bon , sans pisser sur les bécanes! les ceusses qui vole a voile ou au moteur

Il y en a même

Qui sont à voile et à moteur...

:mdr:

que tu crois

:tesur:
faire cote(le génois déchiré et la grand voile a 3 ris) ,moteur en panne,avé les courants de vos coins(coin)!
ou finir en vol plané, moteur en panne sur ulm :heu:

c esr quif quif :reflechi:

:alavotre:

de mon temps

avec le BPP t'avais de facto la qualif ULM 3 axes

heu

idf, tu ferrais du planeur je veux bien mais de l'ulm , bof, c'est loin comme rapport avec la voile ou alors un fifty,

n'oublie pas d'emporter un caillou, en ulm en cas de panne moteur tu jettes le caillou et tu sais ou tu vas te scratcher :oups:

Vive le vol libre !

Bon ,c'est vrai que l'ulm, ça fait un peu moto, surtout en radada.

Le delta et le parapente, c'était le pied. Il y a bien maintenant 1O ans que j'ai rangé mes chiffons. Mais les thermiques musclés de l'après-midi ou la restit du soir, j'en rève encore parfois.

Dans notre Normandie, lassés des soarings en bord de mer au milieu des goélands et vu que partir d'une taupinière ne permettait pas souvent d'accrocher les thermiques, on s'est mis à remorquer les deltas avec un ulm. Ca merdait un peu au début, puis on a sécurisé le truc. On accrochait un cum et c'était parti pour l'après-midi.

Nostalgie ...

parapente

Chuis un voleux en plus d'un voileux.

J'ai trouvé plein de points communs, dans l'observation du milieu, la patience, la soumission à la météo, d'une part; et bien sûr, dans la "glisse", les sensations d'un bout de chiffon jouant dans le vent, transmises par des bouts de ficelle.

Une prise de terrain en parapente, c'est très similaire à une prise de ponton à la voile. Sauf qu'on a droit à un seul essai. ;-)

He he

Ouai le treuil... Un de mes plus beaux vols a ete au dessus de la baie du Mt St Michel en parapente. +2, plaf a 1500 et decor de reve.

Sinon qqs vols en Andalousie, en delta dans des restit de fou...

Normandie ??? Et Clecy alors ???
Ca vole en thermique et de beaux vols en plus, meme en delta !
Ouai, le delta garde ma preference, le vol couche, c'est magique. Aussi pas le plus confortable pour mes pauvres cervicales.

Dans tout ca, un point important, le "danger" la securite, et le vent... Apprendre a le comprendre dans ses phenomenes les plus infimes. L'aerologie n'est pas toujours une science bien simple a analyser (surtout en montagne)

Bref le vent est parfois notre pire ennemi, il a emporte qqs copains... Il nous apprend l'humilite, la force de renoncer a nos p'tits plaisirs egoistes parfois.
Pourtant on lui doit tant de plaisirs, du simple cerf volant de traction, jusqu'aux plus beaux voiliers.
Mon prochain bateau s'appelera sans doute "Remige" ... J'aime les vautours fauves pyreneens !
A+, Laurent.

Pas d'accord

avec Goudspide ! il y a des ULM qui volent mieux que des avions : compares un MCR (Rotax 100CV) avec un Cessna 150 ou un bon vieux Rallye, et tu choisiras l'ULM.
Bon, moi j'ai arrété l'aviation générale en 1995 et l'ULM en 2005. Mon équipage en avait assez de ne me voir que le dimanche, et mon banquier n'a pas voulu suivre l'augmentation de la taille de mon bateau et l'augmentation du prix de l'heure de vol.
Quel radin ce banquier, .... et pourtant il est riche, mais guère partageur.

pas mal,d ulm sont équipés de parachute de secours

:tesur: mais pas obligatoire sur pendulaire:reflechi:

et c est tant mieux , si celui sur lequel j apprends , n en est pas doté!:doc:

www.koreus.com[...]te.html

:alavotre:

arghh

:lavache:

www.koreus.com[...]ce.html

:alavotre:

Ben moi..............

Parapente.
Paramoteur (dont un construit himself).
Delta.
Pilote avion VFR.
Bon pour les trois premier je suis trop vieux maintenant, et pour l'avion fallait choisir bateau et avion ne rentraient pas dans le budget....snif.........

atterrissage...

avec 2 "t", c'est mieux...

Ressemblances ... et différences !

Il y a beaucoup de ressemblances entre le vol sans moteur et le voilier en mer, c'est certain.

Une différence essentielle, c'est la gestion du risque, très souvent mortel en "aérien", donc obligeant le respect de procédures plus contraignantes qu'en voilier. Pas question de décoller après un repas arrosé par exemple, ni en ayant avalé des anti-naupathiques si on a le mal de mer en vol.

La navigation est aussi compliquée par l'urgence et la vitesse de déplacement en "aérien", et s'égarer en un lieu imprévu est parfois tragique si on vole en montagne sur de grandes distances. Pour mémoire, en planeur moderne, un circuit de 300 km est assez banal en 4 ou 5 heures, et certains arrivent à 1000 km dans la journée.

La gestion du stress peut-être assez violente en vol dans certaines circonstances de vol sans moteur, et on voit des pilotes perdre pas mal de poids en une journée de vol non-stop. .. malgré l'immobilité physique totale dans l'habitacle. Vite rattrapé le soir avec un gueuleton ;-)

Enfin, pour ceux qui ont la prostate en mauvais état, l'arrêt pipi n'existe pas :heu:

Atlante...............

..........j'ai commencé sur une Manta aile de saut a 6 caissons (si, si 6).......ha le bon temps.....

Pour Robert

J'ai connu un monsieur, d'un certain âge, qui avait trouvé une parade à la pause pipi : il ne volait jamais seul, mais avec une passagère de préférence, à qui il confiait le manche (celui de l'avion) pendant qu'il faisait sa pause dans une bouteille plastique... Si si, c'est véridique.

pause pipi ...

Les amis un peu plus âgés que moi utilisaient tout simplement un tuyau débouchant sous le fuselage et muni du côté "humain" par une sorte de doigtier en élastomère, bref, un truc d'hôpital pour les papys incontinents :heu:

Pour le copilote féminin, à par de rares exceptions près les biplaces sont en tandem et non pas en côte à côte, donc ça enlève pas mal d'intérêt à la technique décrite de cession du manche ;-) :oups:

Pour IDF

Tes archives ne sont pas exactes : ce n'est pas Goud qui a cassé du bois, mais sa dulcinée ... Non mais, rendons à César...

tant qu'on est sur youtube

mon dernier vol en bi avec un pote au cap vert :
fr.youtube.com[...]/watch

beau vol sauvage, belles couleurs