Sans boussole, sans carte, sans montre,sans sextant : vous y croyez, vous ?

J etais en Guadeloupe la semaine derniere et tout le monde en parle, encore plus qu ici, meme si ils sont hyper mediatisés (). Cf articles dans toutes les revues des antilles dont Caraibbean Yachting and Fishing. Pour avoir traversé l atlantique avec un sextant, des cartes, des boussoles et une montre, je n arrive toujours pas à saisir les coherances entre "on ne savait pas quelle langue serait parlée à notre arrivée" (... le creole ?) et "notre precision etait de moins de 5 miles pour arriver en Guadeloupe"... Idem pour une arrivée de nuit sans aucune longitude (car pas de montre !) sur les cotes au vent !!! Bref, meme Colomb avait l heure, des boussoles et des cartes (et un pseudo sextant). Je reste donc sceptique, mais pire, pour l exemple à ne pas suivre ... Meme si ils avaient des relevés Argos ...

www.creartisto.com[...]ee.html

PS : peut etre qu ils avaient un GPS (avec carto) ... ce qui expliquerait tout !!!
Quelqu un a t il au moins posé la question ?

L'équipage
10 oct. 2003
10 oct. 2003

Emanuel(le) c’est encore une histoire d’O

note que ça explique rien...
Sauf qui en a qui vont encore dire que j'ai une langue de vipère

Avouez que vous avez relevé mais que vous avez trop d'éducation pour osez le dire ...

10 oct. 2003

je sais pas

si y fô y croire, mais j'aime bien l'batô!

10 oct. 2003

Harrison

Sauf erreur, la première montre marine digne de ce nom qui avait donné 30 secondes d'écart sur Angleterre - Jamaïque date de la seconde moitié du 18è. Cook en avait une copie et Lapérouse a eu plusieurs Berthoud.

Il faudrait que Tryptique à la vaste culture nous dise de quelle montre Colomb disposait, ce serait un scoop.

Stephane

10 oct. 2003

Tentative d'explication

interessant ...mais pas vu d'explications sur la nav sur le site internet ... alors peut etre une (tres) bonne connaissance des etoiles --- et un simili de sextant bricole exemple a partir de 2 regles articules (cf compas pointe seche) et un rapporteur pour mesurer les angles ... tout ca pour se caler en latitude (comme vous savez le + important) en effectuant une pseudo meridienne ... quant a l'arrivee/longitude (pas d'heure) y aller doucement ... de jour si possible ... quand les vagues changent ou qu'on a pied c'est qu'on est
pas loin de la terre (sauf St Pierre/Paul of course)... ou alors y zon suivis un poisson chat volant qui se rendait a la pointe au pitres ?

11 oct. 2003

c'est comme ça que les arabes

ont fait leurs premières traversée de l'océan indien (voir simbad le marin) d'oman à malabar avec une échelle de Jacob, en utilisant la polaire (et canopus plus au sud). Ils naviguaient plein nord (ou plein sud) et quand ils étaient à la bonne latitude, ils la gardaient jusqu'au port d'arrivée. en occident, on gardait l'oeil sur la boussole en estimant sa vitesse, donc la distance parcourue.

11 oct. 2003

Même les pirates le savaient

Comment croyez vous que les pirates trouvaient leur proie ? L'océan est grand Ceux qui naviguent le savent bien, les rencontres en mer sont rares.

Il n'y a pas que la chance et les abords des grandes escales. Simplement, jusqu'au début du 19è, se caler en latitude jusqu'au but était la méthode de navigation la plus courante puisque l'on avait pas les moyens de calculer la longitude.

Pour cette dernière, la marchande a dû attendre l'industralisation de la production des chronomètres de marine soit 1870. Quant aux distances lunaires, il fallait disposer des éphémérides spéciales que seuls la Royale et quelques bâtiments au commerce possédaient. Il fallait aussi un scientifique à bord pour les mettre en oeuvre avec plusieurs heures de calcul manuel par point.

Il suffisait donc aux pirates de patrouiller sur les latitudes de destination pour réaliser de fructueuses opérations.

Stéphane

11 oct. 200316 juin 2020

navigation sans

rien du tout ( sauf un bateau ): j'ai connu un Anglais qui l'a fait 3 fois:son opinion était qu'on arrivait toujours quelque part.
La quatrième fois, il a pris le départ.
On ne l'a jamais revu.

Au commencement, on naviguait en latitude, avec un petit bâton et une ficelle très utilisé par les Arabes sous le nom de Kamal(voir la photo), .
Une méthode voisine, encore plus imprécise, est l'empan: on mesure des hauteurs bras tendu, en posant la petit doigt sur l'horizon et en montant une main sur l'autre jusqu' à l'astre visé! C'est une méthode toujours utilisable lorsque, réfugié sur un canot ou sur la coque de son catamaran retourné ,aucun des gadgets électroniques n'est en état de fonctionner ou d'être atteint!

les Vikings utilisaient des sortes de sextants ou de "compas solaires" en pierre: c'est normal, c'étaient des durs.

les polynésiens des grilles de bambou, à la fois cartes, aides-mémoire et abaques, sur lesquelles des coquillages représentaient la position des îles qui les intéressaient.

En Europe, après l'utilisation de la migration des oies (Vikings, moines irlandais) qui indiquaient la route entre l'Irlande, l'Islande et le Groënland, l'utilisation de la Polaire et du Soleil quand le temps n'étit pas bouché, les premières formes de boussole ( un morceau de fer aimanté sur un flotteur posé sur une bassine d'eau -déja un compas à liquide- apparurent à partir du XII° siècle.

Les perfectionnement qui ont suivi se sont accompagnés jusqu'au XVIII° siècle d'un développement considérable des instructions nautiques et d'une utilisation intensive de la sonde ( à mains, bien sûr). La difficulté de cette technique est à l'origine de l'obligation du pilotage pour les bâtiments importants, certaines lois maritimes anciennes allant jusqu'à autoriser l'équipage à exécuter sommairement le pilote s'il avait mis le navire en péril.

La méthode navigation en latitude + sonde fut celle de Colomb et de tous navigateurs jusqu'au XVIII° siècle. Elle fût à l'origine d'un nombre considérable de naufrages (dont celui de "Marie-Thérèse" de Moitessier, qui décida ensuite d'apprendre la navigation par les droites de hauteur)

La longitude put enfin être déterminée par la réalisation du chronomètre de John Harrison, vainqueur du concours richement doté de la Société royale d'Astronomie. Ce chronomètre, en bois, fonctionne toujours.

En route vers les Canaries, puis Dakar sur un chalutier, je me suis vu avoir à m'accommoder d'un comps magnétique HS. (jusqu'à 12° de variation irrégulière). Je m'en suis sorti en calculant des azimuts de Soleil au moyen des tables de Bataille; l'astre était visé au moyen d'une grande -donc précise - alidade improvisée avec de la ficelle , entre la timonerie et l'étrave, la correction du compas était faite au coup par coup, sur chaque cap suivi . Au terme d'une route de 250 milles, l'atterrissage a été réalisé dans l'axe de la passe entre les îles de Lanzarotte et de Fuerteventura.Comme c'était concluant, l'application de cette technique a été maintenue jusqu'à Dakar. Le temps était beau; sinon?

Fred Rebell, en 1931, plus "fauché" que le plus pauvre des "Rmistes" s'est fabriqué un sextant avec la lame d'un couteau inox (pour les miroirs), quelques bouts de ferraille provenant d'un casier à bouteiles, une lame de scie à métaux (les dents..) et une vis à bois pour tenir lieu de vis micrométrique, obtenant ainsi des mesures à la minute d'angle près!

Quant à ceux à l'origine du "fil", je ne connais pas leur méthode (y aurait-il aussi une part de chance, ou d'intuition, voire d'une sorte de "voyance" propre à certains navigateurs?) je crois savoir que ce sont des "surfeurs", donc des gens très familiers avec la mer et les vagues, très adaptés à toute forme de navigation.

Seraient-ce les mêmes qui, voici quelques années, ont réalisé une traversée Bayonne-les Canaries sur un trimaran de 4,50m sans cabine, à 3 (dont une fille) rencontrant un force 10 (film à l'appui) en cours de route?

11 oct. 2003

Pourquoi doûter?

Les frères Berque, ce sont bien eux, en 1982 je crois, qui avaient réalisé cette époustouflante navigaton sur un mini-tri de leur conception.

Ils ont ensuite fait un tour du monde sur un voilier de 5 mètres et quelques, éminemment marin, mais évidemment pas du tout confortable.

Quant à ceux qui ergotent sur le véracité d'une transat sans instruments, rappelons que vents et courants portent inexorablement de l'autre côté, et que lorsqu'on approche, oiseaux, algues, débris flottants et nuages annoncent la terre assez à l'avance.

Il y a 20 ans, j'ai même connu un Sénégalais qui rêvait des Amériques. Ce type, illettré, a traversé sur un vieux 6,50 m abandonné à Dakar par des marins déprimés, à bout de forces.
Sa seule formation se limitait à quelques bords tirés en baie de Hahn avec un mentor de passage et ce conseil judicieux: "Récolte toute la pluie que tu pourras et, surtout, quoi qu'il arrive, n'essaie JAMAIS de revenir en arrière!"

A l'époque, le reportage que je lui avais consacré avait été pris par beaucoup pour un canular.
Comme quoi les conformistes et tous ceux à qui manque cette petite dose d'inconscience qui est à la source de tous les faits exceptionnels, jugent à l'aune de leurs propres insuffisances.

christian.navis.free.fr[...]ex.html

12 oct. 2003

Il y aura toujours ceux qui sont contre par principe

Bombard ne savait pas où il atterrirait, mais il savait qu'il arriverait vivant.

Delage l'a fait ....à la nage...enfin quand il nageait puisque son radeau était lui aussi poussé par vents ét courants vers l'ouest quand il dormait.

Plus un tas d'autres qui sont arrivés de l'autre côté comme les bouteilles qu'on jette à la mer...

Le pneumatique de Bombard s'appelait l'hérétique, c'est pas peu dire. Il est arrivé vivant et depuis l'espoir se maintient au delà des quatre jours qui étaient la règle antérieure chez les naufragés.

Delage s'est envoyé en l'air avec les coryphènes...et alors, il n'a rien démontré, il s'est fait plaisir sans n'avoir jamais contesté que vents et courants avaient fait les 2/3 du boulot.

Les frères Berque seraient de toute façon arrivés de l'autre côté. Ils ont simplement montré que l'on pouvait sur ce parcours arriver exactement là où on l'avait choisi, sans aucune aide instrumentale! Mais sur leur site ils ne manquent pas de dire aussi qu'ils ont étudié leur affaire pendant 6 ans. Evidemment, aujourd'hui où l'électronique a complètement inhibé nos perceptions animales cela parait incongru aux ignorants.

Alors que les incrédules aillent faire un tour sur les planétariums divers et variés que l'on trouve sur le web. De toute façon, ils risquent tout au plus de combler leur insuffisance, à moins que ce ne soit leur suffisance.

Stéphane

13 oct. 2003

Pas menteur non plus le sud-americain,

En tous cas, pas Vito Dumas qui apres quelques semaines de tempetes hurlantes dans les 40 em rugissants (seulement ;-) sans possibilite de faire le point, trouve le cap Lewin exactement la ou il l'attendait a la seconde precise ou il s'y attendait. Alors les zots, c'est plutot des tijeuno non ?

13 oct. 2003

La critique est aisée, mais l'art difficile...

Avant de glavioter sur Vito Dumas, les frères Berque, et qui sais-je d'autre encore, pourrais-tu être un peu plus disert sur tes propres "exploits", et nous préciser par quelle autorité indépendante tu les a faits homologuer?
On ne demande qu'à t'admirer. :o))
Merci d'avance!

13 oct. 2003

La critique est aisée, mais l'art difficile...

Avant de glavioter sur Vito Dumas, les frères Berque, et qui sais-je d'autre encore, pourrais-tu être un peu plus disert sur tes propres "exploits", et nous préciser par quelle autorité indépendante tu les as faits homologuer?
On ne demande qu'à t'admirer. :o))
Merci d'avance!

14 oct. 2003

difference

Mais je n'eprouve absolument aucun besoin a etre admire vois-tu :-0>>>
Bien que cet esprit critique qui caracterise tout etre humain normalement constitue me permette de ne pas croire tout ce qui est ecrit dans les livres ou le web sans une part de reflexion prealable.
D'ailleurs, j'adore Vito Dumas,car comme beaucoup, il connait, lui, ce qui est le plus important :la part de reve; et comme Moitessier ou plein d'autres zilustrs grands menteurs, il sait necessairement enjoliver ses aventures pour les partager. Joli cadeau non ? ;-)
Je prefere aussi les films aux documentaires, les 4 mousquetaires a l'histoire de france (sauf celle de SA).
Comme tu vois, un monde nous separe. C'est aussi l'avantage des forums que de pouvoir rencontrer des gens avec qui on a absolument aucun point commun.

15 oct. 2003

Un monde? Non, une galaxie!

Comme tu vois, un monde nous separe. C'est aussi >l'avantage des forums que de pouvoir rencontrer >des gens avec qui on a absolument aucun point >commun.

La différence provient d'abord de l'expérience.
Je me cite, parce que je suis le sujet que je connais le mieux, mais j'ai rencontré des tas d'autres gus qui ont vécu des faits absolument comparables:

Moyens de nav': Un compas de route. Non compensé.
Le loch, kaput depuis longtemps. Le sextant plastoc inutilisable depuis 4 ou 5 jours, because trop de creux et ciel trop bas. La gonio H.S.
Et pourtant...

J'ai trouvé l'entrée de Gibraltar, celle du lagon de Malé et celle du lac marin de Darwin dans ces conditions? Sans problème particulier.
Comment?
Estime, doûte, re-estime, etc... et cet indescriptible 6ème sens qu'on appelle, faute de mieux, le sens marin.
Savoir flairer le vent, sentit littéralement la terre lointaine, apprécier d'infimes variations dans la couleur de l'eau, l'orientation des vagues, la rotation des vents, et que sais-je d'autre encore.

Et ça, tu vois, c'est la première fois que j'en parle, publiquement, depuis plus de 20 ans.
Pour l'édification de la génération presse-boutons dont les certitudes imbéciles finissent par me faire sortir de mes gonds.

--
christian.navis.free.fr[...]ex.html

15 oct. 2003

Ah au fait,

J'arrete la parce que je sens l'envie de polemique monter et que ca me gonfle particulierement de ne pas avancer.
Que ca ne t'empeche surtout pas de repondre si tu en as envie

15 oct. 2003

Surtout pas!

Les seuls qui méritent d'être admirés sont ceux qui, au péril de leur propre vie, ont sauvé d'autres marins.
Tout le reste est secondaire...

Pour en revenir au sujet principal, la navigation minimum a été pendant des siècles le lot commun de tous les navigateurs.
Le sens marin n'est pas une invention de revues, c'est une capacité endormie, comme le sens du danger, du fait que l'humain occidental d'aujourd'hui est surprotégé, je dirais même materné par ses merveilleuses inventions.

Honnêtement, aujourd'hui, sur tous ceux qui se lancent dans de grandes traversées, combien n'auraient jamais osé perdre la terre de vue sans leur électronique?
Ma démarche n'est pas critique mais didactique.
Je ne les juge pas. Mais je crains pour eux, si après un gros coup de tabac, ils se retrouvaient brusquement en situation minimum sans y être préparés.

15 oct. 2003

bravo, je t'admire

On a chacun ses petits exploits et il est bon de se faire plaisir a les raconter de temps en temps. Qu'on les enjolive ou pas n'a aucune importance, l'important etant de faire partager le bonheur eprouve.
Evidemment, il existe des gens honnetes qui ont traverse sans aucun moyen et d'autre qui critique aisemment.
Mon intervention etait juste un rappel que d'enormes mystifications sont topujours d'actualite : ne sommes nous pas en train de decortique un journal de bord de christophe clomb dont on sait qu'il est totalement faux ? On n'est meme pas certain de l'ile ou il a atterit !
Alors, reflechissons un peu, surtout en ces temps ou on embarque une camera,et tout le materiel pour mediatiser un evenement qui ne prouve rien a personne puisque deja fait 100 fois (entre autre en derivant, alors !!!).
Pour le sens marin, bravo, je vois que tu lis V&V (je l'ai pas lu perso parce que la mediatisation de n'importe quoi me sort par les oreilles, je n'ai pas non plus de tele !).
Quant aux bidules d'homologation, Vito Dumas ou Moitessier, a part leur editeur ou JM Barreau (excuse les fotes), qui a bien pu homologuer leur recits (que j'adore) ?
Dernier point, je n'eprouve aucun besoin de justifier mon experience aupres de personne et n'ai nul recours a des homologations, temoins etc...
Je ne suis plus assez pragmatique pour croire a ce genre de connerie, et prefere utiliser mon 'sens humain' pour sentir a qui j'ai a faire et ce que je dois en faire.
C'est vrai quoi, le sens marin c'est quand meme vachement limitatif non ;-0

14 oct. 2003

Sabliers pour chronographe ....

Désolé, je sais que je sais si peu de choses ... mais il me semble qu avant le chronographe, ils avaient des sabliers et qqun pour les tourner, notamment l equipage de Colomb ?
Sinon, si on cherche des marins menteurs, je crois aussi me souvenir d une histoire d un mec qui avait pretendu faire le tour du monde (pendant "la longue route" de 1968 ?) mais etait resté en Atlantique ... il s est d ailleur suicidé.
Bref, je n ai toujours pas d opinion tranchée sur cette affaire, meme si je pense que leur arrivée à du etre assistée (style qqun à terre qui avait leur relevé Argos est vennu les chercher en mer pour l arrivée).
Je trouve juste dommage, et dangeureux pour les autres, qu ils se la jouent un peu trop pur et dur (sans boussole, sans rien ...) alors qu ils avouent eux meme avoir eu une balise argos et que de toutes manieres, leur traversée etait un bel exploit.

15 oct. 2003

marins menteurs

Donald Crowhurst

rr0.free.fr[...]dC.html

15 oct. 2003

Oui mais peut etre pas menteur

C'etait un architecte qui testait un pilote auto sur le ' Sunday Globe '.
La pression mediatique et les dettes lui ont fait pete les plombs. Je n'appelerais pas ca mentir!
Je prefere penser qu'il ne voulait pas que sa famille et ses amis soient entierement endettes.
Y en a d'autres (imparfaits eux aussi ???) qui n'ont pas su assumer leurs echecs relatifs.

17 oct. 2003

la chevre, parait que ca marche .....

...depuis un bout de temps !

les locaux de la mer rouge, en bons musulmans, barbouillent bien gentiment de bon sang bien frais de chevre leurs bateaux, pis y zy vont avec leur bite et leur couteau !
a neuf ou dix sur des barques de 7 metres, ouvertes et sans cabine, pour des navigations de plusieurs centaines de miles, dans les deux semaines .... avec des petits hors bords de 15 ans et 15 chevaux !
tout ca pour ramener meme pas cent euros de poisson pas frais ( a partager en 9 familles ... )
je tire mon chapeau: ceux la en ont un peu plus dans le ventre, et je fais un petit clin d oeil aux yatchmen super-equipes qui ne quittent pas des yeux le port d'antibes ...

d'ailleurs puisque je plonge un peu, je vois plus d'epaves pleines d'electronique, que de barques de pecheurs ! les oubliez pas !

gglllllp !

Le phare de Thimble Shoal, est un phare offshore à caisson situé au nord du chenal de Hampton Roads, en baie de Chesapeake sur la côte la Norfolk en Virginie

Phare du monde

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Le phare de Thimble Shoal, est un phare offshore à caisson situé au nord du chenal de Hampton Roads, en baie de Chesapeake sur la côte la Norfolk en Virginie

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