Mutinerie à bord d'un voilier....

Nouvelle Zélande :
Un sauvetage cher et pas vraiment nécessaire

Une « mutinerie » à bord d’un voilier a déclenché une opération de sauvetage d’un coût d’environ 20 000 dollars la semaine dernière. Les quatre marins ont été hélitreuillés sains et saufs. Mais étaient-ils vraiment en danger ?

« Selon moi, il n’était pas franchement nécessaire d’abandonner le bateau. Des marins expérimentés auraient pu ramener facilement le voilier à bon port », a jugé Pete Turnbull, le chef pilote de l’hélicoptère qui a hélitreuillé quatre marins « en détresse », mardi dernier, à 120 kilomètres au large des côtes de l’île du Nord.
Bill Heritage avait appareillé, lundi matin, d’Auckland à bord de son voilier de huit mètres, Air apparent.
Il avait l’intention de rejoindre Nelson, au nord de l’île du Sud en passant par le cap Reinga, la pointe nord de Nouvelle-Zélande.
Le skipper avait embarqué Carl Horn, un ami de longue date, et un couple. La journée de lundi s’était bien passée, mais dans la nuit les conditions météorologiques se sont durcies avec vingt nœuds de vent et une houle de trois mètres, rien de très méchant encore. Mardi, le vent a continué à forcer et la mer à grossir.
L’équipage d’Air apparent, victime du mal de mer et fatigué, a commencé à discuter des options possibles.

Cette opération mouvementée a mis fin à une amitié vieille de vingt-six ans

« Bill était d’avis que nous n’étions pas en danger et qu’il était très prématuré de déclencher la balise de détresse. Mais le moteur est tombé en panne, la batterie était morte. Nous n’avions plus d’instruments de communication. Nous étions livrés à nous-mêmes. Nous n’aurions pas survécu la nuit de mardi. Nous avons donc décidé de nous mutiner, comme dit Bill », a raconté Carl Horn, après le sauvetage.Et l’équipage, contre l’avis du capitaine, a déclenché la balise de détresse.
Un premier hélicoptère a décollé mais, limité par ses capacités en carburant, il a dû faire demi-tour et rentrer à Auckland. C’est finalement l’hélicoptère de secours de la région nord qui a dû décollé et a pu sauver les quatre navigateurs.
« Lorsque nous recevons un appel de détresse, notre travail est d’y répondre. Pas de juger si les navigateurs sont réellement en danger ou pas », précise Pete Turnbull.
Bill Heritage a préféré embarquer à bord de l’hélicoptère plutôt que de rester seul à bord de son voilier mais il l’a du même coup perdu. « Il est extrêmement en colère et je ne doute pas qu’il ne m’adresse plus jamais la parole. Je crois que c’est la fin de notre amitié de vingt-six ans », a conclu Carl Horn.

L'équipage
31 mars 2008
31 mars 2008

hum

pas d'identifiant,

pas de source sitée

à l'autre bout du monde (pour les métropolitains de France)

à classer dans les trolls [u]en attendant plus de claretée[/u] dans ce truc

voilà c'est dit et écris, car pas mal de monde doit le penser, mois je l'écris
:-(

enfin c'est mon [u]très[/u] humble avis....

31 mars 2008

ps

je ferais mon mea culpa dans le cas contraire ;-)

31 mars 2008

ça a l'air confirmé

Un petit coup de gougueule ramène plein de niouzes néo-zède, avec photos et précisions et tout et tout, dont par exemple:
www.nzherald.co.nz[...]ory.cfm

31 mars 2008

mea culpa

j'ai dit je fais aussi

mais alors pourquoi ne pas citer sa source ????

je n'aurais pas perdu de temps pour un truc donc on sait peu au final :-(

donc mea culpa c'est ma faute ma très grande faute, etc etc

je vais me flageller pour la peine, que j'ai pu créer à ce cher anonyme

déja...

rien que les noms :o)))

31 mars 2008

Marrant

Je me suis fait la même réflexion !

Manquait plus à bord que:

Mike Storm
John Sinking
Steward Distress
Tony Shipwreck
Chuck Mutiny
Jill Gale

......

Tu pars avec un équipage pareil, t'es pas arrivé ....... !

31 mars 200816 juin 2020

A 60 milles...

De la côte, il avait donné du tour au Cap Reinga...

01 avr. 2008

réponse

La réponse à l'interrogation : la source de cette information est le quotidien de Nouvelle-Calédonie : "les Nouvelles Calédoniennes" qui donne journellement un paquet d'infos sur tout ce qui se passe dans le Pacifique ... et en Français.
Autres sources "radio new-zealand" (sur site internet en anglais) et radio Australie , toujours sur site internet mais avec une version en français.

02 avr. 2008

ou ils se sont

trompés d'un jour, ou ils étaient déjà un 1er avril.

Franchement des noms comme ça , si c'est pas gag !

02 avr. 2008

pour en revenir au sujet,

pourquoi bill a-t-il abandonné aussi son bateau ?
n'aurait-il pas pu continuer seul jusqu'à l'abri le plus proche...?
si mutinerie il y a eu, le capitaine est le premier responsable. a-t-il douté de lui même ouvertement,créant inconsciemment la panique?
"on n'aurait pas survécu à la nuit de mardi.."
parceque privés de coms et de machine? même l'équipage de "la méduse" a duré plus d'une nuit...
mais on ne sait pas si les choses on été spontanées ou préméditées dans le dos du capitaine.
ce dernier a perdu le contrôle de son bateau par la perte de confiance de l'équipage.
l'équipage ne peut pas être tenu responsable car il était inexpérimenté.
ils n'étaient pas non plus en perdition, donc l'utilisation de la balise n'était pas justifiée.

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