Quillard ou DI ou DL pour un programme de navigation Bretagne sud ?

Bonjour,

Me voilà en phase d'achat et je me pose la question : quel type de voilier quillard/DI/DL pour une zone de navigation se situant de la Rochelle à Concarneau, plus particulièrement Belle-Ile. Personnellement je préfère les quillards pour des raisons de simplicité d'entretien, de près, de sécurité. Mais maintenant c'est vrai que la dérive pour échouer simplement et mouiller proche des plages de Belle-Ile ça me tente. Quelles sont vos expériences et pour ceux qui naviguent dans le coin pour quel type de voilier vous avez opté ?

taille de voilier : mini : 9,15, maxi : 10,50

merci

arnaud

L'équipage
18 mai 2012
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Salut Arnaud,

Je navigue en été du Crouesty vers Houat, belle isle, Groix et l'archipel, ben j'avoue que le dériveur bien foutu c'est quand même pas mal. L' accès à l'archipel sur 1.20 m sur la carte, une bouée à Port Manech 40 cm... alors le petit TE c'est quand même utile. C'est sur on peut faire sans avec un super quillard 2 m de TE, mais faut bien connaître la zone et les mouillages. Cet été je reloue un First 31.7, je vais faire gaffe et je ne pourrai peut-être pas aller la ou j'étais avec mon First 25.7 si le coef et le timing sont pas bon.. J'ai pas d'expé en échouage la je ne sais pas, mais la limite du TE, elle est a prendre en considération dans cette zone.
:alavotre:

18 mai 2012
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bonjour,

En un mot comme en cent (avis personnel :heu:) la Bretagne Sud offre un formidable terrain de jeu pour un bateau à petit tirant d'eau, DL, DI, biquille ou multicoque !

Il pourra ainsi multiplier les possibilités de croisières, de mouillages, d'échouages en zones abritées, ainsi que s'affranchir de manière conséquente des horaires de marées, etc.

Toutes choses qu'un quillard ne pourra se permettre.

D'autre part, que représente un demi-noeud de plus ou 5° de mieux en cap par rapport à ces avantages ?

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Bien résumé, et je regrette bien que Bénéteau est un peu "merdouillé" le 27.7... Après les dériveurs et biquilles qui marchent bien, faut taper dans le haut de gamme type POGO, RM...

18 mai 2012
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salut,
pour ma part,mon 1,80m de TE ne m'empêche pas plus que ça de vivre ma passion surtout en Bretagne Sud,de Concarneau à l'Ile d'Yeu en passant par les Glenan,Le Belon,Groix,Houat et j'en passe,je n'ai jamais eu franchement de soucis pour trouver des mouillages,bien évidemment si tu veux te "caler" au fin fond du port de Sauzon,ça va pas le faire!!!par contre,en Bretagne Nord (Perros-Guirec) ou j'y ai navigué une bonne quinzaine d'années,c'est vite super handicapant,c'est sûr!!

18 mai 2012
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A Belle Ile les possibilités sont assez restreintes !
Palais : bassin a flot, prévoir annuaire des marées, boules quiès et paillasson, au mois d'août c'est le pied ! Pas de problème de tirant d'eau . Faut avoir le sommeil léger car on peut vous réveiller à 4 h du matin pour faire la place pour le pétrolier .
Sauzon : il y a plein de bouées pour se faire secouer toute la nuit à moins de pouvoir échouer dans la ria sur les bouées rouges. Mais va falloir calculer ! Pour arriver ou repartir, faut de l'eau !
Des mouillagesq forains splendides, ily en a plusieurs . Mais là, il va falloir se confronter au plaisancier moyen qui considère que le site lui appartient car il y est venu l'année dernière .
En phase d'achat, vaut mieux acheter un camping car .
Il y a moins de risque de déception .

18 mai 2012
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"Sauzon : il y a plein de bouées pour se faire secouer toute la nuit à moins de pouvoir échouer dans la ria sur les bouées rouges."

à partir du moment où l'on peut s'échouer, on peut aussi s'enfonçer dans la ria et mouiller sur ancre. On est plus tranquille.

Les bouées extérieures sont à proscrire. D'où tout l'intérêt d'avoir un bateau échouable ! :heu:

18 mai 2012
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en bretagne sud, un biquille cest bien aussi !...

19 mai 2012
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comme je dis souvent sur un tel sujet :
le PTE fera les m^me nav qu'un GTE mais pas le contraire

19 mai 2012
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Sauf si on est intéressé par les performances pures et au près en particulier

19 mai 2012
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exact. J'ai un bon copain qui a vendu son dériveur intégral en alu de 11 m pour acheter un Elan 33.

Il ne fait plus de croisière, son plaisir est maintenant d'essayer de gratter d'autres bateaux lors d'entraînements d'hiver.

c'est son choix.

19 mai 2012
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La difficulté est de cerner ce qui nous apporte pub plaisir particulier, sachant que ce plaisir varie au cours des années.

A certains moments c'est la glisse, à d'autres les mouillages en famille, à d'autres, la vitesse pour la vitesse, d'autres le plaisir du près si fréquent sur nos cotes.....

19 mai 2012
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Je vous écris depuis le fond du port d'échouage à Sauzon. Pourtant nous avons un DL de 1,20m de TE. nous avions un DI de 0,30 de TE avant et pour le secteur visé c'est parfait. mais il faut quand même faire attention, ce n'est pas parcequ'on a un DI qu'on peut faire n'importe quoi.
Pour le fun en régate on se régale mieux avec un quillard au près mais pas au portant ou c'est l'inverse. De toutes façons quand on fait le choix régate soit on a un quillard de régate donc pas habitable soit on a un quillard habitable et on peut éventuellement gagner grâce au temps compensé alors autant choisir un DI qui aura le temps compensé adapté.
Nous avons 22 ans de DI habitable derrière nous et nous pensons que par ici c'est l'idéal pour éviter les ports encombrés d'ivrognes de m'as-tu vu et de tirelire avides.

19 mai 2012
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on peut parler de vitesse, de près sans parler régate.

C'est d'ailleurs mon cas!
;-)

19 mai 2012
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Un petit tri confortable et rapide me convient mais n'est pas la panacée. Les efforts, la vitesse, éventuellement le stress que tout cela peut engendrer, les frais, la différence, la moins bonne adaptation à la haute mer difficile....peuvent être rédhibitoires .

En parlant de mon cas, je ne faisais allusion qu'au plaisir que j'avais de la glisse, du près mais hors régate. La régate générant une excitation, voire un stress que je n'apprécie guère. Je ne parlais pas du type de bateau qui n'est pas l'essentiel à mon sens.

19 mai 201219 mai 2012
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on ne peut prendre son cas pour une généralité.

car quand on a le beurre (un trimaran qui pointe), l'argent du beurre (la vitesse en plus) et le c.. de la fermière (facilité d'échouage et très faible tirant d'eau), on est quand même nettement privilégié ! :heu:

19 mai 2012
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Mardi je pars pour l'Ile de Sein et bien avec mon deriveur je vais etre tres content de mouiller dans le fond du port loin du trafic plutot que de me faire secouer à l'entré .

et c'est vrai que je ne remonte pas au pres ni ne vais tres vite mais au portant par mer agitée c'est plus confortable qu'un quillard

19 mai 2012
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et a Sauzon chaque année je profite de la marée descendante pour passer un coup de brosse sur la caréne à mi saison ainsi tranquille jusqu'à l'hivernage et c'est tout de m^me pas mal de pouvoir allé à la boulangerie à pied sans annexe

19 mai 201219 mai 2012
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Et la crêperie aux murs roses, et les bigorneaux en apéro avec le 1/2 au bar près de la balise verte..

19 mai 2012
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Ah la boulangerie de Sauzon et sa fameuse "beurrée Belle-Iloise" ! :heu:

Celle qui permet de graisser les winches avec le papier d'emballage ! :langue2:

Tiens, j'en salive de derrière mon clavier ! :whaou:

19 mai 2012
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Je passe d'un quillard au DI. Mon TE était de 1.90 et maintenant c'est 60cm! Rien à voir!!

19 mai 201216 juin 2020
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Salut,

Je suis passé d'un quillard à un DI. Avec ma femme on se dit que les quillards c'est fini. L'échouage permet beaucoup d'escales tranquille loin des marinas. Ci joint port maria belle début mai.

19 mai 2012
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superbe photo. L'exemple même de ce que peut permettre un DI, et qui sera à tout jamais interdit à un quillard.. :heu:

19 mai 201219 mai 2012
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Et de La Rochelle, tu as tous les rias et rivières, Seudre, Marans, la Charente, plus les petits ports d'Oléron, et j'en passe.

Un avantage supplémentaire, c'est de pouvoir entrer le dernier et sortir le premier dans bcp de ports à marées, les Chambres au Croisic ou Ars en Ré par exemple.

CaptainRV

19 mai 201216 juin 2020
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en Bretagne nord ou sud, avec les marées, un bateau qui pose est un must ; non seulement pour les mouillages forains, mais aussi dans de nombreux ports à marée, dans lesquels, la plupart du temps, il n'y a rien à payer et où on peut débarquer à pied 50 % du temps. C'est une autre découverte de la navigation cool ; obligation corrélative : être autonome en énergie électrique.

19 mai 2012
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petit souvenir...
je rentrais dans l'aven à la barre d'un 16 m appartenant à un copain. un anglais d'environ 10 /11 m me suivait comme un petit chien à environ 200 m dans mon axe histoire de profiter de moi comme poisson pilote.
etant legerement anglophobe je n'ai rien fait pour l'en dissuader....
quand il est venu pour se mettre à couple à rosbras deux heures plus tard apres un "STOP" magistral sur le banc de l'entrée je lui ai conseillé d'aller mettre sa quille dans le lit de la riviere et de prendre son annexe.
notre bateau etant tranquillement à l'echouage le long du quai nous avons put prendre la caramelle reglementaire chez pennec sans avoir besoin de nous risquer sur une perissoire pour rejoindre le bord..
precision le 16 m calait à peine 1 m tout relevé c'etait evidement un di..
les quillard, surtout modernes ont un interet certain mais ce n'est pas celui de la croisiere cotiere...
enfin c'est juste mon avis.
jpierre

19 mai 2012
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Bonjour,

Après les avoir essayées toutes (les configurations...) en Bretagne nord et sud, j'ai franchi le pas du biquille.

en quelques mots, mes conclusions (qui n'engagent que moi)

quillard : plus jamais.
Soit je n'osais pas poser et j'étais secoué, ou frustré (ou les deux), soit j'osais poser et j'étais vert de trouille que le bateau se casse la gueule.

DL : des centaines d'échouage, à peu près partout où ce n'est pas totalement déraisonnable. Deux accidents sans gravité.
mais qu'est ce que j'en avais marre des manips de béquilles, des dérives qui coincent, du puits de dérive explosé après un choc avec une épave et du près serré toujours avec le moteur en sourdine.

DI : pas une grande expérience. J'étais pas proprio, mais ce dernier m'interdisait de poser. peur de cabosser la carène, et de niquer l'antifouling, bien chiant à refaire.
De nombreux bavardages de pontons, j'ai constaté que les propriétaires de DI réagissaient souvent de la sorte (j'ai pas dit tous, ne tirez pas !)

cata : petite expérience. Super sympa. Sauf quand il faut sortir de Sauzon l'été et qu'il y a tellement de monde que la largeur du cata est rédhibitoire. Il faut avoir pris la peine de sympathiser avec les voisins avant, pour que l’extraction se fasse sans heurts !

Biquille : une révélation ! Ils marchent bien mieux qu'on a pu le dire (sûrement pour marquer notre mépris aux anglais !)
Quelle stabilité de route !
Quelle statilité tout court, ça gite pas !
Quelle simplicité !
Quelle tranquillité à l'échouage !

Il y en a des tas d'occase de 30 à 35 pieds.
regardez du coté des anglais. leurs biquilles des années 90 sont vraiment très bons.

19 mai 201219 mai 2012
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La seule question que doit se poser Arnaud, c'est s'il a envie ou pas de flirter avec le littoral au point de vouloir se poser, remonter des rias, passer sur des zones à hauts fonds.

Lorsqu'il pensera avoir la réponse, le choix se fera avec bien plus d'évidence.

S'il choisit la performance, le grand tirant d'eau s'impose.

Après, du biquille au dériveurs intégral, le choix d'un tirant d'eau plus ou moins faible n'est pas évident à faire.
Les points de vue, ici présentés, tel celui précédent de Vincent (Guillemot) particulièrement pertinent, aideront à éclairer la réflexion.

19 mai 2012
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Dans cette région (et ailleurs), le DI me permet une navigation côtière relaxe et son faible tirant d'eau m'a pardonné de dangereuses étourderies (attention à l'euphorie côtière ou rase cailloux avec ce type de bateau).
J'ai pu retrouvé aussi une partie des joies de la navigation en rivière. Plus que l'échouage facile et à plat, mais qui comporte quelques contraintes, c'est le faible tirant d'eau qui est vraiment un plus en côtier.

19 mai 2012
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Southerly, Espace 990 en plus on voit dehors! Et les biquilles Biloup 1020....

Ceux qui connaissent pourraient ils parler des soucis de bruit de dérive, jeu, blocage, système de relevage....

19 mai 2012
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moi j'ai trouvé mon bonheur
.
.
avec l'Océanis 311 (ou 323) : quille à ailette et bisafran.
tirant d'eau 80cm dérive haute, pas de béquilles .
Mais le principal avantage, c'est le tirant d'eau dérive haute.

La Bretagne au mois d'août, en dfehors des moissons, il n'y a que deux solutions : prendre le large ou entrer dans les terres !

L'échouage, je n'en abuse pas :
- il faut savoir où on se pose et sur quoi
- plus de toilettes, plus d'évier, plus de moteur
- certains débarquements peuvent s'avérer périlleux dans la vase ou les algues
- risque de dérive coincée par un malheureux petit caillou mal placé .

Performances : le dériveur est plus raide et marche aussi bien au près que la version quillard .

L'arrière port de Sauzon est le bon endroit pour apprécier les différentes solutions :
- dériveurs intégraux : entretien du fond, quid du caillou mal placé, ...
- biquilles courtes : performances nulles
- biquilles longues genre RM : faut pas avoir le vertige et une échelle coulissante de 4m à bord pour débarquer
- quillards avec béquilles : ils me foutent la trouille, je m'éloigne
- DL avec béquilles, ça dépend . Faut trouver la place pour ranger les béquilles !

Ceci dit, c'est un bateau sans charme et moyennement solide !

20 mai 201220 mai 2012
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bonjour,

dommage d'avoir un bateau échouable sans béquilles et de ne pas en profiter pleinement.

Sur les inconvénients cités :

  • effectivement il faut savoir où l'on va mettre les fonds. Une bonne précaution consiste à laisser passer une marée pour repérer les lieux et éventuellement prendre des alignements, bien utiles pour se situer précisément quand on arrivera à marée haute pour se poser ensuite.

  • plus de toilettes ni d'évier : ne dure que le temps d'une marée. Prévoir surtout un seau d'eau de mer puisé à marée haute pour rincer les pieds ou les bottes quand on remonte à bord si fonds vaseux.

  • débarquement : éviter en effet les pieds nus, toujours mettre bottes ou sandales en plastique. Les coquilles d'huitres à moitié envasées sont redoutables !

  • dérive coinçée : malgré des dizaines d'échouages, jamais eu ce problème (peut-être eu de la chance..)

21 mai 2012
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Faut pas vous vexer, M'sieur Alien. A chacun sa conception. Mais puisqu'il était question d'échouage, j'ai seulement indiqué ce que j'en pensais, personnellement, pour avoir échoué le plus souvent possible, et sans problèmes.

Ceci ne s'adressait d'ailleurs pas qu'à vous, mais pouvvait, je pense, intéresser d'une manière plus généraliste.

Je ne veux pas polémiquer, mais en l'occurence, c'est vous qui avez une "curieuse conception de l'échouage", puisque bien qu'ayant un bateau le permettant (vous le mettez dans votre premier post), vous parlez ensuite de foncer dans la piaule ! Attitude très honorable et qui se défend, mais alors pourquoi intervenir sur l'échouage ? :tesur:

20 mai 2012
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curieuse conception de la navigation !
On vient faire un tour la veille et on revient le lendemain :alavotre:
Echouer pour le seul plaisir d'échouer n'a aucun intérêt à mon sens !
Cela implique des contraintes . Notemment pour l'heure de départ .
Je ne patauge plus dans la vase car cela ne me procure aucun plaisir .
J'aime mieux foncer dans la piaule, à l'abri sus la capote en surveillant le niveau des batteries :heu:
Les cailloux dans le puits de dérive, ça arrive et ça peut faire très mal quand ça se décoince.

20 mai 2012
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Si l'on veut échouer au maximum près de la côte penser à consulter avant les coeff de marées, sinon on y passe un bon bout de temps.
Eviter de se poser sur un beau rocher.
Les contraintes: Pose d'un mouillage arrière, plus de WC (sauf réservoir), la patauge si dans la vase, parfois jusqu'à l'isolement si mauvais choix. Plus de moteur.
Au flôt suivant, desagreables coups de vagues , tant que le bateau ne flotte pas, vérification de l'eau pour les joints hydrolubes et circulation OK de l'eau de refroidissement, rremontée des mouillages.

21 mai 201221 mai 2012
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Si je puis me permettre une remarque suite à une expérience vécue sur l'île d'Aix :

C'est pas par ce que le coefficient de marée monte que le lendemain on aura plus d'eau au même endroit.

Nou savons fini avec 3 bateaux coincés sur les cailloux, la moitié des copains dans l'eau à pousser et l'autre accrochée au hauban pour coucher le bateau, on est parti in extrémis !!!

Si quelqu'un a une explication ?

:heu:

21 mai 2012
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Oui… plusieurs… le coef est différent chaque jour… et ça influe sur la hauteur d'eau à un moment et à un lieu donné ;-)… à cela tu ajoutes ou tu retires de la hauteur en cas de fort anticyclone ou dépression, vents et courants inhabituels ou phénomène météo inhabituel. En gros tu peux avoir jusqu'à près de 10% de différence en horaire et en hauteur !!!… et c'est surtout sensible dans les fonds de baies, estuaires, etc…
A St Briac baie de St Malo, j'ai eu jusqu'à 70cm d'eau en moins ou en plus à mon mouillage… et des décalages parfois de près de 3/4 d'heure… vérifié aussi à Chausey, Jersey, Bréhat, etc
Ce que je faisais en Manche : je ne mouillais JAMAIS à marée haute… en gardant toujours une marge de sécurité… + ou -50cm à 1m après PM…

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salutatous
très intéressante question et les témoignages précédents sont tout aussi intéressants
je crois que la question est surtout : est-ce que tu veux échouer ton bateau ou pas ?
si tu ne veux pas échouer, le tirant d'eau n'a pas beaucoup d'importance;
si tu veux échouer, alors là le débat est large : comment échouer ? où échouer en sécurité ? etc etc ...
j'ai goûté aux charmes du RM 10.50 qui a 1.60m de tirant d'eau; et bien, l'échouage n'est jamais une affaire aussi évidente qu'il y paraît
je ne connais pas les vertus d'un DI, c'est peut être LA solution ?
mais le problème le plus difficile à régler, c'est le problème de la qualité de la zone d'échouage : sable ? vase ? rocher mal venu et mal placé ? les documents nautiques ont beau être précis, ils ne le sont jamais au point de garantir un échouage sûr à tous les coups
la solution ne serait-elle pas dans les quillards à quille relevable (nouvelle série des pogo par exemple) ? du tirant d'eau pour les qualités de navigation et peu de tirant d'eau pour les approches de plage mais sans échouer ...
cordialités maritimes
larent le hareng

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Bonjour Laurent, est-ce que tu peux nous en dire un peu + sur le RM10.50, marche au près, vitesse et pkoi c'est pas évident l’échouage..?

20 mai 201220 mai 2012
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ou le malango, qui est comme les nouveaux pogo avec en plus des béquilles qui sont intégrées à la coque et au moment de la construction
cordialités maritimes
larent le hareng

20 mai 201220 mai 2012
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Mon choix personnel s'est fixé sur le dériveur pour cette raison principale (qui a déjà été énoncée) :
je multiple de façon conséquente les possibilités de mettre le bateau à l'abri et cette avantage a pour moi énormément d'importance, cela devient même primordial, pour ce qui me concerne, dans le cadre du voyage.
Remonter une rivière, par exemple, pour y laisser le voilier quelques temps, pour un coût nettement inférieure voir nulle.

Le Freedom 33 avec ses 1,05m, a pu ainsi remonter jusqu'à Rennes où je bénéficie d'une base nautique, d'un hangar et de tarifs dont je pense qu'ils sont parmi les plus faibles qu'on puisse trouver.

Pour vraiment bénéficier d'un tel panel d'abris, il faut à mon avis ne pas dépasser les 1m de tirant d'eau.

20 mai 2012
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Bonjour personnellement j'ai choisi un biquille très bonnes nuits à l'échouage au font du port de Sauzon mais le plus agréable est le faible tirant qui permet de sortir du port d'Arzal quant la hauteur d'eau est très faible dans le chenal.
Pour le près bon c'est vrai il vaut mieux choisir une destination qui l'évite ou un peu d'aide du moteur.

21 mai 201221 mai 2012
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Il faut toujours différencier les anciens biquilles et la nouvelle génération avec des TE presque identiques à des monos : ex : les RM, j'en ai eu 1 et je ne pouvais sortir de mon mouillage par petit coef. en raison du TE .

Par contre je n'ai jamais appuyé au moteur pour remonter au vent, encore un pb de compromis ou de contrainte .

20 mai 2012
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Avec un DI acier ou Alu (de fond de coque d'au moins 1cm)
le risque de poinçonage est vraiment limité et à moins de rocher pas vu on pose à plat. Pour les coques plus fragiles
il faut absolument poser sur la zône de coque prévue pour.
Pour les biquilles il est connu qu'il faut ètre certain que le sol des points de posés soit fiable, au risque de poser incliné (pour le basculement il faudrait que ce soit vraiment le mauvais jour) ou à cheval sur un monticule (rocheux). Si le bateau n'est pas conçu avec une protection
du gouvernail (souvent cas du suspendu ) il faut redoubler de prudence.

20 mai 2012
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avec un biquille jamais eu de souci,
sauf un retour à flot un peu chaud dans un petit port du cotentin après un coup de vent pas prévu (juste un peu de gelcoat éclaté sur les talons de quilles)

21 mai 2012
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te fais pas ch..... prends un quillard ! et une bonne annexe. tu pourras faire tout ce que tu veux et même plus. un peu de calcul de marée, et cool ! mon meilleur pote navigue entre granville et cherbourg (le marnage, la bas , ce n'est pas rien !) il a un quillard TE 1m90, et n'en changerait pas pour tout l'or du monde ! manoeuvres faciles au moteur (ce n'est pas une savonnette), entretien, rien qui cogne, les coques actuelles ont du mal a se poser sans souci, faudrait presque balayer avant sous la coque... et quand tu voudras aller plus loin... trop cool !

21 mai 2012
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cet avis n'engage que toi ! Un bateau est un compromis. Et quand on met en balance le nombre d'avantages procurés par rapport à de meilleures (un peu) performances d'un quillard, il n'y a pourtant pas photo, concernant les zones à marée, quant à la démultiplication des possibilités de croisière !

21 mai 2012
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Merci pour toutes ces réponses. Chacun prêche pour sa paroisse, on l'aura compris tout est question de compromis. Qu'en est-il, pour les dériveurs, des soucis divers de dérive : jeu, blocage, système de relevage.... ?

Merci

21 mai 2012
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pour la derive tout depend de la conception . l'ideal c'est l'axe de rotation dans la quille hors carene ainsi point de probleme de fuite à l'interieur du bateau .

pour ma part ,12 ans que j'ai mon deriveur il passe tous les hivers dans la vase jamais de bloquage de quelque maniere que ce soit .

josé

21 mai 2012
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et puis avez vous pensez en Bretagne a faire les canaux ?

Pour ma part je l'ai fait une fois Hennebon / Josselin ,super balade notement pour maman ,tranquille ...reposant ,un cadre unique ,une tranquillité inegalée ,loin de la foule , gratuis ou presque 1,5€ la nuit a Pontivy

Tiens remonter la Vilaine jusqu'à Redon on peut le faire sans dematé .

pense -y voilà encore un avantage du Deriveur

josé

21 mai 2012
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La volonté de certains de hiérarchiser le choix (dériveurs, biquilles, quillard) est absurde.
Tout est question de priorité.
Le quillard, c'est la simplicité, la performance.
Le dériveur , c'est un accès étendu à des zones d'abri, de visites, avec sa part d'inconvénients.
Le biquille reste un compromis très intéressant.

A vous d'établir ce que vous aimez !

21 mai 2012
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il faut bien hiérarchiser quand même en fonction des zones où l'on navigue, et de comment l'on entend naviguer. Ca n'a rien d'absurde (AMTHA) ;-)

il est sûr qu'un Méditerranéen n'aura pas les même priorités qu'un Breton.

21 mai 201221 mai 2012
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je pense qu'une majorité de skipper s'éclatent comme des p'tits fous du coté de Saint-Malo avec leur GTE !

Et Pierre semble des plus ravis, à juste titre, d'avoir un Southerly en Mediterranée.

Le dériveur n'est pas mieux que le quillard à Saint-Malo, il correspond seulement à un programme différent.

je crois qu'on partage le même point de vue mais qu'on n'entends pas de la même manière la notion de hiérarchie.
Ou plutôt : il s'agit de ne pas imposer sa propre hiérachie, si on en a établi une…

21 mai 2012
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alors Lorenzo je ne suis pas d'accord avec toi ,il faut etre un peu fou pour prendre un GTE du coté de St Malo ou alors ignoré ses incenvenients que l'on decouvrira vite lorsqu'il faudra attendre 2h de plus pour rentré ou sortir d'un port .

Non le GTE n'a pas grand interet m^me en regate car avec le temps compensé le deriveur peut tres facilement battre le quillard il arrivera apres certe mais au classement pas sûr .

josé

23 mai 2012
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parce qu'ils sont mauvais !!!

mais fais donc des regates 1 bord au prés et deux au portant pour voir

23 mai 2012
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oh ça arrive !!!

22 mai 2012
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sans vouloir t'offenser,José,on ne doit pas participer aux mêmes régates,il y a une quinzaine,sur une manche de 7,75 nautiques avec 2 bords de près et un sous spi,les 3 premiers ,des quillards génération fin 70 début 80 de 1,70 à 1,80 de TE,plus d' 1 heure d'avance sur le premier dériveur de taille équivalente en temps réel,en compensé,aucun des autres concurrents(32) n'a rattrapé les 3 quillards ;-)

23 mai 2012
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Et pourquoi pas un parcours sans bord de près? ;-)

23 mai 2012
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trop fort!!!là,franchement,j'abdique devant tant d'évidences!!!franchement,champion :bravo:

21 mai 2012
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je n'impose rien : je propose et expose mon avis (qui n'engage effectivement que moi !) ;-)

21 mai 2012
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même si elle m'avait concerné, je ne me serais pars vexé pour autant ! Chacun peut exprimer son point de vue, et on ne peut être d'accord sur tout, même entre bons copains ! :topla:

21 mai 2012
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Ma remarque ne te concernait pas Guy.


Quant aux GTE de Saint-Malo, faut croire qu'on ne remarque pas les mêmes bateaux…

21 mai 201221 mai 2012
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GTE à St Malo… c'est quand même des tas de contraintes… et un programme très limité et un soucis permanent en côtier… pour les mouillages, l'entrée des ports en eau profonde, l'exclusion des ports à échouage, l'exploration des zones côtières de navigation et des approches… ou bien, si le bateau s'y prête, les béquilles… une galère, des belles trouilles et un casse tête à ranger… Bien sûr, il y en a beaucoup au fond des ports, des quillards gTE… mais ceux là sont plus tentés de faire du hauturier, d'aller de marina en marina… Pour ce qui est du côtier, des îles… y a pas photo… DL, DI, Biquille, multi… et là on goûte vraiment tous les charmes de la Bretagne nord et des anglos + un bout du Cotentin. J'y ai goûté… Et pour avoir navigué sur des GTE à St Malo et avoir eu un biquille… ça n'a rien à voir !… même la bête sortie aux Ebihens devient un casse tête sur un GTE… le chrono en tête… Alors qu'avec mon Konsort… on regarde l'heure et les hauteurs, on fonce perpendiculaire à la plage… on s'échoue et on repart quand il reflotte ;-)

22 mai 2012
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ben oui, dans le Sound à la mauvaise place.
Et pourquoi pas port Marie?

Après 4 ou 5 DI ou DL, j'ai eu un Karaté NV. Je ne dis pas que ça n'a pas changé mes habitudes (par exemple ne pas oublier d'embarquer une annexe) mais j'ai continué à arpenter Chausey (le Lézard, Les Huguenans, L'Ancre, la Petite Mauvaise...). Et je ne pense pas être un cas unique ;+)
Je dirai même que caler 1m40 ou 1m80, c'est du pareil au même : Qq coups de pagaie suppl. dans l'annexe parce que l'on est mouillé un peu plus loin? Rentrer dans le port 15mn plus tôt ou plus tard au Hérel?

21 mai 2012
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:pouce: :bravo: :langue2: :-D :alavotre:

22 mai 2012
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et tu ne parle pas de Chausey dans le sound ..a BM par gros coeff , tous les GTE passent la nuit couché sur le flanc et à bord tout le monde sur le plancher

22 mai 2012
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Question de goût… et aussi de potentiel… si tu es en Bretagne Nord, si ton bateau peut échouer, tu multiplies par au moins 3 les possibilité de trouver un mouillage abrité où laisser ton bateau quand tu ne navigues pas… avec un GTE… tu te limites aux ports en eau profonde et quelques rares endroits comme la Rance et quelques mouillages en mer. Honnêtement, ça change tout. Mais rien n'est impossible à un quillard pour la découverte des côtes, c'est juste moins sécurisant et surtout beaucoup moins confortable de ne pouvoir échouer, et effectivement, il faut avoir une annexe à son bord… Franchement, si tu as goûté à la découverte des recoins de la côte et des îles, tu prend vite le plis… à moins d'avoir comme but de manger des milles et toucher terre que rarement… faire de la régate ou ne pas avoir le choix… On peut aussi par goût, certes… mais en ce cas… rien à dire, c'est un choix ;-)

21 mai 2012
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Ca dépend du pg de nav, oui, mais ça dépend essentiellement de la zone de nav.

Plus haut est cité l'exemple de Cherbourg. La nav dans ce coin n'a absolument rien à voir avec la zone de La Rochelle. Encore qu'entrer à Grancamp ou Isigny avec un tout petit tirant d'eau enlève bien des contraintes d'horaire et est un sacré plus en termes de sécurité.

J'ai bcp navigué au départ de Cherbourg avec des quillards et des DI, eh bien, on ne faisait pas le même pg tt simplement.

CaptainRV

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salutatous
pour répondre à trébor.n
le RM 10.50 est un super bateau, j'ai fait, à peu près 15 à 20 semaines dessus, entre bretagne sud et nord
aucun soucis au près, normal avec 1.60m de tirant d'eau sur 2 quilles maousse costaud, ça fait de la surface anti-dérive, il avance bien, avec 5 noeuds moyens sans soucis
très belle vision depuis l'intérieur, tu fais la bouffe tout en surveillant la nav, sans soucis
un grément de côtre que j'adorrrrrre ... là où il est le mieux, c'est solent/trinquette; trop de la balle
pour l'échouage, pas de soucis liés au RM, il se pose sur ses 2 quilles et son safran (penser à arréter le frigo car il est refroidi à l'eau de mer et fermer la vanne de l'eau de mer du moteur pour pas syphoner le cirduit de refroidissement) sinon rien à dire, sauf qu'il faut que la marée baisse au min de 1.60m pour se poser donc en bretagne sud c'est parfois juste ou alors tu poses et tu reflotes aussitôt

ma remarque concernant l'échouage, c'est la manoeuvre d'échouage par elle-même, je trouve ça toujours un peu limite :
- les heures d'échoauge,
- le fond sur lequel tu t'échoues,

je fais de l'huile facilement et j'aime pas trop ne pas vraiment savoir où j'échoues

j'ai poser le RM à sauzon, dans la chambre à bréhat, à perros-guirec ...

à part sauzon, dans l'arrière port où on sait que c'est plat comme la main, à chaque fois, l'échouage "forain" m'a réservé des surprises, vraiment difficile à maîtriser complètement, et je n'aime pas du tout ne pas maîtriser complètement une manoeuvre

cordialités maritimes
larent le hareng

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Super synthétique, merci d'avoir pris le temps.

En fait c'est le type de bateau dans lequel j’investirais d'ici quelques années, du solide, qui marche bien et pas trop de TE.... :topla:

21 mai 201221 mai 2012
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Je l'ai fait également sur cata à Jersey, c'est extrêmement désagréable.

Bien sûr, la basse est toujours vers 2/3 heures du mat.

Le bateau se soulève d'une coque à l'autre et tape sur le fond d'un flotteur à l'autre, à chaque vaguelette, des bruits fort peu sympathiques. Idem qd la mer remonte. Et pendant tt ce temps là, on ne dort pas.

Je l'ai fait une fois et ne recommencerai pas.

CaptainRV

21 mai 201221 mai 2012
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Ben la technique, c'est pas d'attendre que la mer baisse dessous ta coque, c'est d'aller s'échouer volontairement à l'heure choisie. si la BM est basse à 3h, tu t'échoues 4h avant et t'auras tes 8h de sommeil.

21 mai 2012
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bizard bizard...
j'ai fait des centaines d'echouage, que ce soit sur béquilles, le long d'un quai voir à deux sans quai ni béquilles avec des bateaux de tous types, je n'ai quasiment jamais eu de soucis à part une fois à auray ou je me suis mis dans un edroit mal pave et ou le bateau est parti à contre gite mais cela c'est corrigé rapidement et sans bobo. sur ce coup là c'etait avec un DI et je n'aurai pas eu de soucis avec un DL.
ok il arive qu'il y ai des bruits bizards mais ils sont connus et en partie attendu et ne m'inquietent generalement pas plus que cela, en tout cas tres rarement au point de me faire sortir de ma couette.
vous etes anxieux les gars faut vous soigner.... :langue2:

jpierre

21 mai 2012
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Je pense que c'est juste une question de pratique; bon, c'est vrai que c'est sans aucun doute la spécialité locale de ma zone de navigation, mais y a pas besoin non plus de 12m de marnage pour multiplier l'exercice.
Le cabernet, à ce titre-là, c'était un pur bonheur : sauf si l'équipage est turbulent, même pas besoin de béquilles : il tient droit sur sa semelle!

21 mai 201216 juin 2020
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Il ne faut pas le faire partout.

Je l'ai fait très souvent dans des abers, Roscof, Sauzon, Ars, dans le Golfe, rias espagnoles, Glenan, Scilly.....J'en oublie bien sûr. un tour tranquille pour bien vérifier, éventuellement un tour d'annexe avec la sonde à main, pour lever des doutes.

Toujours un grand plaisir. Bien sûr plus de WC, le seau pour le rinçage, tout a déjà été dit.

21 mai 2012
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et en tri, as tu tenté ?

21 mai 2012
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de toute évidence, s'assurer de la nature du sol ? sinon pas de restriction "constructeur" ?

21 mai 2012
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oui, au Conquet entre autre, dans le golfe, Sauzon, Ars

21 mai 2012
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Non, pas de restriction.
Mais bien sûr tous les endroits cités sont très sûrs et vérifiables

22 mai 2012
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donc, un quillard c'est mieux ! tous mes calculs sont faits en mer, peinard, en comptant avec le pied du pilote, voire deux, une bonne annexe, et roule ma poule ! pas trop près de la cote (et des moustiques l'été, et des groupes en retour de fêtes), toujours dans l'axe du vent, sans souci, sans bruits... bien sur chacun son programme, mais je prefere la simplicité. et les anglos se font partfaitement en quillard...

22 mai 2012
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L'important, c'est d'être en adéquation avec son voilier, petit ou grand tirant d'eau.

23 mai 201223 mai 2012
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salut,

ce fil confirme à nouveau que côtoyer les cailloux de près et échouer en croisière, c'est d'avantage une conception personnelle de la croisière (j'avais écrit état d'esprit...) que le résultat de l'acquisition d'un dériveur.

Preuve en est l'importante proportion de quillards (courts) qui échouent en Bretagne nord, et la toute aussi importante proportion de dériveurs qui restent sagement en pleine eau et que les propriétaires n'ont jamais échoué en croisière.

j'en connais plusieurs au bassin Vauban de St Malo, qui pour rien au monde ne poseront leur dériveur.

Chacun voit midi à sa porte et c'est normal.

23 mai 2012
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absolument : un deriveur ou un DI ce n'est pas forcement à tout prix s'échouer mais avoir un petit tirant d'eau elargis par là m^me les possibilités que l'on en profite ou pas peut importe mais les possibilités sont là contrairement aux GTE , la plage d'utilisation est plus grande ,ou la palette est plus etendu comme on veut .

23 mai 2012
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exact, moi je suis heureux avec un quillard et le moins possible d'electronique, d'autres avec des "chalutiers russes" ou des "suites royales", l'essentiel étant d'être heureux en mer, et sympa au ponton. ton bateau est beau, parce que c'est le tien. Si tout le monde pense comme ça, trop cool !

23 mai 2012
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Alors ? Finalement ? Ca donne quelle envie ? Moi je m'en moque j'ai pratiqué le DI vraiment pratique, le DL moins pratique mais paraissant plus sûr, le quillard qui offre parfois plus de plaisir au près et le multicoque qui serait mon préféré si ce n'était si cher et parfois si stressant mais tellement pratique.
Alors ? la décision ?

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salutatous
mon avis, et j'ai le tord de le partager avec moi-même, c'est que je ne veux pas sacrifier les capacités de navigation à l'éventualité d'un échouage
tous les arguments présentés par tous sont très intéressants et pertinents, mais, comme dit Kaj, faut bien prendre une décision
donc je vote pour un quillard à quille pivotante (cf pogo 10.50 qui a 2.80/1.05 de tirant d'eau), on va parler de bateau idéal, pour moi

maintenant, je me tourne vers mon compte en banque et je constate que je n'ai pas le premier euro pour acheter un bateau mais que la location est une bien meilleure option et je loue un DI, un DL, un quillard à quille pivotante, un quillard à quille fixe, un acier, un bois, un plastique, à st malo, concarneau, vladivostok ou je ne loue pas
y a que le multi qui (pour l'instant ?) ne me dit vraiment rien, faut dire que je n'ai jamais mis les pieds dessus

quoi ? c'est pas la question ? oui, mais c'est ma réponse comme disait georges ...

à notre ami trebor.n, je vais passer début juin une semaine sur le nouveau RM 10.60, qui remplace le 10.50, et comme tu as l'air mordu par les RM, je te ferai un compte rendu, si tu le veux bien

cordialités maritimes
larent le hareng

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:pouce: super merci.

23 mai 2012
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roulement de tambour.....

23 mai 2012
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Le grand gagnant sera un dériveur lesté.

23 mai 2012
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excellent choix!!!!!!!
(ne le dites pas je suis partisan, j'ai un DL)
jpierre

23 mai 2012
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ben oui, mais lequel ?

23 mai 201216 juin 2020
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et si la solution optimale était le quillard à quille rétractable
raide à la toile, échouable sur son bulbe et deux béquilles sur l'arrière

24 mai 2012
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il existe des DL double safrans : plus besoin de béquilles.

(First 29 par exemple)

24 mai 201224 mai 2012
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A polac, c'était aussi le principe du First 27.7 (je ne connaissais pas le VIKO, ce pourrait être intéressant de lancer un fil si vous êtes +sieurs utilisateurs):...

www.hisse-et-oh.com[...]st-27-7
docs.google.com[...]/viewer

24 mai 2012
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et ça se casse la gueule au premier dévers de terrain, ou terrain trop meuble !

raison pour laquelle les first bisafrans que je vois en Bretagne nord on souvent rajouté des béquilles.

sur le nouveaux Jeanneau dériveurs lestés, il y a des ailettes à l'arrière du lest, qui doivent bien stabiliser l'ensemble.

24 mai 2012
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Et un safran, simple ou double, est rarement conçu pour supporter une partie du poids de la coque si elle s'incline parce que le fond n'est pas parfait

24 mai 2012
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la photo que j'ai mise n'est pas le viko mais le andrews 28 (US) mais plusieurs constructeurs semblent adopter ce principe
Comment çà vieillit, je ne sais pas

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