pourquoi les z'oiseaux

ce sont

peut etre de gros faignants!...et je suis d'accord avec eux.Jeff.

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à partir de 7bf ils s'amusent et jouent avec le vent
rien qu'à les voir et si on n'avait pas d'autres "reperes" on peut presque deviner la météo meme ici à la campagne

(y'a aussi les matins tres froids alors ils souvent regroupés sur les cheminées)
j'ai deja vu des mouettes choisir un capot de voiture bien chaud...en hiver ! grmbl

M'enfin !

...

l'etoile PYM !!

ou va tu chercher tout ça :mdr:

pour

chercher des cibles car plus il y a de vent et moins il y a de gens dehors!

leçon 2

viser les photographes, ces cibles sont non mouvantes ...

ou

50° S

et puis

quand il n'y a pas de vent, ils palment

et une dernière pour la route

...

oh mais non

je parlais de la 3éme photo en fait !
enfin bref elles sont toutes tres belles.

Ah non !

pas une dernière ! Encore ! Trop belles...

Ils ne volent plus du tout ou ils volent plus haut ...

...et Cath ne les voient plus ?

Peut-être que si les oiseaux volent plus haut c'est qu'il y a moins de résistance à l'air. Enfin, je crois, c'est comme ça que les gros zavions volent parfois plus haut que leurs couloirs pour économiser du kérosène. Mais ils battent moins des ailes, quoique...
Les oiseaux migrateurs qui parcourent de longues distances ont pigé qu'il valait mieux pas trop s'essouffler et planer.
Et comme dit Micmarin, partir en figure libre à ras de l'eau, à se faire retrousser les plumes, doit les amuser. En tous cas, ils nous amusent et nous ravissent les yeux.
Peut-être, Cath, que ceux que que tu ne vois plus voler sont devenus faignants par une vie sédentaire proche de la notre. Alors pourquoi une gouelle irait se coltiner un 7bf alors qu'elle a de quoi becqueter dans nos décharges.

photo 2

est la plus belle en effet

ben je sais pas pepette

je suppose que les ornithologues savent + que nous du pourquoi et comment des habitudes des oiseaux

du grand cormoran aux petites hirondelles quand on es sur l'eau c'est toujours un moment magique de les observer
ça fait partie du charme de notre "sport"

C'est encore plus beau

quand un photographe nous refait vivre ces instants figés.
Je vote pour celle de la figure libre....zzziiii sur l'aile et vazi que je te vire et revirolte...
A suivre des yeux ces bestioles, je tournais la tête puis de fait, la barre maladroitement... Et vlan ! J'ai mis le bato en vrac, on avait les voiles en papillon.
Jurons justifiés du pitaine, mauvaise foi de ma part "c'est pas moi, c'est lui ! répondis-je en pointant le pétrel.

oiseaux/vent

Si ils le peuvent: ils se mettent à l'abri!

Dimanche 24 juillet - jour 25 - golfe de Carpentarie.
Baromètre 1 015 hPa - houle du vent, 3 m - vent de S/E, 25 nœuds - mer forte - profondeur 48 mètres.
Position à midi : 10°14’S - 139°46’E - 124 milles au loch.

2 h 00 : il y a beaucoup de navires dans le secteur. Nous en croisons un, rouge sur rouge, à deux nautiques et il y en a trois autres sur l’écran radar : pas question d’aller faire un petit somme. Les oiseaux ont pris de l’assurance et sont venus s’installer au fond du cockpit ; ça discute sec et je suis parfois obligé de les pousser gentiment du pied.
Fermement guidé par Canopus et sous grand-voile arisée, Hotu Painu file toujours ses 5 nœuds vers l’W/NW, pour bien s’écarter du cap Wessel. Un autre bateau nous croise, vert sur vert, à deux nautiques.
7 h 00 : j’ai passé la nuit à veiller le trafic des navires et maintenant qu’il fait jour, je vais laisser à leurs officiers de quart le soin de notre sécurité, car je tombe de sommeil. Les oiseaux sont partis en pêche, mais comme ils ne voulaient pas ressortir du fond du cockpit, j’ai dû les prendre un par un et les propulser dans les airs. Le premier, que j’ai jeté sous le vent, est tombé à l’eau et a fait un raffut du diable pour montrer son in-dignation. J’ai alors compris qu’à l’instar des avions, il leur était plus facile de décoller contre le vent, et tout s’est bien pas-sé pour les autres.
12 h 00 : alors que je casse une petite croûte dans le cockpit, un gros navire vient droit sur nous. Laissons le faire pour voir : il s’écarte et passe, vert sur vert, à un demi mille sous notre vent. C’est un grand minéralier, un peu proche à mon goût, mais enfin il m’a vu et ça me rassure. L’écran radar est mainte-nant vide sur l’avant et je peux aller faire une sieste.
16 h 00 : les copains rentrent un à un de la pêche et, à la tombée de la nuit, ils sont tous là. J’ai surnommé Pablo le Mexicain celui qui a failli se noyer ce matin : c’est le seul que j’arrive à reconnaître parmi les six car c’est le plus laid, sûre-ment aussi le plus vieux.