Un sujet "essentiel" sur ……… le papier toilette !

Chez moi, quelque soit la marque , la qualité ou la couleur, le PQ va directement dans une poubelle dédiée, jamais dans la cuvette. Ceux qui se sont trouvés comme moi sur l'annexe entre les coques d'un cata à tringler l'évacuation jusqu'à l'explosion (oui, il y a une bonne longueur de tuyau qui se mettent sous pression à force de pomper) finale et malodorante comprendront !

En batal tu peux aussi te torcher à la turque/orientale*. Pas de papier, pas de souci, ne pas oublier de se laver les mains après tout de même.

*comme disait un ex-bouddhiste, la position du Lotus™ , ça me fait ch...r.

a ce sujet ,
le bébé qui faisait la pub sur le papier toilette en courant dans le couloir est mort ,
il était au bout du rouleau

Qu'importe quel PQ tu utilises, le papier ne doit pas finir dans les toilettes.

Un petit bémol quand même : tous les PQ ne se valent pas dans ce cas !
Choisir du PQ double-pli seulement, le moins cher, il se dissout facilement.
C'est vrai pour les WC de maison, idem pour les Lavac ou similaires... à condition aussi de l'utiliser avec sobriété !

Encore un bon exemple de sujet intéressant qui tourne mal.

Merci Lorenzo pour cette info et laissons tranquilles les philatélistes du PQ ! Qu'ils ouvrent sujet dédié pour échanger sur leur passion !

Pour info, nous utilisons le papier Eco planet 100% recyclé carrefour. Double épaisseur comme le Lotus et ne pose pas de problème avec le broyeur de notre WC Sanimarin ni avec la cuve à eaux noires.

Le PQ, du monocouche et pas plus d’une feuille à la fois. (C’est pour ceux qui enroule quasi tout le rouleau autour de la main avant usage).

Sinon les bons conseils de nos ancêtres :

- Retournons, dit Grandgousier, à notre propos.
- Lequel ? demanda Gargantua. Chier ?
- Non, dit Grandgousier. Torcher le cul.
- Voulez-vous, demanda Gargantua, payer un tonneau de vin breton si je vous cloue le bec à ce sujet ?
- Oui, vraiment, répondit Grandgousier.
- Il n’est pas besoin, dit Gargantua, de se torcher le cul sauf s’il est sale. La saleté ne peut s’y trouver si on n’a pas chié. Il faut donc chier avant de se torcher le cul.
-Oh, dit Grandgousier, que tu as de l’esprit mon petit garçonnet. Par Dieu, je te ferai rapidement passer docteur en gaie science, car tu as plus d’intelligence que d’âge. Mais poursuis donc ce propos torche-culatif, je te prie. Et, par ma barbe, pour un tonneau, tu auras soixante fûts, je veux dire de ce bon vin breton, qui d’ailleurs n’existe pas en Bretagne mais en notre belle région du Véron.
- Je me torchai ensuite, dit Gargantua, d’un couvre-chef, d’un oreiller, d’une pantoufle, d’une gibecière, d’un panier (mais oh le mal plaisant torche-cul !), puis d’un chapeau. Et notez que parmi les chapeaux, certains sont faits d’un poil ras, d’autres de fourrure, de velours, de taffetas, de satin. Le meilleur de tous est celui qui est couvert de poils. Car il permet une très bonne absorption de la matière fécale. Puis je me torchai d’une poule, d’un coq, d’un poulet, de la peau d’un veau, d’un lièvre, d’un pigeon, d’un cormoran, du sac d’un avocat, d’une barbute, d’une coiffure ,d’un leurre.
Mais, pour conclure, je dis et maintiens qu’il n’existe pas de meilleur torche-cul qu’un oison au duvet abondant, à condition qu’on lui tienne bien la tête entre les jambes. Vous pouvez me croire sur l’honneur. Car vous sentez alors au trou du cul une volupté extraordinaire, tant par la douceur de ce duvet que par la chaleur tempérée de l’oison, qui se répand facilement dans tout le boyau du cul ainsi que dans les intestins, jusqu’à la région du cœur et du cerveau. Et n’allez pas croire que la béatitude des héros et des demi-dieux qui se trouvent aux Champs Elysées soit due aux asphodèles, à l’Ambroisie ou au Nectar, comme le prétendent les vieilles qui sont ici. Cette béatitude vient, selon moi, de ce qu’ils se torchent le cul d’un oison. Et telle est l’opinion de Maître Jean d’Ecosse.

Rabelais, Gargantua - Chapitre 13

Sur le mien j'ai bien un puits moteur, mais la barre gène, quand c'est pas le moteur ...

A la maison au bateau