Hallucination ou autre phénomène bizarre

Bonjour,
Avez-vous déjà subit une hallucination (sérieusement) ou un autre phénomène bizarre ?
C'est un sujet sérieux parce que des hallucinations sont peut-être à l'origine de disparitions inexpliquées.
De mon côté, en fin de vacance, après un tour de Bretagne, je me suis amarré à ma place habituel et fini ma nuit au ponton.
Le lendemain matin, au réveil, j'étais absolument incapable de dire où j'étais. Il ma fallu de longue minutes de réflexion pour me re-situer. Je ne voulais pas me lever avant.

L'équipage
27 sept. 2017
27 sept. 2017

Et puis mal aux cheveux

27 sept. 2017

Bonjour. Cela s'appelle une sidération. Cela peut arriver dans des états de fatigue, de surmenage ou de toxicité ( Alcool comme le suggère Oceanix).. C'est assez courant. Ne s'inquiéter et consulter que si ça se répète.
Moi même un soir je me souviens m'être couché dans mon lit, et le lendemain, au réveil m'être réveillé dans un autre (avec tout ce qui va avec :mdr:)

01 oct. 2017

La fin du post.......EXCELLENT !!!!

27 sept. 2017

Chouchen amnésia ?? :reflechi: :heu: :alavotre:

:-D ;-)

27 sept. 201727 sept. 2017

Seul, apres deux jours j ai toujours des allucinations acoustiques: les bruits deviennent des sons "reconnaissables".
Par exemple, le bruit des vagues a l arriere est interprete comme des personnes qui parlent, l echappement du moteur comme un chant, meme le bruit de fax meteo devient une espece de petite contine.
La premiere fois j ai ete tres surpris, la j y ai fait l habitude. J ai :meme mon chanteur prefere :)
.
Hallucinations visuelles pour le moment non.
Deux trois siderations (merci capolarge) aussi, effectivement en cas de reveil apres grosse fatigue.

27 sept. 2017

Scopoderm (le patch anti mal de mer) avec de la fatigue et du manque de sommeil me fait bien délirer la nuit quand je suis de quart...
Rien de bon quand je me trompe de cap et que mon attention et mes réactions sont celle d´un Zombie :doc:

27 sept. 2017

2 cas :
Le couinement des drosses du régulateur qui deviennent des voies, qui vous appelle comme le chant des sirènes... Notamment dans la phase réveil après un sommeil trop court...

A la barre, les yeux pointant régulièrement sur le compas, les pensées qui dérivent, les images passent de la réalité au rêve, les embruns de la vague d'étrave deviennent des chevaux galopant sur une vaste prairie, l'endormissement gagne, le rêve aussi, une embardée, un réflexe ramène à la réalité, mais les yeux sont brouillés et n'arrivent plus à lire le compas, un retard à la mise au point visuelle, la trace s'en ressent un peu... pas trop, finalement. Mais il est temps de changer de barreur !

27 sept. 2017

Mets de l'huile ! (1er cas)
:-p

27 sept. 2017

J'ai eu à plusieurs reprises, au large, les mêmes types d'hallucinations auditives que Roberto ou Duduche. Les bruits réguliers du bateau (vent, vagues, bruits quelconques) finissent petits à petits à ressembler à un air connu mais sans toutefois pouvoir identifier la chanson. Mais jamais de voix, ni de sirènes mais pas d’alcool en traversée, ça explique peut être cela :alavotre:

27 sept. 2017

en solo, au bout de quelques jours j'ai souvent des "personnes qui parlent" à l'arrière quand ça souffle bien, la première fois je me suis dit "ça y est, tu deviens fou" ;)) les "sidérations" au réveil sont assez courantes aussi...

27 sept. 2017

A-ha, il est quand meme rassurant de constater qu on nest pas seuls :alavotre:
:mdr:

27 sept. 2017

C'est ce que je m'étais dit lors de ma croisière de l'été 2016 :

"Les feux sont allumés à 22 heures et nous voilà fonçant toujours vent arrière, en aveugle dans une nuit des plus noires… C’est souvent pendant de telles nuits qu’on les entend. Car, le savez-vous, les bateaux parlent ; tous les marins vous le diront. Ils sont emplis de craquements, grincements, chocs, balancements, bruits d’eau, gargouillis à travers lesquels on finit par croire percevoir des mots chuchotés par des voix humaines. « T’iii crois ?» demande aigüe la poulie tribord du renvoi du régulateur sur la barre, « Onk onk onk » grogne gravement en réponse la poulie bâbord. Et tant d’autres. Et puis pour peu qu’on aille s’allonger quelques minutes sur la couchette, l’oreille contre l’eau qui court à quelques centimètres, les murmures s’enrichissent. On dirait des conversations lointaines tenues par des groupes, on distingue des voix d’hommes et de femmes, c’est parfois véhément, parfois tranquille…"

27 sept. 2017

Fin de traversée sur les Antilles ,après une ou deux bonnes journées de grains ,bien avant de découvrir les îles ,je vois ,en plein jour ,des barques de pêcheurs autour de nous .Pas fumé ,pas bu .Cela n'a pas duré.

27 sept. 2017

Hallucination, interprétation, cela ressemble à un phénomène de " peur" d être seul et d interpréter les bruits pour se rassurer...ou alors nourriture avariée...
Je pense donc que quelques uns ont un problème...d audition ou de prises de médoc/alcool/voir très grosse fatigue.Mais...cela me rappelle Vito Dumas qui dans la tempête et étant malade , forte fièvre et probablement délire a vu un marin barrer son voilier durant 2 jours. celui ci a disparu plus tard quand il allait mieux.
Le voilier n avait pas perdu son cap et cela sans pilote auto...

La mer est pleine d âmes charitables...le vent aussi...

A vous lire on finira par ne plus faire de grands périple !

27 sept. 201727 sept. 2017

Je ne pense pas Ptitlouis, quand j'entends des voix ou musique je n'ai pas "peur" je ne prends pas de médic et ne bois pas d'alcool en navigant. Par contre ces phénomènes sont peut être dû à la fatigue, toujours en pleine mer et pendant de grandes traversées.
Une autre explication que mes parents m'ont donné et qui vaut ce qu'elle vaut, les plombages des dents et la boite cranienne ferait comme une radio avec antenne.

27 sept. 2017

il faut des plombages en métaux différents sur deux dents , parfois ça capte réellement une émission radio

27 sept. 2017

Des "voix" et "musique" souvent.
Une de mes plus grande peur.
Navigation en Bretagne, pas beaucoup de lumière, crachin, quasi pas de vent et je n'avance pas.
Soudain je vois une main qui dépasse de l'eau à quelques mètres du bateau, une mains gonflée, noire, une vision d'horreur.
Je stop le voilier pour récupérer.... un gants de vaisselle.

27 sept. 2017

Bonsoir. A moi aussi, des bruits, des musiques,des voix et autres hallucinations, en cause sans doute la fatigue parce que naviguant seul.

27 sept. 2017

Rien vu de surnaturel en mer sauf des petits oiseaux mêmes à 10 jours du cap vert et à chaque fois prémisse d un coup de vent...ou de quelques chose de pas drôle.
Le dernier oiseaux est mort dans la boîte de carton que l on avait confectionné...le lendemain dans la nuit , sous 2 trinquettes tangonnee, moteur hs ,on est passé à 15 ou20 m de l arrière d un gros cargo/tanker de nuit sous pilote Atoms, en sommeil,sans ni l avoir vu ni entendu ! Bonjour les remous. A une minute près je serai pas pour écrire.
Les signes , j y crois!

27 sept. 2017

cela arrive t il plus sur les bateaux polyester que sur les bateaux bois

ça pourrait être à cause des C.O.V. :oups:

27 sept. 2017

C' est quoi COV ?
Gorlann

27 sept. 2017

Composé Organique Volatile,

27 sept. 2017

OK, merci
Gorlann

28 sept. 2017

Salut Bilou 30e.
.
Relis bien le post de Petit Louis, dans son cas le volatile est mort dans la boite en carton.
.
Peu de temps aprés un cargo leur est passé sous le nez.
.
C´est donc pas le COV mais plutôt le VOC =
.
Volatile Occultant Cargo
.
:acheval: :acheval: :acheval:

28 sept. 2017

Voici le récit de mon arrivée de nuit en solo dans l'estuaire de la Gironde après deux jours de mer depuis les Glénans et les suggestions de mon esprit fatigué.

"Quand BXA est en vue, il est 1h du matin. Je mets le cap sur la première bouée bâbord du chenal d'entrée, pour parer le banc de la Mauvaise. Au loin des cargos illuminés attendent leur pilotes. Des bateaux de pêche dans tous les sens aiguisent ma vigilance. Les fonds sont peu profonds, le fetch important et ça creuse.
La bouée n° 2 virée, Jaoul remonte le chenal au vent de travers.
La nuit est vraiment noire et je n'y vois pas grand-chose. Ça clignote de partout, j'ai du mal à repérer les marques. Des lames sombres par le travers chahutent Jaoul sans toutefois monter à bord ; parfois j'entends déferler et serre les fesses. Je vérifie sans arrêt pour me rassurer. Oui, je suis bien dans le chenal. Je cherche une bouée verte pour piquer dessus afin de m'éloigner de l'inquiétant déferlement sur le banc de la Coubre proche. Le bruit est infernal. La nuit fait imaginer des vagues monstrueuses prêtes à m'engloutir à la moindre inattention. Là-bas le phare de la Coubre, secteur vert.
Puis rouge.
Je suis l'alignement d'entrée, deux feux à maintenir un temps l'un au-dessus de l'autre et le quitte pour remonter les bouées vertes.
Une bouée déplacée par une correction de la carte faite à la main me fait remonter au nord.
Un cargo me rattrape. Je tiens bien ma droite, mais c'est par tribord qu'il me double en s'obligeant à sortir du chenal. Je comprends qu'il ne souhaite pas me déventer mais je pense qu'il prend des risques, à moins que le pilote en sache plus que ma carte sur la hauteur d'eau à cet endroit et l'emplacement des bancs.
Une fois le cargo passé, je souffle un peu, descend voir ma position sur la carte à l'ordi et tapote le bouton du pilote électrique pour infléchir ma route vers tribord.
La Pointe de Grave. A franchir avant la renverse.
Elle est franchie vers 3 heures.
Jaoul ne roule plus, tant mieux, mais je suis fatigué. Je descends souvent à la table à carte vérifier ma route, les bouées.
Pas se tromper de bouée.
A la table à carte, je me sens bien, c'est ma place. J'y suis en sécurité et je n'éprouve pas le besoin de faire autre chose qu'assurer la navigation. C'est moi le navigateur. L'autre est à la manœuvre sur le pont et connait son affaire. Toujours à veiller au moindre réglage… Il n'y a qu'à écouter le bruit qu'il fait.
Personne ne veille sur le pont.
L'effort pour me convaincre de ma solitude est difficile. M'obliger à ne pas rester à l'intérieur trop longtemps sinon la suggestion va revenir en force et m'avaler tout cru.
M'obliger à monter sur le pont. L'air frais me fait du bien.
C'est sur le pont que les choses se jouent, pas à l'intérieur. Pas y descendre, ou pas longtemps. Juste pour voir comment approcher le rivage pour mouiller. Mouiller pour dormir, urgent. Plus en mesure de rester conscient. Personne d'autre pour conduire le navire. Personne. Je lutte. Le sommeil. Je me bats. JE SUIS SEUL. Maintenir cette conviction absolue que l'autre veut battre en brèche et mouiller au plus vite.
Richard, mouiller devant Richard.
J'approche vers la rive et quand la sonde paraît correcte, je laisse tomber l'ancre et file pas mal de chaîne. Le temps de régler la sonnerie du réveil à 8h et je m'écroule sur la couchette, juste le temps de voir 5h à ma montre."

Les suggestions sont terriblement dangereuses quand on doit mobiliser une attention que le corps ne veut plus assurer pour cause de grande fatigue.

Voir le récit complet de cette virée ici :
www.jaoulvoiliernomade.fr[...]ex.html

29 sept. 2017

Quand je suis dans ma banette dans la cabine arrière, j'entends le bruit du verin de pilote, un petit couinement dans un roulement de barre et le très léger bruit des drosses.

J'ai souvent l'impression que des voix m'appellent quand je veux m'endormir ou bien que c'est mon coequipier que me demande.

J'ai beau me dire que c'est le pilote et les organes en mouvement, j'ai toujours un doute et je me concentre pour bien etre sûr que mon coéquipier ne me parle pas. Cela retarde souvent mon endormissement.

C'est un phénomène très bizarre comme une sensation irréelle et fascinante que d'essayer de discerner des paroles dans ces bruits qui ressemblent à des murmures.

01 oct. 201701 oct. 2017

Les voix, je les ai entendues souvent!
Mais ce qui m'a le plus marqué, ce sont les rêves, surtout les cauchemars, après de longues navs en solo.
Il y a longtemps, en solo, venant d'Athènes, je m'étais arrêté une nuit à Ponza pour ensuite arriver à la Rague après 320 m et 2 jours et demi de veille. La Tyrrhénienne n'est pas une mer abandonnée et ma sonnerie teintait toutes les 15 ou 20 minutes pour me faire sonder les horizons.
Les 2 ou 3 nuits normales qui ont suivi étaient entrecoupées de moments stressants pendant lesquels mes bras cherchaient désespérément sur le plancher à attraper mon gamin qui était tombé à l'eau! Cette agitation durait et je me retrouvais épuisé et en sueur.
C'était vraiment épouvantable.

01 oct. 2017

en grandes nav, le réel se confond de temps en en temps avec des états d'esprits et des pensées personnelles, un imaginaire qui prend le dessus, sorte de déconnexion , phénomène déclenché bien plus facilement qu'a terre sans besoin des "substances classiques" qui aident au "décollage".....
Assez agréable comme sensation, mais qui peut devenir dangereuse dans le cas d'un(e) solitaire, (l'envie de se jeter par dessus bord, par Plaisir, est une constante dans les récits)
cela peut expliquer certaines disparitions, sans pour autant parler de suicides ou d'accidents!!
une chose est sure, c'est pas parce qu'on peut pas l'expliquer rationnellement que ça n'existe pas.....
la mer, dernier endroit ou le mystère est roi ....

02 oct. 2017

Une nuit en rentrant d'Espagne, je vois un feu vert et un feu rouge me foncer dessus. Juste avant le choc, je me jette en arrière au fond du cockpit, la tête sous les bras, et puis ... rien.
C'étaient mes feux ....

02 oct. 2017

C'est hors sujet mais à la taverne...
C'est l'histoire vraie d'une vraie-fausse hallucination.
Je quitte un soir Cadix pour le Portugal.
Vers minuit, bébé et maman dorment. Vent faible, mer calme.
Je vois les dauphins arriver. A l'étrave, leur couleur passe du vert au rouge, et du rouge au vert, un régal.
Je me dis qu'il faut faire voir le spectacle à mon petit (5 ans)!
Je descends le prendre dans mes bras et quand j'arrive à l'étrave, les dauphins ont disparu.
J'explique alors l'histoire des dauphins qui suivant leurs mouvements, passaient du vert au rouge. Gestes à l'appui.
Le lendemain, le pitchoun émerveillé racontait à sa mère que lou papa lui avait montré des dauphins verts et rouges...

02 oct. 2017

Une pas très drôle.
Pendant une régate á deux,étape de Mahon á Formentera. Il fait nuit, je suis á la barre, le copain dors. Nous passons au sud de l'île de Cabrera. La mer est ondulante et gélatineuse, le vent très faible, le spi se balance doucement et j'ai tendance á piquer du nez. J'ai coupé la vhf á cause des papotages incessants des pêcheurs.
Soudain une forme humaine se lève á l'avant du bateau et vient vers moi en titubant. J'ai crié tellement fort que le copain est sorti de sa couchette. Á l'avant il y a le foc dans son sac, c'est sûrement le départ de mon cauchemard...
Mais, en arrivant á Formentera nous apprenons que la régate est annulée, un équipier a reçu un coup de bôme et a disparu, au sud de Cabrera. (Nous avions diné ensemble la veille au soir.)
Depuis je me méfie encore plus de mes rêves et je n'éteinds plus jamais la vhf.

02 oct. 2017
02 oct. 2017

Et on en rediscutera certainement encore car le rêve fait partie intégrante de la navigation en voilier.
.
Il y a quand même quelque chose de mistique a naviguer sur la mer aux étoiles lorsque le vent te prend par la main.

03 oct. 2017

Au sujet d'un rêve.
J'étais, en solo et sous pilote, en train de traverser entre le Cap Sao Vicente au sud du Portugal et l'île de Sta Maria des Açores, et je dormais dans ma bannette quand je fis le rêve suivant :
J'étais à la proue de mon canot, le buste en dehors pour tenter de m'approcher et de saisir la main tendue d'un portugais dans la même posture sur son canot. La mer clapotait tellement, nos bateaux dansaient comme des beaux diables et nous étions si secoués que que nous ne parvenions pas à nous rencontrer, malgré nos efforts surhumains.
Puis je me suis réveillé. Le bateau dansait et s'agitait, ça cliquetait de partout. Le bateau n'était plus sur sa route, le vent avait tourné et le vérin du pilote était parvenu en butée.
Une manœuvre et un réglage de voiles plus tard, Jaoul était de nouveau sur sa route, l'agitation désordonnée avait cessé. Je ne pus me rendormir, le soleil était déjà haut sur l'horizon et une belle journée s'annonçait.
Régis

03 oct. 2017

Personnellement j'entends des cloches assez vite.
Dites moi que je ne suis pas le seul ...

03 oct. 2017

Mariage?¿
Bapteme?¿
Communion?¿
Pâques?¿
Peut être aussi la fée Clochette et le croco ?¿ tic... tac... tic... tac...
.
:acheval:

04 oct. 2017

J'ai eu la même hallucination que Bianca, l'année dernière pendant un A/R Bretagne - sud Portugal, après une 3ème nuit à dormir par tranches de 20 min. J'ai très distinctement vu une ombre se détacher dans la nuit, se déplaçant de tribord à babord juste devant le mât.
Cela ne m'a pas fait peur car j'ai compris tout de suite que j'étais très fatigué, et potentiellement en danger. J'ai ralentis le bateau et me suis offert 40 min de sommeil.

05 oct. 2017

bjr,
en med il ne faut pas manger des saupes on fait des rèves bizarres ,
ces poissons mangent des algues hallucinogènes .
déjà pour aller en mer il ne faut pas être très normal ,seul c'est pire .
donc ne pas en ajouter ..
alain

05 oct. 2017

bjr,
une fois en partant en tunise au sud sardaigne ,j'étais vraiment fatigué
donc j'ai décidé de m'arrêter à villasimius ,plutôt que de continuer
vers la galithe ..
quand je suis arrivé dans la baie je voyais des rochers tout autour de moi ,la nuit était bien noire et les reflets de la ville accentuaient le phénoméne ,à l'époque c'était l'estime ou le sextant .
donc j'ai mouillé ,puis j'ai été me coucher ,deux heures après .on frappe à la coque ,c'était la brigade maritime qui venaient voir ce voilier tout seul ,ils m'ont gentiment indiqué la direction du port avec leur phare ,j'en étais a 200m et je n'avais même pas vu les feux d'entrée .
donc je suis rentré et je suis retourné dans la banette ..
alain

Farol do Arnel, Sao Miguel, Acores

Phare du monde

  • 4.5 (19)

Farol do Arnel, Sao Miguel, Acores

2022