Le plancton, indispensable et très étudié.

Très étudié, menacé et surveillé par les biologistes et climatologues.
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Un article sur le plancton, tiré du Point du 28 mars 2019.

L'équipage
23 juin 2019
23 juin 2019

Excellente vulgarisation. Merci pour l'article.

23 juin 2019

Ça n'a rien à voir, entre une étude, un papier sur l'étude du plancton et (pour moi) une parano difficile à fonder scientifiquement parlant même si un faisceau d'indices pourraient montrer que.

23 juin 2019

La doc en pdf plancton 3 montre bien une échelle de transformation biologique à rapport 10 à chaque étape du plancton au poisson. Il en est de même sur terre quand on passe de l'herbe aux herbivores puis aux carnivores, homme inclus. Dans tous les cas la base est l'énergie solaire, dont les terriens ne consomment qu'une infime partie le reste étant perdu mais en fait non, puisque tout cela est interne à notre univers: " rien ne se perd, rien ne se crée, tout n'est que transformation " (vérité très ancienne connue, reformulée par Lavoisier).

Pour les amateurs de fin du monde très proche, à noter qu'au plus noir de la Guerre Froide, les abris atomiques personnels se vendaient bien.

23 juin 2019

Il n'est pas question d'une "fin du monde", même si le titre (média...) en parle, mais d'un éventuel "effondrement" de quelque chose...

un exemple entre d'autres...

www.lemonde.fr[...]44.html

et je ne suis qu'un "modeste observateur" qui s'étonne que, depuis le temps que l'on appuie sur de plus en plus de boutons d'alarme différents, ce ne soit pas une grosse sirène que l'on entende.

Tiens, cette année, dans mon coin, les hirondelles sont arrivées plus tard et il y en a beaucoup moins, vraiment beaucoup...
Seraient-elles devenues "parano"...?

On en parlait l'année dernière, pas encore cette année.

www.lemonde.fr[...]92.html

Mais "Tout va très bien, Madame la Marquise"...

23 juin 2019

Ce n'est pas parce que l'humanité disparaîtra que l'univers sera fini.

23 juin 2019

Les observateurs pro sont sans doute fiables mais où j'habite depuis 10ans à 40km de Chizé, dans un petit village entouré de nombreux agriculteurs, il me semble que mon jardin est toujours autant fréquenté par les insectes et les oiseaux. Mais il a été aménagé en petit paradis avec de nombreuses plantes avec de nombreuses fleurs. Les insectes butineurs existent quand il y a des fleurs à butiner, etc... La nature est d'une logique biologique implacable et s'adapte très rapidement.
Actuellement les écolos bien pensant et grassement nourris tirent à boulet rouge sur les agriculteurs. Pourtant ils oublient qu'ils sont bien nourris grâce à eux. Il y a 75ans le peuple français se serait fortement la ceinture (regarder les photos d'époque de parents) et le marché noir des maigres denrées agricoles battait son plein pour de rares produits agricoles disponibles (bien illustré par le célèbre film "la traversée de Paris").
Dans tous les cas si plus rien n'est produit assez en Europe cela fera les bonheurs des pays qui seront restés producteurs.
Si on continue à ce régime dans la destruction voulue des moyens de productions agricoles à l'échelle mondiale, il faudra obligatoirement aussi envisager des solutions radicales pour réduire drastiquement le nombre des humains autorisés à rester vivant sur notre Terre.
Même un pur penseur idéaliste ne vit pas de l'air du temps.

23 juin 2019

@outremer, oui. Comme je le dis, on est peut-être trop, et on ne peut empêcher personne de vouloir accéder aux rêves et mirages qu'on lui montre.
Il y a 75 ans, on avait les doryphores sur le dos qui pompait tout ce qu'ils pouvaient... Donc les gens n'étaient pas très gros ni bien nourris.
La Chine rachète à tour de bras des terres agricoles en France et met le bon prix, pareil pour des ports entiers un peu partout en Europe (Italie, Grèce et peut-être des parties en France...), je n'ai rien contre eux, la roue tourne tout simplement.

23 juin 2019

Là, je suis tout à fait d'accord avec toi, Phil, il y a une accélération des choses, tant en technologie qu'en destruction "apparente" des choses. Je mets apparente entre guillemet car on ne sait pas ce qu'il adviendra d'ici une centaine d'année.
Les évolutions et révolutions climatiques sont tellement rapides (effet boule de neige) que c'est difficile de prévoir la suite.
Mais je la pressens un peu sans être négativiste. On est beaucoup trop sur la terre et on lui tire un peu trop dessus. Comme elle n'est pas inépuisable et renouvelable à l'infini, il se passera bien quelque chose de sa part.
La nature est très résiliente, mais quand elle atteint le point de non retour, là.

23 juin 2019

Je n'ai certes pas votre capacité à transcender un article scientifique. Mais simplement ce que je retiens de ce papier, c'est une meilleure connaissance personnelle du plancton. Je reconnais à l'auteur non seulement cette capacité à partager son savoir en termes simples et compréhensibles par tout le monde (c'est pourquoi je parlais plus haut de vulgarisation) mais aussi de n' être ni alarmiste ni dans le catastrophisme. Employer un langage universel est peut être la meilleure façon d'éveiller les consciences. La vision subjective n'apporte rien en matière d'amélioration. (après les températures glaciales du nord américain cet hiver, beaucoup d'habitants ne croient plus au réchauffement climatique). Je reste persuadé que seule la connaissance peut être le moteur d'une remise en question, car elle touche à la rationalité et permet à chaque individu de rester maître de sa propre implication. Or, à ce jour, les messages diffusés jouent sur l'émotivité et le spectaculaire parce que la méthode prime sur le résultat.

Jean Philippe

23 juin 2019

Plancton et corail, même combat pour "l'émotivité" qu'ils doivent ressentir.

www.notre-planete.info[...]-oceans

Et en attendant des "résultats", restons spectateurs du spectaculaire que l'on nous présente.

23 juin 2019

Il n y aura jamais de résultats. Tout au plus des éléments successifs qui nous noieront encore un peu plus dans l'interprétation subjective. Mais chacun se nourrit de ce qu'il veut.

Phare du monde

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2022