Que faites-vous

lorsque dans un mouillage éloigné, ( je veux dire par là sans la SNSM à proximité, ou la vedette du port.) au milieu d'autres bateaux ancrés, vous voyez dériver un voilier voisin dont l'équipage n'est pas à bord, et que le bateau part vers le large, ou vers la côte?

L'équipage
27 août 2008
27 août 2008

Appeler

la capitainerie ??

Essayer d'aller l'assurer sur un autre bateau avec une amarre ?

Enfin, c'est ce qui me viendrai a l'esprit si je voyais un cas pareil...
Mais bon, je ne connais pas les " us et coutumes "..

27 août 2008

tu vas le chercher , cest tout

je ne comprends meme pas que la question soit posée !

on ne laisse pas un bateau degager tout seul meme si le proprio est un gros c..

amha en tout cas!!!!

;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

27 août 2008

ça dépend ...

On ne va sûrement pas le chercher si cela met en péril celui qui le cherche.

Or quand un bateau se barre sur son mouillage, le plus souvent c'est que ça souffle assez fort.

Donc à défaut de coonaître les circonstances exactes, on ne peut rien dire ... et dans les circonstances exactes, il faut inclure le bateau et le plaisancier qui irait le chercher.

27 août 2008

si les conditions

de mer et de vent le permettent, je sollicite l'aide de voisins pour aller sur le baladeur essayer de le ramener et de remouiller au besoin en levant mon mouillage et au moteur en prenant le voyou en remorque ou à couple.
avec une condition préalable: avoir appelé le CROSS et obtenu son aval sur l'opération avec contact permanent pour la sécurité d'une part et aussi pour la responsabilité si le proprio veut me faire des embrouilles pour une éventuelle erraflure de gelcoat....ou encore pour tentative de vol!

27 août 2008

excellente idée

de le faire sous le contrôle du Cross. C'est certainement la condition indispensable.

27 août 2008

En fait, je voulais avoir votre avis

car comme la plupart des voileux, j'essaie de faire quelquechose, lacher plus de chaîne, attraper une bouée, et en général, les autres équipages viennent aider. (Le plus souvent des équipages étrangers.) Un ami, français m'a dit qu'il valait mieux éviter d'intervenir car si l'on monte à bord, le propriètaire de mauvaise foi peut dire que c'est à cause de notre intervention que son bateau a dérapé, voire en cas de fortune de mer être tenu pour responsable des avaries ou de la perte du bateau.
(Il s'agit de mouillages ou le Cross n'est point présent.)
Qu'en est-il exactement?

27 août 2008

Tout comme d'autres,

en quelques années j'ai bien dû remorquer seul ou avec de l'aide une demi-douzaine de bateaux à la dérive dans la baie du Marin, qui dérapaient ou qui avaient rompu leur amarre au corps mort, pour les amarrer à une bouée libre.

Il n'y a rien d'extraordinaire à cela et je serais bien content que l'on s'occupe ainsi de mon propre bateau le cas échéant...

Pour le dernier qui a dérapé, avec un copain on a largué son mouillage avec un bout et un parbat et on a mis le bateau au corps mort, le proprio est venu me voir le lendemain pour me remercier et me demander ou était son mouillage.

Si un jour je me fais engueuler, je réserve un accueil à la mesure de la bêtise du râleur !

La seule fois où j'ai demandé assistance aux autorités, ça été pour avoir l'autorisation de fracturer la porte d'un cata en train de couler à quai... ce qui a été fait en présence de la brigade de gendarmerie.

C'est plus simple de jour : il suffit d'appeler la capitainerie qui s'occupe très bien de ces cas ! ;-)

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27 août 2008

Cà dépend

J'ai parfois vu (un exemple en mémoire à Girolata) des personnes quitter leur bord sans vraiment s'intéresser à la tenue du mouillage pour s'empresser d'aller au resto. Certains "voisins" ont collaboré pour éviter que le bateau qui dérapait ne parte au "large" ou dans les rochers.
La désinvolture des proprios m'a fait hésiter.

27 août 2008

vécu ...

j'ai assisté un jour aux premières loges à un truc similaire: un bateau de 15 mètres et 450 k€ (la valeur à son importance par la suite) planté sur la plage que son proprio essayait de dégager avec des aides locales amateur et professionnelles.

Cela s'est fait en suivant le tout à la VHF avec le Cross en tant que "témoin" des opération, et sa présence n'a pas été inutile, car l'aide professionnelle était tarifée et le Cross a servi de "témoin" de l'offre de prix du "pro" faite par VHF.

Le "naufragé" a d'ailleurs décliné l'offre du pro (1000€ de mémoire, à comparer à la valeur du bateau 450 k€) quand il a compris que ça ne serait pas gratuit :heu:

27 août 2008

Le genre

a " accuser " ensuite le bénévole d'avoir " casser " un truc sur le boat...

Se sont des situations délicates...

Il faut toujours faire attention quand même a ce qu'on fait.

Mais bon, je retiendrai une chose au moins : alerter le CROSS ;-) ;-)

28 août 2008

j'ai vu un bateau

déraper cet été et accuser le bateau qu'il avait percuté d'être à l'origine de la situation

heureusement MC parlait espagnol ;-)

28 août 2008

Une citation authentique

d'un ami il y a plus de trente ans : [i]Le jour où tu perdras ta dernière illusion, tire-toi une balle dans la tête ![/i]

Même si je suis devenu méfiant limite parano après m'être fait traiter quelque fois de voleur en ramenant un parbat ou une annexe à la dérive, je continue en partant du principe que la moyenne réelle est de moins de cinq pour cent d'imbéciles ayant ce comportement.

Une exception, les parbats : si les plaisanciers ne sont pas capable de faire un nœud correct = prise de mer ! Au fil des années j'ai ainsi remplacé tout mes vieux pneus dans des sacs poubelle par de magnifiques parbats flottant à la dérive dans la baie et aux normes "plaisance", même s'ils sont un peu dépareillés ! :heu:

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28 août 2008

Illusions ... pas encore toutes perdues

Garder des illusions est en effet une condition de survie essentielle :alavotre:

Je crois qu'il faut toujours rester souple ... et apprécier à chaque fois ce qui est faisable et souhaitable.

Il est évident que lorsque je suis dans mon port d'attache (ou mon mouillage d'attache) je suis bien plus enclin à mouiller la chemise car je me sens plus en sécurité que lorsque je suis dans un coin inconnu avec des gens inconnus dans des conditions de sécurités inconnues aussi.

En résumé prendre un risque humain important pour sauver un bateau [b]vide d'occupants [/b] n'a pas de sens.

28 août 2008

En Méditerannée c'est fou...

ce que l'on peu récupérer les jours de Tramontane, parebattages, matelats, chaises, chaises longues et de tant en temps un boat qui dérape.!!

Phare du monde

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2022