fortune de mer mers australes: faut avoir des C......

une fortune de mer qui finit bien.

www.clicanoo.com[...]cle.asp

cela dit les mots qui me viennent a l'esprit sont: "avoir du coffre" ou "severement burné".

L'équipage
05 août 2003
05 août 2003

de qui parles tu ??

si tu parles du capitaine du bateau de pêche et de son équipage : d'accord

si tu parles du mec qui va se balader dans les mers australes en plein hiver, les seuls mots qui me viennent à l'esprit = "totalement taré"

05 août 2003

question subsidiaire

Bardiaux était-il aussi "totalement taré"?

25 sept. 2003
  • sans doute il l'était (-et même l'hiver... surtout!) -

Coco tu t'imagines que parce que c'était Bardiaux ça l'empêchait d'être taré?
je vois pas pourquoi...
Il y a de trés trés gros... tarés qui sont hyper connus, qui ont réussi, pignon sur rue et tout. D'ailleurs on en voit tout plein à la téloche; pi d'autres qui finissent mal ou dans la rue, et tout ça... Y'a un truc qu'on appelle "le bol" c'est là la différence.

Tu as lu sans doute Le Toumelin, grand marin et tout. Mais les raisonnements sur la vie et sa philo à lui... et la page d'aprés il tire gratos à la carabine "comme ça, pour le fun" sur des requins qui ne lui avaient rien demandé... sinon de leur foutre la paix.

Une grande famille de catho croyant Le Toumelin... ben ça n'a jamais empêché quelqu'un d'être taré... c'est comme ça, faut s'y faire!

Pi que le mec il aille dans l'Austral pour gagner sa croûte ou pour regagner sa propre considération, c'est quoi la différence?
Pourquoi le gars qui y va bosser serait plus "fréquentable" que celui qui y va pour autre chose?

Vraiment nous les humains on a encore du chemin à parcourir pour se comprendre...

26 sept. 2003

Bardiaux

Je n'imagine rien, je pose poliment une question aux lecteurs de HEO.

25 sept. 2003

encore des heureux

"Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière"

25 sept. 2003

Oui Ventampoup'

Ce passage sur les requins dans Le Toumelin m'a choqué aussi. C'est l'époque qui voulait ça. 200 ans plus tôt, il aurait peut-être tiré les indiens.

25 sept. 2003

Slocum et carabine

Je ne me souviens pas si Slocum en avait une.
Si non, l'aurait-il utilisé ? sur les requins ? sur les indiens ? Question d'époque ?

25 sept. 2003

Si, il en avait une

et pour faire croire qu'il n'était pas seul, alors qu'il était menacé, il rentrait et sortait du bateau habillé différement.

25 sept. 2003

Fortune de mer

On le savait déjà :
- ne jamais quitter son bateau tant qu'il flotte
- la balise c'est quand même une chance de plus
- il reste des professionnels près à faire 400 miles pour sauver les autres.
Par contre je reste dubitatif (un seul mot) sur la mignone remarque journalistique : "pas la moindre petite crique où mouiller".
Après lecture des faits, abri de la côte : oui, (pour le fetch) mais garder son évolutivité. En tout cas c'est ce que j'essaierai de faire si un jour.
Quant au voilier, rien à dire, je ne vois rien d'anormal dans tout ça.

25 sept. 2003

Merci Basile

C'est vrai. Et j'avais aussi oublié cette histoire de clous dans les canaux de patagonie.
A priori, il ne se vante pas de s'en être servi pour rien ou est-ce que ma mémoire est dans le même état que mes godasses?

25 sept. 2003

ce que Slocum ne dit pas

est que comme les patagons étaient connus pour l'énorme taille de leurs pieds, il lui suffisaient juste quatre ou cinq clous pour tout le pont

il ne dit non plus qu'il gardait les clous dans le soutient gorge qu'il utilisait pour se deguiser (après avoir enlevé les clous bien sur)

25 sept. 2003

A propos de livres, je ne lis plus. Et vous ?

J'ai tenté de relire ce monument de drôlerie et de débrouillardise qu'est le " vagabond des mers du sud ".
Mais je me lasse rapidement. Cela me paraît très loin maintenant.

25 sept. 2003

Météo execptionnelle

Salut à tous,

J'ai juste lu les titres du fil, mais je vois la dépression se creuser : aller chatouiller le TdC du Diable quand il a la déripette ....
Je reviendrai donc sur l'"aventure" du Neo Zé Landais : Il s'est retrouvé dans la grosse goute froide qui à ammené la neige sur l'ile de la Réunion. Y'en a qui ont pas de chaines là-bas. Ca arrive pas tous les jours

Donc pour moi : il à pas eut de bol mais il à qu' en même eut de la chance.

Enfin; ce n'est que mon avis

25 sept. 2003

Relire

Boudiou, il faut absolument que je relise le Spray.
Roberto, aurais-tu des fotos en plus ?
Basile : T'inquiètes, c'est paske t'as plus besoin de le rêver. J'ouvre plus un truc sur la mer (à part HEO paske ça cause pas que de ça), même pas un seul regard à V&V ou bateau au détour de la bibliothèque. Et pourtant, dieu sait que je suis loin maintenant. J'prefères des romans de terriens (faut bien s'remettre dans le bain le temps que ça va durer ;-)
Mais lire, ça doit quand même rester notre première préoccupation après la b**** (que celui qui a compris la bouteille m'en envoie une caisse ? et que celui qui a bien compris m'en envoie une caisse aussi)

25 sept. 2003

Ah bon, Evenkeel, la b**** n'est pas ta première pré o cu

Comme tu est nouveau, cherche "l'utopie de la voile puritaine" (pas pure, hein, puritaine).

25 sept. 200316 juin 2020

voila,

Remplace le fusil de papa pour tenir à distance les requins d’aujourd’hui….
J’entend par la, les préposés à l’encaissement de vos nuitées dans vos ports favoris…
pfffzzzz

25 sept. 2003

Si,si Basile,relis bien

J'ai bien écrit première préoccupation APRES la Bµµµµ:-oooo))) oui !
En tous cas, joli fil que cette utopie.

25 sept. 2003

il y a du vent sur la mer

Eh oui!
on veut fuir les emmerdements terrestres, les doigts de pied en éventail sous le Soleil avec un temps et une mer comme à Juan les Pins et en passant de Cap Horn, bien sûr,
et aux escales rencontrer de bons sauvages qui vous apportent à manger, à boire, et vous proposent leurs femmes en prime,

quand cela se passe autrement, rien ne va plus!

Lorsque le brave capitaine Slocum , tout en force tranquille a été poursuivi au large du cap Spartel par une rapide felouque de pirates marocains, il n'a pas décidé de faire une protestation au nom des "droits de l'homme" ni de compatir aux problèmes de ces gens qui n'avaient pas eu la chance d'avoir bénéficié d'une instruction évoluée et sans doute avaient besoin de cette activité pour vivre, ni de méditer sur les injustices réelles ou supposées des "occidentaux" à leur encontre: il est descendu dans la cabine prendre sa carabine et son revolver, et bourrer ses poches de cartouches: en ces circonstances, c'était la seule chose sensée à faire. Allah Akbar, qui a choisi le camp du mécréant politiquement incorrect! la bande de chenapans avait tant surchargé de toile son voilier pour mettre la main sur ce petit navire peu défendu, qu' une risée un peu fraîche démâta le poursuivant et sauva le capitaine, ce qui nous a permis de pouvoir lire ses mémoires par la suite.
Peter Tangvald (ce parasite qui gagnait sa vie en dessinant des voiliers de plaisance au lieu d'aller travailler chez Renault)n'eut pas la même chance: attaqué par de pauvre pirates qui avaient sans doute eux aussi besoin de gagner leur vie, il eut l'outrecuidance de se défendre (ce qui n'est vraiment pas bien du tout: un Européen bien élevé et politiquement correct DOIT se laisser plumer ou malmener, sinon , où irait-on ?). Bref, dans l'échange de coups de feu, la jeune femme de Tangvald a été tuée. C'est sans doute une chance, car si l'inverse s'était produit, il eût sans doute du mal à se défendre d'une accusation de crime raciste...

La mer et la navigation, c'est rude; cela n'a que faire de la douce indolence et des bons sentiments, et la première tempête balaie les mièvres comme une claque écrase un moustique: il suffit de savoir que les meilleurs et les plus forts paient eux-même un lourd tribut aux délires de la nature pour s'en rendre compte.

Que ceux qui révassent de cocotiers continuent à rêvasser, ou poussent l'audace jusqu'à naviguer encadrés par du personnel compétent, à la belle saison, surveillés par une foule d'uniformes attentifs.Cela vaudra mieux pour tout le monde.

Le prix à payer pour atteindre les cocotiers autrement qu'en avion charter, c'est le risque
de faire "son trou dans l'eau", ou d'être bouffé par un requin ( ce qui explique certaines animosités..) , d'attraper une balle perdue -ou un coup de couteau- dans une localité aussi pittoresque que tropicale, comme pour les marins-pêcheurs celui-bien plus grand- des infortunes de mer dans leur activité.

En tout sport, il y a la notion juridique du "risque accepté": encore faut-il le connaître pour l'accepter. Et l'accepter pour soi, non pour quelques autres inconscients que l'on entraînerait dans une initiative folle.

On a en principe tous une tête avec un cerveau à l'intérieur. Il peut être utile de s'en servir.

26 sept. 2003

Slocum encore

En Terre de Feu, au mouillage,il répandait des clous de tapissier sur son pont...sécurité garantie la nuit...

26 sept. 2003

J'oubliai moi aussi.

Slocum mettait des clous sur le pont.

(:-)

26 sept. 2003

Pigé, Vincent !

fortune de mer mers australes: faut avoir des C...... (des clous !)

26 sept. 2003
  • c'est fun... -

Basile encore avec tes contrepets... çui-là il y plusieurs solutions... aurais-tu la bonté de nous en livrer deux-trois?

Merci Basilou...

Ben moi j'ai fait ça, j'ai répandu des clous de patissiers sur le pont de mon Jouet au mouillage à la Dominique (à Portsmouth exactement) vers 1984... y'avait un gus et sa donzelle qui s'étaient fait suriné quek temps avant... et fermer la descente et les capots sous les tropiques, merci! En plus j'avais tendu un fil de pêche travers la descente, relié à une siréne 12v trouvée au bazar du coin, et j'avais pris le "sabre" (le coupe-coupe) prés de l'oreiller.

Windja j'aime beaucoup ta prose, mais flinguer des requin gratos, et dans la foulée faire des raisonnement sur "ce que c'est que de nous..." non!! je n'arrive pas à comprendre ce style catho-facho... Je comprend que ça existe, mais sans moi! je valide pas...

26 sept. 200316 juin 2020

des clous...

c'est un peu primitif.
Actuellement, devant la recrudescence des pratiques de piraterie, la -pour le moins- mollesse des pays concernés, l'interdiction par des accords internationaux d'avoir en marine marchande des armes à bord (à une époque encore récente, les paquebots disposaient en Mer de Chine de "grilles anti-pirates" et de mitrailleuses) plus dangereuses qu'utiles, une agence internationale a pris les choses en main: suivi en temps réel des cargos, et surtout un système de protection électrique impressionnant, avec une ceinture de câbles de protection à haut voltage du genre matraque électrique.(voir photos)

Quant à être approuvé par qui que ce soit, ce n'est pas ma préoccupation. Pour autant que je sache, je ne dispose que d'une existence, et ne vois aucune raison pour qu'elle vaille moins que celle d'un quidam à qui je ne demande rien et qui est prêt à en disposer pour s'emparer de quelques biens matériels. Nous avons eu l'occasion de discuter de la chose , entre navigateurs,dans un pays "chaud" ( dans tous les sens du terme ) à la suite d'aggressions qui avaient fait quelques victimes . Question fondamentale: Vaut-il mieux finir prématurément sous terre ou courir le risque de passer 7 ans de prison pour port d'arme prohibé? Le choix a été fait à l'unanimité: je n'ai pas besoin de préciser dans quel sens. Ce qui se proclame au Flore ou chez Sénéquier n'a rien de commun avec ce qui est devenu évident lorsque vous avez , serait-ce une seule fois, entendu siffler et claquer les balles. Je doute fort, pour en avoir vu accueillir avec des transports de joie ces "mercenaires" qu'ils vilipendaient peu de temps avant, combien de ces doux idéalistes accepteraient de se faire crucifier pour leurs "idéaux": il n'y a pas à dire, les voyages, ça forme quand on n'en meurt pas.

Cela dit, au vu des clôtures électriques (pas données par ailleurs) qu'on nous propose -avec en plus la perspective de s'enfermer dans son petit "stalag" individuel- je préfère les clous du père Slocum: j'ai adopté la recette depuis que je connais le procédé.
Le seul problème est de penser à les ramasser le matin: j'aime marcher pieds nus sur le pont quand il n'est pas trop réchauffé par le Soleil.

D'une manière générale, la meilleure solution est dans la prévention. Par principe, j'évite d'aller où je n'ai rien à faire, si quelque obligation ne m'y contraint; et où que j'aille, je me renseigne sur les particularités et les usages locaux.
La question des armes a déja été débattue dans ce forum: ce serait de la folie de se défendre par principe (voir le cas de Peter Tangvald) à moins d'une vitesse suffisante pour maintenir la distance ,d'une nette supériorité de puissance de feu, ou de violente surprise de l'adversaire (énergique contre-attaque de nuit ajoutée à l'effet des clous..mais il faut déja avoir pratiqué - au moins en manoeuvres). De récentes attaques molles de pirates amateurs ont été dissuadées par une navigation de conserve de deux bateaux navigant à vue et/ou des appels radio ostensibles.

Je peux fournir des cartes à jour des zones où s'exerce ACTUELLEMENT la piraterie. Cela ne veut pas dire qu'on y sera nécéssairement attaqué, mais qu'on en a les meilleures chances. Et je dispose actuellement semaine par semaine de l'information des actions de piraterie de part le monde.

Une démarche aussi importante que celle de mettre ses vaccins à jour est de consulter avant de partir au moins les "conseils aux voyageurs" du ministère des Affaires étrangères (www.dfae.diplomatie.fr[...]lt2.asp )

Parce que si d'aucuns se mettent dans dans sales draps par inconséquence, croyez-moi, les gens du ministère ne sont pas contents du tout (c'est dérangeant, souvent cela coûte cher, et attristant quand au bout de mille efforts il n'est possible que de rapporter un cercueil).

la photo de gauche est la version cargo, celle de droite la version voilier de la clôture électrique.

27 sept. 2003

C'est pas gai, tout ça, Wind !

Ca jette un froid. La navigation, ce n'est pas "rigolo" partout.

28 sept. 2003

joyeux ou non ...

Entre Cannes et Saint Trop du 15 Juillet au 15 Août, ou entre La Rochelle de Audierne par temps anticyclonique en été, c'est une chose... dans d'autres endroits, ou/et d'autres conditions météo , ce peut être comparable à faire du hors piste au Mont Blanc par rapport à skier en famille au Champ du feu dans les Vosges..

Autrement dit c'est faisable en l'entreprenant sérieusement, bien entraîné et bien renseigné, avec un matos sérieusement entretenu. Il est certain que la joie est vraiment grande quand on y arrive, mais il n'est pas possible d'éviter d'en payer le prix en fatigues et en souffrances, ni d' en affronter les risques.

Bien formé, entraîné, équipé (avec un bon bateau, pas nécéssairement immense ni suréquipé), avitaillé, suivre la route des Alizés (pour aller chercher des zones délirantes, il faut être réellement motivé avec des raisons solides,ou fondu, et particulièrement apte ,physiquement costaud et très expérimenté sur le plan nautique: il est impardonnable d'y aller sans avoir lu au moins une dizaine de ceux qui y soint déja allés: cela peut ramener les ambitions à des perspectives plus réalistes) .

Même sur la route généralement facile, certains n'ont pas abouti (exemple de l'Euros "la Goulette", excellent bateau, très bien équipé, dont l'équipage insuffisamment expérimenté n'a pu finir la traversée Canaries-Antilles -résultat un mort et un éclopé- alors que le bateau se tirait d'affaire tout seul!).

Quant au risque "politique" ou "sociologique", il est d'autant plus à prendre au sérieux qu'un voilier est très vulnérable par son manque de vitesse et qu'un petit équipage passé par dessus bord laisse en général peu de traces (quoi que les polices Australienne et Sud-Africaine aient pu venir à bout de certaines enquêtes grâce à la capture par hasard de requins dont l'estomac contenait encore quelques morceaux de "disparus".)

La formation à la sécurité en général, avec ou sans gadgets (une aide appréciable, certes)devrait accompagner sérieusement les cours de navigation, dépasser les banalités sur l'ancre flottante ou la description de l'usage du canot pneumatique (en piscine?), pas évident du tout par mer forte (temps de survie moyen au nord du parallèle des Sables d'Olonne (sauf en été, bien sûr):7/8jours pour un marin entraîné, les exceptions ne sont qu' exceptionnelles comme dirait le sapeur Camembert); sous les Tropiques,où le risque de séjour peut se prolonger malgré les techniques évoluées, les conditions de température ont permis de véritables prouesses dans le domaine de la survie, du fait de navigateurs très expérimentés parfois avec des équipages,eux-mêmes solidaires et cohérents.

Lire l'analyse des accidents faite par les CROSS est enrichissant: elle porte à réfléchir, car elle témoigne de la responsabilité des skippers (quel que soit l'équipage, c'est le skipper qui décide ou non d'entreprendre telle traversée, en tenant compte justement des possibilités du bateau, de son équipage, et de lui-même, en fonction du temps prévu), et qu'au-dessus de force6, ce peut-être amusant, mais on entre dans de la navigation vraiment sérieuse avec un début d'apparition de risques ( mal de mer, fatigue et ses conséquences,avaries, chutes à la mer) contre lesquels il faut se protéger par avance. Ces documents montrent aussi qu'il est parfois très difficile , malgré les moyens modernes, de retrouver un objet flottant de petite dimension(naufragé, planche à voile, embarcation ) par mer agitée.

Je ne cherche pas à gâcher le plaisir, au contraire. Ceux qui naviguent régulièrement depuis un certain temps, en général savent, agissent en conséquence,limitent les risques au minimum acceptable, accumulent riches expériences et beaux souvenirs (sachant qu'une nature humaine bien -c'est-à-dire normalement- constituée oublie les mauvais).

D'autres risquent d'être piégés par une facilité apparente, par le rêve des cocotiers et de la "Nouvelle Cythère" et... en revenir (quand ils reviennent) ce qui est dommage, à cause du gâchis.(je ne parle même pas tant c'est ridicule des Force9 par moins40° avec des vagues de fin du monde affectionnées en paroles par nombre de rêveurs qui y trouveraient effectivement leur fin: heureusement parmi eux la plupart de ceux qui vont jusqu'a prendre le départ s'arrêtent en route).

Proverbe chinois: "C'est quand on s'est fait croquer le bout des palmes par un requin qu'on achète des palmes plus longues"

29 sept. 2003
  • windjamm' ... amen... -

... donc j'aime bien te lire Wind' mais trop c'est trop... long...

Y'a encore la possibilité de se barder de dynamite et de tenir bien en évidence devant soi les deux fils (bleu et rouge, avant ta tronche toute blanche...de pétoche... au milieu... quel bel étendard!) de la mise à feu, avec dans le regard égaré quelque chose dans le genre "si t'avances d'un seul pas, tout le monde saute..." évidemment juste pour le fun!!

29 sept. 2003

Fais pas de bêtise, Ventampoup'

Tu m'inquiète.

Tu risques un jour d'appuyer sur le bouton rien qu'en voyant un pavé de Winja.

29 sept. 2003

Appel à tous !

Ventempoup' m'inquiète. Il ne répond plus.
Quelqu'un a des nouvelles ?
J'espère qu'il ne s'est pas empêtré dans les fils, le c..

La Giraglia

Phare du monde

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La Giraglia

2022