Blagues maritimes

[trouvée qque part dans le net]

un marin rencontre un pirate; le pirate a tout ce qu'il faut à un pirate: jambe en bois, crochet, bandeau sur l'oeil.

Le marin l'interroge: comment c'est passé pour la jambe?

"J'étais dans le milieu d'une tempete, une vague m'a jeté par dessus bord, et un requin m'a arraché la jambe"

Ouh là, et pour le crochet?

"J'étais parti à l'abordage, mais un ennemi m'a coupé la main avec son sabre"

Mon dieu, et l'oeil?

"Oh, c'était une crotte de mouette"

Le marin reste surpris: "une crotte de mouette?comment c'est possible?"

Le pirate repond "c'était mon premier jour avec le crochet"

L'équipage
26 avr. 2004
26 avr. 2004

PTDR....

et pour faire vivre ce fil qui amène de la gaieté un dicton bien connu:
Qui pisse contre le vent se rince les dents.
Ou alors...
Noël au balcon... Enrhumé comme un con...

26 avr. 2004

HOE LES GARS

Z'avez déjà fait un tour à la taverne sur la ligne humour?

26 avr. 2004

OK babou...

Message reçu...

26 avr. 2004

!

;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

26 avr. 2004

ben voila

c'est par la que je suis arrivée sur heo en cherchant les trucs humoristique...

26 avr. 2004

Le canoé indien

A la grande époque de la colonisation du Canada, trois trappeurs remontent à travers les territoires du Nord en quête de prises fructueuses.
L'un est Anglais, le second Français et le dernier New-Yorkais.
Comme l'attention se relâche, une douzaine d'Iroquois surgit soudain du taillis.
Supérieurs en nombre, ils désarment prestement les trois Blancs.
Leur chef s'avance et dans un Anglais très convenable, il explique:

"Bien. Messieurs, je n'ai pas besoin de vous décrire votre situation, n'est-ce pas?
Indien de progrès, ennemi de la cruauté, mon attitude dans de telles circonstances est toujours restée celle d'un professionnel.

Au demeurant, un problème se pose à moi:
Nous avons besoin d'un nouveau canoë pour rentrer
au campement et, si les arbres environnants nous en fourniront sans dificulté l'armature, la peau, elle, reste à trouver.
Vous me comprenez, n'est-ce pas?

Je vous demande de nous épargner tout comportement mélodramatique en cette occasion douloureuse, et afin de vous aider à faire une digne fin, je me propose de mettre à votre disposition les modestes ressources que voici.
De nos opérations précédentes il nous reste par chance un revolver, une fiole de poison et un couteau.

Je suis disposé à laisser chacun d'entre vous se supprimer tranquillement de la manière qui lui conviendra.
Concertez-vous, et que chacun choisisse l'arme
qu'il préfère.
Il dépend de vous que tout se passe dignement.
Hugh! et toute cette sorte de choses."

Le Français dit "Aïe tchouse ze poïsonne" et l'avale.
L'Anglais déclare "I'll take the gun" et clabote à son tour.

Le New-Yorkais prend le couteau, se donne un coup ici, puis là, et encore à un autre endroit de son individu.
Au lieu de s'administrer le coup de grâce, il multiplie les blessures, se couvrant de son propre sang qui ruisselle d'une façon dégoûtante.

Le chef indien qui affectait jusque-là de regarder en l'air pudiquement, finit par s'approcher du Yankee et l'apostrophe:

"Voyons mon vieux, vous me décevez beaucoup, ce n'est pas une fin héroïque ça, c'est un massacre, une vraie dégoûtation! Du temps de Cavelier de la Salle on'aurait pas vu ça!"

"Ouaip, connard, mais regarde un peu la gueule de ton kayak maintenant!"

Phare des Sanguinaires - 6 juillet 2023

Phare du monde

  • 4.5 (12)

Phare des Sanguinaires - 6 juillet 2023

2022