Quille pivotante

Bonjour à tous.
Etudiant en école d'ingénieur, je participe à la réalisation, dans le cadre de mes études, d'un prototype de voilier de 6,5 m. Je m'occupe entre autre, de l'étude de la quille. Je suis à la recherche d'informations concernant les quilles pivotantes. J'aurais besoin d'une quille pivotante en fonte pesant entre 240 et 260 kg mais je me pose beaucoup de questions sur la fixation de la quille.
Pourriez vous me renseigner sur :

-Avantages et inconvénients d'avoir une quille pivotante qui rentre intégralement dans la coque du bateau ou qui reste à fleur de coque

-Comment fixer la quille dans les deux configurations (quille dans la coque et quille à fleur de coque).
Pour information, j'ai vu dans certain cas que la quille pivotait autour d'un axe qui lui même pivote entre deux équerres mais je souhaiterait savoir plus précisement comment sont positionnées ces équerres (quelle hauteur par rapport au bordé, sur quel renfort elles sont fixées, leur orientation, etc...)
Autre moyen de fixation ?

-Où commander une telle quille ? Quel chantier propose un modèle similaire ?

Je vous remercie par avance.
Cdlt

L'équipage
16 mai 2014
16 mai 201416 mai 2014

1°) brancher le pécé
2°) démarrer le pécé
3°) Google
4°) "quille relevable"
5°) lire... :litjournal:
6°) reviens ensuite avec tes questions..si il en reste.

16 mai 2014

tape : mini 6.50 quille pendulaire dans google tu commenceras a avoir pas mal de piste.

tu pas mal de système en proto, quille fixe, pendulaire et 3D

16 mai 2014

Merci pour vos messages très instructifs. En effet, je n'avais pas penser à faire des recherches sur google avant.
Je ne cherche pas d'info sur une quille pendulaire mais sur une quille qui bascule suivant l'axe du bateau.

Je réitère donc toutes mes questions en espérant y trouver des réponses.

Ce type de quille s’appelle une quille relevable (abréviation QR dans les énumérations de navires).

Encore une fois, tu vas trouver tous les renseignements ici avec la fonction recherche (tiens, par exemple un excellent article sur la quille relevable du first 25 : www.hisse-et-oh.com[...]irst-25 ) ou sur le net chez les différents Constructeurs. :litjournal:

16 mai 2014

Oups excuse moi mais quand je lit proto 6.50 je pense au bateau de course :p
donc oui quille relevable (QR) le système courant est le système finot que l'on a sur les petit first 210, 211, 21.7, 260, 25.7
tu doit pouvoir trouver plein de doc la dessus et des éclatés

16 mai 2014

Bonjour, c'est sans doute cela que tu recherches.
www.fr-lucas.com[...]e3d.pdf
Jacques

16 mai 2014

Bonjour Jacques,
J'ai déjà vu ce document mais c'est pas des renseignements sur les quilles pendulaires ou 3D qudont j'ai besoin, mais des infos sur les fixations de quilles qui basculent de l'avant vers l'arrière du bateau.
Système de fixation ? Structure de la coque ou renfort sur quoi repose la fixation ? Intéret de mettre la quille entièrement dans la coque du bateau ?
Merci

16 mai 201416 mai 2014

Quille sous la coque :
+
Puits de quille plus petit : structure plus simple. Moins d'impact sur les aménagements.
Meilleure stabilité quille relevée (par ex mouillage).

Protection fond coque.

Tirant d'eau pas si mini. Chargement sur remorque sur rampe pas trop simple.

Quille dans coque : ben c'est l'inverse.

Une quille pivotante pivote autour d'un axe. C'est un peu pour ça qu'on l'appelle pivotante. Ou positionner l'axe : c'est un vulgaire problème de géométrie. Si c'est une quille sous coque, il semble qu'il n'y ait qu'un seul endroit possible : en horizontal : au niveau du fond, en vertical : en arrière du bord de fuite ...

16 mai 2014

Moyen de fixation : ben comme on veut. Les efforts à minima auxquels la quille et sa fixation doivent résister sont définis dans la norme ISO 12215-9:2012. Après, c'est un banal calcul de RDM. Ne pas oublier que le puits de quille doit avoir un minimum d'étanchéité, même sous déformation due aux efforts.

16 mai 2014

Hehe, moi aussi j'avais compris quille pendulaire et Mini 6.50.
Apparemment c'est plus un croiseur de 6.50...
Bon, du coup, pas besoin de coupe de téléphone a priori.
Les avantage d'une quille sous la coque ont déjà été énumérés par François, je vais juste rajouter que vu que l'axe est plus bas que celui d'un quille entièrement escamotable, la quille en général sera placée plus bas, le centre de gravité aussi et la puissance du bateau sera ainsi plus importante. Avantage non négligeable.
Inconvénients: la forme du haut de quille est plus complexe puisqu'il faut la pouvoir la manœuvrer et la maintenir en latéral sur une surface plus réduite (tu n'as quasiment pas de coque en dessous de l'axe), et tu as intérêt à réaliser cette partie en acier pour ne pas trop alourdir la quille.
Après, ces avantages et inconvénients peuvent être réglés assez facilement si tu n'es pas manchot et si tu as un peu d'imagination.
Pour la fabrication, il n'y a pas vraiment de modèle standard, quoiqu'un défi intéressant pourrait être d'utiliser une quille d'un voilier de série et l'adapter, mais bon, c'est un peu un compromis coût/performance foireux. A voir.
Donc, pour la fabrication, adresse toi à n'importe quelle fonderie, ou google-ise "fonderie quille voilier", tu tomberas sur des fonderies qui produisent à l'unité et qui ont un minimum d'expérience dans le domaine.

16 mai 2014

Je pense que "tout" est possible quant à imaginer un système de quille relevable, dans la mesure où l'on respecte deux principes qui me semblent incontournables :
- Il doit rester un minimum de quille sous le bateau afin de servir de "pivot" pour virer... En cas d'absence, le bateau ne virera pas, il se contentera de déraper.
- Une quille relevable rentre à l'intérieur du bateau, dans un puits. Celui-ci doit d'une part être étanche, évidemment, mais d'autre part être plus haut que la ligne de flottaison, sinon, il se transforme en puits artésien...
Tout cela est évident, et va sans dire. ...Mais tout ce qui va sans dire va encore mieux en le disant.

16 mai 2014

Ayant un dériveur intégral DI j'ai un quille en fonte de 380 kg qui remonte donc intégralement dans son puits et qui pivote autour d'un axe .
L'avantage d'un tel système est de réduire le tirant d'eau , la dérive se relève si l'on heurte le fond normalement sans dégâts , de pouvoir régler la dérive suivant l'allure et d’être beaucoup plus facile et plus économique pour mettre le bateau sur remorque mais le système demande d’être contrôlé de temps en temps car le plus gros danger c'est que le câble qui sert à relever la dérive casse et que celle-ci descende à toute vitesse , là il y a souvent de gros dégâts .
Ceux je connais qui ont du refaire faire une dérive se sont adressés à une fonderie .

16 mai 2014

Le système de câble n'est qu'une façon de voir les choses.

Déjà tout dépends s'il s'agit d'une quille ou d'une dérive : si c'est une quille, les tests de stabilité se passent quille abaissée, et la structure, c'est ISO 12215-9. Si c'est une dérive, les tests de stabilité, c'est dérive relevée, et la structure, c'est ISO 12215-8 (Idem safrans).

Comme autres systèmes de manœuvre, il y a les vérins et vis sans fin. Pour une quille, il est souhaitable qu'elle ne "rentre" pas dans le bateau en cas de chavirage.(D'autant plus plausible que le bateau est petit). Et pour le talonnage, il faut un système ou suffisamment solide (idem quille fixe) ou un système limiteur d'effort réarmable.

16 mai 2014

Merci à tous pour vos messages.
Il s'agit en effet d'une dérive et non d'une quille.
Le bateau est destiné à naviguer sur des plans d'eau calmes (lacs principalement) et dans des conditions très clémentes. Je ne recherche pas un système performant mais seulement un système qui fonctionne et le moins cher possible.
La problématique du remarquage du bateau m'intéresse beaucoup car il sera mené à être déplacé plusieurs fois.
"Hungry Bird", peux tu me dire quels sont les équipements nécessaire pour mettre le voilier sur remorque STP ?

Concernant le système de levage, je souhaite mettre un bout avec un système de palant.

Pour la fabrication de la quille, j'étudie en effet la possibilité d'intégrer une quille de série sur notre bateau. Les fonderies navylest et Lemer m'ont été conseillé, mais trouver un sysème tout fait, me permettrais d'éviter de devoir faire un modèle ou des boites à noyaux si nécessaire. Mon but étant de minimiser les coûts.

16 mai 201416 mai 2014

Il y a un GROS GROS GROS truc qui m'échappe là :

Ca m'étonnerait très fortement qu'une école d'ingénieur fasse faire, dans le cadre de ses études, un projet qui ne tienne pas compte de la réglementation minimum en vigueur : le marquage CE de conformité européenne. Sans lequel un produit n'a pas le droit d'être commercialisé.

Surtout si en plus il y a réalisation ensuite. Le personnel enseignant prendrait là de sacrés risques.

Donc première question : quelle est la catégorie de conception envisagée pour le bateau ? (catégorie de conception CE).

Deuxième question : ou en est la préétude "tests de stabilité" pour la conformité CE ?

16 mai 2014

C'est votre truc les normes on dirait Francois !
Contenu du projet dans mon école, soit je vous racontes des bobards et je ne vois pas trop l’intérêt, soit il se passe des choses incroyables... Bref, là n'est pas la discussion.

Je vais quand même essayer de vous répondre.
Je reprends le projet en cours de route donc je n'ai pas toute les informations concernant la conception du voilier. Je ne sais pas selon quelle norme ou quelle organisme il sera homologué. Concernant la catégorie de conception, il me semble que c'est la D.

Le bateau n'a pas pour vocation d'un fabriqué en série et d'être vendu. C'est principalement un moyen pédagogique permettant aux étudiants de découvrir les matériaux composites et le milieu de la voile.

Tout un dossier de conception a été fait comprenant des études de stabilité. Cependant le cahier des charges choisi à l'origine a besoin d'être modifié. Les calculs ont été fait pour un bateau avec une quille composée d'un bulbe et d'un voile, et l'on souhaite maintenant intégrer une quille qui bascule.

Donc avant tout, j'étudie la possibilité d'intégrer une quille à bascule. De nouvelles études de stabilité seront peut être effectuées par la suite... Mais ça, ça va dépendre de la rigueur des étudiants ingénieurs...

Pour information, la construction a déjà débuté !

16 mai 2014

Les mots ont leur valeur! Vous parlez d'abord de quille relevable puis de dérive puis de quille. Il faudrait définir exactement ce que vous voulez étudier. Une dérive est une dérive (a priori pas ou peu lestée) mais n'est pas une quille, une quille peut aussi avoir une fonction antidérive.
Ces définitions influent énorment sur les caractéristiques fondamentales de la coque porteuse et du puit. Une dérive pure peut ètre remontable facilement et peut envisager la dérive fusible, alors qu'il est peu envisageable de perdre sa quille, etc....

16 mai 2014

bien dit !
les bateaux de course par ex différencient quille porte lest et dérives-sabres
un dériveur lesté a un lest extérieur de fable hauteur et une dérive pivotante le plus souvent
un dériveur intégral a le lest interne et une dérive pivotante lesté ou pas
etc, etc ...

16 mai 201416 juin 2020

Si les calculs de stabilité ont été menés avec une "quille composée d'un bulbe et d'un voile", il est impensable de transformer le bateau en dériveur intégral (dérive non lestée, ou peu.
.
Deux solutions s'offrent à vous.
1) la quille sabre "voile + bulbe", type first 27.7 (voir photo 1)
le "mécanisme" est on ne peut plus simple...
.
2) la quille basculante, type first 210 et tous ses successeurs (voir photo 2)
Le mécanisme est plus complexe et ne peut pas s'improviser.
.
Faites votre choix, en fonction des plans d'origine.

16 mai 2014

Quille sabre pas si simple à calculer. Si évidement calculs il y a ... . Parce que ce mécanisme ne s'efface pas en cas de talonnage.

D'autre part, une quille basculante à la First aura du mal à fournir une stabilité équivalente à un bulbe + voile.

Mais bon, chacun est libre de faire ce qu'il veut.

16 mai 201416 mai 2014

Je chipote pas. Enfin pas trop. On parle d'un projet pédagogique dans une école d'ingénieurs quand même.

Une quille pivotante peut être plus profonde qu'une quille à bulbe. Mais si elle est sous la coque, elle ne va pas faciliter la mise sur remorque, probablement une des raisons de modification de cette quille.
Et si elle est dans la coque, bonjour la taille et la structure du puits...

16 mai 2014

Je veux dire que c'est un moindre mal, pour l'équilibre du bateau.
.
Et puis tu chipotes un peu : une quille pivotante est souvent beaucoup plus profonde qu'une quille fixe, avec plus de matière en bas qu'en haut, donc le CDG est très bon.

16 mai 2014

Ben comme tu dis, ils sont là pour y réfléchir !
je trouve le défit très bon. Un ingé est souvent confronté à ça dans la réalité : un truc qu'il faut modifier. y'a pas à tortiller, il faut trouver des solutions !

16 mai 2014

j'ajoute :
en tapant "quille relevable mécanisme" sur google image, vous trouverez des très nombreuses images qui amènent à des sites techniques.
Exemple :
www.finot.com[...]t22.htm

16 mai 2014

@Poloso pour mettre mon bateau sur remorque il faut ..... ben une remorque attelée à une véhicule , une cale ou plan incliné et être de préférence 2 personnes dont une équipée de waders ( bottes qui vont jusque sous les bras ) .
Dans l'étude de la réalisation de la dérive prévoir un système de verrouillage manuel de la dérive en position basse , voir en position haute .

16 mai 2014

j'ai du mal à imaginer une dérive (pas une quille) pivotante de 250kg... j'ai une dérive pivotante... 15kg sans doute... 1,3m de long. L'axe de rotation est à environ 15-20 cm d'une extrémité.. j'ai donc un couple de rotation vers le bas qd la dérive est relevée... 15kgx0,6 m (grosso merdo) et c'est déjà une galère à relever (mon point de "tire" est aussi à 15-2Ocm de l'axe, donc il me faut de l'ordre de 45 kg pour relever... alors 250kg??? je vois mal comment cela peut marcher. Car le mécanisme de relevage (pivotage autour de l'axe) est forcément dans le puit de dérive et ne dépasse pas.. donc aussi 15-20cm environ de l'axe de rotation. Cela fait un sacré couple!!!
J'ai un axe de 12 je crois... là il faudra un énorme axe!!

j'ai donc peur que la question initiale soit "mal formulée"... dérive pivotante? dérive sabre (coulissante?)

16 mai 201416 mai 2014

Le problème (qui n'en est pas un) est exactement le même que pour une quille pivotante.
Il suffit de mettre en place un dispositif "étudié pour" (palan, vis sans fin, vérin, harem etc...) :litjournal:

La quille pivotante du Sirius 35DS fait 2500 kg et elle est pratiquement intégralement escamotée lorsqu'elle est remontée.

16 mai 2014

La mienne est pivotante et fait 380 kg relevée par un treuil à manivelle ( 200 tours )

Mes compliments à Madame :lavache:

16 mai 2014

sinon "fonctionnellement, sur la question de la dérive qui reste à fleur de la coque..

une dérive pivotante permet trois choses:
- aller dans des endroits au il n'y a pas d'eau... (au moteur ou au portant) car il n'y a plus de fonction anti dérive. Parfait pour les "dériveurs" ou les multicoques
- facilité de mettre le bateau sur une remorque
- sert de protection qui encaisserait un talonnage involontaire

inconvénients:
- construction plus compliquée (étanchéité du puit de dérive, mécanisme de descente et relevage)
- un puit de dérive ouvert qui "drague" l'eau en permanence, donc nuisibles aux performances. Il existe des solutions, lèvres souples... mais ...
- une quantité d'eau qui est "transportée" par le bateau et qui ne sert à rien et qui fait du bruit!!

avantage et inconvénient
- une variation possible du centre de dérive en fonction de l'angle de pivotement, ce qui peut être un avantage au portant et au vent AR, on remonte complétement la dérive

il faut donc avoir la dérive relevée la plus basse possible... cela permet de descendre le centre de gravité, le centre de dérive, et qu'elle ne géne pas pour les opérations de remorquage.
Mais il faut qd même avoir une certaine longueur dans le bateau pour contrecarrer le couple lié à l'appui de la dérive au prés... c'est qd même elle qui s'oppose à la gite, il y a de gros efforts sur la structure et donc les appuis dans le puits de dérive.

16 mai 2014

Quille ou dérive je ne maîtrise pas bien le terme et je veux pas rentrer dans ce débat. Je vais considérer que c'est une dérive puisque mon système va basculer. Ma dérive jouera le rôle d'antidérive mais aussi de lest grâce à sa masse de 250 kg.
Je supprime l'idée de mettre une dérive sabre, ça ne colle pas avec les plans de notre bateau.
J'aime beaucoup l'idée de la dérive qui, en position haute est rentrée intégralement dans la coque pour le problème de transport du bateau. Pour le problème d'étanchéité ou d'eau transportée, ce n'est pas très grave si la performance n'est pas là.

@Guillement: j'ai feuilleté google de fond en comble avant de m'inscrire sur le forum, j'ai eu l'occasion de voir le système que tu m'as indiqué sur le first class 8 déja. Mais on ne voit pas comment sont fixés les équerres... Mais maintenant je vais étudier au maximum l'idée de la dérive 100% escamotable.
Et quand tu dis que c'est impensable, on verra bien :) Mais ayant une bonne largeur de flottaison et le bateau naviguant dans des conditions très clémentes, ça doit pouvoir le faire (je me base sur ce qu'un archi m'a dit car j'avais un peu peur au début aussi...)

16 mai 201416 mai 2014

les équerres sont boulonnées par le fond de la coque.
Pour ne pas être apparentes (en sur-épaisseur), ni au fond de la coque, ni dans le puits, il y a une empreinte dans le moule.
.
Avantage, les équerres métalliques étant épaisses, l'axe est encastré dans l'épaisseur des équerres et ne traverse pas les parois du puits, évitant les fuites.
.
Vous pouvez parfaitement imaginer les mêmes équerres encastrées par le haut du puits, évitant les boulons qui traversent le fond.
Dans ce cas, les boulons se trouvent sur les lèvres du puits, au dessus de la flottaison.
.
Il existe autant d'autres solutions que d'architectes...
.
Après 10 secondes de recherche...
on voit parfaitement les équerres (pourries) et les boulons traversant la coque
first18.over-blog.fr[...]41.html
.
Allez... + 10 secondes de recherche !
www.hisse-et-oh.com[...]irst-25

16 mai 2014

Attention, dans le cas où c'est entièrement escamotable, il faut que le bord d'attaque de la dérive suive la courbure du fond du voilier, donc probablement avec une légère courbe.

Sinon, vu autrement, on laisse la dérive droite, mais un petit bout dépasse derrière, ce qui peut permettre de s'offrir une sur-épaisseur en bout de bras de levier.

J'aime bien ce sujet.

J'ai appris un truc sur la capacité d'un bateau à pivoter sans changer de direction en cas d'absence de plan anti-dérive.
J'ajouterais donc que dans ce cas, le voilier se cabre sur l'arrière du fait du déplacement longitudinal du CdGravité.

Phare du monde

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2022