du safran. A la basse mer suivante, réparation de fortune avec du contreplaqué, des boites de conserve pour le bord d'attaque et beaucoup de résine et de choucroute, cependant qu'arrive Brittania avec la Reine à bord!
Un petit essai sur rade et nous rentrons le lendemain au moteur à Cherbourg puis Ouistreham pour réparer.
En fait, la Pierre au Vraic était juste dans un pli de la carte qui était très usé. Donc lorsque j'ai regardé la carte, le caillou n'était absolument pas visible, d'autant que c'est vraiment une tête de roche.
Le patron de la RNLI m'a consolé en me disant que je n'étais pas le premier, mais enfin...

20 nov. 2013
0

1 fois, devant Carantec, belle frayeur d'une minute.....
"oh, regardes, on voit bien le fond", on l'a vu de très près juste après.

20 nov. 201320 nov. 2013
0

Bonjour. Ile pelée balise de happetout , moins de 10m, brume grise et bonne brise, visi nulle. N'ai vu la balise que quelques secondes, m'en suis sorti en choquant en grand tout en mettant le moteur en route puis, marche AR en utilisant le ressac pour mettre les gaz et bien entendu, marée descendante. Pas de gps à l'époque.

Plus récemment une première fois aux Scilly début de marée descendante entrée de Porth Cressa, une quille échouée, remis d'aplomb par les sauveteurs locaux non appelés(ils ont des yeux partout). Cette année petits cailloux entrée de Green Bay en cause une grosse saloperie dans mon hélice et le vent très fort à fait le reste, marée montante, aidé par des jeunes du coin pour me remettre ou il faut(juste la longueur de chaîne).

Jamais touché à Chausey mais, ce n'est jamais passé loin comme à la mauvaise.

20 nov. 2013
0

pas trop touché les cailloux, ou j'ai rien vu rien entendu :non:
faut dire que j'ai eu 2 dériveurs, le sangria en Normandie, ça va, les rochers y a pas bp
mais qques échouages avec les dériveurs... :-(
le 1er habitable 6m, dans les caillasses de Ploumanach à chercher un raccourci, 1 perche, mais où est le port ? joué à pile ou face et toc, planté à marée descendante sur un pavé tt plat, bateau posé, suis descendu avec les bottes, moteur AR tte et j'ai repoussé le bato, étant bien sûr attaché à lui, mais j'ai eu le tps de remonter et faire demi tour prendre le chenal...
avec le gib28, chenal de Vannes, 2 années de suite, dernière perche avec devant un bateau sur CM à flot, mais le tps d'y arriver, il est posé...et moi aussi :langue2:
tj ds le golfe, récupéré les enfants à Port Anna, joyeuses retrouvailles/rigolades et toc, passé derrière la bouée rouge s'échouer devant les parcs à huitres, fin de marée descendante... les affmar viennent pour ns aider mais rien à faire, ça bouge pas. le pb, c'est pas le stress, le bateau est "fait pour ça" mais bon, faut mouiller 2 ancres pour pas aller charrier les huitres au repos... :tesur: et puis attendre que ça monte un brin donc avoir le courant ds le pif pour rejoindre l'ile au curé après avoir détricoté 2 lignes de mouillage...
rien de grave en fait, et c'est le principal, il y en a pour qui c'est bp + grave
JL.C

20 nov. 2013
0

J'ai touché des cailloux...quelques fois, dont un dans le chenal du Kerpont à Bréhat (les indications de l'ancien guide Rondeau sont fausses!!) Quand la dérive fait "glong glong", ne pas oublier de débloquer le safran!

20 nov. 2013
1

Il faut toujours recouper 7 fois les indications du Rondeau!
Au fil des ans, j'ai détecté pas mal d'erreurs, dont certaines dangereuses.
Im vaut donc mieux avoir éventuellement un autre guide en plus, ainsi que des cartes de détail pour les coins un peu compliqués.
Par ailleurs, le Rondeau est riche en informations utiles.

20 nov. 2013
0

Talonnage méditerranéen en régate on nous a fait contourner comme bouée "la Casserlane " cardinale nord près des Embiez environ 50 bateaux no touchette peu de temps après en sortant des embiez "Antoine je passe a l'intérieur ou je contourne ??? et voila !!! mortes eaux vives eaux pression dépression et boume !!! et pourtant je l'ai vu de mes yeux vu 50 bateaux en régate . Heureusement pas de bobo

20 nov. 2013
0

Je croyais être très bon, jusqu'à ce que la malchance s'occupe de moi...! Une quarantaine d'années à faire du rase-cailloux (j'adore) et puis, un beau jour, au portant, par 10 kn de vent, à PM-20 mn et petit coefficient, j'emprunte comme d'habitude le passage à l'W de l'île de Méaban pour rejoindre l'entrée du Golfe du Morbihan.
L'équipage papote en attendant l'heure de l'apéro, nous naviguons à +/- 4 kn et soudain, un gros choc arrête le boat. Nous sommes échoués en bordure W du haut fond de Baguen Hir. Situation un peu scabreuse, bateau bien gité, qui tape à plusieurs reprises au fur et à mesure que nous nous rapprochons de la porte d'entrée, GV haute, au près serré. Et il faut faire vite car nous sommes à l'étale de PM !
L'un de mes équipiers très confirmé a vu le haut fond (couleur de la mer et friselis), mais a douté et n'a rien dit...
Finalement, ce talonnage avec échouement se termine plutôt bien: pas de voie d'eau, juste un contre-moulage légèrement décollé à la hauteur de la cuisine, ce qui sera réparé lors de l'hivernage suivant.
Les causes ? Erreur de navigation consécutive à une trop grande confiance et à une route légèrement trop Est.
Très rapidement, j'ai repris ce même passage pour conjurer le mauvais sort.
Donc, un seul talonnage-échouement en un peu plus de 50 ans, c'est pas énorme, mais j'aurais préféré l'éviter quand même ! Surtout pour l'amour propre...

20 nov. 2013
0

statistiquement en lisant ce fil on voit bien que les bretons sont des touche à tout

20 nov. 201320 nov. 2013
0

Avec Le Bob, sur les minquiers, il y a...longtemps! ;-)
Un peu de plomb en moins à l'avant de la quille.

20 nov. 2013
0

mais que meme en mediterranée si on croit trop connaitre , ou ne pas etre vigilent , boum !

20 nov. 2013
0

2eme talonnage méditerranéen entrée de port Gapeau on doit raser la digue pour entrer dans la rivière mais voila attention au bout de la digue (coté large ) des rocher se sont désolidarisés et encombre le passage donc arriver de biais sur le bout de la digue puis la raser sur le reste (1,80 de tirant d'eau)

20 nov. 2013
0

euh, je compte plus !!!!
il parait que quand je quitte le port les crabes sortent le casque lourd... :mdr:
en croisiere pas encore trop souvent et toujours derive basse histoire d'avoir un sondeur de securité (les harlé sont solides...) et surtout par temps de demoiselle.

en regate il y a longtemps cela m'est arrivé quelques fois en coupant au plus court ou en chercant les contre-courants au plus pres et de fois c'etait un poil de popotin de dyptere trop pres.

bref jamais de bobo et de bon souvenirs
cordialement
jpierre

20 nov. 2013
0

Ah bon je cryais que j étais le seul !
Une fois en prenant par les petits pointus a S malo alors que la nuit allait , était tombée
Une fois en prenant un peu trop tard la passe nord dans le sound à Chausey
Deux ou trop fois dans la vase à Port Louis
La dernière il y a trrois ans alors que j étais passé le Toul bihan à Quiberon, on nA pas vu la dernieère perche Est avant d arriver à Port Haliguen , la voilier quimarchait vent arriètre à 5 ou 6 noeuds a cogné violemment
, la bome a traversé m a poussé contre le winch après un empannage et je me suis cassé la coiffe de la clavicule...qu'est ce que ça fait mal putain !

20 nov. 2013
0

Mais non t'es pas le seul et en plus il y a tous ceux qui ne le disent pas !! et on ne compte pas quand on se plante dans la vase

20 nov. 2013
0

Dans la vase on ne tape pas ; on remue, on laboure et si on insiste on s'y colle et on s'y plante.
C'est assez varié... et je connais pour donner de temps à autre.
La dernière fois, dans un canal garantit à 2,5 m ... mes 1,92 m ne passait pas à 3 m de la berge. Un autre fois, juste en me désaxant un peu de l'alignement devant les musoirs de mon port d'attache (pour laisser passer un collègue qui sortait).
Mais chaque fois, le coup de frein est assez doux.
Mon ancien bateau n'a pas eu cette chance avec mon père qui avait décidé de passer du mauvais côté de la tourelle (à Lorient)... bilan 4 varangues à reprendre... mais le bateau naviguait encore mieux qu'avant après avoir été réparé.

20 nov. 2013
0

une fois à l'Est de Aix entre le fort et l'ile. Le pire c'est que je m'y attendais (genre de pari à la con)....

20 nov. 2013
0

Jamais, jamais touché...ah ça non et non...
Par contre arrivé au port en espagne, au moment d'inverser, je baisse la manette des gaz côté babord et l'inverseur côté tribord !!! et boum. Mais pas de dégat, le quai avait une bordure en bois. Je vous raconte pas ma femme à l'avant...

20 nov. 2013
0

Première fois:
Tonic 23 sur un caillou que balise une perche Ouest dans l'Est de La pointe de l'Arcouest (Brehat). Elle est vraiment mal placée sur le caillou qu'elle protège et tu est plus en sécurité si tu passe à l'est. Un stagiaire était au balcon avant. Avec le choc, il est passé par dessus bord. Le barreur à eu le bon reflexe et a poussé de suite la barre, mais nous étions arrêté.
C'est là que nous avons entendu la voix du celui qui était passé à l'eau crier " C'EST BON! C'EST BON, J'AI PIEDS ". Heureusement, nous n'allions pas vite.
.
Deuxième fois:
Début du Ferlas, embranchement du Trieux, juste après Loguivy en Glénans 7.60
Gros dégats et découverte de la "merde" que représente un contre-moule qui fait la rigidité (varangues intégrées au contre moulage mais qui ne fait pas "fusible" comme une varangue normale). Bien 5/6nds fond. Aïe. Dégats devant et derrière la quille.
.
Troisième fois:
Séance de pilotage très sérrée en Sun-fast 42. Touché sur la roche "l'avocat" juste au dessus de la "baleine", ilot juste à l'Est de Little Sark. L'objectif était de passer entre cette roche et la côte avant de couper à travers entre Little Sark et l'Etac (on dois pas être beaucoup de voiliers à être passé par là et je me suis fait pourrir une fois par un pêcheur local qui devait penser que on ne savait pas ce que l'on faisait)
Heureusement nous l'avons frottée d'abord avec la quille puis avec le safran. Cela ne nous a pas arrêté et nous avons continué notre séance. Elle est cotée à 3.7m souligné, mais je la soupçonne d'être plus élevée.

20 nov. 2013
0

tu demande pour les cailloux, tout en précisant:"Les échouements dans le sable ne comptant pas." Et les bouées? elles peuvent compter? parce que le seul vrai trou qu'j'ai fait dans une coque, c'est en me prenant ... une bouée catamaran!
Y a que les "rosbifs" pour inventer cela! (j'vais m'faire corriger pour l'expression?). Dans le Solent, dans le chenal "Calshot Reach" la dernière bouée latéral Bâbord nommée "Calshot Spit" du nom du banc qu'elle protège. C'est un petit cata rouge d'environ 4m, en bon acier Anglais avec des etraves pointues et éffilées. Nous descendions au prés pour rejoindre Cherbourg, toujours le sun-fast42. Elle etait cachée derrière les voiles et le jus nous portait dessus. Je la savais là, mais je ne l'ai pas assez surveillée. Quand je suis allé sous le vent pour la surveiller elle était à moins de dix mètres. Je saute sur la barre en gueulant "lâche" au barreur, mais il résiste à ma traction en me regardant sans vraiment comprendre quelle mouche me pique. J'ai quand même réussi à entamer le virement et c'est le 3/4 arrière qui a pris, pas très loin de la sortie d'echappement. Strat explosée sur un diamètre d'environ 30cm avec un trou de l'épaisseur d'un doigt au centre. "Magic Grey tape" en guise de bouche trou et retour Cherbourg...
C'est con, ma seule 1/2 journée de libre avant de repartir je l'ai passé à stratifier...

20 nov. 2013
0

Si on ne compte pas les arrêt-buffets sur le sable, alors il y a 25 ans, Chausey, à quitter le Lézard, sur une pointe qui déborde la caillou de la Sagnante (ou Saignante). Au moteur à 3 nds; qq bleus et bosses pour l'équipage puis une séance masque et tuba pour vérifier qu'il ne manque qu'un peu de plomb à la quille.

Et les tables à huîtres, ça compte? Régate en multi dans le Golfe. Départ foiré alors je tente l'option de la mort en quittant le peloton qui fait route directe vers Arradon, choissisant pour ma part de passer derrière Drenec.
Par transparence, mon équipière devine l'alignement des tables... Oups. Nous sommes sous spi et déjà engagé donc rien à faire d'autre que serrer les fesses. Elle me guide dans les travées jusqu'à ce que... L'aileron du flotteur au vent bute sur une table, le tri part au lof puis c'est l'aileron sous le vent qui touche à son tour et remet le bateau sur sa route. Ben voilà, pas plus compliqué que ça...
Pour finir l'histoire, avec cette option, nous croisons devant toute la flotte à la hauteur de la pointe d'Arradon, y compris devant un proto carbone de 7 pieds de plus

20 nov. 2013
0

une fois au planier, je savais ou il était, mais sur zone nombreux pécheur , j'ai baillé aux corneilles et oh le rocher à 4 noeuds, légèrement sur le coté , le bateau à gité, monté et puis plus rien, juste le bas de la quille en acier qui a eu un coup. André

20 nov. 2013
0

Une seule fois, à l'approche de la rade de Toulon par le cap Cicié.
Encore aujourd'hui, quand j'y pense je ne me trouve aucune excuse.

20 nov. 2013
0

bonjour: rochers jamais(parfois pas passè loin, avant avec la gonio, le brouillard..........) talonnè ou posè sur le sable 4/5 fois, =memes raisons! maintenant avec les gps il faut le faire expres ou dormir , ou ne pas savoir naviguer autrement et avoir le gps et le lecteur magic en panne!vive le progres cordialement

20 nov. 2013
0

alors si ma mémoire est bonne

une fois en revenant de Cezembre avant de rejoindre le chenal j'ai touché sans consequence .

Une autre fois dans le chenal principal avant d'arrivé au crapauds des béy en pleine marée basse de VE alors là bien surpris car j'étais bien dans le chenal avec seulement 1.5m de TE ..je suis resté planté quelques temps

sinon cet été la derive est remontée en passant trop pret de la tourrelle de Goemorent dans le golfe du Morbihan..

J'ai pas d'autre souvenirs

sinon quelques banc de sable :les Pourceaux sous Dinard ..là tout une histoire

20 nov. 2013
0

En marche arrière dans la baie de Figari il y a deux ans, cette année sur le lac Léman à la pointe d'Yvoire, il y a longtemps (avant les GPS) dans ce que je croyais être l'anse de Malfalco: tout le monde est tombé par la violence du choc. Enfin on à dit que la sable compte pas :-)

20 nov. 2013
0

Une fois l'an dernier en rentrant à Ban Gâvre du côté de Lorient, il y avait des filets et des casiers partout, j'ai voulu en éviter un de trop mais avec une dérive en tôle c'est seulement bruyant.

20 nov. 2013
0

Une fois sable entrée de leucate. Remonter la dérive impossible, deux bateaux pour tirer et zou.

Une fois les cailloux d'une digue non encore répertoriée sur la carte devant saintes marie de la mer dérive a talonné et est remontée un peu. Aucune trace.
Depuis , je ne joue plus :)

20 nov. 2013
0

zero; mais bon, j'ai pas de merite, ça fait que trois mois que j'ai mon bateau; pour pas toucher un caillou je touche du bois......

20 nov. 2013
0

À Chausey, il fallu descendre du bateau et le tirer vite fait avant que la marée ne baisse trop.
Un bon plantage dans la vase pour sortir de Barbuda. Pareil, décharger un max d'affaire dans l'annexe.
Et un choc sur un caillou dans la baie de St Jean de Luz en prenant une bouée à Socoa.
Par contre en Méditerranée, il y a un caillou qui porte bien son nom : Romp gouvernaille. Il garde plusieurs traces de passage… Il est à 80 cm de profondeur. J'aime bien passer le voir.
RV

21 nov. 201316 juin 2020
5

Salut
Deux fois touché, une fois et demi coulé...
La première, fin 80 avec Philippe Monet à bord du trimaran de course en alu "Kritter". La dérive centrale (2 m 80) a heurté un rocher à St Tropez : Puis de dérive explosé. Résultat, en trois minutes le caisson centrale entièrement rempli d'eau. Nous n'avons pas coulé grâce aux flotteurs latéraux...
La deuxième en 2002, à bord de mon Brise 28 alu. Racontée sur le document ci-dessous. Là, j'ai coulé...

Bon, il m'est arrivé que la quille caresse gentiment un fond de sable ou une touffe de posidonies... rien de bien grave...


21 nov. 2013
1

l'étoile c'est pour la qualité du récit

21 nov. 2013
0

Merci !

08 déc. 2013
0

+1 pour m'avoir fait mouiller les yeux.

21 nov. 2013
0

2 fois il y a qq. les années. 1 a l'entree de port tudy (groix) de nuit ou j'avais filé la barre à un copain le temps d'aller m'occuper des parebat et préparer les amarres. Que des novices à bord avec 3 enfants. J'ai dédramatisé en disant que ce n'était rien. Tout le monde sur un bord pour se dégager. (Mais vraiment pas fier de du tout).
1 fois à l'est des moutons (glenans). Mauvais alignement arrière. Au prêt. Et dérive pas estimé. Idem, les enfants et ma femme : on va couler?. Non, non ce n'est pas grave. Tout le monde d'un côté, on ouvre la GV en grand et demi tour.

Ça ma coûté une varangue.

Maintenant j'anticipe :-)

21 nov. 2013
0

Sans avoir fait de statistique précise, j'ai l'impression que les cailloux des Chauseys sont les plus caressés par les quilles. C'est à peine surprenant compte tenu des lieux et des marnages, plus parfois une mauvaise réaction face à une perche.

21 nov. 2013
0

Le dicton chausiais :« LES SEULS QUI N’ONT JAMAIS TAPE UNE GRUNE SONT LES MENTEURS» est donc justifié!

21 nov. 2013
2

Quand la mer descend, les cailloux montent !
Quand la mer monte, les cailloux se cachent,
C'est là où ils sont dangereux...

A propos de GRUNE, le mot m'a été refusé au Scrable ! je propose une réclamation à l'Académie...

Quand aux statistiques des cailloux caressés, l'archipel Bréhatin vaut (malheureusement) celui de Chausey... mais tout le monde ne s'en "vante" pas...

21 nov. 2013
0

Les bretons seraient-ils plus modestes?

21 nov. 2013
0

Pourtant, avec l'incitation à la dénonciation mise en place, orchestrée et encouragée par l'Apoc, il doit être bien difficile de se planter en toute discrétion!
J'ai ouvert mon étrave de flotteur sur mon bateau tout neuf sur un ponton pourri dans le Trieux et le lendemain, à la remise des prix, j'y ai eu droit :-D

21 nov. 2013
1

Si tu as déjà eu ta pinoche... tu peux raconter ton anecdote de poqueur...
Tiens, je reprends le dicton chausiais de Viking35 : "les seuls qui n'ont jamais tapé une grune sont de poqueurs menteurs"

21 nov. 2013
0

Au Nord des Hébihens, lors d'une régate en Class 8, j'étais un peu proche, la quille s'est remonté et rien à déclaré!

21 nov. 2013
0

Moi c'était à La Rochelle l'année dernière, ils ont bougé les bouées pour l'entrée au minimes et moi, gros malin que je suis, j'ai pris le chemin que je connaissais. Sauf qu'ils construisaient la nouvelle digue et ça commence par des enrochements au fond...

21 nov. 201321 nov. 2013
2

Et après ce que je viens de lire, vous critiquez le commandant du Concordia
Bon ok moi je fais parti des menteurs :jelaferme: :goodbye: :pecheur:

21 nov. 2013
3

Vous avez noté les bateaux qu'il ne faut pas acheter ?? :mdr:

21 nov. 2013
0

au contraire, s'ils flottent toujours, c'est qu'ils sont bons.
De même qu'on s'arrache les comptables qui détournent du fric et pas les autres.

25 nov. 2013
1

@ Polac il faut surtout noter avec qui il ne faut pas naviguer
oui je sais je me :acheval: et je la :jelaferme: je retournes à :pecheur:

21 nov. 201316 juin 2020
0

Deux talonnages assez brutaux avec mon NQN, dériveur de voyage de 10,5 m.
.
Je ne compte pas les innombrables gratouillages de berniques au moteur par beau temps en zigzagant au milieu des Minquiers, Chausey ou Brehat.
.
Un à six noeuds au moteur sur la dalle de granit qui déborde à l'ouest de fort Cigogne aux Glénan (photo 1, la réparation un mois plus tard)
.
L'année suivante à Chausey, sur un cailloux très spécial que les habitués connaissent. Malheureusement pris à mi bordé, il a fait une rayure profonde sur un bon mètre de long. (photo 2, le caillou)

22 nov. 2013
0

ben ça alors! je pensais faire partie des habitués. Même si Je reconnais bien huguenants dans le fond, je n'ai jamais vu ce "caillou". Faut dire que je ne m'arrête jamais là, je ne fais qu'y passer et pas à marée basse. T'as retrouvé le proprio du "caillou"? ;-)

22 nov. 201316 juin 2020
0

Exact.
De plus, il est au bord du chenal.
Comme je vais régulièrement me tanker sur ce banc de sable, il fallait bien que je me le prenne un jour.

22 nov. 2013
0

Tribal: Ainsi tu reconnais Huguenans! Moi, j'y vois à coup sûr l'Enseigne.
Quand à ce "caillou" en fonte du coté de la Massue, je l'ai toujours vu là et, dans les années 70, les membrures du chalutier qui a fini ces jours ici étaient bien visibles...

22 nov. 2013
0

oups! en effet, j'ai regardé un peu vite. On n'est pas du tout en bordure du plateau. Tu as bien évidemment raison, c'est bien l'enseigne. et dans mon souvenir, en effet je visualise l'épave dont il ne reste plus que cette relique aujourd'hui...

21 nov. 201316 juin 2020
0

@Jéhenne : suis poqueur donc pas menteur.
Mais l'anecdote est hors sujet car pas de caillou mais le ponton au milieu de la rivière, une mauvaise ferrure qui débordait de 30 cm; et quand je suis descendu sur le ponton, je suis passé à travers les planches...
Sur la photo, le strap qui m'a permis de régater le lendemain (C'était l'édition courure dans le brouillard; 2010?); fort heureusement, l'équipage était du bon côté si bien que la déchirure s'est fait bien au-dessus de la flottaison; mais un bateau tout neuf, c'est dur pour le moral. Maintenant il est vieux, je m'en fous, je prends les départs bâbords!

22 nov. 2013
0

Ce sont es lazzis qui pendent sous la bôme?

23 nov. 2013
0

Ils ne sont pas fixés sur l'arrière?

22 nov. 2013
0

yes.
Bon, pas top pour la photo....

24 nov. 2013
0

Sur des clams. C'est le dormant qui pendouille.

21 nov. 201321 nov. 2013
3

Moi le mien il est vieux et je ne mens fous pas. ;-)

21 nov. 2013
1

un seul touché de caillou, suite à l'ancre qui dérape de nuit à Bréhat / La chambre.
Et plusieurs fois c'est passé plus que très près à la Bréhat / Corderie, à Chausey entre la Mauvaise et le Lézard, Brett à Jersey, aux Ecréhous, ...

22 nov. 2013
1

Bréhat, souvent
Les Glénan, violent, erreur de nav.
En Requin dans le Golfe, je ne compte plus, avec une préférence pour les roches de Berder dans les contre-courants de la Jument.

Mais j'aime l'étreinte de l'estran!

22 nov. 2013
0

légèrement "gratouillé "quelque chose de plutot dur au 1er virage des alignements d'entréé d'Audierne...quille du first 21.7 au 3/4 relevéé...trop préssés d'aller acheter un homard.....à maréé montante....un 11/12 m Anglais qui nous suivait s'est franchement planté,et a du attendre un bon moment.....
le bureau du port(super sympa)distribue d'ailleurs un petit polycop format A4 qui détaille le mode d'emploi de ces alignements.....
Les "vieux du pays" stationneraient volontiers sur la rive babord en entrant,commentant les suivis(plus ou moins réussis...)des alignements.....

22 nov. 2013
0

Dire que l'on ne talonne pas en Méditerranée est une grossière erreur.
Le tour de corse est un piège à quilles
La cote d'azur a chaque année son lot d'échouage ou de bateau coulés (même les yacht dans la bais de Cannes)
Souvent parce que l'on se méfie moins en Med, que l'on regarde moins les cartes du fait que la marée est négligeable, et aussi que les marins sont plus 'occasionnels' et ne naviguent souvent que 3 semaines par an.
Chez les loueurs de bato en Med il y a autant de quilles perdues qu'en Bretagne.

22 nov. 2013
0

je veux bien te croire. Au moins pour la dernière affirmation. Je pense même qu'il y a plus de quilles perdues qu'en Bretagne car :
- En proportion, + de quillard en Méd
- Grace au marnage, chez nous, les quilles on les retrouve à marée basse; donc pas toutes perdues définitivement
;-)

22 nov. 201322 nov. 2013
0

depuis 20 ans:

  • Au Sud de l'ile Agôt (Dans la marre aux canards) très faible vitesse au moteur.
  • Et devant l'Islet à la voile.

(Et pour les quilles perdues, ou suite échouement, j'en récence au moins 3)

22 nov. 2013
0

A Porto Vecchio il y a un an, en rentrant au port, après deux jours de nav un peu musclée, je suis passé entre les deux chenaux, au moteur à 5 noeuds. La classe internationale. Ponk! Une varangue brisée... Déquillage et tout. Pffff. Trop débile.

23 nov. 2013
0

Plusieurs fois (je navigue depuis 75 du siècle précédent). Un bon talonnage en rentrant à Roscoff (l'ancien port). Erreur de débutant qui ne sait pas qu'il y a un alignement à respecter.
Avec le même bateau, passé une nuit sur les cailloux à l'Arcouest. Heureusement que la mer était d'huile.
Avec un autre (Aquavit) en régate, tellement absorbé à essayer de gratter le bateau de devant, braoummm, sous spi à 7N sur le côté gauche de la quille : Les membrures cassées des deux côtés. Les bordés du fond ouverts sur deux mètres au moins (50000Fr de réparation à l'époque( le prix de mon bateau actuel que je n'arrive pas à vendre).
Avec celui ci justement, un gros pet sans conséquences en rentrant dans un port Espagnol (Ribadesella) de nuit. Max sea indiquait 3,50m au 0. Boum avec 1,85 de TE.
Et puis d'autres touchettes, histoire de savoirsi la quille est toujours là.
Finalement, pas tant que ça au vu des années de nav.
:topla: :alavotre:

24 nov. 2013
0

Le pouce !

j'ajoute mon "caillou" à l'édifice: années 80, navigation en famille en période estivale avec le beau bateau de papa, sagitta 35 (réputé costaud, varangue inox, etc...), navigation au DECCA (marchait très bien en manche, moins bien en atlantique). Sans doute pas très original: talonnage sur la chaussée des bœufs (cote sud Noirmoutier), au moteur, temps brumeux, calme plat. 5 nœuds: je vois droit de devant un cormoran perché sur un rocher, tiens, mais que fait-il là ??? je ralenti et BOUM ! stoppé net. Une équipière valdingue du carré à la cabine avant, mal au coccyx mais rien de grave. Un bruit de frottement au moteur, il s'est déplacé: l'arbre d'hélice grince dans le tube d'étambot. Je prends un bain pour voir les avaries sur la quille: ne vois rien de spécial. Crouesty, bateau au sec: large fissure à l'avant à la naissance de la quille (plus un choc sur le talon, moindre mal), je colmate au SIKA avant de remettre le bateau à l'eau. Quelques semaines plus tard réparation par stratifieur pro, il a eu un mal de chien à nettoyer le SIKA, mais d'après ses dires, vu que le bateau avait été remis à l'eau, l'idée n'était pas si mauvaise, réparation impeccable.

Moralité:
- Les avaries peuvent aussi apparaitre à l'intérieur: j'ai vu par la suite des décollement (arrachage ) au niveau stratification assemblage coque/cloison, fixation réservoir d'eau, etc...
- après ce choc le moteur s'est remis en place au bout de quelques minutes de fonctionnement.
- erreur de navigation: sous estimé les courants. J'avais lu quelques part qu'il faut garder la largeur d'un pouce entre sa route et le danger, et ce quelques soit l'échelle de la carte (peut-être les glénans ?). Un des équipiers a signé le journal de bord avec ces mots: "le pouce, jérôme, le pouce !!!".

24 nov. 2013
1

Chaque fois que je me touche le crâne.... :acheval:

24 nov. 2013
0

Avec tout ça, il est possible qu'on refroidisse les acheteurs de bateaux d'occasion!!!!

24 nov. 2013
1

Ceux qui talonnent le plus sont les espagnols !!!
(en dansant le flamengo...)

:oups:

24 nov. 2013
0

Il va bientôt falloir créer une ligue de protection ces cailloux perdus en mer : principes de précaution et de développement durable obligent ...

24 nov. 2013
0

Talonnage à Erquy. « L'absence de rigueur » pointée

Le Bureau enquêtes accidents de mer a rendu son rapport concernant le talonnage du Guillemot en juillet 2012, à Erquy. Il relève que « l'absence de rigueur dans la navigation et une méconnaissance de la zone sont les facteurs déterminants de l'accident ».www.letelegramme.fr[...]912.php

24 nov. 201324 nov. 2013
0

Sortant du cap d'Agde, gros vent d'Est, tous les coulisseaux qui pètent : le temps de tout ranger, j'étais entre Brescou et la côte. Poum un creu, une vague, petit poum un autre creux, et la trouille au ventre jusqu'au refuge au Grau, sur l'Hérault. Rien de cassé, mais réouverture d'un vieux talonnage (proprio d'avant avant ?..)... Réparé renforcé au chantier de printemps.
Une autre fois une touchette à un nœud, en allant mouiller au crépuscule à l'entrée Est de Mahon, sondeur coincé sur 9 mètres ; j'aurais du m'en douter !
Le sable, ça compte pas, tant mieux :))

24 nov. 201324 nov. 2013
0

l'an passé, avant d'arriver au Croisic, je vais passer au dessus des cailloux. Je connais le secteur par cœur, j'y ai navigué pendant 15 ans, donc aucun soucis, n'est-ce pas, je suis comme chez moi!!!. avant d'arriver sur les hauts fonds je remonte la dérive au max; puis,... le téléphone sonne, j'échange une ou deux minutes et je continue ma route. Et crac, le safran tape sur le caillou, et je me retrouve avec un safran cassé en deux! j'avais zappé le remontage du safran lors du coup de téléphone !!!depuis la manœuvre se fait dans l'ordre inverse: safran d'abord, dérive ensuite, et je n'interromps pas cette manœuvre en 2 temps!!
bilan : refaire le safran....en début aout!

27 nov. 2013
0

Bonjour,
Je souhaite passer la nuit au port du croisic du 30/11/2013 au 01/12/2013 coeff de 84 au ponton proche de la snsm.
En partant le 01/12/2013 à 9h (marée basse) il y a t-il suffisament d'eau sous la quille pour quitter le Croisic? TE 1,10m Merci

27 nov. 2013
0

aucun soucis, les chalutiers entrent même plus loin que ce ponton ! tu auras toujours de l'eau, même beaucoup d'eau. le chenal est bien dragué, mais il faut rester dedans !!! si j'étais resté dans le chemin balisé je n'aurais jamais connu cette mésaventure; mais j'ai voulu flâner sur une zone pleine de cailloux, mal m'en à pris !!
dans ton cas aucun soucis pour entrer, sortir à toute heure. Simplement fais gaffe au courant notamment à mi marée, il y a du jus !!

24 nov. 2013
0

@ALJOUB la bonne méthode serait de ne plus répondre au téléphone en conduisant :)

25 nov. 2013
0

kit mains libres, bluetooth? ;-)

26 nov. 2013
0

Outre la perte d'attention, le problème est qu'on a l'impression de quitter les commandes quelques secondes et qu'une ou plusieurs minutes sont vite passées.
Une relation de ponton a connu ainsi une collision en pleine mer avec un bateau qu'il avait pourtant vu. Il est descendu dans le carré suite à une demande d'un équipier, je crois, alors que la situation paraissait claire. Cela a pris la minute de trop!
Et pourtant, c'est un excellent marin très expérimenté! Nobody is perfect!

25 nov. 2013
0

j'ai tout ça ! sur la voiture et sur la bateau, la VHF est bluetooth ! ça confirme que l'on ne doit pas se faire distraire de la manœuvre en cours avant que celle-ci ne soit terminée ! j'aurais entendu ça vécu par quelqu'un d'autre, je l'aurais sans doute "chambré" un peu; mais là je me suis trouvé vraiment con...et ridicule, c'était moi!
ça m'a coûté un bras quand même...aussi!

24 nov. 2013
0

un bon nombre!
En débutant la régate autour de Bréhat, chaque dimanche il y en avait un qui tapait. Autant que je m'en souvienne on a du frotter plusieurs fois sans gravité mais on les comptait plus.
Après, j'ai migré vers Binic, et autour des Iles St-Quay c'était moins fréquent mais quand même pas mal aussi.

Ceux dont je me souviens vraiment bien:

1: Le premier avec mon oncle, je devais avoir 8 ans maxi, en baie de Lancieux. Il ramenait prudemment un naufragé d'un petit pneumatique vers la plage et poum sur les Hautenières. Pourtant il connaissait bien le coin et avait l'air de faire gaffe. Arrêt brutal du Cap Horn, aucun dégâts.

2- 15 ans plus tard en Suspens vers La Hague en course petit temps contre courant. On a fait un peu de saute-mouton sur un plateau rocheux, trois ou quatre fois avec la houle. Pas de dégâts.

Avec le même, même si la vase ça compte pas, on s'est retrouvé à attendre une marée à quelques mètres de la dernière bouée rouge du chenal de La trinité qu'on n'avait pas vue dans le noir, la quille entièrement enfoncée dans la vase, bien droits, pile entre deux rangées de vieux pieux de parcs qui dépassaient de 50 cm. On a salué toute la nuit les 250 bateaux qui venaient aussi pour le spi ouest. La honte!!!

3: Dans mon jardin 10 ans plus tard avec le Bullit, ouest des hébihens au près par petit temps. Juste une couche de strat à recoller et un peu de plomb en moins, aucune voie d'eau. Il n'y avait pas de varangues sur ce bateau, le fond était souple dans le sens longitudinal.

4: Toujours avec le Bullit, une touchette en régate sous spi sur la Roche aux Anglais, pourtant du bon côté de la bouée mais marée basse.

5- Cap Lizard, course du Fastnet en proto bois moulé Half Ton. (one shot Fauroux/Silvestro)
Au près 6noeuds et quelques, pas eu l'impression d'un gros gros choc, mais la quille arrachée de la coque ne tenait plus que par l'arbre d'hélice qui la traversait. On pouvait la toucher en passant la main entière par la fente dans le fond de la coque! La structure de coque littéralement explosée d'une bout à l'autre! Bateau et équipage sauvés in-extremis par la RNLI, impressionnants d'efficacité! (2 hélicos, moto pompe, remorquage à plus de 20 nœuds, on n'a même pas eu besoin de percuter le bib!) C'est con, on était en tête, à vue de deux Two-Tonner après 2 jours de course! (Xeryus qui finira mal aux Needles et un autre!)
D'après les locaux, une roche isolée, en cheminée de moins d'un mètre de diamètre. Le point d'impact observé à 10 cm du bas de quille, bras de levier maximal et fatal.
Le bateau sera rapatrié par ferry et refait.

6: Maintenant, en tant que skipper une seule fois, mais une belle!
Avec mon tri (Freely) en baie de Lancieux à marée basse, après un virement un peu foireux devant l'Ilet, occupé à ranger le b..del, en direction des Hebihens, une patate isolée à 8 noeuds. Après le choc, ma fille m'a fait remarquer: Tiens, c'est bizarre, on dirait une dérive comme la nôtre derrière nous! Tu m'étonnes, sectionnée au ras de la coque, la dérive sabre. Mais rien d'autre, le puis de dérive n'avait rien. Bon fusible bien calculé.

Maintenant avec le Feeling 920DL, je crains quand même moins le gros pépin. Plusieurs touchettes dans le sable (nouvelle entrée de St-Cast soit disant draguée à 2 mètres!) ou la vase de la Rance.

ça fait donc 6 fois dont je me souviens.

26 nov. 2013
0

Matelot@17523,
Sur quel bullit courais-tu ?Celui de Cumberledge ? Que j'ai bien connu car c'étais un de mes adversaires sympa quand je naviguais à St Malo de 82 à 88 avec mon quarter "Gwenn a Du".
30 ans de navigation à St Malo et ailleurs et pas mal de course sur des voiliers grand tirant d'eau et pas de percution avec des cailloux.
Sans doute beaucoup de chance que j'espère ne pas perdre par cette déclaration. Donc, je vais toucher ma peau de vieux singe !
Mike

27 nov. 2013
0

Eric,
On se connaît sûrement. Je vais souvent à St CAST. A l'occasion on pourrait se voir pour boire un verre (ou deux) ensemble.
Michel LE ROY

26 nov. 2013
0

@ Mike:
Oui, c'était bien celui-là. J'ai fait tout son programme de 86 à 92 (bien chargé entre St Malo, Spi Ouest, Cowes Dinard, semaine de Cowes chaque année!). On s'entendait bien tous les deux, été comme hiver. C'est sans doute sur ce bateau que j'ai le plus appris en réglages et tactique, et son portrait est à la place d'honneur dans ma galerie!
Je me souviens bien de ton bateau que je trouvais vraiment très joli, au point que j'avais hésité quand il fut en vente.
Eric

27 nov. 2013
0

MIKE, Matelot... Aljoub, Tyfou et quelques autres:
Vous êtes surement nouveaux sur H&O, aussi , je vous indique que vous disposez d'une fonction "mes messages ( en haut à gauche) qui vous permet d'échanger entre vous et ainsi éviter que vos petits messages entre amis polluent un fil dont ce n'est pas le sujet.

25 nov. 2013
0

2 fois la sèche de Centuri à 15 ans d'intervalle . La 2ème fois mon épouse surveillait à l'avant pourtant! et une fois en contournant de trop près la tourelle verte devant Cap d'Agde. Résultat 5K€ de dégats. En plus l'amour propre en prend un coup

25 nov. 201316 juin 2020
0

Une seule fois peut suffire .On sort de benodet tout calme ...3 noeuds .Confiance dans l'équipage .On s'occupe du muscadet et erreur de balise . Et bien quand on s'arrête net !!ça secoue .Petite retouchette du safran en reculant dans le sillage . Pas de voie d'eau . Pas de remontée des vis de quilles . Les cloisons à leur place ...Un béquillage tout de même à Sauzon pour vérifier . Bon lors de la mise au sec joint défait ça a peut être un peu bougé . Mais un gib sea 31 DL c'est copieux !!!

26 nov. 2013
0

Jamais depuis que j'ai acheté mon premier bateau en 82. Mais je pense que naviguer en baie de St Malo rend très prudent. Pourtant en régate on frolait les cailloux ! Mais j'ai eu sûrement beaucoup de chance que j'espère ne pas perdre en me vantant.
Donc, je touche ma peau de vieux singe ...
Mike

05 déc. 2013
0

@ Viking35
C'est le quel Petit Pointu que tu as tapé ?
Le petit au SE à +3.7 ou celui à + 4.6 ?

Ci-joint un extrait de carte et une photo prise dimanche 1er décembre (il faisait très beau sur l'eau).
Vrai que ça pouvait passer !

Rappel :
"Lors du dernier bord de la dernière manche à moins d’un mille de la ligne d’arrivée, nous étions 3ième. Au louvoyage, à proximité de la tourelle des Petits Pointus, nos concurrents directs n’ont pas osé l’approcher et ont tiré un bord.
Flairant la possibilité de les devancer, j’ai proposé au skipper, Philip, de « shunter » la tourelle, sachant, qu’il y avait un passage de 10 m entre deux cailloux. En bon régatier, il a accepté. 20 secondes plus tard, à 6.5 noeuds, nous avons percuté violemment le rocher le plus à l’est, puis continué notre route..."

05 déc. 2013
0

Jehenne: Il ne s'agissait même pas le 4.6 souligné mais la faille dans l'est de la tourelle que l'on voit très bien sur ta photo. Evidemment, c'était à marée haute...

05 déc. 2013
0

Tribal, laisse, c convivial...

05 déc. 2013
0

oui? quoi? Allô? qui me parle?

06 déc. 2013
0

Tu protestais contre les échanges de propos hors sujet..
Allô quoi!!!!!! Ta même pas d'antifoulinge

06 déc. 2013
0

je ne vois pas auquel de mes posts tu te réfères (même si je ne doute pas d'être hors sujet de temps à autre)

06 déc. 2013
0

Un petit souvenir qui m'est revenu... c'était en juin 1994.
Je revenais d'une semaine de stage Glénans, à Paimpol. Un ami me propose de venir sur son bateau (un Belouga, dériveur) pour une balade à la Grève Blanche, qui n'est praticable que par grande marée basse.
En me déposant au bateau ma mère me dit :"Tu verras, il connait tous les cailloux et passages de Bréhat."
Le fait est que nous passons en nous faufilant dans des chenaux entre les îles et cailloux.
A un moment l'ami me confie la barre... un peu plus tard il est en train de bricoler un truc sur sa baille à mouillage, aidé par son épouse. Je lui demande de me préciser où on va... Il me répond :"Tu passes au cul du caillou là-bas"
OK... nous approchons d'un gros caillou et je passe "au cul" sous le vent dans ce que je crois être une passe puisque j'y vois de l'eau.
Las, il n'y en avait pas tant que ça de l'eau... la dérive touche et remonte et le safran accroche... Nous voilà en bien mauvaise posture. Heureusement la mer et plate mais le petit vent nous pousse toujours contre les roches... L'ami et son épouse sautent à l'eau pour repousser le bateau mais n'arrivent pas à nous dégager... Nous devrons notre salut à l'intervention d'une barque à moteur qui nous tirera de là... sans gros dommage.

J'en ai tiré une leçon : donner des instructions claires au barreur... L'ami m'aurait dit " tu passes au cul du caillou en le laissant à bâbord..."

06 déc. 2013
0

trop de cas pour tous les raconter

un mur de parc à huitres prés de l'ile de ré, en arpège, passé la nuit en équilibre précaire, on avait du aussi arrêter le moteur en l'étouffant au T shirt, il s’arrêtait pas ...

échouage du bateau prés de paimpol, on était 2 sur une ile déserte , en T shirt a cailler et faire t un feu de bois pour survivre toute la nuit

mur sous marin à 6 noeuds à Bilbao, arrêt buffet projeté contre le roof, bleu à l'épaule, bateau rien, merci le F 30

isollela prés d’Ajaccio, tenté un passage possible mais pas évident, gratté la quille et le safran

castagna prés d’Ajaccio, trop longtemps à préparer un capuccino, la ça aurait pu être dangereux, j'ai vu en sortant avec ma mug le sondeur remonter j'ai poussé la barre mais je me suis retrouvé coincé, en faisant giter plus moteur à fond je suis ressorti après quelques chocs sur la quille, RAS

06 déc. 2013
1

Tout dépend du cap suivi par le caillou!

06 déc. 2013
1

à san francisco il y a avait une bouée de chenal qui s'était décrochée plusieurs fois, une fois pdt une régate" le comité de course indique que ns ne verrons pas la bouée X qui conserve sa réputation de marque de parcours la plus rapide de la baie...

06 déc. 2013
0

Sans oublier le comportement diabolique de certains cailloux qui, comme certaines bouées, ont une fâcheuse tendance à se jeter sur tout ce qui passe à proximité...

06 déc. 2013
1

Un caillou est sensé conserver son cap et sa vitesse, quoi que la composante surface de cette dernière dépendant du courant il arrive qu'elle varie subrepticement à l'approche du caillou.

06 déc. 201316 juin 2020
0

Bon allez, à confesse !
Je décide de jeter un oeil sur le mouillage sur bouée de Craighouse sur l'île de Jura en Ecosse, au cas où je voudrais y revenir plus tard. Pour épater les quelques Ecossais présents, je décide de le faire à la voile, ce qui implique de ressortir au près très serré (voir image), vent de secteur N. Mon Sunshine (1,95 m de TE) remonte bien au vent le long de l'îlot qui ferme la baie, mais j'ai oublié de tenir compte de la dérive. Et bang sur une roche le long de l'île ! Pas de dégâts, heureusement...
Si quelqu'un m'a vu, il a surtout dû être épaté par ma bêtise...

07 déc. 2013
0

Pourquoi ne pas avoir fait un petit bord de tribord amure pour te dégager? Il y a de la place à l'Ouest pourtant...

06 déc. 2013
0

Sans mentir, j'ai jamais heurté un seul caillou de ma vie!
En revanche, j'ai vu plusieurs skippers rentrer de plein fouet d'en d'autres voiliers suite à une perte de leur sang-froid...

07 déc. 2013
0

Malevolence, rassure toi cela viendra à moins que tu ne navigue que depuis peu de temps dans des mers sans marées... mais ta fiche ne nous le dit pas.

07 déc. 2013
1

Pas pensé à la remplir, mais je navigue surtout en baie de Seine et chez nos voisins dans le Solent, coins peu caillouteux même si il y a du courant.
Et puis je ne fais jamais de balades côtières. Quand je sors, je fonce droit vers la haute mer, et quand je rentre je file directement à l'entrée du chenal.
Plus une prudence excessive qui me fera vérifier plusieurs fois et le traceur et la carte du bloc côtier et toujours arriver à un port inconnu de jour.
Et puis merde! J'ai 21 ans, j'ai du temps devant moi pour faire des conneries!

0

Devant Littlehampton avec le Class 8 en solo.. longue journée de nav', pas bien lu les instructions nautiques (je voulais aller jusque cowes mais j'étais trop fatigué..) et je suis parti franc battant dans l'alignement alors qu'il me manquait au moins 60-80 cm d'eau... La quille se relève, cela fait un peu mal au coeur... moteur HB a fond pour retourner le bateau et j'ai été frapper une aussière sur la bouée d'atterissage pour patienter quelques heures avant de me faire la pire frayeur... ne jamais rentrer dans une rivière anglaise au plus fort du flot et par gros coeff... ;+) jamais !

10 déc. 2013
0

Une belle touchette avec E.E. D633 dans le raz de sein dans la nuit du jeudi au vendredi 13 Janvier 1978 merci au patron Guilcher et ses sept hommes de la base S.N.S.M. De l île de Sein un talonnage de nuit avec le Duperre tempête vent à 65 nœuds et mer comment dire..... Hache ....pas de dommage pour le personnel de bord Grace au sang froid des hommes de la S.N.S.M qui vont une fois de plus réaliser un exploit...Du reste à force de cogner sur le flanc du Duperre le canot de sauvetage est à son tour atteint d entrée d eau qu il ne pourrait étaler longtemps maigres ça il mène sa mission jusqu au bout ...sauvetage de nuit par condition de mer forte bravo messieurs et merci............pour info.. Départ de Brest 21h15 route pour le golfe de cas cogne talonnage 23h20 évacuation par le canot du patron Guilcher 3h15

10 déc. 2013
0

Je ne me souvenais pas de cette fortune de mer. Merci de l'avoir rappelée !
fr.wikipedia.org[...]escadre

"EE Duperré - 1978
Suite à une erreur de navigation lors d'un fort coup de vent, le Duperré talonna dans le raz de Sein le 12 janvier 1978 à 23 h 20. Toute la ligne d'arbre bâbord, de l'hélice jusqu'aux turbines, fut détruite et une brèche, longue de 35 mètres, provoqua une voie d'eau considérable, inondant tous les compartiments machine et privant l'escorteur de propulsion. Après une évacuation de la majeure partie de l'équipage par le canot de sauvetage de l'île de Sein, le bâtiment put être remorqué jusqu'à Brest le lendemain. Il entra au bassin le 13 janvier à 18 h 30. L'étendue des dégâts fit hésiter à sa remise en état. Il ne sera finalement réparé que le 30 novembre 1979, en récupérant les éléments détruits sur l'EE La Bourdonnais qui venait d'être désarmé34."

10 déc. 2013
0

Talonner pas (encore !?) arrivé, pourvu que cela dure .
Mais il y a quelques jours il nous est arrivé quelque chose qui défie un peu les lois de la probabilité .

Sur le bateau nous n'avons qu'un seul passe coque en plastique (le reste ce sont des tubes epais soudés) car installé à Monastir sans 380 v à portée de Mig et surtout sans tube epais du bon alliage sous la main .
Donc en rentrant dans une écluse parmi les feuille se trouve une branche (ressemblant à du noisetier) et la les trucs improbables s'enchainent, lorsque nous entrons cette branche se révèle une ramification de cette branche se coince dans " quelque chose " (nous pensons dans notre puits de dérive tribord),et en même temps dans la porte de l'écluse, cela nous stoppe net et nous envoi "embrasser" la porte gauche de l'écluse.
Le bout de la branche apparait, brisée, elle frotte sur la coque au dessus de la flottaison, mais la pas de risque nous poussons .
Rien d'autres semble t il qu'un chocs à bâbord encaissé sans broncher par le martyr.
Mais voila sur les 65m2 d'œuvre vives il a fallu que cette pu... de branche décide de visiter LE seul passe coque en synthétique, qui forcément n'a pas du tout apprécié cette visite. Et qui nous l'a fait savoir en pleurant à chaudes (enfin plutôt glacées !!) larmes dans les fonds...
Nous avons depuis chargé le bateau sur le cul au maximum, le passe coque est toujours la en attendant la possibilité d'une sortie.
Le meuble des toilette est demonté et un bon marteau et sa pinoche ont remplacé le stock de pq à proximité de ce passe coque.
Dans un monde parfait la branche fautive se serrait aussitôt transformée en pinoche

:scie:

Et dire que le jour ou la scie cloche à la main j'ai fait ce trou j'etai parti pour le faire au dessus de la flottaison...mais bon j'ai eu des scrupules à faire l'évacuation des toilettes au dessus de la flottaison, cela aurait été un peu merdi..
Donc faux cul (!?) et sans doute plus hypocrite j'ai taillé SOUS cette damnée flottaison.
Comme quoi pas besoin de talonné pour se retrouvé comme un c...idiot la pinoche à la main. :oups: :lavache:

10 déc. 2013
0

Mon cousin ...a la main mon cousin d ou l expression...........

11 déc. 2013
0

et moi qui me demandais pourquoi on avait tant de mal à assurer nos bateaux!!!

11 déc. 2013
0

Si tu es assurés "aux tiers" comme nous pas de problème :mdr:

11 déc. 2013
0

Si les cailloux pouvaient porter plainte...

11 déc. 2013
0

Dans les années 70 j'ai empalé un caravelle sur un beau caillou d'une berge de la seine, c'est paradoxalement ce caillou qui nous a évité le risque d'un accident plus grave:

On tirait des bords coté BILLANCOURT contre le courant, vent irrégulier dans l'axe du fleuve avec de fortes risées, il y avait un trafic intense de péniches et de pousseurs à l'époque, la règle était évidemment de ne les gêner en aucune façon.

En passant au vent d'une péniche avec une bonne marge, voilà que le hauban au vent choisit ce moment la pour péter.
Sur la lancée je vire pour éviter que le démâtage, avec la péniche aux fesses qui se rapprochait dangereusement on est reparti plein pot au près sur l'autre bord, la berge était très proche, j'ai amorcé une remontée bout au vent mais j'allais un peu trop vite trop prés... Crac le caillou a surgi dans les fonds mais il a eu la bonne idée de nous "ancrer" à la berge sinon on était mal parti à la dérive avec le courant et le vent et un hauban cassé qui nous aurait ramené au milieu du fleuve..
Je revois encore le film des événements 40 ans après, le mat qui fléchit la péniche qui se rapproche, le virement qui réussit, la caillou salvateur j'ai l'impression que ça s'est passait en une ou deux minutes à peine.

Pour la petite histoire, on a pas eu de difficulté pour aveugler la voie d'eau, vider l'eau et sortir la caravelle après avoir réparé provisoirement le hauban.

Sinon d'autres petites touchettes ça est la dans des baies mal cartographiées mais à très très faible vitesse et sans conséquences.

14 déc. 2013
2

Moi, une seule fois au nord est de Serck... mais fatale pour le bateau!!!
Je ne m'étalerai pas, j'ai écrit un article.
Depuis j'ai acquis la conviction que des grunes pouvaient pousser la nuit!!! Je passe maintenant beaucoup plus de temps à la table à carte, sur le GPS et la tablette...
Ceci dit c'est aussi ce qui fait le piment des navigations dans nos coins.

19 déc. 201316 juin 2020
0

y a les cailloux qui poussent, qui se déplacent, qui se multiplient comme des petits pains et puis y a le reste; le truc qu'on a pas calculé....
En P.J., posé sur le sable. Il s'en est fallu de qq cm....

Phare du monde

  • 4.5 (58)

2022