Le plus impressionnant....

le genre humain

:-( :-( :-( ;-) :-D

les baleines

Atlantique, environ 20° N en descandant sur Trinidad. Mer assez agitée, creux d'environ 6 mètres. Le bateau dans le creux de la vague, et une des baleines, derrière moi, mais dans le haut de la vague... j'ai pus voir son ventre et je vous assures que ca fait bizarre.
Un mélange d'émerveillement et de craintes de la voir atterir sur le pont.
Encore des baleines ...
Arrivée aux alentours de Madère (environ 60 NM au nord), la nuit. Pas de vent, au moteur tout doucement (j'aime pas le bruit) je suis dans le cockpit à moitié endormi, et d'un coup...
sa souffle à coté de moi.(a coté = environ 2 ou 3m max)
Réveil garanti et qu'est ce que ca pue.
Connaisse pas le dentifrice :-D
J'ai mis en panne (arrèté le moteur) et à l'aube, je découvre que je suis entouré par une dizaine de baleines (cachalots).
Petits frissons rétrospectifs, mais quel joie de les regarder évoluer autour du voilier.
Et bien sûr, comme toujours, les dauphins qui viennent dire bonjour (mais restes de moins en moins longtemps) puis retournes en quètes de nouriture.

L'autre Serge (celui de Las Palmas)

le plancton ....?

suis pas sur que ce soit des petites betes, mais,une nuit , tout dessus , mer plate ,S'Il te Plait écrabouillant la mer,et faisant gerber des grandes moustaches lumineuses: pas d'autres bruits, pas d'autres lumières que la lune....l'extase....

je ne l'ai pas rencontré,il était avec moi!

C'était mon chat noir,Cachou!Il est quelque part,là-haut et il me manque.
Vous en connaissez beaucoup,des chats qui acceptent de se promener en laisse sur les pontons,sur les quais en dressant la queue en point d'interrogation?
C'était sa promenade,que se soit le matin,le soir,peu importe,il restait à bord et ne sortait qu'avec son maitre!
Il avait cepandant un petit défaut,il aimait bien escalader les vedettes,alors autant dire qu'il faisait les gorges chaudes de mes copains voileux!
A la nav',là,il était "géant"!Il se lovait dans un tas(bien pensé,pour les puristes ;-))de bouts,sous le Hard-top et attendait patiemment l'escale salvatrice ou il pourrait aller se dégourdir les pattes et se pavanner devant les toutous qu'il ne craignait pas du tout!
Combien de fois à la nav,suis-je descendu casser une crôute,il suivait et allait à sa gamelle,jamais bien loin de la mienne et faisait son casse-croute!
J'allais boire un coup,me faire un café,il était là,à lapper son bol d'eau(il détestait le lait!!).
Je vais vous paraître scato,mais celà a son importance,quand on connait l'esprit indépandant du chat,eh bien,si je descendais aux toilettes(ce qui voulait dire que c'était pas du grand beau temps,il suivait et allait faire sesz besoins dans sa caisse,c'est quand même étonnant,non?
Et,sur les plus longues traites,il m'arrivait,lorsque tout était clair autour d'aller m'assoupir dans le carré,une vingtaines de minutes et Cachou se blotissait contre moi,ronronnant comme un moteur bien-heureux,qu'il semblait être.
Il ne fût malade qu'une fois,et c'était une sacré furie de temps,avec une vilaine mer,le bateau roulait,mais roulait comme un damné,sur une mer croisée,bord sur bord,à ne pas pouvoir tenir en place,alors,le pauvre vieux a été malade sur la fin d'après-midi.J'etais très malheureux de le voir ainsi,et ne savais quoi faire pour aténuer son calvaire,c'était de ma faute s'il était dans cette fichue situation.
Et en arrivant à l'étape,alors que j'étais,OUT,rincé,fourbu, mon Cachou a été chercher sa laisse et me l'a posée entre les pieds!!!!
Le message était claiir et je lui devais bien ça.
Alors,dédaigneux de ce qui pouvait l'entourrer, c'est fier comme Artaban qu'il a fait son tour de port,comme si rien ne s'était passé quelques heures auparavant.
J'étais sidéré de sa faculté d'adaptation et surtout de récupération,et nous sommes rentrés à bord,nous avons cassé la croute(il avait quand même eu droit à une de ses boites spéciales,réservées aux grandes occasions),puis le sommeil nous avait emporté.
Ce furent des années de complicité,de bonheur intense pour moi et j'espère pour lui aussi.
Il nous a quitté,alors qu'il était en pleine forme et il me manque encore!
Bon je sais,ça n'a rien d'exotique,ce n'était qu'un vulgaire greffier pour certains,mais pour moi,il fût mon chat,un petit animal synonyme de bonheur, ainsi que les dauphins,mais là,se sera pour une prochaine fois!
Jaécquot

larme à l'oeil

tu me rappel, une chatte que l'on a eu, merveille de complicité,
on ne faisait pas de bateau, mais on est allez en montagne, toujours en laisse aussi avec un petit harnais pas trop seré juste histoire de. nous sommes allez en téléphérique, sans problème, le gars du téléphérique a dit qu'en trente ans de métier il n'avait jamais vu...
qu'en aurait il été sur un bateau.
j'entends encore ses appels quand j'ai du là laisser pour une piqure finale, trois jours à s'en remettre

mais en fais pas toujurs remis,

le monde des animaux

c'est qque chose de vraiment fantastique merci au l..... de lancer ca ;-)
j'ai eu un chat, une chatte en fait, un peu comme toi jacquot, nous avons fait 6 transats (en avion ;-)), elle tjrs en cabine avec moi, ds ma manche ou ds un sac, pour faire pipi, elle me gratouillait les mollets et je l'amenai aux toilettes et déposai du papier au sol....à terre elle allait pisser ds le siphon de la baignoire, dés qu'un exocet atterissait sur le pont, j'avais à peine le temps de tourner la tete, que je la voyai l'engloutir

les dauphins, les baleines, les tortues, les coryphènes poursuivant les exocets des alizées sont des images ineffacables

j'en rajouterais une qui me vient du pacifique, ce sont ces petits oiseaux qu'on appelle des sternes, ils virevoltent, infatigables, trempant de tempsà autre une patte ou une aile, présent chaque jour des semaines durant, à mon grand plaisir
je me suis toujours demandé????????

paille en queue

je crois que c'est ca, j'ai une mauvaise mémoire parfois...

je crois qu'ils se nourissent de plancton micro qu'ils attrappent avec une patte???et qu'ils boivent le peu d'humidité qui roule sur leurs plumes??

mais dorment-ils??en transpacifique j'en comptai une trentaine chaque jour jusqu'aux marquises pratiquemment...

première traversée

et au mauvais moment... un peu d'eau quoi... et un moral pas trop au beau fixe avec des petits problème de pilote et barre franche.
Et là, dans cet univers grisailleux un gros Plong. Ma skipette et moi on se regarde en pensant que le pilote vient encore de nous casser quelque chose. Replong... je sors et sur le BBQ, vous savez le truc rond en inox avec le couvercle et tout et tout, sur le BBQ donc, un phaeton tout péteux, crevé, qui essaye de récuperer un poil. Seulement le BBQ ça glisse, et ça reglisse et même quand le couvercle s'est fait les riquettes - avec tout ces coups de patte c'est normal- vu les embardées du bateau c'est pas bien stable.
On ne sort plus, on regarde. Il a son immense queue qui trempe dans le charbon de bois. Il nous regarde. Celà dure longtemps, très longtemps, peut être une heure, et il nous faut sortir (ben oui le pilote encore lui..).
La bestiole se pousse à peine, puis avec tout notre remue ménage, s'envole et suit le bateau à 10 mètres. Je remets le couvercle du BBQ... Même pas besoin de rentrer, voilà l'oiseau qui se paye un attérissage à la disney sur le couvercle du BBQ. On ne l'effraye pas le moins du monde. Il est là à moins d'un mètre, nous regarde. Il restera toute la journée avec nous. On laisse un peu d'eau dans une gamelle mais il s'en fout.
Pendant le quart de nuit, ma skipette le voit s'envoler...
Et au matin, on le retrouvera sur la bôme, bien installé pepère.
Il nous quittera définitivement dans l'après-midi après avoir partagé 24 heures de son temps avec nous. Il s'est envolé d'un seul coup et est parti à 90° sans même faire un ptitour pour dire au revoir, sa longue queue bien visible sur le fond de nuages noirs.

Une petite araignée

sans doute dans la baille à mouillage, qui tisse sa toile entre la ferrure d'étrave et le tambour de l'enrouleur. Jamais pu m'en débarasser! Elle a fait des miles et de miles...par tous les temps, et ne s'est jamais plainte.:pouce:
;-)
Sinon, un banc de grampus près du grand léjon, dans la baie de st brieuc, l'été dernier, et un banc de diziaine et de dizaine requins pélerin, plus gros que le bateau,(9m) en 78 je crois, entre sark et jersey, c'était un jour de calme plat...bof
:-p

courage freja

elle ne partira pas vraiment jamais,
on est des grands sensibles sous nos airs de baroudeurs...
n'est ce pas,

il a rejoins le paradis des animaux heureux
:goodbye:

par temps de blues force 8...

je ferme es yeux et je revoie :Pretty dendie dinmond terrier, Feu ,dobermann ,Elvis caniche Max brillard-colley, Pussy gouttière pur jus , Lodie siamoise-braillarde ,tous ont encore leurs place dans le temps qui est passé...
reste le petit Mario york-chèr,très cher...qui rejoindra ses potes et me laissera comme un con...
faites chier, avec vos matous et clébards
on est sur un site de durs de durs,non

Aaaaah ! Ben voilà !

Un zolie zistoire !

Même si celle de ton miron était bien aussi.

Et rassure-toi : quand c'est bon, c'est jamais trop long ;-)

pigeons voyageurs

ils font toujours pitié, ils tapent dans les voiles et tombent sur le pont assoifés, on n'ose plus respirer de peur de les effrayer, et on fait notre possible pour rentrer au port avec eux, après un eventuel telf avec le proprio pour le récuperer

non non, c'était un p....n de v...o

!

Pigeons et dauphins...

Je crois qu'environ une traversée de la Manche sur 3, on récupère un pigeon voyageur.
Généralement il se pose, épuisé, tente à nouveau de repartir pour finalement rester à bord, jusqu'à l'arrivée, ayant ainsi traversé à l'oeil et sans effort.
Catherine, comment fais-tu pour identifier le propriétaire, ou comment peut-on faire pour le remettre entre de colombophiles mains.
Il y a 2 ans, peu avant St Quay, un pigeon a tenté de se poser à bord pour finalement tomber à l'eau. Je le voyais déja noyé et nourrissant les poissons. C'était sans doute un pigeon amphibie car après quelques instants, il a réussi à redécoller pour venir se réfugier à bord.
les dauphins sont toujours un régal. Fin 2004, en mer d'Alboran, une bande est venue jouer à l'étrave, comme d'habitude, puis est repartie, sauf un qui continuait à jouer. Après quelques minutes, un de ses congénères est revenu, je ne sais ce qu'il lui a dit, mais ils sont repartis ensemble rejoindre le groupe.

écumeur

j'ai telf au vogelasiel = refuge d'oiseaux blessés, d'apres la bague du pigeon on peut avoir l'info

vers la turballe

été 2005, au large de LA TURBALLE, une mer d'huile, un remps pas trop chaud, on se balade, on est parti de PIRIAC le matin pour allez pêcher au large de la turballe,

on flane, on profite sans plus de but.
d'un seul coup je vois une forme ronde sur l'eau, en contre jours elle me parait noire.

elle semble flottée, un ballon ?? une caisse ?? l'amirauté me dit une otarie, elle est gentille mais dès fois... encore un phoque , mais une otarie...

mais la forme est très ronde,

les enfants à l'intérieur !!!!

sous prétexte de pouvoir manoeuvrer sans gêne, en fait, surtout de les protéger d'une découverte désagréable, ne sait on jamais,

c'est con, je sais, mais ça m'est venue à l'idée,

la taille, la forme, la proméxité des cotes, je préfère ne pas prendre de risque d'autant qu'avec ma femme on est assez de deux pour faire face, et toute notre attention converge vers un seul point (on est seul sur l'eau) et on pourrait faillir à la surveillance des momes...alors dans le bateau !!! et de là il ne voient pas l' eau à promixité...il sera temps d'évaluer la situation pour appeler l'un ou l'autre à une tache bien précise, si nécessaire

on s'approche au moteur car les voiles en bernes par manque de vent, vaut mieux allez vite sur place...

et là surprise !!!

les enfant dehors!!! c'est une tortue de mer, une grosses tortue de mer, énorme, la tête grosse comme un ballon de rugby, le corps de 1m , 1.3m de long,
paisible , elle mange une de ces grosses méduses "bretonnes" toute marron, elle là mange tranquillement mais à grosses bouchées,
on dictingue du rose sur la tête , on pense qu'elle a été bléssée par des bateaux ou autres,

j'avoue , ce qui suit n'est pas bien, on a tourné autour un peu, un peu près, mais c'était notre première rencontre d'espèce marine autrement qu'au boud d'un fil de nylon. alors la raison échappe et on se laisse emporté, mais on est resté à une distance correct de la bête, malgré tout on s'est rendu compte de la gêne car elle plongeait de plus en plus longtemps et qu'on là gênait, alors on a repris le large,

le regret de n'avoir pas d'appareil photo ce jours, mais on a pu en profiter plus.

au retour via internet on en a appris plus sur les tortue luthe , la trace rose sur le crane est une tache normale d'une zone très irriguée et très sensible et différentes à chaque individue, on a pris le point GPS, relevé sur le livre de bord et transmis nos observations au site qui s'occupe des tortues de mer...

moment magique partagé en famille, quel bonheur, enfin si s'en est pas un , on en est pas loin,

à quand la rencontre avec les baleines??? est ce possibles dans notre rayon d'action ??? je n'ai pas trouvé d'info domage

voilà

Dauphins

C'est commun, mais c'est vraiment ce qu'il y a de plus mémorable, comme rencontre. Les mouettes, ça te chie dessus...

Mars 2002: nous naviguons à 3 bateaux en flotille, au large de Quiberon. On repère au loin de l'écume, alors que le vent est plutôt faiblard. Un rapide coup d'oeuil aux jumelles nous montre un grand banc de dauphins. Je dirais entre 50 et 100. Enorme.

Contact VHF, cap vers ces animaux sauvages. Rapidement, un groupe d'une vingtaine de dauphins se détache et rejoins nos 3 embarquations, et s'ammusent avec nos bateaux. Je reste scotché près d'1/4 d'heure assis sur le balcon avant, juste au dessus de l'eau. C'est incontestablement le meilleur poste d'observation. Ils nagent à quelques metres de moi, et la surface de l'eau est à peine irisée. J'en reconnais 3 plus téméraires que les autres qui reviennent plus souvent jouer jusqu'à frôler l'étrave. Ce spectacle est magnifique. Quelle agilité, quelle grace, quelle rapidité.

Mais nous n'allons pas en rester là. Malgré la température de l'eau en cette saison, et sans avoir de combi à notre disposition, nous décidons d'aller à leur rencontre. On ralentit le bateau en enroulant un peu de génois et en applatissant la GV, on doit avancer à 2 noeuds désormais. On largue 2 trainards à l'arrière du bateau. Sur les 3 embarquations, nous ne sommes que 2 courrageux à tenter l'expérience, avec palmes masques et tubas.

Une fois dans l'eau, les dauphins instaurent une distance de sécurité, mais viennent nous observer de plus près à tour de rôle. Chacun reste dans son "monde": dauphins et humains. Chacun observe l'autre avec grand intérêt. Au moindre de nos mouvements, ils décampent immédiatement avec une accélération impressionnante. A l'approche, on entend le cliqueti très aigu, à peine perceptible.
En limitant nos mouvements, les plus téméraires nous approchent à moins de 2m.

Cette nage avec les dauphins n'a pas durée 10 minutes, mais ça a été un moment intense. Après ça, je vais me réchauffer dans mon duvet, la tête pleine d'images de cette rencontre unique. Peu après, les dauphins décident de rejoindre la "colonie", qui est désormais assez loin.

J'ai personnellement été plus frappé par cette rencontre que par les dauphins "semi-apprivoisés" qui squattent les ports, et que l'on peut approcher de beaucoup plus prêt. Ca fait quand même plus authentique.

Leon.

rat

pour moi , enfin pour nous , l' animal le plus genial que j' ai pu rencontrer est le rat .
Il a est fidèle , calin , affectueux et , à son niveau ,très intelligent .
En fait c' est par le biais de l' ecureil que j' ai decouvert le rat ! tout une histoire ...
Mais en fait , voici une refexion :

Les marins ont toujours tout fait pour chasser les rats de leur bateau ...Pourtant , si les rats quittent le navire , aucun marin n' aura envie d' embarqué ...Curieuse ambigüité !
Mais aussi d' un coté le rat porteur de maladie et de l' autre le rat de labo à la vie sacrifiée pour sauver les humains ...

Oscar petit rat de la famille est à cette heure sur mon epaule et vous salut tous bien bas ...

méduses

Le plus impressionnant (mais pas le plus sympa) :
Les millions de méduses fluorescentes dans le sillage du bateau pendant une traversée continent-corse de nuit.

entre Porquerolle

et le port d'Hyères, sur un HC21, en se tirant la bourre avec un Anglais sur son Tornado (en bois!), par un bon F4-5...

C'était la fin de l'après-midi, le soleil commençait à baisser, et ses rayons envoyaient des arc-en-ciel dans les embruns d'étrave, qu'on admiraient plus que nos performance face au Tornado...

Tout à coup, un petit "floc" devant l'étrave, un trait argenté, un battement... On se regarde, le barreur et moi, incrédules...

On vient d'apercevoir un... poisson volant ! Pas gros, mais il a volé sur 5-6 mètres, un peu en zig zags...

L'anglais se fout encore de nous, 20 ans après !

Mais nous, on est pas fous. On l'a vu, ce poisson volant.

les guêpes

escale Port Cros
petit temps, tour de l'île en famille avec les amis. moi je prends la planche et je tire des bords pendant que le bateau s'éloigne au moteur. mais il fait très chaud, je suis juste en maillot de bain et je transpire un peu. comme je tire un bord au raz des rochers, deux guêpes s'invitent et ne me quittent plus...je bagarre en vain et après deux piqures à l'épaule, je fais de grands gestes pour faire revenir le bateau qui est déjà à un demi mille, j'ai droit à des grands signes d'amitiés...merci les copains, ils ne feront demi tour que lorsque ,e me serai mis à l'eau en m'éloignant de la planche pour échapper aux saloperies de bestioles piquantes! souvenir cuisant!

Des phoques...

On était dans le chenal pour rentrer à Saint Valery s/Somme. En approchant de la pointe du Hourdel (je crois que c'est comme ça) on a vu quelqu'un sur la plage et ce qu'on a d'abord pris pour ses 2 chiens. Mais cette personne est partie sans les "chiens" qui étaient vraiment très loin de la plage; et on s'est aperçus que c'étaient 2 phoques; ils jouaient à eux deux dans l'eau, faisant des cabrioles, et se poursuivant mutuellement. On était tellement distraits qu'on s'est planté...

Bon d'accord, on se serait planté de toute façon car on n'avait pas assez d'eau... (Firts 35, 1.90m de tirant d'eau: tout juste pour rentrer à st Valéry par marée de sizygie).
Depuis, j'en ai vu souvent en été sur les bancs de sable de l'Oosterschelde (l'Escaut Oriental).

Bleu marine

bien moins gros qu'un phoque

les petits sucriers de warderick wells.
En fait quand tu arrives au mouillage, tu ne te méfies pas et hop direct à l'eau pour voir les langoustes faires la sieste sous les troupeaux de multicolores... et puis tu lèves le nez parce que le bruit t'attires.
Et là, une dizaine de zoizo dézils qui sont sur tous les cordages. Les plus hardis visitent les lieux et j'en ai même rencontré un qui nous préparait la prochaine nav :-) .