Votre plus grand coup de pot ?

Pour moi, l.annee dernière on hisse le spi (125 m carrés) vent réel 15 nœuds.
Le spi se gonfle bien, mais il n'est pas hisse tout à fait à bloc.
Ma fille va au pied de mat et sans prévenir largue presque tous les tours de la ldrisse pour hisser à la main (là j'ai crié très fort ! )
Il ne s'est rien passé !!!

J'avais déjà remarqué que pour affaler , spi dans sa chaussette, il fallait tirer un grand coup sec et je devais aller voir la-haut l'état de la poulie, mais juste oublié de le faire.

C'est ce qui a évité le drame : le roulement de la poulie était cassé et elle ne tournait plus sous forte tension.

Mais la trouille de ma vie et presque une extinction de voix.

Pourtant ma fille navigue de puis toute petite (elle a 39 ans) pourquoi a-t-elle fait cela ? Elle ne sait pas. Elle connaît les efforts sur un spi.
Le bateau est très doux, peut-être à-t-elle cru qu'il y avait très peu de vent.

L'équipage
05 mar. 2016
05 mar. 2016
0

Bonsoir,
moi, j'ai pas de pot... :acheval: :acheval: :acheval:

05 mar. 2016
5

Quand j'ai perdu mon homme .

4

Le Nutella en une seule fois... bien énervé...
:acheval: :pecheur: :scie:
Bon, OK, je sors. :-p

05 mar. 2016
0

125m2 sur le First 30?

0

J'ai un Hood 38
11,60 m
14 tonnes en charge
Génois 65 m carrés
G.V. 35
Spi 125

05 mar. 2016
29

plus grand coup de pot ?
aucune idée, abonné aux emmerdes,
donc je vais dire que mon plus grand coup de pot, c'est le jour ou j'ai serré la main de l'ancien proprio de mon fier esquif en conclusion des négos…
ma vie à changé ce jour-là, avant j'avais pas un rond un rond et un rêve, depuis, j'ai encore moins de ronds, mais un rêve encore plus grand, parce que mon esquif me demande d'aller loin, j'suis pas à son niveau, mais je n'ai pas le droit de le trahir
il me parle, il veux de la mer, du vent, des promenades… lointaines je crois,
ça va venir, je ne peux pas trahir mon rafiot, il est trop bien

06 mar. 2016
2

Et ton second plus grand coup de pot sera quand tu serreras la main à ton acheteur .

05 mar. 2016
0

Bonsoir,
mon plus grand JOUR de chance:
en Juillet 90, après avoir mouillé devant Longyearbyen (Spitsberg) avec mon "Noz-Gwenn" (Loisir 7.30), je débarque en annexe et en arrivant en haut de l' échelle, j' entend quelqu' un qui me dit (en Français): passe-moi ton bout que je t' amarre! Surprise, il s' agissait d' un couple de Français qui tentait de faire le tour du Spits en Hobbie-cat. Après une courte discussion, je me suis rendu compte que c' était grâce à eux si j' étais là!
En effet, deux ans auparavant, ils étaient monté avec Diabolo (un Catana 40) et avaient, à leur retour fait un magnifique article dans Voiles et Voiliers, article qui avait été l' élément déclencheur de mon voyage!
Dans l' après-midi, ont décide de faire une sortie les deux bateaux ensemble dans l' Isfjord. Peu de vent, on se traine. Quelques heures plus tard, retour à la case départ et, comme d' hab, je mouille à la voile (avec une bonne longueur de chaîne) et on va boire un coup en "ville".
Au retour au "port", "Noz-Gwenn" n' était plus au mouillage mais amarré à couple d' un bateau au quai avec sa chaîne d' ancre!
Le vent avait tourné et forci, le mouillage avait dérapé et mon bateau était parti tout seul (sans doute voulait-il visiter la côte est du Groënland).
Quelqu' un l' avait vu partir et était aller le cherché!
J' appris ensuite qu' il était mouillé sur fond de charbon.
Gorlann

05 mar. 2016
44

Ben moi, mon plus grand coup d'peau, c'est d'être né dans un pays riche ... Pas vous .... ? Sinon, j'serai p'être en train d'migrer ...

06 mar. 2016
2

Pas s^ur, tu ferais peut-^etre la guerre...

06 mar. 2016
0

mmm...peut-être....mais tout dépend de quel côté du fusil il se trouverait...

06 mar. 201606 mar. 2016
1

Sur mon ex-Sangria. En solo. Sous régulateur d'allure. Près serré.
Force 3. Printemps. Mer un peu creusée, un début de tangage marqué.
Belle-Ile est à trois miles devant.
Un jour de semaine, aucun bateau en vue.
je décide de préparer le mouillage.
je vais à l'avant pour sortir l'ancre de la baille.
Tout d'un coup, je glisse. Sous le balcon.
Je me retiens in extremis une main au balcon.
Me voici cul et cuisses au dessus de l'eau, seuls le bas des jambes sont sur le pont. Le tangage rends la remontée plus difficile qu'on ne pourrait le croire.
Rester lucide, concentré, ne pas s'effrayer de la gravité du moment. Finalement, je remonte sur le pont.
Ç'aurait été la fin assurée si j'étais vraiment tombé.
Depuis je me suis promis un antidérapant et une attention, indéfectibles.

06 mar. 2016
1

Pour moi c'est tout bete, c'est d'avoir lu la veille de la panne sur H&O qu'il fallait fermer la vanne d'eau de mer si le moteur ne demarrait pas de suite, mine de rien cela à sauvé mon moteur.

06 mar. 2016
9

Après une descente du golfe du Morbihan et déjeuner à Houât, nous rentrons. Devant Port Navalo j'aperçois un pare-batt à la dérive. Je le repêche. C'était le nôtre perdu à l'aller... ! ! !

06 mar. 2016
4

perdre son passeport en sortant de faire la clerance et revenir sur ses pas et le retrouver ....au bresil !! sur le quai de salavador.

06 mar. 2016
8

Quand j'ai rencontré le skipper avec lequel j'ai navigué de Lorient au Brésil, en Patagonie, du Chili en Polynésie, de la nouvelle-Zélande à Hawaii. Je suis en ce moment avec lui au Mexique et on repart vers l'Australie dès qu'on a fini de réparer le moteur.
Tout ça après avoir répondu à une petite annonce, la première de ce genre à laquelle je répondais.
Si ça c'est pas du bol....

06 mar. 2016
1

Début des années 80, première saison de navigation.
Bateau au mouillage sur corps mort, 2 ruptures de chaine à 1 mois d'intervalle lors de coups de vent, bilan:

  • bateau à la dérive devant l'entrée du Crouesty, échouage en douceur sur une mince bande de sable tapissée de gouëmon, cernée par des roches de chaque côté...

  • idem dans le golfe du Morbihan, bateau "rattrapé au vol" par un pêcheur pro, et amarré gentiment à l'ile aux Moines.

Dans les 2 cas, pas une égratignure. Un bon génie veillait sur mon bateau
en me pardonnant mes erreurs de débutant!!

06 mar. 2016
3

Etre né dans un pays qui n'a pas connu de guerre sur son territoire continental depuis 70 ans.

06 mar. 2016
6

au cœur même du territoire métropolitain, en effet,
quoique cela puisse être discutable, d'ailleurs me semble qu'en novembre, notre présigland a parlé d'actes de guerre…
et même si je suis pas mécontent d'être français, je n'oublie pas non plus que depuis 1789, pour pas remonter aux temps des rois, je crois pas qu'il soit possible de trouver une seule année ou notre armée n'était pas en action sur un territoire ou un autre… donc être français, ça signifie aussi être porteur de la nationalité d'un pays en guerre permanente, peut-être même plus que les US… et porter la parole des lumières et des droits de l'homme à coup de bombes et de FA-MAS, je suis pas certain d'en être content…

est-ce que quelqu'un s'est posé la question un jour de savoir pourquoi en général le touriste français, dans à peu près tous les pays du monde, est vu comme un connard arrogant porteur de la bonne parole, qui arrive en territoire conquis ?

06 mar. 2016
0

effectivement si tu t'habilles en general ...

06 mar. 2016
1

oui, la malhonnêteté est ma caractéristique principale, tous ceux qui me connaissent peuvent le confirmer d'ailleurs
donc, en effet, je ne suis jamais sorti de mon trou à rats, j'ai aucun copains dans des pays qui se trouvent un peu partout sur la mapemonde, ces copains ne m'ont jamais parlé de comment les français sont vus assez souvent, je n'ai jamais ressenti de gêne nulle part d'être français, etc… même si effectivemment, y'en as des biens

quand aux opérations militaires, oui, on doit pas être loin de faire pire que les US, et ce, depuis longtemps, je ne penses pas qu'au cours des 2 derniers siècles, on doit pouvoir trouver la France en paix plus de 10 ans, ni même plus d'un an.

mais si tu as des arguments, je prends, ça m'interresse toujours d'apprendre et de réviser mes positions en fonction de ce que je découvre

06 mar. 2016
5

Pas vrai, adav29 !
La France est un petit pays coincé entre la Belgique et la Bretagne.
D'abord ...

06 mar. 2016
0

je veux bien, mais alors qu'on m'explique
j'ai une sacré capacité pour l'auto-flagellation quand je voit que j'ai dit une connerie, mais là, je vois pas laquelle, alors…
(puis mon pseudo, je sais qu'il est bien choisi ^^)

@blacker, depuis le temps que tu m'as mis en fond de cale, tu lit encore les conneries que je dit ?

06 mar. 2016
1

Merci sarko de nous avoir fait réintégrer l'Otan ! :bravo: :policier:

06 mar. 2016
1

" donc être français, ça signifie aussi être porteur de la nationalité d'un pays en guerre permanente, peut-être même plus que les US…"

Il faut être malhonnête pour dire ça et je suppose que tu n'as pas beaucoup voyagé pour dire aussi:

"en général le touriste français, dans à peu près tous les pays du monde, est vu comme un connard arrogant porteur de la bonne parole, qui arrive en territoire conquis ?"

excuses-moi, tu dois être tout simplement un "Américain",ou alors tu comprends tout comme ton "pseudo"….. :lavache: :reflechi:

06 mar. 2016
4

je rejoins toualenver,c'est quand même pas un scoop ni anti français de dire qu'à l'étranger le comportement de bcp de compatriotes (surtout les moins jeunes...) est quand même limite et arrogant......
Moi à l'étranger je dit que je viens de bretagne, petit pays magnifique annexé de force par la france, ça passe mieux pour les relations :heu:

06 mar. 2016
5

Je suis d'accord avec toi qu'on ne doit avoir aucune gène à se sentir Français à l'étranger.
Je crois que les "infos" reçues de tes potes sont juste des infos de deuxième main et traduisent bien l'éducation que votre génération (35/45 ,je pense) a reçue.La haine de SOI et de sa "patrie" est bien ancrée en vous et vous fait voir votre citoyenneté comme une tare.
Il te manque juste un peu de culture historique pour comprendre ce qu'est ton pays et le rôle qu'il a joué…..
A ce sujet ,ne voulant pas débattre ici sans fin;ce serait polluer un fil plutôt marrant par ailleurs, je te conseille de lire "histoire de France" de Jacques Bainville ,ça ne peux que t'intéresser .
Je parlais plus haut de "malhonnêteté " de ton propos dans le sens ou celui-ci n'était pas étayé et donc réducteur.
Ceci dit en toute amitié………... :topla:

06 mar. 2016
0

ça c'est bien les français, faut toujours qu'ils en rajoutent :-D :-D

17 mar. 2017
0

:réfléchi:
Sauf erreur, aucune guerre dans le Monde en 1907.
Donc la France était suis en paix.
Alors imaginer plusieurs siècles de France guerrière est une erreur.
:heu:

06 mar. 2016
1

Tu portes bien ton Nom Toualenver , cela a l'avantage de reconnaître que tu es TOUALENVER

0

Il est vrai que si on regarde sur les 10 dernières années, il n'y en a pas une seule où la France n'est pas été engagée sur un théâtre d'opération...
Et on doit pouvoir remonter assez loin avant de trouver une "année blanche".
:-(

22 août 2016
1

Ça s'est passé en 1759-60, quelques années avant 1789...

N'empêche que j'aurais ben aimé si vous l'aviez gagné cette bataille. :heu:
fr.m.wikipedia.org[...]59-1760

06 mar. 2016
40

Ma tres grande chance: pouvoir toujours naviguer en solo sur des distances jusqu a 150 ou 200 milles a l approche de mes 78 ans! Jusqu a quand?...

06 mar. 2016
0

Syd Fisher dirait encore 11 ans, c'est vrai qu'il est en équipage mais sur un Maxi de 100 pieds, avec une Sydney-Hobart par an.

07 mar. 2016
2

mon ami robert a 86 et il navigue encore en pleine forme ..

23 sept. 2016
0

@labellemumu, Pour votre ami Robert, ne vous inquiétez pas: çà ne s'arrête jamais....

23 sept. 2016
1

Je ne m'attendais pas à cette pluie d'étoiles!
Merci à vous tous.
C'est un bel encouragement pour que je m'agrippe à la barre le plus
longtemps possible sans penser à mon avenir rétreint.

19 mar. 2017
0

je ne suis pas loin derrière , mais le ponpon c'est mon ami Pierre qui vient d'arrêter et vend son hood à 86ans après le retour de turquie en septembre dernier ...un sacré marin ..
alain :bravo:

06 mar. 2016
0

Ce qui va m'arriver la semaine prochaine

06 mar. 2016
11

que mon cata est résisté a son corps mort a Savusavu aux Fidji lors du passage du cyclone Winston avec 135 nds de vent enregistré ....Beaucoup de bateaux non pas eue cette chance

06 mar. 2016
0

oui ca c' est vraiment une vraie bonne chance

06 mar. 2016
0

amarré sur la chaîne d'un corps mort devant chez un ami à la presqu'ile de giens avec 2 bouts, le clapot se lève les bouts s'usent sur la chaîne et le bateau part, heureusement il s’arrête sur des fonds en herbiers....pas une égratignure, encore merci aux 2 baigneurs qui m'ont aidé à le remettre face au vent pour partir l'amarrer avec une chaîne cette fois ci...

06 mar. 2016
2

De retour d'une journée en semi-rigide, je m'aperçois à la maison que j'ai perdu mes lunettes de soleil, pourtant accrocher à un cordon. Je n'ai pu que les laisser tomber à l'eau pendant les manœuvres de sortie du bateau. Le soir à 22H30 heures je retourne sur la plage avec mon tracteur, considérant que la mer s'est retirée du lieu supposé de la disparition. Miracle, les phares du tracteur font apparaitre un gros ver luisant sur le sable, qui ne sont en fait que mes lunettes de soleil intactes.

2

Et le " pas de pot" aurait été de rouler dessus avec le tracteur !

06 mar. 2016
1

Comme quoi chacun n'a pas la même approche du "plus grand coup de pot". Pour certain c'est d'avoir la vie sauve et pour d'autre c'est d'avoir retrouvé leurs parbate ou leurs lunettes.
J'espère que pour ces derniers, leurs "plus grand malheur" sera du même ordre.

06 mar. 2016
0

tant mieux pour eux, on va pas leur reprocher d'avoir failli mourir, si?
ça en ferai de meilleurs marins? je pense pas; ils font peut-être plus attention à ne pas être en situation limite?

06 mar. 2016
1

Venant de Cherbourg et allant à Guernsey dans un gros soudain paquet de brume , à l'entrée du petit Russel .
Poursuivre ma route ( le demi- tour restait possible)pour ne pas à faire le grand tour par le grand Russel , ne pas avoir eu le temps de faire chauffer le radar pour sa mise en route, avancer à l'aveugle et voir soudain passer à frôler mon voilier , le ferry qui assure la ligne vers Albion ! Putain la frousse , et la chance de ne pas faire route 1° de plus à tribord . La brume a cessé dès la sortie du Russel en vue du port de St Peter . Gagné 2/3 h de nav mais à quel prix .
Je ne le refairai plus , juré- craché !

06 mar. 2016
3

D'avoir été assommé par la bome lors d'un empannage impromptu et ramené sur le pont par mon fils

06 mar. 201616 juin 2020
0

ça...

06 mar. 2016
1

aie!

07 mar. 2016
10

d'avoir une femme qui aime naviguer

07 mar. 2016
4

et moi d'avoir une femme qui aime pas naviguer.....

07 mar. 2016
0

Dans les années 70, un 14 juillet, remontant du pays basque avec Akwaba sur sa Corvette, nous nous sommes fait bloquer jusqu'à 18 h au sud de Mimizan par le CEL pour cause de tirs. Nous nous sommes donc présentés trop tard devant les passes d'Arcachon, à la nuit tombante. Nous avons tenté le passage à la lueur de la lune, mais un gros nuage nous a subitement plongés dans l'obscurité totale. Bien sûr (à l'époque pas de GPS ni de VHF ni de téléphone portable, pas même de sondeur, juste une sonde à main et un compas de relèvement) nous avons dévié du chenal et nous sommes retrouvés dans les déferlantes...

1er coup de bol : le hors bord, d'habitude très capricieux a démarré au quart de tour sur le dos d'une déferlante et nous a permis de nous échapper vers le large.
Nous avons mouillé dans un zone assez calme, entourés par des brisants que nous voyions luire dans la nuit. Nous nous restaurons, fumons la dernière cigarette du bord, et commençons notre veille pour attendre le matin.

2ème coup de bol : après quelques heures, la marée montante fait chasser notre mouillage et... nous ramène dans le chenal ! Nous voyons défiler une bouée à quelques mètres, remontons le mouillage et envoyons la toile. Nous sommes rentrés dans le bassin en serrant les fesses, mais tout s'est bien passé, et nous nous nous amarrons à la jetée Thiers vers 2 ou 3 heures du matin (à l'époque c'était autorisé).

3ème coup de bol : 14 juillet oblige, le Café du Commerce était encore ouvert, et on a pu se déguster une bonne entrecôte et acheter des Gauloises ! Ensuite, on est rentrés au port faire un gros dodo...

Bon, d'accord, avant ces coups de chance, il y a eu quelques imprudences qui nous ont mis en difficulté... (avec quand même au départ le retard imposé par le CEL !), mais c'est bien à ça que sert la chance, non ?

07 mar. 2016
1

Avoir fait reprendre un voilier pourri par un concessionnaire véreux pour acheter un bateau sain

07 mar. 2016
0

Naviguant sous pilote entre lorient et concarneau ,j'ai tiré un bord vers la côte .Moment calme ,le bateau avance à 5 nœuds .j'en profite pour regarder paisiblement les environs appuyer sur ma capote de roof .j'ai somnolé quelques minutes debout ..tranquille .tout à coup je suis réveillé par le bruit des vagues qui cassaient sur les rochers .j'arrivais à 45° sur les rochers qui étaient à 30 mètres .juste le temps de débrayer le pilote .barre toute à bâbord ....je voyais les cailloux dans l'eau .une bonne leçon que je n'oublierai pas .pas de sieste sur un bord en direction de la côte

07 mar. 2016
0

en faisant route de cherbourg a camaret, une dizaine de miles après guernesey en pleine nuit, m'etre assoupi pas plus de dix minutes et me reveiller avec une bouée de marque speciale en acier à la derive a 20 metres juste devant l étrave, ça vous tient éveillé pour tout le reste de la nuit.

07 mar. 201607 mar. 2016
3

En 1975, se terminait le Triangle Atlantique auquel j'ai participé. Après la Whitbread de 1973, c’était la deuxième fois qu’une course à étape inter-continentale était organisée dans le monde.

Cette course reliait St Malo à Capetown, puis Rio de Janeiro, le BOB IV, un Cornu de 14 m construit chez Labbé à S Malo terminait son triangle vers Portsmouth sous les ordres de son skipper, un gamin de 17 ans : Franck Escoffier.

L’atterrissage lors du dernier jour de mer est joliment relaté par mon ami, André Gentil, dans son excellent livre de mer, « Par les trois caps, t’es pas cap » :
« Après 60 jours de mer, nous remontions de Rio de Janeiro vers Portsmouth, dernière étape du Triangle atlantique. L’anticyclone nous avait joué des mauvais tours et fait prendre du retard au point de nous rationner en eau et nourriture.

Nous entrâmes en Manche par une épaisse brume. Le petit temps s’installa durablement. La brume durait depuis trois jours et notre point astro vieillissait mal. La gonio reprit du service, les instructions nautiques furent épluchées jusque dans les moindres détails. C’est de l’ouïe que vint la délivrance. Deux sons de corne toutes les trente secondes. C’était bien elle.

Nous étions à quelques milles de la pointe Ste Catherine au sud de l’île de Wight. Le son de la corne était désormais sur notre arrière bâbord. Nous nous tenions tous les sept sur le pont, silencieux, recueillis.
Des remous inquiétant firent monter la tension d’un cran.
-On est dans la roche…Très près de la côte.
-Chut. Taisez vous ! J’entends une voiture.
Debout au pied du mat, Térénia murmura, incrédule :
-Regardez, des vaches.
-Où ça ?
-Là haut.
-Regardez là haut sur la colline, entre les bouchons de brume.
-Elles volent ?
-Non, elles broutent. Oh, nom de Dieu, des vaches !
Imaginez la scène, sept navigateurs hirsutes, à faire peur, apercevant des vaches sur les flancs verdoyants de l’île de Wight après cinquante-sept jours de mer ! »

A l’époque, le rôle du navigateur était primordial. La navigation se faisait exclusivement à l’estime et c’était agir en bon marin que, dans la boucaille, et même en course, on abatte pour reconnaître une bouée ou une cote afin de « conforter » l’estime.

07 mar. 201616 juin 2020
0

vous avez croisé une voiture amphibie ?!
:mdr:

07 mar. 2016
0

Je suis la pour raconter, donc l'histoire ce finit bien. A la suite de cet épisode, mon pote, le skipper, a conclu qu'il était temps pour lui de remonter sur le pont, même s'il y faisait froid. Nous sommes arrivé à Lorient au milieu de la nuit, et à la voile s'il vous plait.

07 mar. 201607 mar. 2016
2

A ma microscopique échelle, j'ai connu une situation un peu similaire.

Suite à des exercices divers de nuit sur la plage avant, au dela des limites de préconisations des glénouses , je m'étais retrouvé en slip, transi de froid, sans change sec disponible, dans le carré. Je n'avais plus, ni la volonté, ni les moyens physiques de remonter sur le pont. Mon pote, skipper, n'était guère plus vaillant.

Nous étions deux, assis, autour de la table du carré, tentant vaille de vaille de faire la nav, une main sur la carte, l'autre sur le sceau pour vomir que nous nous partagions. Dehors, 2 allemands totalement débutants et ma copine, guère plus amarinée, mais pas malades, barraient, changeaient nos sceaux et nous communiquaient des informations de position aussi vagues qu'imprécises. "On dirait une ville devant un peu à gauche!". Bref, une belle ambiance de charlots perdues dans la nuit.

A un moment, Klauss, l'un des allemands, lance dans son français approximatif. "Je vois des feux oscillants !". Mon pote répond : "Klaus, fait pas chier. Les feux oscillants ca n'existe pas. Il y a des feux à éclats, des feux à occultations, et des feux isophases. Pas de feux oscillants. Alors qu'est-ce que tu vois exactement. Calcule la période s'il te plait (je ne suis pas très sur pour le stp) ?".

Délai. Palabre en teuton dans le cookpit. Mon pote en bas qui s'énerve parce qu'il aimerait bien savoir où nous sommes. Et le verdict qui tombe : "Non, non , ce sont bien des feux oscillants. Il y en deux, ils sont jaunes, et ils ont l'air d'être pas très loin droit devant !".

"Bon sang, virer de bord la-haut, c'est une bagnole !"

Nous aussi, nous venions de "conforter l'estime"...

Bonne journée à tous.

07 mar. 2016
0

Ah la vache ! :-)
vous avez fait fort là ! Comment ça s'est fini ?

Pour ma part : j'ai vu des mouettes marcher sur la mer lors d'un convoyage avec un Mumm30. Evidemment, c'était un banc de sable à peine découvrant.
"Il serait pas temps de virer là ?
- Euh... oui, stp."

18 août 2016
3

Quand j'ai rencontré ma copine! on avait le même rêve sans le savoir, maintenant c'est devenu une réalité nous vivons à bord !!!!

19 août 2016
0

Bonsoir as tous il y as dès année dans les années 85. Pendant les entraînement de hiver as Lorient sur sélection 37 parcours côtier. Lorient belle île en passant par les glenan de nuit bien-sûr as tribord de groix as deux heure du matin mon quard arrive je sors de mon sommeil je vais sur le pont et d un seul coup j entent les mouettes chanter pas normal as cette heure je dis as l équipage de quart qu il y as un problème la réponse était que je m et souvienne tu vient de te réveiller prend un cafe je décide de prendre le projecteur as bort pour s apercevoir que l on était as moin de 5 mètre des rocher donc urgence as bord j ai eu la trouille de ma vie à cause d un skippeur qui avait fait une erreur de 5degrer en traçant la route

19 août 2016
1

j'étais entrain de pisser a 4h du mat par une belle nuit, mer calme 3-4 beaufort tranquille quoi...
heureusement j'ai pris l'habitude de toujours passer un bras autour d'un hauban lors de cette manoeuvre ...
lorsque tout a coup une enorme vague(mini vague scelerate) par dessus le pont
je me suis retrouvé a faire le drapeau braguette ouverte évidement" un classique"
voila donc j'ai quand meme eu du pot

19 août 2016
1

En prenant l'ancre a la main pour la mettre dans la baille a mouillage alors qu'elle pendait en dehors du davier, la liaison chaine an le m'a pété dans les mains mais j'ai réussi a garder ma prise sur l'ancre.
Bien heureux que ça ne soit pas arrivé lors d'un coup de vent quand l'ancre est plantée au fond et que la côte n'est pas loin .

22 août 2016
4

Salut . Je venais d'acheter un FIRST 325 avec le haubanage refait à neuf ,donc contrôlé par un "expert " et je remontais le mistral (fce 6/7 )au large de l'ile Maire . Sur un virement de bord , un claquement puis quelque chose me siffle aux oreilles et au même moment le hauban sous le vent se met à balayer violemment le pont. Moteur , j'affale et je rentre au port du Frioul , le hauban ficelé au rail de fargue pour me rendre compte à quai , que ce qui m'avait frôlé les oreilles , c'était le cylindre qui tenait le hauban . J'ai cru à une goupille cassée mais bien m'en a pris de contrôler les autres car TOUTES les goupilles étaient bien droites , pas tordues pour ne pas qu'elles s'échappent . Une grande chance de ne pas avoir démâté, et d'être encore vivant. ( un cylindre volant en pleine poire ... ça doit faire mal !!!) S'il y a une moralité à cette histoire ce serait la modestie que l'on devrait avoir quand on fait un travail . Car ces goupilles , le professionnel a oublié de les tordre , l'expert ne les a pas vu , ....et moi , je suis aussi con que les autres parce que j'aurais pas du faire confiance !!! :non:

22 août 2016
0

Petit vent F2, petites vaguelettes de 30 cm.
Je suis affalé tranquillement sur un banc de cockpit.
Une envie de faire un tour d'horizon vite réprimée par un baillement.
Et soudain un petit quelque chose qui m'a fait me lever d'un bond. Là, devant moi à 20 m, un double matelas pneumatique gris souris avec un couple en plein ébat.
Je les ai frôlé à 5 m sans un seul regard de leur part.
Ce n'est que 50 m plus loin que j'ai réalisé ce qui se passait effectivement...

1

Quand les mouettes ont pied, il est temps de virer

devient donc :

Quand ils prennent leur pied, il est temps de virer

Tu devais être sacrément près du bord ou alors, ils étaient en perdition au large et exécutaient leurs dernières volontés. :litjournal:

22 août 201616 juin 2020
0

Cet été, j'ai fait une belle bourde qui aurait pu mal finir et la chance a bien joué en ma faveur.. Je décide de faire en voile le tour de l'Ile d'Arz, je choisi un jour de petit coef (env 40).. Je passe en sens horaire en suivant bien le balisage, les vertes sur tribord..
Mais arrivé au point le plus au nord, j'oublie que la verte suivante doit être prise dans le sens sortant du port, car elle balise toujours le chemin vers Vannes , mais comme je descend maintenant au sud je dois la laisser sur babord.. (Sur le jpeg c'est la pirenn au SE de l'ile d'Holavre)
Bref je suis passe en plein dessus la petite tache verte d'estran, mais coup de bol, petit coef et marée 1/2 haute, alors je comprend la bourde par la remontée au sondeur mais c'est tout...
En regardant la carte, bien sur il n'y a aucun doute posssible, mais pile à ce moment je n'ai pas rechecké et j'ai donné la mauvaise consigne au barreur..erreur grossière de débutant, qui ne m'étais pas encore arrivée, mais je la poste si cela peut servir à quelqu'un d'autre..

22 août 201622 août 2016
0

Une bourde cet été aussi en quittant le ponton G à Granville. :-(
Tellement concentré sur le largage des amarres par mon équipage et préoccupé par mon pas d'hélice, j'"oublie" de vérifier que la voie est libre avant de battre en arrière. Oups... la bisquine quitte aussi son emplacement. 55to de bois et un beaupré de 10m (?) me foncent dessus, en travers de la panne. Meeeerde. Trop tard pour remettre en avant, le ponton derrière moi se rapproche; put*** de pas! Je coupe les gaz et vire sur mon erre pour me dégager du ponton et de la route de collision. Ouf. Voilà une montée d'adrénaline dont je me serais bien passé. Je n'en suis pas fier, hormis pour la belle marche arrière finalement effectuée.
La leçon est retenue. :heu:

22 août 2016
0

Le jour où notre voilier. a passé l'écluse d'Arzal tout seul ...
Un feeling 920 amarré sur corps-mort. à Camoël . On me téléphone pour me dire que mon bateau est en amont du barrage contre le quai et qu'il faut que je vienne le chercher... Notre étonnement, comment a-t-il pu passer le barrage tout seul ?
En fait rupture de l'amarrage sur corps mort, quelqu'un qui passait par là à dû le voir dériver et le remorquer en amont du barrage.
On a jamais su qui nous a sauvé....

22 août 2016
0

Et encore une histoire d'écluse.
On achète notre premier bateau un first 24 et on le ramène à Arzal. On arrive trop tard pour la dernière écluse. On l'amarre a l'intérieur de l'écluse à marée haute, sur les bites et non pas sur les chaînes , et on rentre chez nous dormir.
Heureusement l'eclusier ou un autre plaisancier est passé derrière nous et à rectifié l'amarrage, sinon on aurait retrouvé le bateau suspendu en l'air ...
C'est fou toutes les conneries qu'on peut faire quand on débute la voile...

22 août 2016
0

9 AOUT 2016
On part le matin pour une ballade de 15nm; une écluse et un pont à passer jusque Zierikzee (Pays Bas)
Arrivé devant le pont, le moteur ne démarre plus.
Je vérifie les batteries, les cables; tout est OK.
Je suis avec un super marin, je ne me tracasse pas.
Je connais ibien le coin, je lui explique que la seule solution est de faire demi tour et de retourner se poser au ponton d'attente à l'écluse que nous avons passé le matin.
Le vent est bon (15/20Kn) et il fait beau (soleil / 22°)
Ca va être un rien sportif car on va devoir tirer des bords dans un chenal de 100m de large bien emprunté par des péniches; mais je ne me tracasse pas
L'arrivé elle par conte va être TRES CHAUDE

On va avoir le vent à 18kn pile dans le nez; le chenal sur la fin va faire 15m de large, on devoir y tirer des bords et espérer que le dernier nous fasse arriver sur le ponton où nous allons nous amarrer TB

On arrive dans le chenal, on est à 100m de l'écluse à cet endroit il ne fait plus que 15m

Juste avant le ponton il y a une accumulation de grooooosses merdes

A gauche il y a l'entrée du port de pêche; si on y rentre on n'en sortira plus
Si on passé l'entrée mais qu'ion ne tourne pas on se tape un seuil affleurant délimité par des poteaux en béton tous les 3m
Si on vire, à droite, juste en face il y a une énooorme structure de 4x4 surmonté d'un pont à 5m qui sert à transporter du diesel
Juste après la structure, 5m, une seconde structure faite en Duc d'Albe carrée de 4x4
Derrière le tout il reste 2m de fond est une digue formée de gros moellons apparent genre le mur de l'atlantique

En clair, on va passer de Charybde en Scylla et si on se loupe on est mort

On a passé les 2 premiers problèmes, càd le port de pêche et le seuil
On vire au ralenti vers le ponton sur notre droite. Si tout va bien on va arriver juste au début du ponton et je vais devoir me démerder pour chopper la bitte ; si je la loupe on part entre le duc d'albe et le ponton vers le mur d’Atlantique
Arrivé à 3m le vent refuse et tombe ; impossible de virer, on continue sur l'ère et on se retrouve entre le ponton et le duc d'albe géant face à la digue à 5m de nous
Le temps s’arrête, je vois tout au ralenti
Une seule solution, on empanne sauvage dans l'espace entre le ponton, la digue et le poteau. Je me rue vers le poteau mais on est trop près et j’arrive trop tard; on tape sur le poteau, ça fait un bruit horrible. A mon avis on va couler ici
Le fond passe à 1.9 (je cale 1.8), l'alarme de profondeur hurle comme une sirène de bombardement. La digue et ses moellons sont à 1m de la proue
La bôme traverse le cockpit à la vitesse d'une F1 et va s'écraser sur les haubans
C’est la fin du monde
Par je ne sais quel miracle on a tourné autour du poteau de 4x4 et évité la digue. On retourne vers le chenal
Ouf
Meeeeerde
C’est pas fini
Maintenant on est face au pont transporteur de diesel et on ne passera jamais en dessous
Second empannage que nous disons contrôlé
La bôme se fracasse sur la structure
Tout s'est passé en moins de 10' et je cours dans tous les sens pour retarder les chocs
Toujours trop tard
Neptune est avec nous, on repasse dans les 5m entre le pont, la structure de support et le poteau que nous venons d'éviter
J’ai l‘impression d’être Ulysse quiva de merde en merde
On file droit sur le seuil à 15m en face
Le chenal d'entrée de l'écluse est noir de monde mais personne ne nous propose de l'aide
Une petite vedette à un autre bateau plus grand que lui à couple aussi en panne de moteur on va vers lui
Un 13m essaye de passer au moteur entre nous, les gars à couple et le seuil que nous devons éviter; je huuuuuuurle à la cantonnade : PLUS DE MOTEUR LAISSEZ NOUS DE LA PLACE
Le gars continue comme si de rien n'était
On borde à fond, tout est plat comme une tôle d'acier
Ca vire
On passe à 50cm du seuil et on se redirige vers le ponton.
Là je prie pour qu’on y arrive en un bord car un bol comme celui qu'on a eu ne se reproduira plus
On est à 1Kn quasi non manœuvrant au milieu du chenal en direction du ponton
J'ai les fesses tellement serrées que rien ne pourrait en sortir
Mon copain est à la barre raide comme un Mayol en hiver
On va vers le ponton, on devrait toucher à 5m du trou où nous nous sommes engouffré 1minute plus tôt
Dans ce sens on va arriver sous le mur de l'écluse et le vent va retomber
Il reste 10m, 5m, 3m, 1m. Je ne crois pas en Dieu mais je l'insulte pour cette chute de vent et lui intime de faire tourner le vent sous peine de représailles sévères
Le peu de vent reste
On vire à fond bb et on vient se poser quasi à l'arrêt sur le ponton
Le gars devant qui a suivi anxieusement nos manœuvres vient récupérer mon amarre.
Je n'ai jamais été aussi heureux de toucher un ponton je tombe assis sur le roof
Je descends, regarde le bordé; bol. Il a touché dans le liston de protection qui est enfoncé sur 5cm (j'ai dû touché le coin du poteau) et la coque n'a absolument rien à part de la crasse

Tiens je n’ai même pas pissé dans mon froc ; pas dû avoir le temps

Maintenant second miracle
Je téléphone à Yanmar qui me dit qu’ils ont un représentant dans le port juste 500m après l’écluse
Mais le gars refuse de venir me chercher. Je dois me démerder pour passer l’écluse et rentrer dans le port jusqu’à sa boutique. Il se fout de savoir que je n’ai pas de moteur.

Le voilier devant nous, un First 35.7, me propose de nous aider à passer l'écluse en remorque avec un seau comme frein
Lorsqu'on est dans l'écluse il me demande où je dois aller.
Ma place de port est à 4nm après l'écluse on va avoir 20Kn de vent par le travers dans le chenal
Pas grave dit-il ;il va nous remorquer jusqu'à la maison et disparaître avant que je n'ai pu lui dire merci

J'en tremble encore maintenant

Pour finir, c’était une panne de démarreur cassé en deux

22 août 2016
0

Premier "coup de pot" rigolo, (putin, 30 ans) en solo sur un dart 18, au trapeze avec deux ecoutes et le stick en main le pied sort du foot strap, je me casse la geule a l'eau.
L'ecoute de GV encore en main je vois le bateau filer, je lache rien, ça borde tout seul a block, la coque au vent se leve . Puis l'ecoute etant coincee dans un cale pied, avec mon poids dans l'eau, l'ensemble s'equilibre et le cata de continuer pleine balle me trainant en remorque. J'ai reussi a remonter la longeur d'ecoute et enfin donner de la barre sous le vent. Hahahah.

22 août 2016
7

Mon plus grand coup de pot, c'est d'avoir rencontré celle qui est devenue mon équipière.
Je sais, ça fait un peu romantique mais pourtant, c'est tellement vrai!

22 août 2016
0

Un coup de pot sur Cephalonie en prenant notre mouillage.Entre une sonde à 7 mètres et une à 4 mètres mon compagnon va à l'avant prendre le mouillage jusqu à ce que mon sondeur s affole...me voilà dans le pied pilote.Je coupe la propulsion prête à talonner et donne un grand coup de barre pour éviter un gros tas de cailloux non signalés sur aucune de nos cartes. ( ni max sea ni navionic ni papier) on est passé au poil de c....prêt grâce à notre petite quille...grosse frayeur....un autre coup de pot nous avons cassé nos poulies de tv à chaque fois dans le petit temps....de la chance il en faut aussi

22 août 2016
0

Un coup de pot "éducatif" : Une sortie sur le Léman avec madame sur notre Sangria.

On arrive sur le bateau sur la digue de Thonon, un coup d'oeil au drapeaux, vent de face (comme d'habitude) force 3/4, donc sortie du port au près.
On prepare le bateau, on prend bien notre temps, on recule de la place, un coup de moteur et on sort du port sans regarder une girouette ou un drapeau.
Je coupe le moteur et hisse le génois et le règle pour le près sans regarder un penon ou quoi que ce soit. Madame à la barre me dit "on tourne en rond", je lui répond "fait gaffe à ton cap".
Je prépare la GV, installe les coulisseaux dans le mat dos à la cote (j'aurais dû me douter, mais je ne regarde que ce que je suis en train de faire). Madame me dit "on est prêt de la cote", je répond sèchement "attends, je hisse la GV et je prend la barre".
Je hisse la GV, revient à la barre et commence à regarder autour de moi pour me rendre compte qu'on est à 20 m des rochers... Pas de risque, je borde la GV pour le près et pousse la barre pour me remettre au près parce que, encore une fois, madame n'a pas suivi son cap et on est au travers (que je pense sombre idiot que je suis)... Le bateau ne réagit pas du tout à mes actions sur la barre et continue à dériver sur le travers vers les rochers quand une rafale fait tourner le bateau et on retrouve face aux rochers qui sont maintenant à 5 mètres (heureusement au moins 20m de fond)....
Je comprends soudainement que je ne comprend plus rien du tout de ce qui est en train de se passer, je lâche les drisses, je crie à madame d'affaler les voiles pour stopper la dérive, elle se jette sur une gaffe et debout sur le bord au vent repousse le premier rocher, on est sur la digue !!

Je replonge le hors-bord, me précipite sur le démarreur, et le moteur ne démarre pas. Le bateau cogne les rochers, une fois, deux fois, madame repousse tant qu'elle peut le bateau mais rien n'y fait. Un autre essai, le moteur ne veut rien savoir, un troisième essai, le moteur démarre, j'enclenche la marche arrière, il cale.

J'ai alors mis en principe un grand principe de vie. Quand le volcan entre en éruption, assis-toi et réfléchis trente seconde à la route que tu vas prendre avant de courir à toutes jambes vers un cul de sac.

Un coup de démarreur, il démarre et je vais aider madame avec les gaffes laissant le moteur tourner au point mort et prendre son souffle. A deux, on repousse les rochers, je retourne à la barre, la marche arrière tient et on arrive à se sauver. On prend la direction du large et on vérifie qu'il n'y a pas de voie d'eau sous les coussins du carré.

Une petite plongée plus tard m'apprendra que j'ai juste une très fine rayure de 20 cm dans l'antifouling et qu'il n'y avait rien de grave.

En fait, entre le moment où je suis arrivé sur le bateau et le moment ou je suis sorti, le vent avait pris un beaufort et changé de 45°.

Comme un con, j'étais resté sur mon idée initiale et avais réglé mes voiles pour une allure qui n'existait plus sans rien chercher à comprendre.

Sans la perspicacité de madame, mon sangria se serait éventré sur la digue pile de l'autre coté de ma place.

J'ai appris ce jour là à garder de l'humilité, à toujours chercher à lire le vent et à ne pas couper le moteur en sortant tout de suite du port pour économiser 5 cl d'essence alors que le vent vient de face.

23 sept. 2016
0

Et maintenant est-ce que tu écoutes ta femme au moins ??? :-D :-D

22 août 2016
0

Un coup de pot qui me vient à l'esprit car assez récent:
Un départ de régate au Tour du morbihan 2015 avec mon bateau;
la majorité des bateaux est concentrée à droite devant la ligne donc à droite.
Je me retrouve pris en sandwich entre 2 bateaux mais à droite du bateau comité au moment du départ avec aucune possibilité d'abattre ni de loffer.
Lorsque j'ai pu enfin abattre pour couper la ligne et laisser le bateau comité à tribord,j'ai cru jusqu'au dernier moment que j'allais toucher le bateau comité avec quelques dégats à la clé car on avait un peu de vitesse quand meme.
On est peut etre passé à 1 cm du bateau comité,sans toucher mais
j'ai dit merci à la chance ce jour là.
Bon j'en ai moins eu d'autres fois.

22 sept. 2016
3

13 janvier 94 je fais naufrage, helitreuillage, je perds mon bateau, ma maison, mon accordeon, mon envie, le bordel quoi... It s fucking shit, j'ai 23 ans, j'ai bossé comme un clebard et j'ai plus rien... Je me fais défoncer, chacun ayant son avis sur mon inconscience, déjà qu'est ce qu'il foutait en mer en plein hiver hein le con...
21 janvier, je me retrouve embarqué pour une transat France Antilles... La mer m'a assomée, et la mer m'a sauvée... Avant que je doute, que je plonge, que je flippe...
10 ans plus tard, je recroise le skipper au salon à Paris, je pars pour un convoyage à Cuba la semaine prochaine qu'il me dit le fumier, on est parti à Cuba...

23 sept. 2016
0

Coup de pot datant un peu. Il y a une dizaine d'année...
En 470 par une bonne brise. Mon hauban sous le vent a lâché (goupille partie pour une raison inexplicable). Impossible de s'arrêter sinon le mat tombe... Réussi sur un seul bord mais long à éviter tous les rochers en me rapprochant de la côte et m'échouer au près sur une plage à la pointe de l'île ( sinon je partait très loin). Depuis je suis parano sur les goupilles et haubans :)) - plage des grandes Conches pour ceux qui connaissent l'île d'Yeu

23 sept. 2016
2

Meilleur coup de pot ?
Quand j'ai rencontré ma femme ...

23 sept. 2016
8

Toi aussi ton épouse lit hisse et oh ?

:-D

23 sept. 2016
2

ça se discute ...
résoudre des problèmes à deux que l'on aurait jamais eu seul .....
perso je ne pense pas en avoir ,sauf la santé qui est florissante
mais je crois que c'et le plus grand que l'on puisse avoir .
alain

23 sept. 2016
0

Non.
Je lui en parle de temps à autre, elle en connait quelques uns (Ric56, Libideau, ...)

23 sept. 2016
0

Mon coup de pot , d'avoir senti une odeur de friture à 50 milles de Barcelone en allant à Minorque avec femme et enfants ...
Pas de bistro ni de resto en vue , pas de cuisine sur le bateau , peu de chance que cette odeur vienne de la cote ..
Aprés une fouille méthodique du navire on découvre une batterie presque en ébullition, un régulateur HS et un bidon essence moteur annexe entreposé dans le même coffre ...
J'en fait encore des cauchemars ...
Max

23 sept. 2016
0

Bjr, Maintenant, tu fais peut-être comme moi: mes 2 jerricans de 5 L sont stockés dans la baille à mouillage...

23 sept. 201623 sept. 2016
10

Mon grand coup de pot, je le copie/colle de mon site, pour ne pas que des mal intentionnés pensent que je "m'autopub" (de toute façon, j'y gagne rien !) :mdr:

C'est l'achat de notre premier voilier.

Récit:

"Depuis quelques saisons, nous faisions du camping sauvage près du lac de Vouglans, dans le jura, un des plus beaux lieux qu'il nous a été donné de visiter.
Nous y pratiquions, avec notre gros toutou (Radjah, un boxer déjà, célèbre pour ses plongeons et son amour immodéré pour les "pié-pierres"!) tout ce que l'on peut faire dans l'eau sans équipement: Nages diverses et variées, jeu, diverses embarcations-pneumatiques-de-bas-de-gamme-toujours-crevées, puis canoë, gonflable d'abord,crevé ensuite, puis en résine, puis Zodiac afin d'explorer notre lac (38km de long quand même!) toujours plus avant.

Or, il advint que la maréchaussée nous chassa de ce paradis terrestre, suite à l'interdiction du camping sauvage dans la région.

Résultat! Finies nos vacances sauvages et belles!
Nous avons donc plié la tente, passé quelques jours à l'hôtel...Triste, bien triste fin de vacances....

Pendant l'hiver, nous avons décidé d'acheter un bateau (à voiles, naturellement, il n'existe pas d'autre type de bateau, c'est clair?) qui nous servirait de "caravane flottante", car en discutant, nous nous sommes aperçus que nous avions, mon compagne et moi, envie de bateau depuis fort longtemps, sans en avoir jamais expressément parlé!

Nous disposions, je m'en souviens très bien, de 25000frs!

J'ai profité du pont du 1er mai 94, pour partir quelques jours tout seul, dans le Jura, pour chercher LE bateau! Il n'existait pas encore internet avec lequel on trouve TOUT en 5 minutes! Non, là fallait prendre l'auto, acheter des revues, aller voir...

Bref! Les marchands de bateaux du coin m'ont rit au nez : " 25000 balles pour un voilier habitable, vous rigolez ?"! Et de me proposer un "traîne-couillon", habitable certes, mais bon..c'était le seul à mon tableau de chasse... Françoise m'ayant rejoint, nous allons voir la chose! Et sa grimace étant claire, nous ne voulions pas de cette "chose"! Du coup, nous avons pris notre Zodiac, notre glacière, et hop,vroum sur le lac pour oublier notre peine!

Après une demi heure de nav', je m'aperçois que j'ai oublié mon briquet dans l'auto! "Vais quand même pas passer l'aprem' sans allumer une bouffarde ", me dis-je! Je décide donc de remonter le lac....

Tout était très calme, sauf mon moteur qui me faisait filer belle allure!

Je broyais un peu du noir -Qu'allions nous faire cet été- quand j'avisais, au milieu de l'eau, un gentil petit voilier, avec, à son bord, une petite famille en train de casser la graine! Je me suis dit : " quand même, ça ne doit pas être si cher que çà, une ch'tite coquille de noix comme celle-là !"
je décidais donc d'en savoir plus, et crânement, j'osais les aborder afin de m'enquérir du nom de modèle de cette petite unité, quand le barbu souriant, visiblement le capitaine me répond tout de go:

lui : Pourquoi cette question, vous seriez acheteur?
moi: ben euh...
lui: C'est un Micro-Challenger!
moi: ah?
lui: ça fait 5m50 de longueur!
moi: ah ben dis donc! (vous remarquerez la richesse de mes interventions...)
lui: Ce serait ce genre là que vous rechercheriez?
moi: euh....oui!
lui: Parce qu'il est à vendre!
moi: euh....hein?
lui: Ben oui!
moi: et euh...à combien, s'il vous plaît, Monsieur?
lui: On en voudrait 25000frs!
moi :.........
rien, nada, que pouic! je ne pouvais plus parler!
lui: Si vous voulez, on se donne rendez vous demain matin au port pour que vous puissiez l'essayer!
moi: Sans dec? Vous ne vous foutez pas de moi?
lui: Ben non! Vous avez déjà pratiqué la voile?
moi: ben, quand j'étais étudiant j'ai fait un stage, toute une saison, en dériveur, mais je ne me souviens de rien!
lui: Pas grave, je vous apprendrai! Je m'appelle Jean-Pierre, voici ma femme Françoise!
Moi: Ah ben çà alors! Comme la mienne ! françoise aussi! moi c'est Thierry!
Dire tous ces mots d'un coup, ça m'a crevé !
lui: alors, à demain, Thierry!
moi: Bon appétit!

Et là, oubliant le briquet, je suis redescendu à fond de train les grelots vers ma belle qui, de toute façon, avait des allumettes, en hurlant, 500 mètres avant la plage et sans interruption : "j'ai trouvé un baaaateau, j'ai trouvé un baaaateau "!

Comme des fous on était! Je n'en ai pas dormi de la nuit! C'était sûr, demain au port, ils ne viendraient pas ! Ils auraient réfléchi et nous n'aurions pas leur joli petit bateau rouge!

Mais, le lendemain, à l'heure dite, nous avons serré la main forte et calleuse du cap'tain BILLOT et de sa femme. Nous nous somme tutoyés immédiatement et nous avons commencé à VRAIMENT apprendre à naviguer à bord d'ALIZE. Et directement dans le vif du sujet! A peine le sac à bord, Jean-Pierre nous a fait manoeuvrer à la voile dans le port pendant 2 heures! Ca calme! Et bien non, ça ne nous a pas calmés, mais, alors, pas du tout du tout! Quelques semaines plus tard, Le Micro-Challenger devient notre SATURNE, en hommage à l'une des plus belles chansons de Georges BRASSENS, notre tonton à tous, le temps que les Billot, qui sont restés depuis nos maîtres et nos amis aient trouvé leur nouveau navire: ALTAÏR,un très beau JOUET 24!

Nous passerons tout l'été 94 à naviguer bord à bord, continuant à nous former à la navigation à voile..et à grossir, la faute au vin du Jura et à la charcuterie du Doubs!
L'hiver suivant, nous louerons tous les quatre un SUN WAY 27 pour les fêtes de Noël en bais de Bandol! Nous n'arrêterons plus de naviguer!

JEAN-PIERRE ! FRANCOISE ! Sans vous deux,ce site n'aurait peut-être jamais existé!

SI vous avez eu le courage de tout lire, bravo ! :bravo:

Pour voir tout ça avec les images qui vont bien, c'est là : www.lepetitmondedetroll.fr[...]en.html

:goodbye:

23 sept. 2016
1

Années 80, étape de nuit tour de france à la voile. Du coté de Bréhat. Pas de GPS, donc nav à l'estime.
Moi à la barre sous spi, y avait du vent, on déboulait pas mal. Le navigateur m'informe qu'on est proche d'une cardinale, mais les instructions nautiques la dise en panne de lumière. Bon je surveille. Tout d'un coup, une grosse masse noire défile sur mon babord. On est passé entre la bouée et le rocher qu'elle était sensée matérialisée. Un mètre à droite ou un mètre à gauche et s'était le gros crack.

23 sept. 2016
0

Fevrier 2016 Entre Majorque et Ibiza le câble de direction rends l'âme. La barre de secours tout rouiller tombe en miettes! Mer forte avec vent a 35 nds... notre coup de bol? Le bateau s'est mis à la càpe tout seule!!!

24 sept. 2016
0

nous sommes passés par le canal à Toulouse très peu de temps avant que AEF explose.

24 sept. 2016
0

Retrouver mon Zippo fétiche sur la plage avant après 3 jours de gros baston entre Açores et Gascogne.
J'avais du le perdre en allant gréer le tourmentin, je l'ai retrouvé en allant regréer un solent.

17 mar. 2017
1

mon dernier coup de pot :
remontée de la gironde à la voile avec le courant portant, affalage et rangement des voiles après le pont d'Aquitaine (tirant d'air énorme), démarrage du moteur, parre bat et aussières à poste, prêt à accoster sur le ponton à quelques dizaines de mètres du pont chaban delmas (pont bas qui peut se lever dans les grandes occasions). A ce moment une grosse branche avec une fourche passe sous la coque, on regardait le ponton et comment accoster avec le courant. Elle bloque l'hélice, arrête le moteur alors que le courant pousse le bateau non manœuvrant sur le pont ! Je me rue sur la plage arrière puis sur le coté arrière pour tirer sur les bouts de branches qui dépassent en me penchant jusqu'au bassin à l'extérieur. Au deuxième essai, je peux embrayer l'hélice sans caler et me dégager en marche arrière Le bateau est à 20 metres du pont ! C'est les jambes flageolantes qu'on amarre le bateau

18 mar. 2017
1

D'avoir rencontré une riche héritière . voilà mon coup de bol .

18 mar. 2017
0

je suis monté, avec ma femme et mes 2 filles au sommet du "Word trade center" 8 jours avant la catastrophe l le 3 Septembre 2011

18 mar. 2017
0

3 septembre 2001

19 mar. 2017
0

oui pardon: 2001

18 mar. 2017
3

et moi je suis arrivé premier sur plusieurs dizaines de millions, 9 mois avant ma naissance ! :coucou:

18 mar. 2017
0

Gros coup de bol pour un container pendant ma transat retour. Je l'ai loupé de 50 metres...

18 mar. 201716 juin 2020
3

dans une autre vie au siècle dernier, sur mon ancien petit tequila zorba.
ça commence par pas de bol+bêtise:
mouillage à st kilda tout à l'ouest Ecosse/hebrides,
www.google.fr[...]3m1!1e3
gros coup de vent prevu oso qui tourne plus sud, l'île me protège du vent mais la houle monte et rentre dans la baie beaucoup plus que je ne l'avais prévu.
au début je suis assez loin du rivage et ça déferle pas trop près, à quelques centaines de mètres de moi vers la plage.
sauf qu'avec le vent qui forci et la marée qui descend, je vois la limite des vagues qui s'approche dangereusement.
gros dilemme car je suis sur un coffre solide devant une plage de sable découverte à marée basse, pour être un peu plus à l'abris, je devrai aller mouiller devant une zone de rochers et galets...
le temps de me décider à bouger, trop tard je suis pris dans les premières grosses vagues qui me cassent dessus, ma bite d'amarrage est arrachée,

ensuite ça va très vite, et c'est ça le coup de bol:
à la vague suivante je pars dans un surf improbable qui m'amène près de la plage où les vagues ont déjà moins de puissance, et je m'échoue sur le sable, là le miracle: une dizaine de militaires costauds déboulent avec un engin de chantier avec fourche, et n'hésitent pas à se mettre dans les vagues avec leur engin pour passer des sangles, quelques instants plus tard zorba est posé sur l'herbe au milieu des moutons, et bientôt je me remet de mes émotions au sec devant un bon café chaud avec mes sauveurs, en regardant les vagues qui ont encore grossies et cassent maintenant...sur les galets car la mer commence à remonter!

au final juste quelques bleus pour moi et quelques bobos pour zorba quand les vagues le faisaient cogner sur l'engin, un bas hauban et une barre de flèche cassés, et un gros trou dans le roof empalé par une fourche.

suite et fin du coup de bol:
en attendant les bonnes conditions pour remettre à l'eau, je passe une agréable semaine à réparer ou me balader, et faire connaissance avec les résidents de de l'île :
mes sauveurs qui font partie des militaires qui s'occupent de la base radar, et qui s'étaient heureusement préparés à mon échouage même si j'avais voulu les rassurer à la VHF!, qui me laissent aussi utiliser leurs ateliers et matériaux pour réparer.
et un biologiste qui m’accueille dans une des maisons traditionnelles restaurées, normalement réservées aux scientifiques qui viennent étudier les moutons qui ont je ne sais plus quelle particularité génétique

(la photo c'est lors de la remise à l'eau, la sortie était plus musclée :p)

18 mar. 2017
0

Aprés avoir loupé le bas hauban à main gauche par manque de sommeil éhonté,sans harnais ,d'avoir pu continuer mon chemin vers l'avant. Depuis je fais plus gaffe .

18 mar. 2017
0

au mouillage l'automne dernier, un gros coup de vent d'est arrive (vent jusqu'à 60nds), je suis pas à bord (la météo prévoyait beaucoup moins)
Mon mouillage casse, le bateau part s'échouer près de rochers qu'il n'atteint pas car la quille a planté dans la vase avant
Puis renverse de vent, le lendemain je retrouve le bateau 3milles plus loin, il flotte, appuyé contre les piquets du filet d'un pêcheur.
Je demele le bateau, je le ramène au moteur en constatant qu'en apparence et contre toute attente, tout va bien sauf le désordre à bord.
Je mouille dans la zone où j'étais avant en remerciant le ciel pour sa clémence (d'autres ont eu moins de chance le même jour), j'enfile ma combi et je plonge pour inspecter quille, safran, hélice.. mais je ne vois rien dans l'eau chargée des sédiments des fortes pluies et énormément brassée par les vagues de la veille.
Par acquit de conscience, je me décide à chercher, quelque peu au hasard, mon mouillage perdu.
À la 3eme plonge (masque et tuba), le nez presque dans la vase, un éclat plus clair devant mon nez : l'extrémité coupée par le chaumard de mon câblot en polyamide.
Que j'ai pu remonter à bord, episser le'cablot temporairement, et remouiller...
Il y a un bon dieu pour la canaille !
(plus tard à ma sortie d'eau, j'ai pu déplorer comme seul dégât visible, le mastic de la quille râpé sur le bas, à tribord. la station météo de Sète à enregistré des pointes à 110km/h ce jour là)

19 mar. 2017
0

Chance,ça n existe pas!
Malchance également.

19 mar. 2017
0

Superstitieux ? :heu:

19 mar. 2017
0

peut etre

19 mar. 2017
0

Hello, avoir bu plein de rhum. Avant un coup de vent ! On est bien au port hein! :-D :-D :-D

19 mar. 2017
1

décembre 99, licenciement, rupture, les gosses qui font chier, 23 décembre, déménagement en catastrophe du centre de la france à vannes.
le bateau est à la rochelle, je dois le remonter plus tard.
je remonte en bagnole avec un tas de moto sur la remorque, la météo est apocalyptique, nous avançons avec la tempète, les arbres tombent sur la route, pas moyen de s'arreter sinon, on repart plus.
on écoute la radio qui décrit le carnage à la rochelle...
enfin arrivé à vannes en milieu de nuit, le lendemain première heure, j'appelle la capitainerie pour prendre des nouvelles de mon bateau
"ici, c'est la guerre, venez parce qu'on ne sait pas........."
y a des moments comme ça dans la vie ou ça veut pas le faire
coup de bagnole avec un pote qui m'accompagne au cas ou, arrivée minimes et là, les pontons arrachés, des grappes de bateau drossés sur les quais, éventrés, je ne respire plus
jusqu'à ce que j'aperçoive mon brave fantasia qui se dandine à sa place.
de plus près, juste un toron de l'amarre au vent cassé et l'anémo arraché.....
2 bateaux plus loin, le ponton arraché et les bateaux partis se fracassés plus loin.........

début mars, je remonte le bateau en solo, il fait frais mais beau
escale à l'ile d'yeu puis départ au matin pour le golfe.
il fait toujours beau et je remarque en partant un escorteur de la marine nationale au mouillage.
j'arrive au piliers à noirmoutiers, je me méfie, des cailloux partout, des courants forts, le chenal de st nazaire bientot, pas de gps, pas de radar, pas d'horaire des marrées, vhf en rade, pas bon....
il est midi, l'escorteur parti beaucoup plus tard m'a rattrapé, il est à moins de 100 m qd arrive un banc de brume à couper au couteau, je ne voie plus le balcon du fantasia....
oups.......
j'affale les voiles, moteur au ralenti, la corne de brume trompette ridicule à la bouche, celle qui ne tombe jamais en panne et l'oreille attentive...
échange de corne de brume pendant une heure nos amis de la marine nationale pour rester à proximité de leur bateau sans le voir jusqu'au banc de brume qui s'éloigne, la visibilité retrouvé et la route reprise...

y a des fois, on pense que ça veut pas le faire et finalement.....

19 mar. 2017
2

Traversée du golfe de gascogne par une belle nuit étoilée, petit temps, grand largue, peu de houle. Les conditions sont bonnes et la nuit pas trop fraiche. Assis confortablement à l'arrière du bateau, je vois quelques dauphins venir dans lumière du feu de poupe, mais contrairement à leurs habitudes de rester nager dans le sillage, ils passent rapidement sous le bateau. A peine le premier passé, un deuxième fait la même chose, puis trois, puis quatre. Tiens c'est bizarre et inhabituel, je m'interroge et dans cette lumière blanche je vois deux adultes venir dans le sillage et protégé par ces derniers, nage au milieu un joli delphineau. Le temps est devenu une éternité.

21 avr. 2017
0

Passé par dessus bord à Terre Neuve et récupéré au deuxième coup de lame.

22 avr. 2017
0

Gagner le premier prix du concours organisé par Profurl en 98: un safari photo en catamaran Tiki James Wharram sur le lac Kariba au Zimbabwe + visite des chutes Victoria!
Superbes souvenirs!

aventuretanteal.blogspot.fr[...]ur.html

Jef

22 avr. 2017
0

Perso, jamais vraiment eu de coup de pot, ni de trop grosses galeres.
Donc l'histoire d'un collegue.
Ils sont 5gars sur un cata aux antilles pendant 10 jours. Beaucoup de navs et de soirees arrosées.
Et puis, une fin d'apres midi, l'un deux se met à gueuler, completement paniqué, "je suis aveugle, je suis...." Il avait pris un coup de soleil sur la rétine.
(Maintenant, je mets toujours des lunettes)
Les 4 autres essaient de le calmer, difficilement, et l'assoie dans le cockpit, à l'ombre sous la casquette. Arrivés au mouillage, ils commencent ã envisager les eventualités: debarquer et medecin local, europ assitance,....
Juste ã coté, un autre cata. 6voileux. Ça commence à discuter, et ils leurs racontent leur mésaventure.
Les 6gars étaient des potes de fac, tous, ....ophtalmo.

Ils ont soigné la gars, qui n'a pas perdu la vue du coup. (Linges humides sur les yeux, et je ne sais plus quoi d'autres)

22 avr. 2017
0

Etre sur le ponton pas loin du bateau lorsque le feu a pris

22 avr. 2017
1

Chaque fois que je sors. Et que je reviens. Sans casse, sans bobo...

Vue sur le château d'If  depuis les iles du Frioul    Méditerranée   France

Phare du monde

  • 4.5 (43)

Vue sur le château d'If depuis les iles du Frioul Méditerranée France

2022