Survies pour ou contre à moins de 6 Milles

Ma femme et moi ne sommes pas d’accord sur le principe.
elle me dit que nous n'avons pas besoin de survie pour naviguer à moins de 6 milles d'un abri moi je trouve, que même à moins de 6 milles la survie est indispensable qu’en pensez-vous ?

en attende de vos réponses

Guy

L'équipage
06 août 2012
06 août 2012

Meme si la survie n'est pas indispensable il est important que ta femme soit zen et confiante sur son bateau :cheri:, alors je dirait oui à la survie même si ce n'est pas obligatoire :star2:

06 août 2012

Ben oui, c'est comme l'assurance, elle est chère tant qu'on ne s'en sert pas. Même dans les 6 miles, en cas de problème, on est quand même mieux dans une survie qu'à barboter dans l'eau froide au milieu des requins à guetter l'hélico. Bon, ok, les requins, ce n'est pas ce qu'il y a le plus, au Cap d'Agde. Mais l'eau froide... brrrr

06 août 2012

Ayant fait un stage de survie et ayant constaté la mise à l'eau d'une survie est beaucoup plus compliqué qu'on le pense, que la plupart du temps il faut la retourner (et parfois même si elle est autoredressable), ce qui n'est pas une mince affaire. Je pense que près des cotes, la meilleure solution est une VHF étanche fixé àu gilet. Cela permet de prévenir les secours, et éventuellement de guider les bateaux proches.
Solution valable si on tombe à l'eau ou si le bateau coule.

06 août 2012

Remarque fort juste. En perdition au large du Portugal par 40 noeuds de vent, j'ai vite constaté qu'en condition réelle il est quasiment impossible de mettre la survie à l'eau et de sauter dedans. Quand on sait que 8 sur 10 ne vont pas se gonfler ou se dégonfler dans l'heure qui suit, j'ai jugé préférable de rester à bord, bien m'en a pris car j'ai pu sauver le bateau.
Effectivement, à moins de 6 milles d'un abri un gilet haut de gamme équipé d'un système d'alerte et un engin flottant suffiront largement tout en coûtant beaucoup moins cher.

07 août 2012

25% defectueuses ? comment peut-on tu sité de tes chiffres ?? c'est pas tres serieux .

josé

06 août 2012

"Quand on sait que 8 sur 10 ne vont pas se gonfler ou se dégonfler dans l'heure qui suit,..." Pour ma part, d'après les rapports d'accidents, je considère que 25 % sont défecteuses.

Par ailleurs, celles non munies d'un arceau ont 50 % d'être à l'envers lors de la percussion! C'est à dire qu'il faut d'abord la retourner puis monter à bord pour l'utiliser. Un cas récent: le naufrage du DB1 Balkan récemment à Serk.

06 août 2012

Le feu se déclare un jour de mistral, en côtier.....le temps que quelque chose arrive, la survie doit être bien utile

30 août 2012

Dans ce cas je pense que la mise à l'eau de l'annexe sur les bossoirs est plus simple Non ?

07 août 2012

rajoute le voilier qui a cramer il y a quelque jours au environ de la Teniouse c'est à dire à moins de 6 mille et dont le navigateur coureur c'est refugié dans sa survie en attendant les secours

07 août 2012

les statistiques pour etre fiable il faut qu'elles soient scientifique et rigoureuse ,pas effective .

ces survies ont-elles eté revisé regulierement ,quel est leur age,

redressage des survies , là aussi à chacun sa responsabilité il y a des modeles qui se redressent tres bien (je ne siterai pas de nom) d'autre moins bien et d'autre pas du tout ...c'est un choix c'est NOTRE choix ,c'est de NOTRE resposabilité , à chacun de nous de voir ... là recide NOTRE serieux pas celui des fabriquants .

On pointe souvent et rapidement le serieux des fabriquants , des administrations des decideurs de reglements etc ... mais vue ce qui circule sur les pontons on a nous plaisanciers du progres à faire et on ferait mieux de faire notre auto critique avant tout.

josé

08 août 2012

Après de nombreux tests, VIKING RescYou™ UKSL, sans hésiter

07 août 2012

Pas tout à fait exact, lors de mon stage de survie à Lorient , j'ai été surpris d'apprendre qu'au contraire l'incendie est l'un des risques le plus important sur un bateau. La plupart sont maitrisés rapidement et ne sont pas déclarés. Sur le pôle course au large, le début d'incendie est la principale cause d'avaries. L'électricité et l'électronique n'aiment pas l'humidité. Compte tenu du nombre de personnes à bord et des moyens de sécurité mis en place dans un bateau de course, cela ne va jamais bien loin.
Par contre les plaisanciers sont beaucoup moins conscient du danger. Contrairement à nos amis anglais, bien rares sont les couvertures anti-feux dans nos bateau. un des moyens les plus efficaces pout conter un début d'incendie.

06 août 2012

J'ai eu le feu à bord non répertorié, parce que j'ai pu l'éteindre, je suppose. Un peu moins de chance et je serais dans tes chiffres!

06 août 2012

L'incendie est extrêmement rare même s'il existe 3 cas d'incendie de voiliers depuis deux ans.

Précédemment, je n'ai comptabilisé que seulement 3 autres cas depuis...1976!
Bien entendu, sur des voiliers et en navigation. Au port, c'est autre chose...

07 août 2012

Le Class 40 incendié la semaine passée est comptabilisé... Calypso, tu sais bien que je recherche tous les cas d'accidents enregistrés depuis 35 ans et ce chiffre de 25 % correspond à la réalité avec constance. Je ne note guère d'amélioration depuis 1976.

Défectueux ne signifie pas que le canot de survie ne se gonfle pas mais que leur fonctionnement a été considéré comme insuffisant par leurs utilisateurs.(gonflage partiel, dégonflage rapide, déchirures ...)

Quand aux survies qu'il faut d'abord redresser en étant dans l'eau avant de monter dedans, est ce bien sérieux?

08 août 201208 août 2012

[i]il y a des modeles qui se redressent tres bien (je ne siterai pas de nom) d'autre moins bien et d'autre pas du tout[/i]

Pourquoi ne pas citer les marques qui offrent le plus de sécurité ? Ce n'est pas de la diffamation pour les autres, et pas de la pub intéressée, c'est un service rendu à la communauté...

06 août 201206 août 2012

nécessaire en cas de feu à bord....
un paliatif : l'annexe à poste ou sur le pont mais gonfflée...
(doublon avec Clarivoile...)

06 août 201206 août 2012

Indispensable non, même au delà des 6 milles, mais mon bateau bénéficiera de l'option insubmersibillité par construction (au détriment de la capacité de stockage) comme le sont les mini transat 6.5... Ce n'est que mon avis et mon programme de navigation avec ce bateau exclu de me trouver à plus de 200 milles des côtes sauf peut être l'AR Islande... J'aurais un bib comme l'exige la règlementation. Je trouve par contre la combine intégrale de survie intéressante en complément du frêle radeau de survie. L'ennemi c'est le froid...

06 août 2012

Plus utile qu'une survie, à moins de 6 milles des côtes, une bonne VHF étanche vous permettra d'avoir un hélicoptère au dessus de vous 15 mn plus tard...

Pour des navigations plus lointaines, la combinaison de survie est surement plus sure ...Il est rare qu'un voilier coule en moins de 20 minutes.

Par ailleurs, les cas de percussion d'un canot de survie sont rares, 8 de 2000 à 2011!

mais seulement pour l'année 2012, je connais 5 cas de percussion d'un canot, utilisé ou non.

Comme quoi, les chiffres...

06 août 2012

Je ne fais pas parti du fan club des servies sauf évidemment à traverser l’atlantique. j'ai plus confiance dans un bon gilet et une bonne VHF (j'ai aussi une balise satellite).
Par contre je suis assez d'accord avec CergElAbroz l'ennemie c'est le froid, et la vraie question c'est comment luter contre le froid si on doit abandonner le bateau.

07 août 2012

Combinaisons d'abandon......... Etanche, isolante... Pas cool sous les tropiques, encore que?????

Viking comme tu dis, les chiffres...
Combien de survie ont été vendue et on disparut des circuits de révision bien avant leurs fin de durée de vie théorique ???
La question sous jacente, combien de survies ont disparut (percuté ou non), coulé corps et bien, et n’apparaissent pas dans les chiffres, car faisant partie de bateau qui ont disparu sans que l’on en sache la raison… ????
Certains chiffres posent plus de question qu’ils ne donnent de réponses !!!
@+
Alain

07 août 2012

"combien de survies ont disparu (percuté ou non), coulé corps et bien, et n’apparaissent pas dans les chiffres, car faisant partie de bateau qui ont disparu sans que l’on en sache la raison… ????"
A moins de 200 milles des côtes françaises, la réponse est proche de 0.

En effet, je ne connais que trois voiliers qui ont disparus sans que l'on en connaisse les raisons mais on a retrouvé des traces. Un Amphitrite, un Bongo 9.6, le Jeanneau du Dr Godard...

07 août 2012

et je crois un voilier loué par des légionnaires entre corse et continent

07 août 2012

Il faudrait commencer par considérer la survie...comme une survie.
C'est à dire la dernière des dernières solutions.

Or on prend ça comme un moyen simple, pratique et facile de s'en sortir.

Allez hop : J'emporte mon barda, direction survie, un coup de vhf ( ah, y a pas de fixe dans la survie ?)
Ben alors la portable.
( Ah bah oui j'ai perdu, oublié, pas chargée ou j'en ai pas de portable ) et déjà l'hélico sort le treuil...

Je me suis souvent demandé, en voyant le mauvais temps, comment je ferai pour tout simplement pour grimper à bord et emmener le grab bag.
Parce que question confort, c'est plutôt limité. Et équipement "rustique".

Et nager, enfin se mouvoir, 5 mètres avec du beau temps et 5 mètres avec F10 c'est une autre chanson.
Sans compter le stress personnel et celui pour ses proches.
On ne parle même plus du chien.

J'ai eu l'occasion de voir des essais de survies en piscine à vagues. Des vraies vagues, pas celle pour les baigneurs.
J'ai trouvé ça "comique". Mais parce que j'étais pas dans l'eau...

Une demi-heure pour que les 4 personnes soient montées.
Épuisées.
Ca m'a fait réfléchir et a laissé un léger stress s'installer.

Depuis en navigation je vois la survie sur le pont sous la forme d'un cierge.
Et j’espère avec un peu plus de résultats, parce que la cire, là, coûte bonbon..

08 août 201208 août 2012

:pouce: Comme si bien écrit; La der des der!!! :pouce: :pouce: :pouce:

29 août 201229 août 2012

Pour l'avoir vécu, j'adhére complétement au fait que les conditions extérieures (vagues, froids, stress, fringues...) sont complétement liées à la dépende d'énergie. Ce qu'on se sent capable de faire en toute sécurité devient rapidement épuisant. Nager, du moins se déplacer (parce qu'avec un gilet, bonjour!!!), de 10m seulement pour se faire récupérer et un dernier effort pour s'arracher de l'eau, laissant s'écouler les 650 litres de flotte qui sont entrés dans la veste de quart, la salopette et les bottes, m'a semblé aussi dûr que de courir un 400m haies (pour ceux qui connaissent).
C'est là qu'il faut choisir les efforts utiles: retourner le radeau qui est à l'envers ou attendre calmement accroché, le bon moment pour se faire récupérer.
En tout cas, tous les bouquins du monde ont tous des solutions pratiques "qu'on "doit utiliser en cas de..."
Ce n'est qu'en situation survie prend son sens: qualité du matériel ou pas, adepte du gilet seulement... A chacun de voir.
Pour ma part, j'ai eu la chance de participer chaque chaque a des exercices "réels" (dans le port) avec l'association des plaisanciers: Ne serait-ce que, par mer calme, se hisser dans un radeau, dont l'échelle est souvent assez haute est souvent l'occasion d'une tournée d'apéro le soir... tout simplement parcequ'on ne pense pas à couper le bout attaché au bateau. Plus d'autres trucs que vous connaissez tous: tirer des fumigènes, envoyer des fusées parachute, vers le haut en anticipant la direction du vent et pas dans la tronche du copain en regardant dessous où se trouve cette P... (avec tout le respect que je dois à ces charmantes dames!!!) de goupille,
Petite remarue pour terminer, si j'achetai un insubmersible, j'embarquerai quand même un radeau, quelque fois que le feu détruise mon bateau.
Hervé

07 août 2012

Il ne faut pas prendre son cas pour généralité.
Si effectivement on navigue au mois d’août au milieu de ports pleine eau, à moins de 1 heure de vedette SNSM, de 30mn d'hélico et d'avion de research, comme c'est le cas un peu partout Nord Bretagne/Manche Ouest, alors c'est beaucoup moins utile que si on navigue en mars en Gascogne.
Une vrai auto redressable se redresse seule, si bien sûr l'arceau est bien dimensionné.

07 août 2012

il ne faut pas exagérer non plus .

une VHF fixe pour la portée , un examen CRR et les bretelles avec un telephone ça devrait le faire

et evidement tout le reste en securité (fusées par exemple, brassiere autogonflable

07 août 2012

Bonjour!

Apparemment sans...

info.sfr.fr[...]194087/

07 août 2012

Avec un bateau insubmersible, je ne vois pas l'intérêt d'une survie (à part claquer quelque milliers d'€).

L'ancienne réglementation, à juste titre, ne la rendait pas obligatoire. Pourquoi la nouvelle l'a-t-elle rendue obligatoire? En théorie, cette nouvelle réglementation donne au skipper une certaine liberté de jugement. Dans ce cas précis, elle impose une règle absurde. Pour les cas d'incendie? Combien y en a-t-il eu? Incendie moteur? si le moteur est hors bord, on peut le virer par dessus bord. Incendie gaz? Compte tenu de la navigation que je pratique, je n'utilise pas le gaz en mer. Incendie électrique? Un bon fusible en sortie de batterie est une bonne protection. Risque = 0.

Il vaut mieux se prémunir contre les risques réels et porter systématiquement une brassière automatique et une PLB (balise de détresse individuelle) accrochée à la ceinture. C'est beaucoup plus utile qu'une survie quand on fait de la croisière côtière sur un bateau insubmersible. Et même au delà de 6 milles. Jusqu'à 40 ou 50 milles, avec une balise de détresse, l'hélico arrive en moins de 1h.

07 août 2012

vital: "le virer par dessus bord"....
ça doit pas être faisable en 2 coup de clef à molette !
sauf si c'est un moteur d'annexe justement.
:-D

et un moteur en feu doit pas être facile à approcher pour démonter ses fixations au tableau arrière... :non:

sur les catas on a de la chance: survie + annexe gonflée à poste... :langue2:

07 août 2012

On peut se dire "je ne fais que du cotier" mais, 6 miles d'un abri ne veut pas dire 6 miles de la cote pour un quillard, donc pour être en règle avec la maréchaussée et ne jamais regretter d'avoir fait l'impasse en cas d'accident, j'ai une survie hauturière sur le roof, révisée et prête a être mise a l'eau.
Par contre ses 45kg me font un peu peur pour la passer par dessus bord en cas d'évacuation.
@+ et bonnes navs, je souhaite a tous de ne jamais en avoir besoin.
Alain

07 août 201207 août 2012

Ma survie (Plastimo Transocean cl.2 6pl. lourd) est périmée en Novembre. Je l'ai débarquée et me suis rendu compte qu'elle est tellement lourde (54 kg) qu'en cas d'urgence, je ne suis pas sûr de pouvoir la mettre en oeuvre seul. Je ne parle pas d'être blessé ou qu'un gosse ou une femme se trouve contraint de le faire à ma place...

Donc survie, oui, même si le risque d'incendie est mineur, mais que diable ne nous fabrique-t-on pas des engins plus légers?

Il faudrait qu'un de ces jours on fasse un visu avec une ou mieux plusieurs survies périmées à déclencher et voir ce qui se passe. Mais cela se fait peut-être déjà?

07 août 2012

Pareil, lorsque je l'ai débarquée (exactement la même survie que celle de Chtit Luma), j'ai dû faire appel à mon frère pour pouvoir l'extraire de son coffre situé à l'arrière du bateau.

Je l'ai remplacée par une 4 places, de toutes façons nous n'étions pas souvent à plus de 4 en navigation : désormais nous ne serons jamais plus de 4.

Comme ça, lorsque je serai en solo, au moins je pourrai l'utiliser en cas de besoin.

A Trebeurden lors de la fête de la mer il y aura une opération "déclenchement de survies" encadrée par la SNSM (le 12/08 je crois). Je n'y serai pas cette année.

07 août 2012

Font pas en dessous de 4 places...

Ah! dormir solo en diagonale les bras en croix dans son bib 4 places sur son matelas d'eau hauturier of course, le côtier c'est pour les demi portions! :-p

07 août 2012

je préfère avoir des regrets (financiers) de l'avoir plutot que des remords de ne pas enavoir une a bord.

A 66 ans je la trouvais un peu lourdingue alors elle est sur le balcon arrière prête a etre larguée d'un coup de pied ou autre....

07 août 201207 août 2012

Marcel (Bardiaux) inspire moi!....

Un truc me chifonne!

On évoque le recours au bib en cas d'incendie à bord... Mais alors que foutent à bord les extincteurs aussi exigés par la "REGLEUMENTAZION" et nécessairement-correctement échantillonnés par ceux qui pense pour nous et nous imposent leur conception de la sécurité? :tesur: :blabla:

Ach des subtilités m'ont encore échappé... :-(

07 août 2012

Ce n'est pas l'extincteur qui éteint le feu, mais l'opérateur qui le tient.
1/ il faut savoir s'en servir
2/ il faut pouvoir s'en servir
3/ faut pas se barrer si ça chauffe un peu
4/ faut se barrer avant que ça ne chauffe trop
5/ faut pas se barrer dès que ça piquote les yeux
6/ faut pas attendre d'être aveugle pour chercher la sortie.

Bref derrière un clavier ou en "stage sécurité", ça parait simple.
Avec une bonne fumée toxique, la baume qui se trimbale et Mémé qui hurle, c'est moins facile.

07 août 2012

Et ce con d'hélico arrivé trop vite et qui attise le feu en faisant du stationaire au dessus du bateau en feu Argh! pas simple à gérer...

Mais qu'est ce qui m'a pris après tout ce temps de racheter un bateau?...

Dans mes souvenirs c'était plus chouette, naviguer en bateau à voile!...
:acheval:

07 août 2012

salutatous

vous ne pouvez pas prendre comme principe de base que, parce que vous êtes en côtier, l'hélico, la snsm peuvent être à vos côtés en 30 minutes et profitons en allègrement ...

ces services ne sont pas des services que l'on vous doit mais bien une organisation qui vient, souvent au péril des vies de ceux qui vous secourent, vous sortir du merdier dans lequel vous vous êtes vous-mêmes fourés ... n'inversons pas le sujet

le principe :"je suis dans la merde, je me jette à l'eau, on viendra me chercher " est indigne d'un vrai chef de bord

les moyens à bord prévus par la règlementation sont perfectibles ? ne sont pas suffisants ? alors organisez vous vous-mêmes pour qu'ils le soient

un chef de bord engage sa responsabilité juridique, et c'est logique; et les juges seront tatillons

un insubmersible n'est pas un in-inflammable

l'hiver, patauger dans une eau à 11° pendant 1/2 heure (en étant optimiste) et vous êtes déjà en hypothermie, voire inconscient, voire déjà mort

cordialités maritimes
larent le hareng

07 août 2012

Sans compter que l'hélico en question peut-être occupé ailleurs, en panne, short petrol, sans visibilité.
Rajoutez à ça la brassière plastimerde qui se dégonfle, l'eau à 10°, les vagues sur la gueule, le mal de mer, et ça change un peu du scénario de série américaine.

07 août 201207 août 2012

au moins, si le bateau coule, l'incendie sera éteint...

moi, j'ai acheté deux survies, une pour si le bateau coule, une autre pour si la survie coule... même à moins de 6 miles d'un abri, on n'est jamais trop prudent... et j'ai ceinture ET bretelles, parce que perdre sa culotte par -25°, on se les gèle.

dans mes souvenirs aussi, c'était plus chouette, naviguer en bateau à voile!!!

08 août 2012

Je ne croyais pas avoir autant de réponses et je vous remercie tous
c'est vrai que l'annexe gonflée c'est bien mais avec mon petit
First 28 pas trop de place à bord
c'est sûr que de savoir que l'on a à bord une survie rassure un peu et je ne souhaite pas avoir à m'en servir
mais bon par 8 ou 10 on va essayer de rester au port c'est plus sûr je crois

merci à tous

Guy :pouce:

08 août 2012

c'est la sagesse même...
et quand ça vous prend en mer, on cherche l'abri sous le vent le plus proche, à une heure de route au portant...

08 août 2012

A la SNSM Royan, on percute 2 ou 3 survies par an, lors de "journées sécurité". J'ai participé à au moins une dizaine d'exercices de ce style. Nous n'avons jamais eu de problème; la survie s'est toujours gonflée correctement. Bien sûr, on la sort assez rapidement de l'eau, pour montrer le matos qui est dedans, puis on la dégonfle. Mais en 2 heures, on n'a jamais constaté de dégonflage.
On peut donc dire que ça marche correctement. Il faut arrêter de dénigrer systématiquement le matériel.
Mais cela ne m'empêche pas de penser que c'est inutile sur un bateau insubmersible, en navigation côtière, surtout si on élimine les risques d'incendie, en évitant d'utiliser gaz et moteur en mer.
Le risque majeur, sur un bateau, est de passer par dessus bord. C'est avant tout contre ce risque qu'il faut se prémunir (port systématique de la brassière). Et combien, parmi ceux qui pensent que la survie est indispensable, n'utilisent jamais (ou presque) leur brassière?

09 août 2012

Tout va très bien Madame la Marquise...
Moi aussi, j'ai assisté à un certain nombre de gonflage de survie, et une seule fois, l'une d'entre elle ne voulait pas se gonfler mais...

VOILIERS de 6.5m à 18 m
Années 2000 à 2011
8 canots de survie percutés en navigation

Années 200 ?: Abandon - 4/5 rescapés - Sud de Guernesey - (Usage du canot de survie inappropriée)

Août 2001: Abandon suite à un talonnage - 4 rescapés - Audierne -calme plat- Sauvetage de la S.N.S.M - (Usage du canot de survie inappropriée)

2005 - Voie d’eau, voilier coulé - Nord Irlande - Sauvetage par un hélicoptère - (usage du canot de survie défectueux)

2005 - Voie d’eau, voilier coulé - 1 rescapé, 1 décès - (usage du canot de survie défectueux)

2006 : Chavirage - 4 disparus, 2 rescapés - (usage du canot de survie défectueux)

Défectueux signifie que le canot s'est soit, partiellement gonflé, se dégonflait rapidement, était déchiré de manière importante.

De 1976 à 2000, sur 15 canots utilisés, 5 étaient défectueux..

En 2012, les canots de survie utilisés se sont tous gonflés mais, dans quelle catégorie classer un canot qui se gonfle à l'envers et difficile à redresser par mer plate?

09 août 2012

Vital, plusieurs point que tu souligne sont aussi les convictions que j'ai acquises:
-Le risque principal est l'homme à la mer,
-ne jamais " être traîné dans l'eau derrière un bateau qui fait route"
- Les canots de survie sont inutiles "en côtière voire en semi hauturière (jusqu'à 50 milles)"

Il est normal qu'"en 6 ans de SNSM, tu n'ai jamais vu une seule survie percutée en mer". Compte tenu que je recense seulement 8 canots de survie ont été percutés en 11 années.

Quand à mes "statistiques" elles sont évidemment incomplètes mais sont très proches de la réalité. Sache que depuis 3 ans que le lance un appel sur H&O chaque année, rares sont les cas que je ne connais pas.

Mes sources sont les rapports des Préf. Maritime et des CROSS, la lecture de "Sauvetage", les rapports du M.A.I.B.

Il faut savoir que la législation concernant les canots de survie obligatoire date de 1976 et que la plaisance et les moyens de sauvetage ont évolués.

Par ailleurs, je parle pour les voiliers alors que le législateur pense plaisance au sens large, et comprend les bateaux à moteur. Les décisions sont prises alors que les chiffres du type et des causes d'accidents sont inconnues.

09 août 2012

Tes statistiques, si elles sont complètes (car les médias ne parlent que de ce qui ne va pas, jamais de ce qui va) prouveraient qu'il vaudrait presque mieux ne pas avoir de survie, car on est tenté de l'utiliser à mauvais escient, et qu'on prend plus de risques en l'utilisant qu'en attendant les secours à bord. Pourquoi, donc, si c'est vrai, l'avoir rendue obligatoire, en dehors de la navigation hauturière?
Même si ces statistiques sont incomplètes (ce qui est probable), cela me conforte dans ma position: inutile sur un bateau insubmersible, en côtière voire en semi hauturière (jusqu'à 50 milles)
Pour ma part, en 6 ans de SNSM, je n'ai jamais vu une seule survie percutée en mer. Par contre j'ai malheureusement vu plusieurs personnes décéder après être passées par dessus bord (avec ou sans harnais). J'en déduis que c'est ça le risque majeur, sur lequel il faut faire de la prévention. D'où port systématique de la brassière et balise individuelle en solitaire ou avec des équipiers en qui je n'ai pas une confiance totale. Et, quand j'utilise un harnais, très court pour limiter les risques de passer par dessus les filières, et couteau dans la poche, pour couper si je passe à l'eau. Il ne faut surtout pas être traîné dans l'eau derrière un bateau qui fait route. C'est le moyen le plus sûr pour se noyer rapidement.

08 août 2012

j'ai quand même une brassière gonflable par personne avec harnais incorporé pas mal les liens merci pierre:pouce: :pouce:

09 août 2012

l'abandon du navire par gros temps en côtier ne devrait pas être à l'ordre du jour : on ne prend pas la mer si du mauvais temps est annoncé ...

le feu existe mais ne doit pas être si fréquent ...

un autre risque réel la nuit ou si on ne regarde pas attentivement : la rencontre avec un OFNI qui coule le bateau (tronc d'arbre fréquents en Méditerrannée après les orages)

09 août 2012

Oui, mais pas avec un insubmersible! Pour mémoire, est considéré comme insubmersible un bateau qui peut continuer à faire route lorsqu'il est complètement envahi par l'eau.

10 août 2012

Ça c'est le règlement. Moi, je parle sécurité. Et je suis prêt à naviguer sans survie, aussi bien sur le Bépox (qui est certifié insubmersible), que sur mon futur F22 (qui ne le sera pas en Europe, mais le sera en Australie, Nouvelle Zelande...)
C'est bien là où on voit la débilité de certaines législations! Dans un pays où les conditions de mer sont nettement plus sévères qu'en France, le F22 sera homologué sans survie. Et il faudrait, pour respecter la réglementation Française, que je transporte un poids de 25kg, totalement inutile, sur un bateau où chaque kilo compte? Il n'en est pas question!

09 août 2012

a condition qu'il soit certifié comme tel.....

11 août 2012

oui c'est le cas de mon D.....Mais j'ai la survie

09 août 2012

et oui Aupilau c'est surtout cela que je crains un OFNI que je ne vois pas ou un problème autre
par contre pour le gros temps je préfère rester au port et puis à bord d'un bateau on a toujours quelque chose à faire :scie: :alavotre:

10 août 2012

La survie à moins de 6 miles c'est comme on veut ! C'est stupide ! une bonne VHF et un gilet (non gonflable ! ceux là fonctionnent toujours) est largement suffisant. mais si on tient a verser de l'eau dans le moulin de ceux qui n'ont jamais assez de sécurité on peut aussi regarder un film de mer à la TV dans son salon bien serré dans un gilet de sauvetage avec la VHF à portée de la main.
Si on a peur en mer on n'y va pas ! ca fera de la place pour ceux (les fous !) qui osent naviguer sans gâver les petits copains de ceux qui font les lois.

10 août 2012

Ce serait même bien de pouvoir aller un peu plus loin que 6 milles sans survie.
J'ai lu ici même que çà faisait partie des projets ç une époque mais que finalement le 6 l'a emporté.

10 août 2012

En dehors de la peur du Gendarme personne ne peut interdire d'aller au delà de 6milles sans survie.
On peut remarquer que 6 milles c'est près de 11kms au milieu de nulle part et qu'un gilet ne protège pas de l'hypothermie qui s'installe très rapidement dans l'eau.
Il faut faire le pari qu'on va ètre secouru très rapidement, ce qui suppose des moyens d'alerte efficaces et un repérage sans problème.
A défaut de bib ou d'annexe pour sortir de l'eau rapidement le mieux est une combinaison TPS ou une combi étanche de plongée. La combi humide permet de gagner quelques heures.

10 août 2012

Je me permet d'ajouter à tes justes remarques que même avec l'intervention rapide d'un hélicoptère disponible (!), apte à voler dans les condition du moment (visibilité, jour/nuit, vitesse du vent), Capable d'appareiller et d'être sur zone en moins de 30 mn (!).
L’hypothétique hélico, serait content de trouver un objet plus visible qu'une capuche de ciré.

Mais bon, je pense qu'ici, certains ne veulent comprendre que ce qui les arrangent. Je n'ose même pas expliquer que l'utilisation d'une survie ne s'improvise pas, que de tenter de l'utiliser sans formation rend les chances de survie totalement nulles.

Il est probable cependant que cette étrange perception soit liée à la projection que l'on est capable de se faire d'une situation de détresse.

Nous ne sortons pas tous dans les mêmes conditions météo, certains n'ont jamais vu l'horizon vide, ne navigues pas dans des eaux froides, ni en hiver, ne se sont jamais retrouvé avec visibilité zéro, etc...

Je comprends donc toutes ces réticences mais il ne me viendrait pas à l'idée de naviguer sans survie.

10 août 2012

Dans ce cas là si on prévoit de tomber à l'eau vaut mieux rester à la maison. Pourquoi pas un ballon gonflé à l'hélium avec balise GPS pendant qu'on y est ?
Je sais bien que c'est moche de mourir de froid ou noyé mais il faut bien mourir un jour, vous préférez les hôpitaux avec votre déambulateur et le goutte à goutte en mangeant des dégeulasseries à base de carton?

10 août 2012

Le problème n'est pas de mourir mais la façon de mourir.
A priori physiologiquement parlant la mort par hypothermie parait assez bonne. Celle par noyade est moins enviable surtout dans la période de suffocation avec fortes réactions réflexes mais passé ce cap, pourquoi pas. Chez les enfants, très sensibles au froid ou à l'asphyxie, elle est très rapide comme le montre hélas les faits divers quotidiens en période de vacances.
En mer en plus ces morts sont écologiques en alimentant la chaine alimentaire.
A moins d'ètre suicidaire, pathologique ou conscient on monte en bateau pour espérer en revenir vivant, ou au moins on le souhaite pour ceux que l'on prend en charge. Le skipper peut toutefois avoir la classe de couler avec son bateau. Cela fait très "British".

La fin de vie théorique vue par le bien portant n'a rien à voir avec la vision d'un patient diminué, car il y a hélas pour la Sécu, plus de ceux qui veulent s'accrocher que de ceux qui veulent en finir.
Mais ne doutons pas qu'avec une bonne préparation médiatique la majorité de l'époque trouvera ceux qui oserons demander à survivre, d'odieux et couteux antisociaux.

10 août 2012

C'est vrai ça, quoi! C'est quand même mieux de mourir en bonne santé!!!! :bravo:

10 août 2012

Et c'est un bon geste pour la sécu...

10 août 2012

Si je regarde les statistiques de Viking, il y a beaucoup plus de chances de gagner l'Euromillion au loto que de se trouver en position de déclencher la survie.
Pour l'Euromillion, il y en a qui prennent des billets toutes les semaines dans l'espoir de gagner, et d'autres qui n'en prennent jamais car ils savent que c'est de l'argent foutu par la fenêtre.
Pour les survies, il n'est même pas certain que ceux qui ont la "chance" d'être parmi les "gagnants", puissent profiter de leur gros lot, puisqu'une part non négligeable de ceux qui se sont trouvés dans cette situation n'a pas eu la vie sauve pour autant.
Alors, je préfère investir mon argent ailleurs, dans quelque chose qui a beaucoup plus de chance d'être utile!
Mais chacun fait le choix qu'il veut, en fonction de son style de navigation, de son bateau, et de sa situation familiale.

11 août 2012

Je suis toujours emerveillé par la grande sagesse ,l'experience et le grand savoir de bon nombres de plaisanciers detracteurs de tout ce qui touche à leur securité et bien sûr aux personnes qui les accompagnent en toute confiance et innocence .

Vous etes a vous lire infiniment plus competent que tous ces professionnel du sauvetage et de tous ceux qui ont pour mission de proteger la population des dangers qu'elle encourt .

mais c'est vrai qu'ils sont tous des vendu aux fournisseurs ou supreme incompletence des "fonctionnaires" .

c'est bien triste tout celà

josé

11 août 2012

Et, calypso, tu n'aide pas à diffuser la confiance envers les pros du sauvetage et de l'équipement du sauvetage en refusant de citer les marques dont tu sais, en tant qu'ancien de la construction navale, qu'elles commercialisent les meilleurs équipements... :lavache:

11 août 2012

C'est pas faux, mais vaut mieux être pris pour un vendu que pour un lâche ! La vraie lacheté,c'est de commercialiser des équipements de survie de mauvaise qualité...

11 août 2012

il y a deux solutions , tu site le nom et tu es un vendu ,tu ne site pas le nom et tu es un lache , pas facile

la marque ,c'est simple c'est la plus cher Viking que l'on trouve sur tous les bateaux à passagers, cargo,peche,defense etc vous ne trouverez jamais du plastimo sur ces bateaux mais là il va bien y avoir quelqu'un pour me dire que je suis un salaud de tirer contre une boite en difficulté

11 août 2012

et de les acheter .... a nous d'etre "responsable" on a le choix mais sommes nous suffisament adulte et reponsable pour faire le choix à lire ce que je lis et a ce que je vois sur l'eau , ...moi j'en doute ..

et heureusement que l'on impose et que l'on met des gendarmes sinon ça ne serait pas triste .

Tient hier des cons de la vitesses ,plein pots sur une zone de mouillage sur bouées ont bien failli foutre une annexe avec des enfants à l'eau alors que la zone est reglementée à 5nd et qu'eux etaient bien à 20 ....ainsi va le monde

11 août 2012

mais calypso2 si j'ai bien lu vital a été un pro du sauvetage pendant 6 ans et dans un coin pas facile donc.....

11 août 2012

et bien un "pro" du sauvetage qui est contre des preconisations qui sont tenue par toutes les marines du MONDE et en premier chef chez nous par la SNSM dont il fait parti et qui siege au Comité Superieur de la plaisance presidé par Mr D'Abouville et qui ont refondu la reglementation en créeant les nouvelles zones (6milles) ça me laisse perplexe ..

josé

11 août 2012

...et la possibilité de remplacer le mouillage par une ancre flottante.

13 août 2012

Je connais quelques "pros" de snsm qui n'ont de pro que la polaire et la cuite qu'ils prennent au repas annuel.
Etre hôtesse de l'air sur A380 ne fait pas en soit une as du manche, enfin je me comprends.........

11 août 201211 août 2012

Bonjour José,
Pourquoi refuser la distinction entre bateau insubmersible et non insubmersible? Il est évident que les risques ne sont pas comparables! Et la sécurité est bien mieux assurée avec un bateau capable de regagner un abri malgré une voie d'eau importante que dans un bib où on ne contrôle plus rien.
Et j'ajoute qu'en plus, sur mon bateau qui date de 2000, la survie n'est pas obligatoire, même en hauturier.

11 août 2012

Pour l'avoir déjà écrit plusieurs fois, José , et comme je suis persuadé que tu es un lecteur de la revue "Sauvetages", tu devrais savoir que la SNSM ne tient pas de statistiques pertinentes sur les causes d'accidents et ne fait pas de distinction entre bateaux à moteur et voiliers.

Alors comment est-il possible de tirer des préconisations fiables avec des chiffres que l'on ne possède pas?

12 août 2012

Oui, le CROSS est impliqué dans la totalité des interventions. Et les intervenants remontent l'ensemble des informations au CROSS. La SNSM n'intervient que dans la moitié des cas environ, et ne peut donc pas avoir des statistiques complètes. Les autres intervenants sont les hélicos (marine nationale, gendarmerie, sécurité civile) les moyens nautiques de la gendarmerie, des douanes, des affmar, les pompiers (dans la zone de 300m) et les différents usagers de la mer (pêcheurs, plaisanciers...)

11 août 2012

Utile ou pas perso le vrai ,l'unique probleme ce situe ailleurs .

il y a un reglement , ces preconisations sont generale, presque toutes les marines du MONDE conseille la survie .je concidére (peut etre à tord) que ces decideurs sont infiniment plus competent que moi ,pauvre petit plaisansier du dimanche et ne sont surment pas là simplement pour m'emmerder ou pour faire depenser mes sous . donc j'ai tendance à les écouter plus que de tenir compte de mon petit avis d'incompletant en la matiere .

deuxiement je ne veux même pas pensé au consequence de la disparition d'un ami , de ma femme ou à mes petit enfants simplement par absence d'une survie ...pour moi le plus simple serait une balle dans la tete ...

alors j'ai une survie revisé ...point et je navigue l'esprit tranquille ou presque .

reflechisez aux conséquences

11 août 2012

Si la SNSM ne possède pas ou ne diffuse pas de statistiques détaillées, celles-ci semblent cependant exister au niveau des CROSS.
A titre d'exemple:
www.hisse-et-oh.com[...]-milles

11 août 2012

perso ,un bateau insubmersible ça n'exite pas à ce jour , je dis bien reellement pas auto-proclamé ou respectant des critéres discutable et discuté .

et m^me les plus insubmersible du monde , par exemple le mien ,bateau en bois épais dont la densité globale est inferieur à l'eau de mer donc m^me avec un gros trou il flottera , et bien figure toi qu'il peut tres bien prendre feu .C'est con n'est pas mais possible .

et les sources de feu il n'y a pas que le moteur ou la gaziniere, il y a aussi le fumeur, l'electricité, la foudre ,et le plus terrible, le manque de pot .

11 août 2012

C'est bien de Croire au Saint Règlement. Sûr qu'il te protègera de tout les risques qu'encourent les marins , et que tous les autres périront noyés ou dans les flammes. Mais moi, je ne suis pas Croyant, alors je regarde (et j'en ai probablement plus vu que toi eu 6 ans de SNSM) et je réfléchis. Et ce que j'ai vu m'a montré que le règlement te protège beaucoup moins bien que le bon sens!

11 août 2012

alors si on parle de "bon sens" ...je m'incline :reflechi:

mais a voir toutes les interventions de la SNSM je ne suis pas sur qu'elles aient lieu le plus souvent suite au "bon sens"

11 août 201211 août 2012

Les réponses de Calypso2 ne laissent pas penser qu'il brule des cierges à Saint Règlement. Les règlements sont un simple cadre pour que la liberté de l'un n'altère pas la liberté de l'autre. Par expérience, ceux qui veulent vivre une indépendante et forcenée liberté sont souvent les premiers à réclamer l'aide du groupe au moindre problème, et en plus sans vouloir assumer les conséquences de cette liberté qu'il pronait. Un bateau de secours passant, Le vrai Robinson Crusoé n'est pas resté sur son ile,

28 août 2012

Google traduction allemand belge pour viking35

www.esys.org[...]os.html

Weltumsegelung endete vorerst nach Entmastung vor Salcombe Circumnavigation terminée pour le moment, après Entmastung avant Salcombe
(28/08/12) A 26,8. était de 30 miles au large de Salcombe belge yacht "Taunea" démâté lors de la collision avec le couteau "Emma Jane" et ingérable. Pour 11,09 horloge, 10 heures après l'incident, a exhorté les garde-côtes Brixham au bateau RNLI de Salcombe. A bord du yacht était un solitaires belges. Après le mât, le gréement et les voiles ont été débarqués dans l'eau et aussi l'hélice a été bloqué, il a dérivé impuissant dans la mer. La communication radio n'a pas été possible parce que l'antenne à mât avait atterri dans le lac. Le bateau flottait comme un obstacle à mi expédition de la Manche. Après l'embarcation de sauvetage avait repéré le bateau, elle a été prise à l'hameçon et remorqué dans les quatre heures de Salcombe, où le lancement d'un port contribué à les amener au quai. Les marins avaient construit le "Taunea" au cours des six dernières années, et même se trouvait la circumnavigation

29 août 2012

Merci à Foolontheisle, bien qu'il ne s'agisse que d'un démâtage après une collision, voici un cas qui alimentera mon "marronnier" que je lancerais prochainement sur les accidents de 2012

Phare de Saint Mathieu Plougonvelin Finistère

Phare du monde

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2022