Tirant d'eau

Bonjour,
Toujours à la recherche d'un bateau à acheter je visite bientôt un bateau qui a l'air bien mais qui possède un TE de 1m80. Je navigue en Atlantique entre Bordeaux et Lorient la plupart du temps.
Est ce que ce TE n'est pas trop handicapant? Peut être certains d'entre vous ont des idées la dessus. Je suis preneur de tous les avis s'il y en a.
A+

L'équipage
27 juin 2008
27 juin 2008
0

Si tu as un TE.....
trop petit ton bateau roulera plus, et sera moins confortable quand tu seras au mouillage. 1,8OM est un bon compromis, c'est clair qu'en Bretagne tu dois prendre en considération les marées, mais cela devient un reflex

27 juin 2008
0

DI,DL, CATA
Quand on a gouté aux tirants d'eau faibles
(DI, DL, CATA) les tirants d'eau forts ont alors
nettement moind d'attrait.

27 juin 2008
0

quand on a goûté
aux forts tirants d'eau, on ne peux plus se contenter de tirer des bords carrés!

27 juin 2008
0

doubles dérives
ça doit être sympa sur un bateau de croisière de 35 pieds!

28 juin 2008
0

cabestan..
je demande à voir....
en particulier pour le prés dans le vent frais...
ou la stabilité dans le grand frais....
je ne parlerais pas de la derive....

les mangroves sont infestées de moustiques

mais d'accord pour l'echouage et le cabotage.

27 juin 2008
0

les bords carrés
avec un dériveur moderne ,c'est une légende...
Faut pas oublier que les dériveurs ont été interdits en compète non pas parcequ'ils sont "dangeureux" , mais parcequ'optimisés ils sont plus performants, y compris au près (voir "Terrorist", dériveur intégral avec doubles dérives assymétriques qui a tout gagné en compète à son époque avant qu'il ne soit interdit...)

Un fort tirant d'eau interdit ou rend risqués beaucoup d'endroits (mouillages,abris (notamment magroves,(seul abri efficace contre un cyclone par exemple), rivières,lagons,etc...) et rend les échouages délicats...si ce n'était pas le cas tout le monde voudrait un monocoque avec 3m de tirant d'eau et une torpille de plomb au bout...

27 juin 2008
0

a lorient pas souci
au niveaux du tirant mais bordeaux !!!!!! apres tous depend ce que tu veut faire et aller ou !!!!!!! un exemple si tu veut venir a etel avec 1.8 ca va etre tres chaud maintenant si tu fait que des grand port je vois pas de souci apres si tu veut faire du rase cailloux mieux vaut un faible tirant d eau

27 juin 2008
0

un petit TE

permet de faire ce qu'un grand TE ne peut faire le long du rivage ,à la cote ,au mouillage ou à marée basse et fait la m^me chose qu'un fort TE en mer à quelque chose pret.

exemple:

Je suis allé à Sauzon ,j'ai pu rentré dans l'arriere port et bequiller ,les grand TE sont resté dehors ,le vent dans la nuit a tourné au NE et ils se sont fait secouer toute la nuit alors que j'étais posé sur le sable bien à l'abri tranquille.

josé

27 juin 2008
0

DI
Merci pour vos avis. La bataille du TE continue de produire des avis variés.
Malgré tout j'ai observé que les versions en TE réduit s'alourdissaient et du coup je me demandais si les performances n'en pâtissaient pas.
A+

27 juin 2008
0

a voir

Calypso 10,5m deriveur lesté poids 6.5t lest 1.75t rapport deplacement/lest 27%.

josé

27 juin 2008
0

couple de rappel
pour la même valeur de couple, plus le TE est faible et plus le saumon doit être lourd, CQFD!

27 juin 2008
0

Re DI
Il faut savoir ce que l'on veut pratiquer
comme type de navigation.
Et avoir utilisé les deux types de bateau.
Il y a de jolies rivières à remonter sur la côte
atlantique et le DI pardonne beaucoup de marées
limites, tout en marchant bien.
Un DI se paye par une largeur majorée
(stabilité de forme) et un surlest (stabilité
de lest).

27 juin 2008
0

On peut dissocier lest et tirant d'eau.
Un fort allongement du plan antidérive permet un près très efficace. 2.50m est meilleur que 1.60m de profondeur. D'autre part plus le lest est mis loin du centre de gravité, c'est-à-dire le plus bas possible moins il a besoin d'être lourd, ce qui diminue le déplacement global du voilier. Plus léger, il a toutes les chances d'être plus rapide en vitesse instantanée mais il aura aussi moins d'énergie cinétique et accélérations-décélérations seront sensibles.

Un DI peut avoir un très bon cap au près si sa dérive est profonde (je ne retiens pas les DI très connus commercialement équipés d'une simple tôle comme dérive, leur handicap est là lié à la dynamique des fluides, essayez de faire voler correctement un avion avec des ailes planes sans volume profilé!) mais ils seront forcément plus lourd.

Le cap au près est lié a l'allongement des appendices antidérive. Le déplacement est lié à la profondeur à laquelle on fixe le lest. On peut dissocier les deux phénomènes.

28 juin 2008
0

c'est ce que je dis
Le déplacement plus élevé augmente l'inertie donc le confort et la vitesse au près est moins sensible aux coups de butoir des vagues. La dérive profonde assure une bonne efficacité du plan anti-dérive qui favorise un bon près en limitant le dérapage. Le léger manque de cap vient du profil de la dérive... Avec un dessin bien travaillé le cap serait aussi bon sinon meilleur que celui des quillards.

27 juin 2008
0

quand
je pars en ballade avec d'autres bateaux quillards : ils sont tous tres surpris de la bonne marche de mon ovni au pres et de son cap ... avant d'affirmer qlq chose il faudrait verifier... et la dérive qui n'est pas une simple tôle et qui est tres profonde et la marche du bx au pres ds la brise qui est un regal surtout en confort par rapport à mon ancien quillard (SO 37) qui compense tres largement le léger manque de cap

27 juin 2008
0

Grand tirant d'eau = inconfort !
les rappels violents d'un bateau trop quillé/lesté sont pénibles, "raides", moins "doux" que les autres.
C'est sûr que pour le bord de près de la régate du dimanche, c'est super ! Mais en croisière...

28 juin 2008
0

C'est vrai
que si l'on augmente les deux en même temps sur le même bateau l'effet est redoutable. On parle de GZ , pour simplifier: le moment de redressement. S'il est très élevé le bateau devient pratiquement inchavirable mais les coups de rappel sont inconfortables au possible voire dangereux si l'on continue d'exagérer: On a vu le cisaillement des superstructures après une série de rappels extrèmement secs et violents. Les architectes se gardent bien de tomber dans de tels excès surtout que le déplacement augmente en conséquence et la tendance serait plutôt à l'inverse; avec là aussi les excès connus par le passé.

27 juin 2008
0

gilou pas trop d acord avec toi
car plus le tirant est profond ca signifie plus raide car plus le poids est bas mieux ces ces pourca que beaucoup de voilier sont comme ca prend le tirant d eau d un 60 open par exemple et plus il y a un grand tirant d eau ca veut dire une bonne surface de voile aussi le compromis est la mais ces pas pour ca que ces plus inconfortable

27 juin 2008
0

les 60' open
sont tout sauf confortables!

et je ne parle pas des aménagements

28 juin 2008
0

Le GZ
désiré est fixé pratiquement dès le départ pour un voilier, en particulier les voiliers de course comme les 60 open. C'est autour de lui et d'autres critères que le travail va se faire. Si l'on augmente le TE c'est pour diminuer la masse de lest donc le déplacement du bateau et conserver le même couple de rappel adapté à la voilure. On augmente pas TE et déplacement en même temps si le calcul de départ est correct. Heureusement nous n'en sommes plus à l'expérimentation empirique qui repartirait de zéro à chaque nouvelle étude. Les 60 pieds par exemple ont un lest très profond pour diminuer leur déplacement et des dérives asymétriques latérales pour faire un bon prés. Les deux phénomènes sont là aussi scindés.

27 juin 2008
0

petit tirant d'eau,
bon près,
confort,
performances,

= multicoque, bien sûr!

27 juin 2008
0

De quel bateau s'agit-il?
C'est le détail qui manque!
Depuis le début dea années 80, j'ai beaucoup navigué à bord de Melodys, puis d'un Sun Légende 41. les premiers avec un TE de 1,80m et le second avec 2,00m, le tout en Manche et Mer du Nord.
Ces bateaux ne m'ont jamais semblé inconfortables, mais ils remontaient bien au près. le Sun Légende est particulièrement confortable.
La Manche connait les marnages les plus importants de nos côtes et je n'ai jamais été gêné par le tirant d'eau, ni sur nos côtes, ni sur les côtes anglaises ou anglo-normandes. Il suffit de bien calculer ses hauteurs d'eau. Certes, d'autres mouillages sont accessibles seulement avec des DL ou des petits tirants d'eau qui remontent moins bien au près, éléments essentiels de sécurité.
En ce qui concerne les DL, je pense en outre que moins on a de mécanique en dessous du bateau mieux c'est. Je vois parfois des propriétaires de DL tentant de déposer une dérive.. largement grippée.
Mon Ecume actuel a un tirant d'eau de 1,25 et ne remonte pas mal. C'est vrai qu'il passe à peu près partout mais je ne cherche pas à béquiller car je me méfie de ces appendices contre nature qui peuvent transformer en désastre une faiblesse ou une mauvaise portée.
Pour un bateau plus grand, je reste convaincu que le grand tirant d'eau est préférable, mais ce n'est qu'une opinion personnelle.

27 juin 2008
0

Merci
à tous pour vos échanges et avis tous très intéressant. Je les suis avec attention depuis que j'ai posé ma question. En final il me semble que c'est difficile d'avoir un avis définitif.
:bravo:
Je pense quand même qu'un DL ou DI n'est pas un handicap à faire des navigations hauturieres et cotières. Comme je ne recherche pas la performance absolue je vais peut être m'interdire un grand TE...pour lesquels je garde bien sur tout mon respect.
Bonne navigation à tous.
:alavotre:

28 juin 2008
0

Mon expérience
Sur les "grandes" traversées (10/30 jours) la durée de navigation dépend beaucoup plus de la longueur du bateau que des autres critéres (1/2 bateaux, catas, quillards, DI, DL ...) Je parle des voyageurs pas des coureurs. Chagos- Mada ou Seychelles-Thaillande ou encore Mexique-France et autres. A 1 ou 2 jours près tous les bateaux de même taille arrivent en même temps s'ils sont partis le même jour. Il y aura toujours l'histoire de celui qui a cravaché nuit et jour, l'écoute à la main parce que c'est son truc mais ceux-là sont rares en voyage.

28 juin 2008
0

Plus de quillard que de DI ou DL!
Le DI ou DL est le plus souvent Français. On voit beaucoup plus de quillards qui se débrouillent aussi bien que les autres. J'ai laissé mon bateau ( DL )tout au bout d'un canal ou souvent le fond frisait les deux mètres au mieux et à mon grand étonnement des quillards étaient arrivés là, certains avec des tirants d'eau avoisinant les deux métres. ( Probablement sont-ils meilleurs marins que moi!) Dans les Turks et Caicos ou les Bahamas, qui ne sont pas réputées pour les fort tirants d'eau, même remarque.
Par contre tout à fait d'accord avec Nandi pour le temps mis en traversée dépassant la semaine.

28 juin 2008
0

A partir quel TE parlez vous de petit TE
Bonjour, j'aimerai savoir a partir de quel TE peut on parler de petit TE ? Car je vois pas mal de DI avec environs 1 m de TE, des DL avec 1.20 comme certain cata, des biquilles avec 1.3 , 1.5, 1.80 ??
Merci
LV

28 juin 2008
0

Tentatives de définiton
1 GTE = ton tirant d'eau quand tu te plantes
PTE = le tirant d'eau des autres qui ne se plantent pas là où tu t'es planté

2 GTE = quand on peu descendre du bateau et le pousser à pied quand il est planté
PTE = quand il faut appeler un remorqueur quand on est planté

3 GTE = quand il faut une échelle pour le carénage
PTE = quand il faut ramper pour caréner

4 GTE = quand on se fait branler au mouillage à l'ouverture d'une baie
PTE = quand on est tranquille au fond de la baie, là où les autres n'ont pas pu aller

5 ...

28 juin 2008
0

pas d accord
sur le point 4 c est pas 40cm de tirant d eau qui vont changer grand chose a ta position au mouillage non passer de 1.40m a 1.75 m re change rien a ce niveau là !
là ou le pte est interessant (et c est normal parce que c est pour ça qu il est pte )c est pour l echouage ,un pte c est fait pour se poser avec des bequilles donc avec une quille pas trop haute et une semelle longue pour que le bateau soit bien stable alors qu un gte ne peut absolument pas bequiller sans prendre de risques important

;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

28 juin 2008
0

PTE et GTE, toujours un grand débat!!!
PTE ou GTE toujours un grand débat, des avantages et des inconvéniens dans les 2.

en résumé,

Plus de possibilités de mouillages et de navigation avec un PTE

plus de raideur à la voile, de stabilité et de performances avec un GTE.

28 juin 2008
0

Mouais
D'expérience, passer le seuil d'entrée des Bas- Sablons ou embouquer le chenal d'entrée des Minimes avec plus ou moins 40 cm peut parfois faire une différence..

Rester planté 2 h devant les Minimes qd tous les autres rentrent n'est pas très agréable...

RV

28 juin 2008
0

le choix n'est pas évident.
Certes on rêve d'un bateau bon marcheur à petit tirant d'eau. Et en fait quand on trouve la perle rare en matière d'habitabilité d'état et d'entretien la notion de tirant d'eau passe un peu au second plan.

A moins que l'on se soit fixé des objectifs stricts comme l'escale à Ploumanac'h ou la possibilité de remonter un canal. 1,35m cela passe et se béquille, 1,65m non et le béquillage est nettement moins évident. je dis 1,65 car c'est mon cas.

Quand aux performances, tout peut être dit. Mais regarde le groupe HN en fonction des divers versions d'un même bateau; le quillard est le meilleur.

Mais on te rétorquera qu'en quillard il te faudra aller mouiller sous le vent des 7 îles alors qu'avec ton petit tirant d'eau d'autres mouillages sont accessibles. Et que en port à sec les fourchettes d'accès seront plus réduites.

Tu auras des avantages et des inconvénients.

29 juin 2008
0

confort volontairement ignoré pour l'exemple.
Un champion toutes catégories quant au T.E et à ses capacités à remonter le vent: Le "Bohème 33". Un petit 10 mètres d'exception!

29 juin 2008
0

C'était un exemple volontairement extrème
Les performances sont incroyables pour un DI incroyable et j'avais bien précisé que je mettais le confort de côté. C'était juste un exemple pour étayer mes propos précédents. Ce bateau est tout à fait apte au voyages lointains, certains l'ont prouvé. Tout dépend de ce que l'on souhaite et à ce propos j'admire et tire mon chapeau aux personnes ayant un caractère assez fort pour faire de tels choix à contre courant du toujours plus. respect et bravo!

29 juin 2008
0

tu es daja descendu dedans?
parce que effectivement tres joli voilier et tres efficaces avec ses derives angulées mais , n accepte pas la charge (leger) et l impact visuel des puits de derive est vraimenttres lourd dans les amenegements

et puis en plus pas de moteur inboard

donc bon bateau pour les vacances et de la cotiere mais pas pour voyager !

;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

29 juin 2008
0

un bon compromis
wrighton Biloup 36 , 1,4m TE et biquille fait pour aller partout et de bonne performance sous voile ( pas de bord carré ) et tres habitable, ou le 30, 1,1m TE et toujours biquille, pas de piece en mouvement, petit TE, facile d'entretien et bien concue ..
Louis

29 juin 2008
0

le biquille
, qui pourra éventuellement être en plus à quilles pivotantes (la posée se fait sur le bord d'attaque) est en effet un bon compromis et permet d'utiliser du bois moulé donc un déplacement modéré (considérant un échantillonnage robuste, pas une luge de compète ultra légère...) , matériau qui n'est pas raisonnable avec un dériveur intégral que l'on choisira en métal pour avoir une solidité suffisante dans les fonds (poinçonnage).
En effet, un dériveur intégral a forcément un déplacement nettement plus important à longueur égale, mais un fort déplacement n'est pas nécessairement un inconvénient en croisière (douceur des mouvements, charge utile)...
Sur les voiliers de course open à dérives latérales, le voile porte-torpille de lest n'a aucun rôle anti dérive car oscillant pour augmenter l'efficacité de la masse:là ça commence à faire compliqué avec tous ces appendices mobiles ;-)

29 juin 2008
0

tout ou rien
tant je trouve qu'il est agreable, dans les zones à marnage significatif, de pouvoir reduire son tirant d'eau à rien ou à pas grand chose (30 cm sur mon bateau).
Tant quitte à être "quillé" autant que ça soit de maniere conséquante, pour faire un joli pret, 1m50 est tout aussi andicapant au mouillage que 2m finallement.

Donc tout ou rien en ce qui me concerne, pas de demi-mesure.
Pouvoir echouer c'est bien aussi, mais les bequilles c'est invivable à bord.

29 juin 2008
0

J'aime bien ces bateaux
Le compromis est bien réalisé. J'aime les biquilles un peu pour la diminution du TE mais SURTOUT pour la possibilité d'échouage et ainsi se dispenser des travel lifts et chantiers divers que je préfère fuir, c'est PERSONNEL.

29 juin 2008
0

Je parlais des Biloups!
dans mon post précédent.

30 juin 2008
0

Cassééééééééééééééééé
Moi qui en ai ras la capote de tirer des bords carrés dans la brise, j'envisageai un GTE maintenant que je suis en Méd.
En Manche mon K760 DL était parfait pour me mettre à l'abri à Roscoff ou pour rentrer plus vite à Granville mais honnétement faire 100° entre deux bords, je ne suis pas certain que je rentrais plus vite à Granville face aux GTE moderne qui me rendent près de 20° sur chaque bord.
Il faut savoir de quelle génération de bateau on parle les loulous

:mdr: :mdr:

30 juin 2008
0

des bords à 50°
c'est pas un peu exagéré?
En effet, c'est les performances du Spray de Slocum qui est un plan qui date du 17° siècle...
Avec un DI on peut très bien faire 40° avec une dérive en simple tôle plate...

30 juin 2008
0

Avec un biquille ...

...on a un TE variable , il augmente ( un peu ) à la gite . Et quoi qu'on en dise , certains ne marchent pas trop mal .
Par contre il faut être très prudent avec le pied de pilote , quand on touche on et posé et ce n'est pas en faisant giter que l'on peut se dégager .
Par contre pour l'échouage , c'est sympa . Mais il est utile de se munir d'un plomb de sonde pour voir si le fond n'est pas en pente ;-) , un petit coup de sonde de chaque coté et hop ! Il faut aussi un fond homogène bien sûr.

Phil.

30 juin 2008
0

bon c'est un peu exagéré
mais selon certaines conditions de vent ça m'est arrivé de faire pas loin de 90 à 95°

Ponta do Castelo, Île de Santa Maria, Açores

Phare du monde

  • 4.5 (127)

Ponta do Castelo, Île de Santa Maria, Açores

2022