Video : récupération d'un homme à la mer pendant la Volvo Ocean Race

Récupération d'un homme à la mer en live dans la 4e étape de la Volvo Ocean Race :

Lire l'article complet sur Yachting World : www.yachtingworld.com[...]-112144

JM

L'équipage
08 fév. 2018
26 mar. 2018
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Un homme à la mer aujourd'hui:

La direction de course de la Volvo Ocean Race a été informée par Sun Hung Kai / Scallywag d’un accident impliquant un homme à la mer, lundi après-midi, autour de 13:42 UTC.

L’équipe, aux côtés du Centre de Coordination et de Sauvetage Maritime (MRCC) mènent une opération de recherche et de sauvetage afin de retrouver le membre d’équipage manquant, John Fisher (GBR) qui portait ses équipements de survie au moment de passer par dessus bord.

Le reste de l’équipage est sain et sauf.

L’accident a eu lieu à environ 1400 milles nautiques, à l’Ouest du Cap Horn.

Un fort vent d’Ouest de 35 noeuds souffle sur la zone de recherche, avec une mer très agitée. La température de l’eau est de 9 degrés Celsius. Il fait jour, mais les conditions météo devraient empirer dans les heures à venir.

Tenant compte des conditions violentes, ce n’est pas une option de rediriger l’un des six autres compétiteurs de la Volvo Ocean Race, qui sont au moins 200 milles nautiques plus à l’Est, sous le vent de SHK/Scallywag, pour assister dans les opérations de recherche.

Le Centre de Coordination et de Sauvetage Maritime a identifié un navire se trouvant à environ 400 milles nautiques ; celui-ci a été dérouté vers la zone de recherches.

Naturellement, nous sommes profondément inquiets, compte tenu des conditions météo ; la direction de course à Alicante supporte l’équipe SHK/Scallywag et le Centre de Coordination et de Sauvetage Maritime dans les opérations.

Nous aurons plus d’informations dès lors qu’elles seront disponibles.

La Volvo Ocean Race est une course autour du monde de 45000 milles nautiques. Les équipes sont actuellement au neuvième jour de la septième étape, longue de 7600 milles nautiques, entre Auckland et Itajaí au Brésil.

27 mar. 2018
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suite des infos de la direction de course : www.volvooceanrace.com[...]g-.html

NFORMATIONS 01:00 UTC

L’opération de recherche et sauvetage continue pour le marin de Sun Hung Kai Scallywag.

Le Centre de Coordination et de Sauvetage Maritime (MRCC) continue de mener les efforts mis en place pour retrouver le marin britannique de la Volvo Ocean Race, John Fisher (GBR), passé par-dessus bord de Sun Hung Kai Scallywag, en début d’après-midi (UTC) ce lundi.

L’équipe de Scallywag assistée du Centre de Coordination et de Sauvetage Maritime, ont mené une opération de recherche et sauvetage afin de retrouver Fisher, qui était de quart et portait les équipements de survie appropriés lorsqu’il est passé par-dessus bord.

Le reste de l’équipage est sain et sauf.

Un fort vent d’Ouest de 35 noeuds soufflait sur la zone de recherche, avec une mer très agitée. La température de l’eau était de 9 degrés Celsius. Il fait encore jour, mais les conditions météo devraient empirer dans les heures à venir et la nuit va tomber à 01:20 UTC.

Le Centre de Coordination et de Sauvetage Maritime a d’ores et déjà dérouté un navire, à 400 milles nautiques de la scène.

Le Centre de Coordination et de Sauvetage Maritime continue de contacter d’autres navires pouvant porter assistance.

La météo devrait se dégrader dans les heures qui viennent. Tenant compte de l’intensité des prévisions, avec la nuit qui tombera d’ici une heure, nous sommes conscients que les chances d’un sauvetage réussi diminuent.

SHK/Scallywag a cependant pris la décision difficile de faire demi-tour, vent arrière, vers la côte Sud-Américaine, continent le plus proche, à environ 1200 milles nautiques de là.

Nous aurons plus d’informations dès lors qu’elles seront disponibles.


déjà plus de 12 heures depuis qu'il est tombé à l'eau. pas de navire sur zone, la nuit...

27 mar. 2018
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il porte une combinaison de survie, souhaitons qu'il porte également une balise.

27 mar. 2018
27 mar. 2018
27 mar. 2018
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Information VOR March 27, 2018 08:30 UTC

www.volvooceanrace.com[...]er.html

Une mise à jour sur John Fisher, membre de l'équipe Team Sun Hung Kai / Scallywag, de Richard Brisius, le président de la Volvo Ocean Race:

Ce matin, je suis extrêmement triste de vous informer qu'un de nos marins, John Fisher, de l'équipe Sun Hung Kai / Scallywag, est maintenant présumé avoir été perdu en mer.

C'est déchirant pour nous tous. Comme les marins et les organisateurs de course perdent un membre d'équipage en mer, c'est une tragédie que nous ne voulons jamais envisager. Nous sommes dévastés et nos pensées sont avec la famille, les amis et les coéquipiers de John.

Hier, juste après 13h00 UTC, le contrôle de course de la Volvo Ocean Race a été informé d'une situation d'homme à la mer par l'équipe Sun Hung Kai / Scallywag.

Nous avons immédiatement coordonné avec l'équipe ainsi que le centre de coordination de sauvetage maritime, qui a localisé un navire et l'a détourné vers la scène. Mais à la vitesse actuelle, il reste plus d'une journée.

Avec le reste de la flotte de la Volvo Ocean Race à environ 200 miles de vent arrière, les renvoyer au près pour les aider, contre les vents de force coup de vent à tempête, n'était pas une option viable.

L'équipe de Sun Hung Kai / Scallywag a effectué une recherche exhaustive pendant plusieurs heures dans des conditions météorologiques extrêmement difficiles, mais elle n'a pas pu récupérer son coéquipier.

Étant donné la température de l'eau froide et l'état extrême de la mer, ainsi que le temps qui s'est écoulé depuis qu'il est passé par-dessus bord, nous devons maintenant présumer que John a été perdu en mer.

Nous tous à l'organisation de la Volvo Ocean Race adressons nos plus sincères condoléances à la famille de John, à ses amis et à ses coéquipiers. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour les soutenir dans cette période difficile.

L'équipe Sun Hung Kai / Scallywag a maintenant repris sa route vers le nord-est.

En fait, l'équipe est actuellement dans une position difficile - le temps se détériore et devrait être assez sévère au cours de la journée.

L'équipage est, bien sûr, émotionnellement et physiquement drainé après ce qu'ils viennent de vivre.

Notre seul objectif est maintenant de fournir tout le soutien et l'aide que nous pouvons à l'équipe.

Nous sommes sûrs qu'il y aura beaucoup de questions sur comment un de nos marins a été perdu par-dessus bord hier.

Nous pouvons y répondre après que l'équipe a été entièrement débriefée.

Aujourd'hui, nos pensées et nos prières vont à la famille de John et à toute l'équipe de Scallywag.


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27 mar. 2018
27 mar. 2018
27 mar. 2018
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On peut se demander à quoi servent les balisent individuelles. A moins qu'il n'en portait pas.

Une pensée pour cette personne que je connaissais pas. Cela doit etre tres dure de mourrir ainsi.
Et pour les proches....

27 mar. 2018
27 mar. 201827 mar. 2018
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Sur la video on constate que personne ne porte de gilet.

concernant John Fischer, balise ou pas, il a payé le prix fort ...

27 mar. 2018
27 mar. 201827 mar. 2018
27 mar. 2018
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La video n'est pas liée à ce tragique accident ou un homme de l'équipage est désormais perdu en mer.
Sur cette vidéo et indépendamment du fait que les marins ne portent pas de gilet, ils sont aussi pieds nus et quand on voit la rapidité à laquelle on se blesse lorsqu'on ne porte pas de chaussures ...
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27 mar. 2018
2

Quand tu n'es pas de quart il est possible que tu dormes sans chaussures.

27 mar. 2018
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Quand le skip crie "man over board, all hands on deck now" tu fais quoi?

Moi je saute de ma bannette et monte sur le pont, quitte à me blesser l'orteil...

Ici, cela a permis la première fois, dans des conditions clémentes de récupérer le MOB après 7 minutes, mais à l'ouest du Horn dans du vent et de la mer, la seconde fois le gars est resté dans l'eau... cela doit être bien difficile de vivre cela à bord...

Pensées pour la famille et amis de John Fisher.

27 mar. 2018
27 mar. 2018
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C'est donc la deuxième fois qu'un équipier passe par dessus bord sur ce bateau. Ils en avaient déjà récupéré un, non?
En tout cas, c'est vraiment une très triste nouvelle.

27 mar. 2018
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Honnetement, aprés ce qui s'est passé avec les pecheurs et le chinois qui y a laissé sa vie, je trouve que ça fait vraiment trop amateur.
La sécurité et le MOB c'eet la base et la première chose qu'on apprend.
Ils sont a bloc, prennent d'énormes paquet de mer sans être attaché en ne portant pas de gilet ni balise... C'est evident que ce type d'accident devait arriver.
C'est comme rouler à contre sens sur l'autoroute: à un moment on le paie cash!!!

C'est désolant de voir ça... Un mec est mort!

PS :mes excuses si ce coup de gueule est déplacé.

27 mar. 2018
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C est de la compétition à très haut niveau. Les gars savent pertinemment que avec ou sans gilets ils ont très peu de chances de s en sortir. Le port du gilet est un choix. Maintenant un type qui tombe a l eau à 20 nds, le temps de revenir sur zone avec le vent et la mer, il se passe combien de temps ?
C est la faute a pas de chance et les mecs savent qu au départ ils ne sont pas sur de revenir.
De plus avant d extrapoler sur des histoires de « pieds nus » et de donner des leçons de sécurité derrière un clavier, saches que Fisher était équipé d une combinaison de survie donc totalement étanche.

Une pensée pour lui

27 mar. 2018
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L'espoir fait vivre. On peut douter qu'un type jeune tombé à l'eau, en participant à une simple course nautique et voyant le bateau s'éloigner à toute vitesse, trouve alors sa sa situation acceptable et se résigne si facilement que cela à devoir mourir, en pleine jeunesse pour une telle cause, même s'il savait que cela n'était pas dénué de risques. D'autant qu'à moins d'être noyé immédiatement, avec une combinaison de survie il a eu sans doute très largement le temps de philosopher sur ses faibles chances d'être retrouvé et sa mort prochaine (en Med un plongeur a tenu trois jour avant d'être retrouvé vivant).

28 mar. 2018
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Ok pour la combi de survie mais une balise individuelle aurait été un bon complement. Paix à son âme...et condoléances à sa famille.

27 mar. 2018
27 mar. 2018
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c'est dommage mais ils savent trés bien que cela fait parti du jeu,quand un volvo déboule a 23 nd et 35 nd de vent avec la mer formée il y a trés peu de chance de retrouver le bonhomme,c'est comme rechercher un ballon de foot au milieu de rien,respect pour tous ces gars qui font un super job et nous font réver

27 mar. 2018
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Perdre un homme "fait parti du jeu": c'est sérieux???
Quand on peut s'attacher et qu'on est en équipage... et en 2018... Je ne peux toléré ça!

Par exemple en Formule 1, c'est de la folie furieuse et bien ils prennent toutes les précautions possible pour protéger les vies humaines.
A coté de ça, en voile, ils ont simplement à s'attacher... et ils ne le font pas... Pffff

Pour moi, c'est non respect de consignes de sécurité donc suspension de l'équipe qui n'aurait plus le droit de courir... Et puis une grosse sanction pour le skipper également qui n'assure pas la sécu de l'équipage... Ca les ferait peut etre réflechir...

27 mar. 2018
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tu oublies qu'un harnais peut trés bien tuer un bonhomme,comme le sauver

28 mar. 2018
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Ok avec toi

27 mar. 2018
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Vas y Petit mousse encore un peu de répression.
N oublié pas qu un certain nombre de décès par activité sportive est socialement acceptable.
Alpinisme, vol libre, spéléologie etc...
Combien de morts en course au large par an ?
C est sur, sur Virtual Skipper il y a moins de risques

27 mar. 2018
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@Lasnie de Gleuze. En vol libre, spéléo et compagnie il n'y a pas de solution de securité donc on accepte le risque et on le prend... Mais quand il existe des solutions pour etre en sécurité, quand on sait qu'il y a régulièrement des accidents et des morts et surtout quand on participe à une course qui est suivie par tous les passionnés (enfin beaucoup) et dans laquelle il y a déjà eu suffisamment d'accident et bien il me semble inconcevable de ne pas les utiliser (en l’occurrence un simple harnais pour sauver un bonhomme)...

28 mar. 2018
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En vol libre il existe les parachutes, et en spéléo la sécurité est assurée par le respect des règles et les accidents sans erreur humaine sont extrêmement rares.
Le risque zéro n'existe pas, chercher à s'en approcher est louable mais peut conduire à la suppression de toutes les libertés...
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Quelles que soient les circonstances exactes c'est une bien triste nouvelle :-(

27 mar. 2018
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On aime tous la voile , que dis je on adore,
un bateau qui file à 20 noeuds avec l'écume qui gicle sur les coté ,un plaisir que la mort n'aura pas,,,
en plein jour ,avec du monde sur le pont ,je suis très ébranlé que l'on ne puisse retrouver un homme tombé par dessus bord,
on stoppe tout , on affalle, on mets le moteur ,on remonte malgré les 35 noeuds ça doit être possible quand meme,
ou alors il a prit un coup comme éric...

28 mar. 2018
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Avec 35 nds de vent, des vagues de 4 à 5 mètres et un moteur disproportionné par rapport au fardage et au poids du bateau, on ne fait même pas du sur place, on recule.

27 mar. 2018
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j'aimerai bien qu'on me dise a combien marche un volvo a remonter au vent au moteur dans ses conditions pour retrouver un bonhomme

27 mar. 2018
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aucune chance

un avis nz :
"When asked about Fisher's survival chances, Quilter thought they were probably "nil". It was an impossible task in the conditions to turn a boat around quickly enough even though the alarm would have been raised immediately.

"In a heartbeat you are miles away from where you want to get back to," he said."

www.nzherald.co.nz[...]cle.cfm

27 mar. 2018
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tout est dit

27 mar. 2018
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Si je comprends bien, des matelots du dimanche s'achètent des mob AIS et des pro eux n'en ont pas?
Un tel accident ne fait pas réfléchir les pros?
Ho, merde, si un gars tombe à l'eau quand on avance à 20 kt, il n'y a aucune chance..;Et puis c'est la course, hein, la place du bateau est importante!

27 mar. 2018
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(Si je peux me permettre, cela me chagrine de polémiquer ainsi alors qu'il s'agit de la disparition d'un marin. (Pensons que le forum est public et que l'un des proches peut nous lire).

Moi aussi cela me choque qu'un équipage entrainé perde ainsi un équipier... On peut évoquer toutes les solutions existantes pour que cela n'arrive pas, en attendant c'est arrivé.

Sur les fora de ski on voit poindre les mêmes discussions après les accidents d'avalanches, comme une manière de se rassurer après le dur rappel des risques pris dans l'activité.

Malchance, négligence, combinaison des deux, le temps des explications arrivera le moment venu, je ne pense pas que ce soit sur un forum public et à chaud que cela doivent se faire par respect pour le marin porté disparu, cela dit sans aucune forme de jugement sur les interventions précédentes.)

Une pensée pour ce marin disparu, et pour son équipage qui n'a pas pu le retrouver...

27 mar. 2018
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S’il vous plaît pourrions-nous d’abord nous incliner devant la mort d’un homme. Nous ne savons rien ou presque des circonstances de cette tragédie et la direction de course non plus. Je sais bien que nous voulons tous comprendre pour améliorer les choses etc...mais il n’y a pas urgence pour nous derrière nos claviers.
Je propose d’instituer sur ce forum l’équivalent d’une minute de silence en demandant aux modérateurs de bloquer ce fil jusqu’à l’arrivée de l’équipage à terre au Chili, puisque le bateau se dirige vers les côtes chiliennes et d’attendre qu’ils aient témoigné des circonstances de cette tragédie pour reprendre nos commentaires.
Pour ma part je présente ici toutes mes condoléances à la famille du disparu et à ses proches.

28 mar. 201828 mar. 2018
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Ben voyons... la famille n'a que cela à faire en ce moment, lire heo....

Et bien pour moi, au contraire, tous ces malheureux accidents sont un bon départ sur une enieme reflexion sur la sécurité en mer.

Lors de la premiere chute à la mer, celle de la video, les conditions sont tres calmes, beaucoup de monde sur le pont, on comprend qu'ils ne portent pas de gilets, de combi, de balises,....
Mais, cette fois, les conditions etaient toutes autres. Et les equipiers ont un équipement complet à dispo.
Donc, non par curiosité malsaine, mais pour faire avancer la secu en mer, ce genre d'accident ne devrait jamais souffrir d'omerta. Ces circonstances completes devraient etre relatées, d'abord pour rappeler à tout le monde que le danger est là, mais aussi apprendre ce qu'il faut et ne faut pas faire.
Perso je refuse le discours "c'est comme ça, on y peut rien", mais accepte totalement "les conditions de mer nous ont empecher de le retrouver"

Par exemple, je pensais que la balise était LE moyen de retrouver un MOB quand les conditions empechent le marquage visuel de la personne. D'où la question, que c'est il passer cette fois? La portait'il? Si non, pourquoi? Si oui, pourquoi a t'elle été insuffisante?
Ce sont des reponses à de telles questions, suite à un tel drame, qui feront avancer la secu en mer.
Bien plus que des essais en piscine.

Et svp, ne venez pas parler de liberté ou de privation de celle ci. Je ne vois pas en quoi le fait de porter une balise diminuerait la liberté de l'équipier sur le pont.

Le pauvre john fisher ne voulait surement pas finir ainsi. Et sa famille a surement, à cette heure, et peut etre pendant des années, le souhait de savoir ce qui s'est passé.

Meme si on sait pertinnement que c'est un objectif inatteignable, La question la plus importante ce matin: comment faire pour qu'il soit le dernier d'une liste deja longue?

28 mar. 2018
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Nathis
L’obligation de porter une balise ne prive pas de la liberté de mouvement, sur ce je suis d’accord.
La ou je ne le suis pas , c est qu’a force de vouloir tout sécuriser on en vient à obliger à.....
J ai des gilets à bord et des balises. Ceux qui veulent les mettre le font. Ceux qui ne veulent pas sont libres. Cessez de vouloir légiférer à tout prix. Entre les gilets obligatoires que l on a du remplacer a cause des gros, des révisions de survie dont l’efficacite reste à démontrer,
des cretins qui veulent rendre l’ AIS obligatoire car ce serait mieux que le radar et des certificats pour la radio pour appeler la capitainerie, prendre la meteo ou converser avec le Cross, il faut arrêter. Prenons exemple sur les Anglais, très peu de contraintes administratives mais des bateaux bien mieux équipés et entretenus que chez nous.

Pour répondre à ta dernière question concernant les pertes en mer, le mieux serait d’interdire les bateaux, pour la montagne bloquer les accès aux sommets etc.etc

Quant à donner mon avis sur l’accident, vu que je n’y était pas .... Par contre essayez de faire un approche sur un pare battage dans 20 nds de vent avec une mer un peu formée et imaginez ce que ce serait avec 40 nds et des creux de 4 mètres

29 mar. 2018
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Toujours un pour allumer le feu de la legiferation à outrance......

Une seule question: où a t'on parler de cela dans ce fil? Où.

Post totalement hors sujet.

28 mar. 2018
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Nathis’ c.est fatiguant de ne pas être lu. Je suis comme vous désireux de comprendre pour faire avancer ma sécurité en mer et celle de mon équipage. Je propose seulement d’ouvrir cette discussion avec un temps de silence de respect et aussi d’attendre pour avoir des informations parce que là on ne sait quasiment rien. Donc je me retire de ce fil et reviendrait lorsque j’aurais dès information.Et sachez aussi qu’il y a des francophones parmi les équipages de cette course et que nous sommes susceptibles d’être lu donc par des amis ou de la famille du marin disparu.

28 mar. 201828 mar. 2018
1

Tu as raison. Dur de ne pas etre lu.
Il n'y a rien de choquant, d'irrévérencieux à vouloir savoir ce qu'il s'est passé.
Bien au contraire.
Et je suis sur que la famille et les francophones embarqués que tu evoques aimeraient avoir des infos.
Je suis persuadé que la disparition de leur proche ou ami ne servent pas à rien.
Il paraît évident qu'ils doivent etre choqués à l'heure actuelle et qu'ils se demandent comment cela a pu arriver, et comment cela aurait pu etre éviter.

Donc, stp, pas de polemique.

28 mar. 2018
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Nathis, le sujet est :"Récupération d'un homme à la mer en live dans la 4e étape de la Volvo Ocean Race "

Par beau temps et mer plate, tout est simple. Avec 35 noeuds réels et des creux de 5 m c'est une tout autre histoire, même si le navigateur s'est précipité sur la touche MOB du GPS.

Ensuite, il faut rentrer le gennaker, prendre un ou deux ris, virer et remonter au louvoyage. Pas simple même avec un équipage entrainé, à 20 noeuds, on fait de la route.

Quand à ceux qui imaginent qu'un harnais aurait été utile, sachez que même à 7/8 noeuds, il est arrivé que l'on ne remonte qu'un noyé au bout de son harnais. Alors , à plus de 20 noeuds ...

28 mar. 201828 mar. 2018
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Voila enfin des arguments viking.
Mais des reponses dont on se doute tous ici. Il n'y a qu'à voir, sur la premiere video, le mal qu'ils ont deja à récuperer le gars par beau temps.
Alors, recuperer quelqu'un avec les conditions meteo qu'ils subissaient alors, releve de l'exploit.
Mais je mettais l'accent sur la balise qui me parait etre la seule chance deja d'etre repéré et retrouvé apres une telle chute.
Apres, etre récupéré est encore un autre soucis.
Un cordage trainé à l'arriere? Un tourmentin à l'eau?....
Que peuvent ils entrependre dans de telles conditions?

Maintenant j'arrete là mes reflexions publiques puisque visiblement cela gene certains.

28 mar. 201828 mar. 2018
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@Vicking. Pour avoir au moins une chance de réussir, il faut au moins essayer. La vie n'a aps de prix... On peut peut etre mourrir avec un harnais mais on doit quand meme avoir plus de chance de survivre... Sinon, il faut arreter le harnais...

J'aime la mer, je suis passionné de course au large (tous les jours j'en suis l'actualité) mais là, ca m'écoueure...

28 mar. 2018
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Le "daily live" de ce jour comporte une interview de Ian Walker ( vainqueur VOR 210/2015) qui explique qu'il a fallu 40 minutes à l'équipage, lors d'un entrainement MOB dans 25kt de vent, pour mettre le bateau en ordre AVANT de pouvoir faire demi-tour vers le MOB.
A partir de 8' sur ce lien :

30 mar. 2018
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Entièrement d'accord avec toi.

28 mar. 2018
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Une derniere chose, puisqu'on parle de respect pour Mr fisher, l'équipage pourrait il changer le titre du fil. Car la premiere video n'en est plus le sujet principal.
Merci à eux.

28 mar. 2018
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En écoutant le dayly news de la Volvo Ocean Race, le responsable de la sécurité a spécifié le matériel porté par les marins dans ces conditions, et notamment par John Fisher: combinaison de survie, gilet gonflable avec harnais, et balise....

28 mar. 2018
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Donc, il y a eu un problème avec la balise ou alors elle ne sert à rien!

28 mar. 2018
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C'est une horreur.Esperons qu'il soit mort rapidement et au mieux assommé en se retrouvant à l'eau.sinon voir partir le bateau et savoir qu'on va mourrir c'est inhumain.R I P

28 mar. 2018
28 mar. 2018
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Les circonstances de l'accident :
www.nzherald.co.nz[...]cle.cfm

28 mar. 2018
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Tout d'abord une pensée émue pour ce gars qui ne vivait probablement que pour la course et l'adrénaline qu'elle procure . RIP Fish !
La Volvo est une des courses les plus dure et les organisateurs ne cessent de la durcir , des étapes de 8000 miles qui s'enchainent avec seulement une semaine de repos ce doit être extrèmement éprouvant . Ce que veulent les organisateurs , ce sont des images fortes , et peut être ( on peut imaginer le pire ) des larmes . Je suis fan de cette course que je suis depuis de nombreuse années et là , je commence à devenir perplexe .
Oserais je dire , idem pour nos Ultimes qui vont s'attaquer à un tour du monde en solo sur des machines de 30 m volantes , à force de monter les échelles plus haut , il y en a qui tombe ......

29 mar. 2018
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toutes proportions gardées, ce sont les conséquences et dérives de la médiatisation du sport de haut niveau. Cela ne nous grandit pas, et nous ramènent au niveau des jeux du cirque...morituri te salutan... Ici, on est témoins d'une mort instantanée, mais par exemple, l'espérance de vie moyenne en NFL est de 45 ans...et je pense que si on fait une enquête sur la mortalité des athlètes de haut niveau, on doit pas être loin de ça non plus...
Pour ma part, je refuse de participer au cirque, ça doit faire vingt ans que je ne regarde plus le sport à la télé, j'ai besoin de me regarder dans la glace quand je me rase le matin.

30 mar. 2018
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j'ai fait du sport toute ma vie, pas eu besoin d'être médiatisé.
Je ne "rêvasse" pas, je ne regarde plus le sport télévisé, donc j'agis (à ma façon).
un sport se développe par son activité de masse, pas par sa médiatisation.
Exemple : le triathlon, qui est un sport absolument pas télégénique, mais dont les épreuves font le plein (pour t'inscrire à un triathlon du circuit ironman, tu disposes de...10 secondes...après l'ouverture des inscriptions, ensuite, c'est trop tard...et ce en dépit des 3000 places offertes)
autre exemple : le judo. hors JO (une fois tous les4ans) t'as déjà vu des compétes de judo à la télé??? pourtant, ça empêche pas les clubs de perdurer.
idem pour la natation...
etc etc
c'est toi qui est "has been", car si tu approuves ce système, ta façon de penser n'est pas différente des citoyens de l'empire romain...ça fait longtemps que les publicitaires ont compris comment utiliser tes instincts les plus vils pour acheter le temps disponible de ton cerveau (et manifestement, chez certains il y en a beaucoup).
ps : t'as pas besoin d'être agressif avec moi, je te laisse gagner si tu veux, et si ça peut rassurer ton ego.

29 mar. 2018
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Sans médiation, le sport est mort. Essaye de trouver des budgets rien que sur ta bonne gueule. Arrête de rêvasser Skywalk, tu es has been

30 mar. 2018
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NFL?

29 mar. 2018
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Je trouve le plan de pont trop extrême l'équipage n'est pas protégé et se retrouve à des grandes vitesses sous des tonnes d'eau.Alors que les derniers Imoca et Ultimes ont des casquettes qui protègent les marins des impacts.Par contre se retrouver sur le passage de l'écoute de Gv ou de la bome dans un empannage accidentel restera fatal la plupart du temps clipse' ou pas

29 mar. 2018
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Depuis 1973, il y surement eu de 5 à 10 morts lors des courses autour du monde en équipage. Dont deux dès la première édition de la Whitbread en 1973.

29 mar. 2018
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A part la première édition où il y a eu 4 morts, je crois qu'il n'y a eu qu'une autre victime en 2005/2006 sur ABN AMRO 2, et deux cette année.
Rapporté au nombre de personnes qui ont fait le tour du monde et au nombre d'heures de navigation c'est un bilan plutôt sûr vu les conditions de navigation.

29 mar. 2018
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Sky, NFL, qu'est ce?

29 mar. 2018
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NFL je pense qu'il s'agit du championnat de football américain ou effectivement l'espérance de vie des joueurs est courte

29 mar. 2018
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oui, c'est le championnat américain de foot, ils sont dopés à mort, vu que les ricains ont catalogué ça comme du spectacle, pas comme un sport...donc tout est permis...

29 mar. 2018
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Harnais détaché le temps de bouger pour effectuer un changement de voile. Il n'a pas eu le temps de se rattacher quand un surf c'est terminé par un empannage involontaire et c'est l'écoute de grand voile qui l'a éjecté, sans doute en ayant perdu conscience au moment du choc. La faute à pas de chance.

29 mar. 2018
1

Pas de chance? ou mauvaise procédure?. On ne se détache pas quand on a une raison majeure d'être attaché. (en voltige dos on serait instantanément éjecté).

29 mar. 2018
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in www.voilesetvoiliers.com[...]xtreme/

"Je vais être très correct au début puis j’entrerai ensuite dans le vif du sujet.
Tout d’abord, je tiens à exprimer toutes mes condoléances à la famille et aux amis de John Fisher, équipier tragiquement perdu en mer et qui faisait partie de l'équipage de Sun Hung Kai Scallywag lors de la Volvo Ocean Race.
Fisher fut emporté par-dessus bord aux premières lueurs du jour, lundi, alors que le bateau naviguait au portant dans des conditions difficiles.
Il était, selon ses coéquipiers, vêtu d'une combinaison de survie et muni de tous les équipements de sécurité nécessaires. Ils menèrent deux heures de vaines recherches dans ces conditions très violentes pour essayer de le retrouver. Un bâtiment de commerce a été détourné sur zone pour porter assistance mais, comme le veut le proverbe, c’était vraiment chercher une aiguille dans cette meule de foin que constitue en l’occurrence le Pacifique Sud.
(Lire plus bas le rapport de mer détaillé envoyé par l’équipage de Sun Hung Kai Scallywag et dont Hancock n’avait pas connaissance lorsqu’il écrivit ce texte, ndlr)
Le quartier général de la Volvo Ocean Race à Alicante décida qu'il était inutile de demander aux autres bateaux de la flotte de porter assistance. C’était les envoyer au près dans 40 nœuds de vent. Dans ces conditions, John Fisher aurait déjà probablement péri au moment de leur arrivée sur zone, vu le temps passé pour faire demi-tour.

Voici pour le cadre, c’est-à-dire la partie la plus partie objective.
Car ces bateaux sont absurdes pour naviguer dans ces océans et la direction de la Volvo Ocean Race est complice de la mort de John Fisher. Tout marin qui vaut son pesant de rhum sera d'accord pour dire que naviguer sur un bateau où le pont n’est absolument pas protégé dans ces océans très hostiles va au-devant des pires ennuis. Le slogan de la Volvo Ocean Race est « Life at the Extreme » (La vie à l'extrême).
Permettez-moi de m’arrêter sur ce slogan : extrême en quoi ? En stupidité ? Regardez les vidéos. Il y en a beaucoup et elles sont assez explicites. Les bateaux dévalent les creux à 25-30 nœuds, labourant les vagues qui projettent des cascades d’embruns sur le pont. Le regretté Sir Peter Blake avait l'habitude de qualifier cet endroit de « green room » (une zone malfamée dans son esprit, ndlr). Combien de fois pouvez-vous tenir ainsi sans qu’un marin sur le pont soit emporté et perdu en mer ?

Je mesure que John Fisher ait porté son matériel de survie, mais même avec il n'avait pas la moindre de chance. Je suis de près la Volvo Ocean Race où les bateaux naviguent régulièrement à plus de 20 nœuds. À ces vitesses, au moment où l'équipage de Sun Hung Kai Scallywag fut en mesure de faire demi-tour, il était déjà bien loin derrière. Le pauvre John Fisher pouvait souffler aussi fort que possible dans son sifflet rouge, il n'y avait tout simplement aucun moyen de le retrouver. Il ne faut pas oublier que l'équipage doit affaler le spinnaker, ou toute autre voile de portant, en préparer une autre et la hisser avant de faire demi-tour et d’être croqué par les puissantes dents des mers du Sud.
Il ne peut pas remonter directement au près. Il doit virer de bord. Et qui sait, il fut peut-être proche de John Fisher. Mais Fisher aurait pu être juste au sommet de la vague suivante que ses camarades ne l'auraient jamais vu.
Si vous avez déjà navigué dans ces conditions, ou vu des vagues comme celles du Grand Sud, vous savez de quoi je parle. La direction de la Volvo Ocean Race semble refuser de reconnaître que sa flotte monotype est un piège mortel qui attendait juste de se refermer. Le pire est arrivé et malheureusement John Fisher est parti.
Je suis triste et fou en même temps. D'autres courses au large à commencer par le Vendée Globe se disputent sur des bateaux « sensés ». Par sensés, je veux dire que les ponts sont protégés. Le grand François Gabart a navigué à bord de son trimaran géant autour du monde en sortant à peine sur le pont. Toutes les manœuvres de ce bateau reviennent dans un cockpit fermé où il règle ainsi ses voiles dans une zone confinée et sûre. Les concepteurs savaient qu'il était dangereux de sortir sur un pont exposé dans des conditions difficiles. Tout comme la direction de la course. Mais, au lieu de prendre des mesures pour protéger les marins, ils ont célébré cette stupidité avec ce slogan idiot : « Life at the Extreme ».
OK maintenant vous pouvez me critiquer tant qu’il vous plaira. Appelez-moi « Brian Le Branleur » si vous voulez mais j'ai gagné le droit d'avoir une opinion. J'ai navigué à plusieurs reprises dans ces eaux et je sais ce que c'est quand une vague grise surgit et vous fait valdinguer sur le pont. La différence c’est que, quand je naviguais là-bas, les vitesses étaient inférieures de moitié à celles qu’affrontent les marins d'aujourd'hui. Et même alors c'était stupide !

John Fisher est le septième membre d'équipage mort au cours du tour du monde en équipage, Whitbread hier, Volvo aujourd’hui. À moins que les bateaux soient radicalement redessinés, il ne sera pas le dernier."

29 mar. 2018
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suite du précédent

RAPPORT DE MER

Tim Newton manager de l'équipe Team Sun Hung Kai Scallywag a eu par téléphone David Witt, skipper du VO65. Voici le récit de ce dernier sur les circonstances de la chute à la mer de John Fisher, le 26 mars alors que bateau se trouvait à 1 400 milles dans l’Ouest du cap Horn. Un témoignage rendu public le 28 mars, deux jours après la dispariution du marin.

« Nous avions 35 à 40 nœuds avec 4 à 5 mètres de creux et des grains réduisant la visibilité, environ quinze minutes avant le lever du soleil. Nous naviguions au portant sous grand-voile à un ris et J2 (foc de brise intermédiaire). Le gennaker fractionné (FR0) était hissé mais non encore déroulé. Vers 13 heures UTC, Sun Hung Kai Scallywag est parti en surf sur une grosse vague et a empanné accidentellement. John Fisher était sur le pont dans le cockpit. À ce moment, il se déplaçait vers l’arrière afin de passer l’écoute de gennaker sur l’écarteur, et n’avait pas encore clipsé sa longe de harnais sur la ligne de vie. Lorsque la grand-voile a traversé le bateau, le palan d’écoute a violemment fauché John, et l’a projeté hors du bateau. Les équipiers de quart sur le pont pensent que suite au coup, John était inconscient au moment de tomber à la mer. Il portait une combinaison de survie avec une capuche en Néoprène, des gants et sa brassière de sauvetage automatique. La perche auto gonflable (JON buoy) et la bouée fer à cheval ont immédiatement été lancées à l’arrière du bateau afin de marquer la position. Nous avons remis le bateau sous contrôle, allumé le moteur et sommes repartis sur la position MOB (Man Over Board) qui avait été activée. À 13 heures 42 UTC, l’équipage a informé la Direction de course par email qu’il y avait eu un homme à la mer et que depuis, l’équipage était retourné sur la position MOB et avait entamé les recherches. Avec le MRCC et la direction de course à Alicante, une vaste opération de recherche a alors démarré, mais sans retrouver de signe de John, ni de la perche comme de la bouée. Les conditions météo se détériorant sur zone, nous avons dû prendre la difficile décision d’abandonner les recherches pour préserver la sécurité de l’équipage restant. »

30 mar. 2018
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Depuis quand un témoignage est un rapport de mer, qui a force de preuve tant qu'il n'a été ni amplifié, ni infirmé.

30 mar. 2018
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Bien sur que c est une course extrême et peut être un peu tordue, mais les gars qui y vont prennent le départ en connaissance de cause, on ne les oblige pas à y aller et comme ce sont des pointures renumerees, je pense qu ils ont des propositions dans des courses plus cool, mais ce qu ils veulent c est faire la Volvo

30 mar. 2018
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Ce manque de protection du cockpit et des manoeuvres avait tout de suite été relevé par pas mal de monde, des que les dessins étaient apparus. Donc bien avant la premiere mise à l'eau.
Tout le monde avait bien compris qu'il fallait ramener des images de deferlentes arrosant copieusement des marins.
Brian hancock n'a pas tord.
Meme si l'origine du drame vient, visiblement, de ne pas s'etre attaché. Car, protégé ou non, cela n'aurait pas empeché d'etre projeté par le palan de gv.
Sauf bien sur dans un cockpit totalement fermé comme ceux des derniers tris ou imoca.

30 mar. 2018
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dans les sports extrêmes, le risque existe toujours. si on regarde la F1, on constate que la dangerosité a largement baissé non parce que les pilotes se sont calmés mais parce que les contraintes sur les véhicules pour protéger les pilotes ont très sérieusement augmenté.
c'est la question posée par le coup de colère relaté ici : dans quelle mesure les organisateurs ont-ils le devoir - ou pas - de mettre des contraintes qui protègent les équipages?

30 mar. 2018
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La classe "Vendée Globe" a une représentation des coureurs en son sein ce qui permet d'avoir une influence sur le "design" des bateaux.
Qu'en est-il de cette classe VOR ?

04 avr. 2018
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@yantho
"une opération commerciale qui utilise des (vrais) sportifs", c'est le principe même du sport professionnel en fait, vu sous l'angle du sponsoring... On n'y échappera plus, même en voile.
Il suffit de voir le temps que consacre Alex Thomson à ces aspects-là (cf ci-dessous). Un sponsor ne fait pas ça pour la beauté du geste, mais pour le retour qu'il en aura en termes d'image, de "fan engagement" et de "brand activation".

A lire le résumé de l'intervention d'Alex Thomson à Nantes il y a peu, le titre résumant bien le sujet : "Naviguer n'est qu'une partie du projet"...
www.tipandshaft.com[...]projet/

JM

04 avr. 2018
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Oui, je rebondissais, un peu tard, je l'avoue...
Effectivement, je crois que le moment délicat est celui où les sponsors arrivent à avoir plus d'influence que les sportifs eux-mêmes... Et c'est souvent là que se délite la "beauté du sport".
Un article intéressant à lire à propos de la VOR et de la polémique initiée par Brian Hancock sur Sailing Anarchy :
www.ouest-france.fr[...]5654837

L'article rappelle notamment que les VOR65 ont été conçus à une époque où les courses comprenaient aussi des régates "in-port", ce qui a influé sur l'architecture du cockpit...

JM

30 mar. 2018
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V=Volvo
Est-ce mauvaise langue de dire que c'est une opération commerciale qui utilise des (vrais) sportifs.
Des coureurs pourront-ils nous dire quelle influence ils ont sur l'avis de course de la VOR?
Pour une entreprise marketing mondiale/planétaire 7 équipes est-ce un succès?
Pourquoi VOR a-t-elle essayé de s'accrocher, il y a quelques mois, à la classe IMOCA?

04 avr. 2018
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Je répondais au post précédent, et comme tu le dis A. Thomson est vice-président de la classe et a une grande influence sur la jauge et les règles de la classe, je demande si les coureurs de la VOR ont leur mot à dire sur la course et ses règles.

30 mar. 2018
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So sade.

30 mar. 2018
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So sad or so Sade ?
:reflechi:

05 avr. 2018
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interview intéressante de Charles Caudrelier:
www.voilesetvoiliers.com[...]-calme/

Petit matin Gibraltar juin 2024

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