Quoi faire ? si on doit ,aller dans l eau intervenir ?

Bonsoir , pour faire suite au poste du disparue , en mer

vraiment dommage.......( condoléance)

j aimerai savoir la bonne conduire , en cas ou on doit

intervenir dans l eau faut il prendre un boute en main

s'attacher pour ne pas perdre contacte avec le bateau de plus

l'eau doit être froide je crois que ses pure folie de plonger

sans une combinaison en néoprène cela me semble trop

risqué , on devrait tous avoir une combinaison ?

L'équipage
15 sept. 2017
15 sept. 2017

Toujours une combinaison à bord pour ma part, si eau froide (et même si 'chaude' on a vite froid), une leash au pied, une échelle à l'eau avant tout saut.
On n'y pas de nuit et on n'y va pas dans la houle.
une technique donné lors de mon remorquage par un vieux de la vieille de la SNSM, si hélice pas trop profonde, un tuyau au bout du tuba permet d'intervenir sans soucis jusqu'a 1.5m, être deux pour ce cas est nécessaire

17 sept. 201717 sept. 2017

Bonjour,
le vieux de la vieille, il aurait intérêt à tester lui-même ses recettes, parce que s'il arrive à respirer à 1m50 sur ce montage, c'est Rambo. En même temps, peut-être cherche-t-il des clients...

17 sept. 2017

C'est bien vrai, il y en a un qui a bien compris la chose et c'est Brassens " le temps ne fait rien à l'affaire quand on est c.. on est ..."
aux petits c... de la dernière avers
amicalement
JP

17 sept. 2017

C'est assez marrant ces mecs qui à partir d'un certain age , et dans tous les domaines racontent n'importe quoi , sous prétexte qu'il sont vieux ils deviennent crédibles.
Si on se réfère à la courbe de gauss , il n'y a aucune raison pour qu'il y ait moins de cons chez les vieux que chez les jeunes.

17 sept. 2017

Ahah directeur de la station en plus le grand boss ! Mais bon ils ont pas la science infuse non plus et j'ai utilisé une bouteille ;-)

15 sept. 201715 sept. 2017

Tu as intérêt à être attaché, car des courants de 1,5 kt ou 2 kt
À moins que le bateau soit au mouillage, les courants ne vont pas t'eloigner du bateau qui dérive à la même vitesse que toi dans l'eau.

La question se poserait peut-être avec des courants très violents qui créent des tourbillons de petites taille comme dans le raz Blanchart

Mais il faut de toute façon s'attacher : le moindre vent et le bateau s'en va sans toi !

16 sept. 2017

Sauf s'il n'y a pas un poil de vent , le bateau ne va pas dériver à la même vitesse que toi .

Le fardage pour un nageur est quasi nul , il va dériver en fonction des courants, tandis que le bateau sera soumis au courant et au vent, la dérive sera une résultante des deux , l'éloignement du bateau pourra être très rapide.

De la même façon , si tu plonges sous la coque il n'y a aucune raison pour que le bateau monte et descende avec la même période que le plongeurs , d'où les risques de se faire assommer par la coque du bateau.

18 sept. 2017

Il ne faut pas mettre de balise HTML dans la première ligne d'un post, elle apparaît dans la liste !
:-D

18 sept. 2017

Sauf si on s'est accroché à l'orin d'un casier...

15 sept. 2017

Pour avoir tente le coup du tuyeau a 1.5m environ (peut etre moins : cata leopard 38), c'est tres inconfortable et ca demande de gros efforts de respirer

15 sept. 2017

merci du retour, pas testé du coup j'avais une bouteille mais c'était ma solution de secours, peut être 1M demande moin d'effort

15 sept. 2017

Normal, les muscles intercostaux sont calibrés pour animer un effort respiratoire a 1 atmosphere. Dans 2 metres d'eau, ces memes muscles subissent une pression absolue de 20% plus élevée qu'en surface ( sauf si Irma est au dessus de toi). Donc l'effort inspiratoire est penible. Seul un petit detendeur qui delivre un air a pression equivallente a la pression ambiante permet d'envisager sereinement ce genre d'intervention. D'autant plus que le stress lié a la situation + l'effort physique lié a l'intervention exigeront des besoins en air plus importants. Le tuyau est vraiment un mauvais plan.

15 sept. 2017

oui , sa doit être bien sportif de plonger

15 sept. 2017
  • se signaler, hisser le pavillon plongeur le long du bord. Bien s'assurer que la remontée à bord ne posera aucune difficulté.
15 sept. 2017

SURTOUT NE PAS PLONGER AVEC UN TUYAU D'1 M OU PLUS!!!!

C'est le meilleur moyen d'inspirer son gaz carbonique, surtout à l'effort

Nuit+froid+bateau qui roule+efforts+tuyau long = gros risque!

16 sept. 2017

ESPACE MORT: L'air qui nous fait vivre n'est pas l'air que nous respirons mais l'air présent au niveau des alvéoles pulmonaires
(300 millions et 135m2 de surface, temps d'échange par diffusion avec le sang circulant à proximité 1/10° de seconde). Cet air doit être en permanence renouvelé par l'air respiratoire qui doit circuler au travers d'un conduit qui va du bout du nez à l'entrée dans les alvéoles et représente un espace mort. Toute la mécanique respiratoire est faite pour cela. Augmenter cet espace mort conduit à rendre impossible le renouvellement de l'air alvéolaire qui nous fait vivre, l'air respiré ne pouvant plus atteindre les alvéoles.

16 sept. 2017

Je confirme. Plongeur autonome aussi, nettoyer la carenne d'un 38 pieds au mouillage, sans stress, avec une ventouse pour se stabiliser, donc par max 2 metres de fonds, c'est un bloc de 15 libres 230 bars qui y passent. On consomme énormément sous l'eau, meme par'tres faible pronfondeur des lors que l'on s'attelle a une tache. Si on y rajoute le stress, on consomme encore plus.

17 sept. 2017

@ Jame: Merci des conseils, je suis MF1, passé en Manche a Tourlaville, 500 plongées en 10 ans dont la motiée passée en situation d'encadrement : les fameuses remontées bouées. A priori je sais me stabiliser. J'ai 48 balais et je ne fais plus de sport, peut etre une explications, mais c'est lourdingue ces remises en questions systematiques des experiences exposées par les uns ou les autres. Tant mieux si tu fais avec 6 litres ce que je fais en 15. On a peut etre pas la meme morphologie (90 Kg) et Quand je parle de caréner, il s'agit de remettre la carene a blanc. Et c'est bien 15 litres. Le but n'est las de comparer la longueur de sa b.... mais bien d'attirer l'attention sur le fait qu'un travail sous la coque dans des condtions optimales ( palmes, masques, gilet stabilsateur, détendeur et bloc ) fait consommer et donc sans doute éviter les plans style "tuyau" .

18 sept. 2017

@ jame : 66 kg tout mouillé vs 90kg : les plongeurs secs consomment generalement moins . D'abord pour des raisons physiques: Moins de volume -> moins de poussée d'archimede -> moins de plombs a trimbaler pour s'immerger et se stabiliser. Physiologiques ensuite: un volume musculaire plus important qui travaille exige un besoin en air plus important . La nature du travail sous l'eau n'y'est pour rien dans mon cas puisque entretenant la carene tous les 15 jours au dela de deux mois dans l'eau apres la remise a l'eau, un simple coup d'éponge suffit pour faire partir la premiere couche d'apparition. La différence de consititution physique et'une capacité a s'agacer rapidement que tu auras parfaitement indentifiée expliquent donc sans doute pourquoi de telles différence de consommarion d'air sous l'eau a tache égale ( les gens nerveux consomment bcp plus que les autres sous l'eau). Quant aux autres facteurs dont la fameuse longeur de b....on ira pas plus avant sur ce sujet au risque , selon l'avancée de la discussion, de faire dans l'humiliation ou l'humilité. D'autant qu'un certain "pinus" vient de s'en mêler en defouraillant a tout va par etoilage interposé.

18 sept. 201718 sept. 2017

@jame: la seule facon d'éviter les paliers de décompression, c'est de rester dans la courbe de stabilité : 10 metres de fonds maximum. A dix metres, les tables de de décompression Marine Nationale 90 donnent un temps d'evolution sous l'eau illimité si ce n'est par ta reserve en air. Zero risque d'accident biochmique ( décompression). Ceux - les pros - qui te racontent qu'avec 6 litres tu éviteras de toute facon les paliers disent une connerie : l'absence de palier s'explique non par par le volume d'air embarqué dans ta bouteille, mais par le volume de gaz recu sous pression par ton corps avec la sauration des tissus que cela implique. C'est donc uniquement le temps et la profondeur de ton immersion qui déterminent ton taux de saturation en gaz pour chacun des gaz composant l'air ( oxygene, azote, neutres) et donc ton obligation de paliers. La preuve que sur des sujet aussi consequents en terme de risque beaucoup prennent la lourde responsabilité de raconter n'importe quoi et de faire prendre des risques. Il est cependant clair qu'avec 6 litres, et sauf a respirer rien du tout, tu n'auras pas le temps de descendre ni de rester assez pronfondement et longtemps pour saturer tes tissus. Mais c'est mieux d'expliquer les choses.
Amicalement.

16 sept. 2017

Expérience pratique: plongeur autonome, à la Corogne, au calme et au mouillage, pour réussir à complètement desempacter au couteau mon hélice bloquée par un sac à gravats, j'ai vidé une bouteille de 15l. Sous l'eau le moindre effort augmente fortement la consommation d'air. Il faut être très bien équilibré (mettre un peu plus que moins de plomb selon la combinaison), et réussir à avoir de bons points d'appui (poignée ventouse utile). Un équipier en surface assure la sécurité.

17 sept. 2017

Ah bon ?
Quand je carenais mon ancien bateau (10,60 m) Il me fallait une bouteille enfant de 6 litres, pas plus ; en 45mn environ c'était fait .
Bon j'ai fait pas mal d'apnée et je chasse, mais ça me semble excessif de passer une 15l, à moins d'avoir beaucoup de travail et des coquillages dessous
Il faut comme expliqué être plombé ce qu'il faut et essayer de bien contrôler sa respiration durant l'effort, en plus une 6 litres ça ne gêne pas beaucoup.

17 sept. 201717 sept. 2017

Hello
Faut pas t'énerver, je ne remets pas en cause ton expérience, je relate la mienne et je précise bien la différénce de longueur de bateaux (et de surface !) et le type de salissures à enlever qui évidemment grèvent le temps passé sous l'eau, relis ce que j'écris au lieu de partir dans les tours !
Je fais effectivement 67 kilos tout mouillé,je ne fume pas et fais beaucoup de sport (surtout poncer en ce moment !),ceci explique cela... J'ai 56 ans depuis peu...
Tu dois avoir un souci avec les longueurs de b...,ça n'est pas le but de mes remarques , accepte que la réalité soit relative suivant les individus ( et les bateaux !),quelque soit tes diplômes en plongée... Ce que tu dis bien toi même...
On a le droit de ne pas être exactement d'accord et de le dire non ?
Je suis loin d'être un surhomme à tous les niveaux, les copains avec qui je chasse me font peur, eux ils restent 3 mn sous l'eau en bataillant avec des poissons... Moi je suis plutôt petit joueur !
Je suis d'accord que les solutions type tuyau sont dangereuses, même en apnée faut faire gaffe,avant d'avoir la bouteille je faisais en apnée, ça me prenait une heure et demie et j'étais un peu limite sur la fin avec trop d'hyperventilation plus les efforts,pour mes potes chasseurs c'était de la rigolade, ils faisaient ça juste pour le fun et fumaient la clope en remontant... Écoeurants !
C'était une petite expérience d'un petit joueur qui sait qu'il vaut mieux vigoureuse que paresseuse !
Bien cordialement !

18 sept. 2017

Hello
J'avais commencé à écrire ça s'est effacé ?
Donc merci pour les infos, j'ai appris qque chose !
Je plonge de manière empirique et des amis pro m'ont dit qu'avec 6 litres j'evitais les paliers de remontée
C'est vrai qu'à 20 mètres l'autonomie est restreinte
Ça me suffit pour mon usage, si je veux aller plus loin je vais en club ou avec un pro, bien que je sois à l'aise, c'est un monde qui ne m'est pas familier, je préfère être encadré.
Quand je nage au dessus des tombants je trouve ça magnifique mais un peu impressionnant !
Et quand la visi est pourrie je déteste ça, je suis déjà allé au fond dans les ports récupérer des objets tombés avec tout trouble et une visi de moins d'un mètre, brrr... Je remonte vite ça m'angoisse un peu
Cdt

18 sept. 2017

Super merci pour les explications

16 sept. 2017

Oui, bien entendu. Mais comme toujours avec un tuba, il faut aspirer l'air par la bouche et l'expirer par le nez. Comme ça, on aspire toujours de l'air frais.
Il n'empêche que, quelques dizaines de centimètres sous l'eau, l'effort à produire pour gonfler la cage thoracique est rédhibitoire si on reçoit l'air à la pression atmosphérique.

15 sept. 2017

Pour les bouts : coupe-orin.
Surtout ne prendre aucun risque, sous la coque même une légère houle rend les opérations inconfortables. Tu n'es pas à l'abri non plus d'un malaise ou d'un essoufflement.
Pour les filets : ne rien tenter, si ce n'est le diable. Pan Pan Pan

15 sept. 2017

Moi c'est simple, je ne sais pas plonger... alors j'évite soigneusement tout ce qui traine dans l'eau.
:alavotre:

15 sept. 2017

Pour aller dans l'eau combi, shorty , ceinture de plomb, Palmes, Masque et tuba .
Si l'eau est très chaude, sans combi ,mais celle ci est un élément de secu donc pour les habitués, ils peuvent faire l'impasse . Masque tuba et palmes, stricte minimum . Pour la sécurisation vis à vis du navire il va de soi que l'on doit rester relié ,mais ne pas négliger le gros danger que représente toute ficelle accrochée a soi .

15 sept. 2017

Pour plonger dégager l'hélice, mettre des gants de travail. Les occasions de se couper ne manquent pas : coupe orin, hélice, couteau, position instable, mouvements du bateau, etc.. Avec le froid, on ne sent pas les coupures et on remonte avec les mains en sang.
On a peut-être mieux à faire dans ces circonstances que soigner un blessé.

15 sept. 2017

Très bon conseil j'avais pas de gants et j'ai effectivement les mains bien ruinées

15 sept. 2017

Citation: "oui , sa doit être bien sportif de plonger"

Ce qui me fait penser qu'un petit entrainement au mouillage serait nécéssaire, pas tout seul bien sur, mais se foutre par dessus bord du jour au lendemain peut causer un certain stress, j'en conviens.
Beaucoup sont passés par là.
Bonne trempette!

16 sept. 201716 juin 2020

Morceau de sac plastique dans l'hélice par fond de 4 à 5000 m. Un casque vélo serait le bienvenu pour protéger le crane des coups de coque ou de sail drive.

16 sept. 201716 sept. 2017

Casques comme pour les régates ou la pêche au large.

16 sept. 201716 sept. 2017

Tout a été dit et conseillé mais plutôt dans le désordre et entrecoupé de quelques erreurs.
.
Avec détendeur (bouteille, narguilé, biberon).
Pas de problèmes majeurs a part la houle et la nuit. Mais on peut attacher un bout qui passe sous la coque de babord a tribord pour travailler en se tenant d´une main.
.

En apnée:

Prendre un tuba trop long (ralongé) ca ne narche pas, on ne peux pas respirer a + de 15 cm au dessus de sa tête sans fournir un éffort plus important que le gain lié a la profondeur = essoufflement.
S´attacher c´est courrir le risque de rester coincé, si les conditions l´obligent une corde autour du poignet (largable) ok mais surtout pas a la cheville.
Mettre des palmes vous rendra 10 fois plus efficace.
Si les conditions le permettent l´anexe a couple vous permettra de travailler et de vous reposer plus commodément.
Utilisez une paire de gants (merci Lulu) et si vous n´avez pas de combinaison un teeshirt pour ne pas sortir rapé comme une carrotte.
Travaillez a l´envers ventre contre le bateau tête vers la poupe ca évite de prendre des coups de gouvernail et la zone de la coque (tableau) qui tape.
Avec et sans courrants le bateau ira toujours plus vite que vous car son hydrodinamisme sa flotabilité, sa densité, sa prise au vent et aux vagues est différente de la votre.
Selon la compression du bout sur l´arbre utilisez une scie a métaux (si elle passe) ou un bon couteau a pain.
Coupez le moteur pour ne pas vous asphyxier et mettez le au point mort pour pouvoir désenrouler.
En cas de filet de pêche tentez de l´accrocher avec la gaffe ou l´ancre de l´anexe attachée par les 2 extrémités (mouvement de fil a couper le beurre babord tribord depuis le pont ou l´anexe), une fois crocheté mettez le filet en tension et liez le avec du bout avant d´intervenir.
.
De temps en temps révisez les dessous de votre bateau car un plastique coincé dans la crepine moteur, une saleté prise autour de l´arbre ou un jeu annormal dans le gouvernail peuvent avoir de sérieuses conséquences.
.
Voilà j´ai répondu a la question concernant la (ma) manière d´intervenir sous la coque en mer.
.
Mais en ce qui concerne l´accident auquel tu fais référence et dont on ne connais pas exactement les causes je constate que le bateau parrait être en bon état et j´en déduis que respecter la régle qui dit:
^^ Hors du bateau on est vulnérable, en cas de danger íl vaut mieux rester a bord^^.
Peut sauver des vies.
.
J´en ai fait une tartine (pas trop indigeste j´espère. :heu:)

16 sept. 2017

Filet de 10 mètres pris dans l'hélice au large de l'Islande, combinaison 7mm et 5 plongées successives avec un gros couteau de cuisine bien affûté. J'avais solidement fixé le filet au bateau en en remontant un maximum pour éviter de se prendre dedans. J'avais aussi attaché un bout à ma taille. La mer était très calme heureusement. La première plongée était pour observer dans quel sens il fallait dérouler le filet autour de l'hélice.

16 sept. 2017

j'ai à bord un narguillé avec une bonbonne, je fait le tour du bateau pour le nettoyage en début de saison, facile, en mer si c'est un bout dans l'hélice ok, Pour un filet le risque est grand de se prendre dedans et de ne pas pourvoir remonter attention, il faut aussi un excellent couteau et des pêcheurs absents....

16 sept. 201716 sept. 2017

Un filet de 10 mètres, c'est très dangereux ! :-(

Penser a bien charger votre bloc, avant de l'embarquer.... :blabla: ( voir, d'en avoir un deuxième, sous le coude)

Un couteau, c'est bien. Prévoir aussi une pince coupante, parfois plus efficace. Et ne pas mettre le couteau a la cheville, mais plutôt sur le haut du corps ( avant bras) plus facile a saisir, si les jambes sont prise.....

16 sept. 2017

Bonjour,
pour avoir travailler dans un service de caisson hyperbar, et ne connaissant strictement rien à la plongée, j'ai glané les conseils de plongeurs chevronnés qui malheureusement pour la plupart ne les avaient pas mis en pratique. Le tuyau raccordé au tuba = "DANGER". A oublier. On respire son propre CO2 ce qui provoque un état de somnolence et d'ivresse indécelable.
J'imagine les pires conditions, filet ou bout pris dans l'hélice, courant qui nous pousse vers les rochers, houle et vent qui font qu'on se croit dans les montagnes russes de Eurodisney. La seule chose dont je suis sûr, c'est que tant que je suis sur le bateau, je suis en vie. Perso, ma réaction: "PAN PAN PAN". Et s'il le faut "MAY DAY". Et tant pis si je me trompe.

16 sept. 2017

J'ai été confronté à ce problème il y a une dizaine d'années. Retour de Boulogne vers Dieppe au moteur par vent nul, ciel bleu et soleil. Au large de Berck, le cri d'agonie de l'hélice engagée. Malgré mes très faibles performances en natation et en plongée, je prends finalement la décision de tenter d'aller voir. Harnais attaché au bateau avec une aussière de 10m, une autre qui plonge à la verticale au niveau du SD, je me mets progressivement à l'eau que je trouve naturellement glaciale. J'hésite à dépasser le niveau de la ceinture avant de réaliser que je peux toucher l'hélice avec les orteils en restant accroché au rail de fargue. Cela me permet de détecter un morceau de filet qu'il me sera naturellement impossible de dégager moi même. Donc appel au CROSS qui envisage d'envoyer le canot SNSM de Boulogne afin de me remorquer vers mon point de départ. Un bateau de la gendarmerie Maritime qui se trouve dans le secteur se glisse dans la conversation et propose son intervention avec deux plongeurs à bord. Ils m'ont dégagé l'hélice en quelques minutes.

A moins d'être particulièrement entraîné et que la mer soit parfaitement calme, il me semble difficile d'envisager une intervention sous le bateau en mer.

16 sept. 2017

parfois c'est juste un paquet d'algues qui fout le bazar (le plus souvent d'ailleur!) il m'est arrivé ,malgré mon coupe orin, d'aller six ou sept fois en quelques semaines de vacances dégager l'hélice. quand les conditions le permettent (pour de l'algue )c'est tout nu avec juste un masque,vite fait bien fait,ça dure 30 s.

16 sept. 2017

Une expérience douloureuse qui aurait put me couter la vie.

jeune, bête et impulsif un truc dans l'hélice.
hop a l'eau, un paquet d'algues - sans réfléchir la main dedans.
Oupps c'est quoi ce truc qui me pique, opus c'est quoi ce truc qui me tient - OH me... j'ai un hameçon, planté dans le doigt.
Oupps mais je manque d'air la il faut que je remonte.
Par chance la chair s'est déchirée, sans quoi je ne serais plus là pour vous écrire.
C'était il y a une vingtaine d'années.
ça ma servi de leçon depuis je regarde attentivement ou je met la main - même à terre.

16 sept. 201716 juin 2020

Regardez ce qu'il peut y avoir autour de l'hélice... :-(
Grave accident récent, pas un hasard que la photo soit prise hors de l'eau, bateau écrasé sur les rochers, une personne disparue

16 sept. 2017

Pas de souci !

Au prochain carénage, vous mettrez un coupe orin.... :alavotre:

16 sept. 201716 sept. 2017

Faut pas se faire trop d'illusions.
Si c'est pour mettre une roue crantée, comme la plupart des coupes orin , ca ne sert à rien. J'enlève régulièrement un paquet d'algues autour de la mienne, alors que je n'y passerais pas le doigt !
Le précédent propriétaire a faussé la chaise d'arbre après s'être pris l'hélice ( et le coupe orin) dans un filet.

16 sept. 201716 sept. 2017

+1
j'ai le même (roue crantée), je constate qu'il est presque totalement inutile, à part me couper les doigts quand j'installe les anodes.
Cela dit, avec des modèles plus performants genre le Stripper Ambassador, je me pose la question de ce que pourrais se passer sur chaise héelice et compagnie avec la rencontre avec un cable métallique

16 sept. 2017
  • pas facile ,la devant sont ordinateur on se dit qu on ne plongerai pas dans l' eau , le jour ou sa nous arrive on se dit qu on peu le faire , manque de chance l ancre qui ripe sur le fond le bateau part sur les flots nous voila a la merci des elements personne a parlé de l ancre dans leur aventure l avez vous utilisé ?
17 sept. 201717 sept. 2017

L'année dernière, le bateau dérape, je suis à terre. Je reviens et vois le bateau à 500m en train de vivre sa vie. Par chance le moteur de l'annexe, ce jour là, fonctionnait (j'en ai acheté un neuf le lendemain) nous rejoignons donc le bateau qui dérive assez vite et grimpons à bord. Un noeud de plein poing sur le bout de l'annexe, une boucle que je passe sur un winch, je démarre le moteur du bateau, un 9,9 Yamaha. Et ma femme me dit:" l'annexe!" Elle dérive à 30m. Sans refléchir je saute à l'eau et demande de faire une boucle et de me recupérer au retour. Le cata, gros fardage, petit moteur, a besoin de beaucoup de place pour virer.
Je fait mon meilleur crawl et je rejoins presque l'annexe, mais rien à faire impossible de la rattraper. Une crampe, je fais la planche, mais je suis tellement épuisé que j'ai du mal à tenir sur l'eau. J'avais oublié que je n'avais plus 20 ans depuis 47 ans, et je vais me noyer. Je regarde le ciel, la mer, et je me diis, résigné, que c'est fini, et que c'est vraiment con de finir comme ça. Ma femme arrive enfin, je lui demande, comme une dernière faveur, d'une petite voix calme:" lance moi une bouée je me noie" elle met un certain temps à la détacher, et enfin je la récupère. Voilà un concentré de bêtises à ne pas faire:
1/ une boucle sur un winch, elle a sauté.
2/ sauter à l'eau SANS PALMES, la connerie de ma vie!
3/ attacher les bouées, JAMAIS
Tout ceci pour dire qu'avant de se mettre à l'eau pour quelque raison que ce soit hors mouillage, il y a des choses à faire et d'autres à éviter. Ce fil semble avoir couvert une bonne partie du sujet...
A+les amis

17 sept. 2017

Pour continuer dans les "bêtises" de Josselin, plonger avec un outil attaché au poignet pour défaire un empennelage d'encres. Je plonge avec le déserre-manille attaché au poignet. A ± 4m de fond, en apnée il se coince sous l’émerillon… j’ai heureusement pu le décoincer, mais ça ma servi de leçon...

amicalement
JP

17 sept. 2017

Bah tu attaches ton outil avec un elastique facile a casser si besoin

17 sept. 2017

Un truc à vérifier absolument avant de se mettre à l'eau , que l'échelle de bain soit dépliée.
j'ai vu une fille arrivée totalement épuisée au bas de son échelle de bain, l'échelle était attachée par un bout.....c'est long à détacher dans ces conditions.

17 sept. 2017

Un casque, des gants de travail et les nemo power tools (pub gratuite!).

www.facebook.com[...]231998/

Plus de détails : nemopowertools.com[...]/media/

17 sept. 2017

Une suggestion pour réduire le tirant d'eau au niveau de l'hélice:
Charger au maximum la plage avant.
Les quelques centimètres ou décimètres gagnés seront une vraie aide.

17 sept. 201716 juin 2020

Tu as toujours cette solution !!!!

17 sept. 2017

Bonjour, j'ai eu à plonger deux fois sous le bateau au large (en Méditerranée)
La première fois un filet dérivant dans le safran, la deuxième fois un gros sac en plastique dans l'hélice.
Je me suis attaché (indispensable car le bateau s'éloigne) et j'ai plongé en apnée.
Pas de difficulté particulière si la mer est calme (sinon on se cogne la tête sur la coque), plusieurs "plongées" de 30 secondes avec un simple masque m'ont permis de règler le problème à chaque fois.
Mais j'avais aussi l'habitude d'aller caréner mon hélice régulièrement au mouillage.
Maintenant, les années venues, je suis plus hésitant à plonger sous le bateau.

17 sept. 2017

Il faut demander aux hardis marins qui, il y a quelques semaines affirmaient qu'un marin devaient être autre autonome sur son bateau.
Lorsqu'il leur a été demandé leur méthode par 2m de creux dans une eau à 10°C, ils ont été soudainement moins prolixe.
Chaque intervention est différente selon le type de montage, température, objet engagé, matériel à disposition et surtout forme physique.
Tout le monde est capable de sauter à l'eau, mais remonter à bord après 10mn d'apnée dans une eau à 10° (température en Manche au mois d'avril), c'est bien plus compliqué sans aide.
Il vaut mieux passer pour un con en remorque que d’être ramené dans un sac mortuaire.

18 sept. 2017

Et pourtant....C'est bien ce que font beaucoup.

Pour certains d'entre nous, partir en bateau est aussi une recherche de liberté, et l'autonomie est le premier pas vers la liberté. Alors on s'y prépare, et on la pratique.

17 sept. 2017

et tous n'ont pas la chance d'être ramené dans un sac....

17 sept. 2017

L´accident est toujours lié a un enchainement de circonstances.
On en a ici plusieurs exemples remarquables.
Les algues dans l´hélice avec un hamecon dedans, le bateau qui dérive puis l´annexe, le truc qui se bloque dans le machin, etc...
Au départ rien d´insurmontable, puis...
Perso 15 ans après je subit encore les conséquences d´un enchainement de circonstances en mer (5 au total) qui m´ont fait passer a deux doigts du pire, m´on cloué 6 mois en fauteuil roulant et me font marcher comme un canard.
Alors oui Thorlak tu as raison parfois il vaut mieux passer pour un con.

17 sept. 2017

Etre autonome est important. Et autonome veux dire outillé, entraîné, prêt mentalement.

Les deux fois ou j'ai dû aller faire un tour du côté de l'hélice, c'était par 62 Nord et 72 Nord, eaux aux alentours de 6 degrés. J'aurais pu attendre longtemps pour être remorquer!

La première fois j'avais pris un filet de pêche, il était tellement enroulé que j'ai passé presque une heure à le dégager, au couteau de plongée. La seconde fois, c'était juste un bout que j'ai pu libérer en deux minutes. Mais j'ai du attendre 36 heures le moment propice et calme.

A chaque fois que j'ai été dans l'eau, c'était avec une combi néoprène, palmes, masque et ceinture de plomb. Attaché.

17 sept. 2017

Avec le tuba, qui évite les allers retours de la bouche hors de l’eau. économisant souffle et calories .

18 sept. 2017

Oui, OK. Mais quand tu travailles sur l'hélice, ton tuba est plein d'eau et quand tu reviens en surface, je trouve que son évacuation demande plus d'énergie que sortir la tête de l'eau.

18 sept. 2017

faut le passer derriere la tête comme les joueurs de hockey subaquatique et certains chasseurs, et avoir un tuba à soupape beaucoup plus facile à vider. :-)

18 sept. 2017

Bonsoir bmayer ;cela peut être pour des tubas de chasse quelque chose comme ceux- ci. Ils enroulent la forme de la tête, pour ressortir dans l'axe, cela peut permettre d'engager dans les trous sans trop de gêne.
www.subchandlers.com[...]ur.html
Pour le water polo ce sont des tubas frontaux, jamais éssayés .

18 sept. 2017

Le gros inconvénient du tuba ,dans ce cas est qu'il gène quand on engage la tête prés du safran ou arbre d'hélice. Je précisais simplement car entre être dans l'eau avec ou sans tuba au niveau fatigue il n'y a pas photo, en utilisation normale et tu as raison qu'en cas de petite plongées ou grandes très répétées ,on aura tendance à le virer . C'est pour moi un élément de sécurité très important pour quelqu'un qui va à l'eau .

18 sept. 2017

Exact panedo ,mon premier tuba pour chasser enfant était un Beuchat avec soupape, une merveille. Sinon pour rester 'in ' en étant 'underwater' la nouvelle mode.
www.decathlon.fr[...]64.html
:lavache:

18 sept. 2017

Derrière la tête ? Comment ça ?

18 sept. 2017

J'ai eu une fois le problème. C'était (relativement) au large et par pétole, donc pas de danger immédiat. J'ai benoîtement attendu quelques heures que le vent revienne là j'ai fait route sous voile jusqu'à une crique bien abritée où j'ai mouillé. Ensuite j'ai pu tout à loisir plonger en apnée pour dégager mon hélice. J'avais d'ailleurs trouvé que le couteau n'était que moyennement efficace, une lame de scie à métaux tenue à la main avait mieux marché.

18 sept. 2017

Un couteau de plongée est efficace pour les filets, avec la partie de la lame qui est crantée comme une lame de scie, mais en plus gros, plus coupant.

18 sept. 2017

le sujet m'intéressait,alors j'ai commencé a lire:
la moitie des postes sont voués a des mecs qui se frittent....et moi ci et moi ca...toi t'es nul.... moi j'ai la plus grosse
C'EST PENIBLE !!!!

18 sept. 2017

Bienvenue sur Hisse et o.

18 sept. 201718 sept. 2017

Oui, c'est pénible :-), on peut en rire aussi !

On a énuméré ici quelques dangers bien plus réels et moins romanesques pour le plaisancier que les vagues scélérates, les conteneurs flottants entre deux eaux, les pirates, ...

En 20000 milles faits essentiellement aux quatre coins de la Méditerranée à la belle saison, je n'ai jamais vu le bateau(9.5m) en danger du fait de la mer, par contre des situations comme celles citées ici, oui et près de 40 ans après, ça me fait encore froid dans le dos.

Il y a les jours où on a été stupide et ceux où on le fut moins : un jour, un port, du clapot, du vent, la manœuvre se passe mal, l'étrave d'un ?15m ... on va dire 12 :-) monte et descend et va percuter mon balcon avant ... je me suis contenté de regarder son balcon plier le mien ; j'ai peut-être sauvé mon bras ce jour-là ?

Jacques

18 sept. 2017

j'appelle pas ça se fritter: c'est plutot échanger .si on doit tous être du même avis pour converser ça va être lassant. :mdr: :mdr:

Québec, le cap Gaspé

Phare du monde

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2022