Qu'est qui fait crocher une CQR ?

En mouillaznt sur du sable ferme,je me suis aperçu, en descendant voir, que ma CQR reposait sur le flanc, position très stable.
La tenue est alors nulle et à part remonter et remouiller en croisant les doigts je vois pas ce qu'on peut faire pour qu'elle se positionne dans la position charrue qu'on attend d'elle.
merci de vos observations

L'équipage
06 sept. 2006
06 sept. 2006

Après avoir posé l'ancre,
et étalé la chaîne, je remonte sur le mouillage puis repart à fond en marche arrière.

Lorsque la chaîne se met à l'horizontale, l'ancre est plantée ! :-)

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06 sept. 2006

la bonne position ...
si le bateau ne tire pas sur l'ancre quand elle est au sol, aucune ancre ne se plante ! Donc par vent faible, et/ou une grandeur longueur de chaine, il est normal de trouver l'ancre simplement posée sur le coté.

Il faudrait préciser les conditions exacte de mouillage.

Voir ici pour les détails:

www.hisse-et-oh.com[...]cle.php

07 sept. 2006

la cqr
"celle qui ripe", en fait elle ripe et se plante en vrillant quand on tire! et ripe encore si on tire trop, mais comme elle équipe presque tous les bateaux, tout le monde ripe en même temps, ce qui produit un grand ripage (:&gt)

07 sept. 2006

J'en ai une
et n'ai jamais eu de problème ! Sauf parfois où j'ai eu du mal à la sortir tellement elle s'était enfoncée. ;-)

Mais il faut savoir pourquoi une CQR peut ne pas fonctionner : lorsque l'articulation est usée, l'angle n'est plus celui d'origine...

Il y a eu également pas mal de mauvaises copies...

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07 sept. 2006

perso
je l'aime bien ma CQR: elle tient pas mal, et partout
m^me si elle ripe un peu (:&gt)

07 sept. 2006

MDR!
C'est une partouze de rippppage? :-D :-D :-D

07 sept. 2006

re MDR
pour une fois qu'il ne ripe pas !!
:langue2:

07 sept. 2006

T'as pas l'air chaud, Michel...
tu peux en dire un peu plus ?

07 sept. 2006

CQR aussi
Comme le dit Tilikum, il faut donner un grand coup de marche arrière pour plater la CQR (mais bon, c'est un peu toutes les ancres ça..).

Une CQR se positionne alors naturellement la pointe en bas, en position d'accrochage, dès qu'on tire dessus. Parfois, celà peut prendre un certain temps (+ de 10m) et c'est pour celà qu'il vaut mieux s'assurer que l'ancre à croché en prévision d'une augmentation du vent. On peut aussi aller la positionner en plongée si les conditions le permettent.

J'aime beaucoup aussi ma CQR car je n'ai jamais eu de problème de 'dérapage à grande vitesse' avec.

Je m'explique : avec mes précédentes ancres plates, quand ça commençait à chasser, c'était une traversé garantie du mouillage à haute vitesse.
Avec la CQR, si la traction du bateau vient à dépasser les capacités du mouillage, cette ancre chasse doucement, recroche, laboure le fond et continue à opposer une traction importante : le bateau ne part pas comme une fusée.

J'ai eu l'occasion de voir en plongée une ancre plate déraper : elle rebondi sur le fond sans opposer aucune traction et ne se replantera jamais tant que le bateau continuera à tirer dessus.

C'est pour celà que je reste fidèle à ce type d'ancre.

Mais bon, je m'arrête là... les fils sur les ancres sont de nature à dégénérer rapidement sur HEO !!! :-D :mdr:

07 sept. 2006

tout a fait
ok avec swanee
une bonne ancre , pas chère d'occasion, mais plutot pour les mouillages avec de la place (aber wrac'h, pas port lligat! )

07 sept. 2006

tout à fait !
Cet été, je suis arrivé dans un mouillage un peu venté et agité et j'ai 'ausculté' longuement la chaîne du bout du pied (chacun sa méthode ;-) ).

Devant l'air intrigué, hilare et moqueur de mes voisins qui me demandaient en rigolant ce que je faisais depuis 5 minutes, je leur ai répondu que j'envoyais ainsi de vibrations particulières destinées à attirer les poissons.

j'ai ensuite adoré leur air sceptique, ahuri et apitoyé... :mdr:

07 sept. 2006

et l'évitage
Encore plus pire que la tenue de l'ancre : l'évitage.

De loin l'aire convoité est parfaite pour garantir un évitage "shock proof". De près ça n'est jamais le cas, et que je te recommence le mouilage, et que je t'aligne un peu plus sur le cul de celui-ci ou un peu moins par le travers de celui, et que j'en mettrai bien 40m mais qu'à 25 le bateau de derrière est déjà quasiement devant. Et pourtant on est en med, on peut oplonger pour lire le corrigé.

au bout du compte, une demie-heure est vite passée, et avec l'age,ça augmente :-&lt

Yves.

Ps : avec la pratique on entend l'ancre chasser, avec les pieds qui transmettent les vibrations.

08 sept. 2006

Pas d'accord!
Même si vous tempérez votre propos, il en ressort malgré tout qu'il faut mouiller en marche avant! Non!
Par vent fort, on peut dériver beaucoup, mais si vous avez 10 m de fond, il serait étonnant de dériver aussi loin que vous le dites.
Le gros inconvénient de mouiller en marche avant, c'est le risque de surpattage avec toutes les ancres et surtout bien sûr avec les plates.
Si vous êtes obligé de faire en marche avant, dès l'ancre au fond, il vaut mieux alors quitter le lit du vent vers un côté afin que la chaîne ne retrouve pas l'ancre en revenant sur l'AR. J'espère que c'est pas trop abscons...

08 sept. 2006

Je suppose
Sur l'erre ?

08 sept. 2006

OK pour nue remarque mais je tache de faire simple
Le mouillage est déjà affaire suffisement compliquée (même au bout de 30 ans) ... alors je profite de ce que je suis en med pour améliorer, car là il suffit de regarder avec ses yeux pour voir le corrigé.

En pratique, j'arrête totalement le bateau avant de mouiller (je sais, s'il dérive ... j'en tiens compte) en prenant des repères sur le fond ou sur l'eau (en med au mouillage les courants sur nuls), j'annonce la hauteur d'eau et la longueur à mouiller, l'équipier mouille cette hauteur d'eau plus 2m (convention) et ensuite on comence à reculer doucement . Je débrayer fréquemment, histoire de ne pas prendre de vitesse : 1/2 noeud soit 25 cm par seconde est largement suffisant, lenteur et douceur !
L'équipier paye de la chaîne tant que celle ci part un peu vers l'avant et cesse de payer dès qu'elle est verticale ou très peu vert l'avant. Et ce jusqu'à avoir mouillé la longueur prévue moins 5 m (car la patte d'oie ajoutera 5 m).
La longueur se mesure toujours au niveau de la mer, pas au niveau du davier.
De cette manière on espère dérouler la chaine sur le fond sans faire de tas et sans jamais la tendre (risque de décrocher). Y en a souvent un plonge histoire d'admirrer le travail et de se féliciter d'être en med et non en manche.

A ce moment on éprouve le mouillage en restant enmbrayé en marche AR sur les deux moteur, à ~800 tpm (equiv 25 noeudfs de vent). Si ça baigne on installe la patte d'oie qu'on éprouve également pour que même dans les surventes il y ait suffisement de chaine en rab pour qu'elle ne porte jamais (tout l'effort doit être sur la patte d'oie, pas sur la poupée du guindeau).

Cette méthode lente me parrait moins aléatoire.

Bien sur si je mouillai (encore) à la voile je ferai différement.

07 sept. 2006

Un détail qui compte...
Bien d'accord avec tout ce qui précéde sauf sur un point:
Il ne faut jamais être pressé quand on mouille!
Je vois quelques fois des sourires narquois de ceux qui m'observent (souvent en solo)!
Je mouille en culant très lentement; ma CQR (Delta maintenant) au fond, je laisse filer A LA MAIN ma chaîne. Je n'ai pas monté le bouton descente de mon guideau élec. !Quand la longueur voulue est envoyée, j'attends que la ligne se tende naturellement.
Je procède alors à quelques petits coups de marche AR ( brefs au début )et espacés (ligne tendue puis à pic) parceque j'ai observé souvent que sur des fonds un peu fermes, il fallait du temps pour que l'ancre commence à "piquer".
Je fais de nombreux allers-retours entre le cockpit et l'avant et quand je vois que ça ne bouge plus, je mets une grosse marche AR mais progressivement.
Désolé, j'ai pas fini!
Ma barque est donc en marche arrière forte, je fonce à l'avant, je mets la main sur la chaine (après le davier of course) et je prends un alignement latéral. Si mon ancre qui a été déjà plantée par mes premières petites marches AR se met à déraper même lentement, je vais le sentir très nettement par des vibrations sur la chaîne très tendue. Si rien ne bouge, c'est que tout est ok. Je reviens au cockpit content du travail accompli et rassuré, quitte à tirer encore plus fort.
Cette auscultation manuelle de la chaîne que je vois rarement faire me paraît être un élément primordial dans une prise de mouillage. C'est un détail qui compte!
Que les marins expérimentés ne glosent pas sur ces lignes, elles s'adressent aux débutants nombreux sur ce site qui arrivés à leur destination ne consacrent pas assez de temps à ces opérations, tout contents qu'ils sont d'être arrivés au but et pressés d'arroser çà... ou de plonger dans l'onde tiède.
Et je n'ai pas parlé du ou des tours qu'il faut faire dans le mouillage avant de se poser!
Mouiller est un des actes les plus IMPORTANTS de la navigation!!!
Je confirme ce qui est mentionné ci-dessus : les ancres plates sont souvent d'une excellente tenue, parfois supérieure à d'autres formes mais qui ont un défaut rédhibitoire à mes yeux : quand elles décrochent par vent fort, c'est foutu! J'en ai été témoin à plusieurs reprises. Dans le même temps, les socs vont chasser lentement.
Pardonnez ce verbiage qui est l'expression d'une pratique déjà et malheureusement bien éprouvée.

08 sept. 2006

Yves, une remarque
Bien d'accord avec le point sur l'évitage, auquel j'ajouterai une précision : on observe très souvent des bateaux commencer à mouiller lorsqu'ils sont à l'arrêt, voir déjà en marche arrière (en surface)...conséquence, lorsque l'ancre touche enfin le fond....ils ont reculé de 10 ou 20 m par rapport au point de mouillage visé ! et donc, "j'en mettrai bien 40m mais qu'à 25 le bateau de derrière est déjà quasiement devant"...
En conclusion, plus on mouille "profond" , plus il est utile d'être en marche avant lente (très) lors de la descente de l'ancre vers l'abime...(marche avant lente = point fixe sur le fond car face au vent(dérive)). Ce n'est qu'à ce moment qu'il faut laisser partir le bateau puis assurer l'ancrage avec un coup de marche arrière.
CQFD ? êtes-vous d'accord ? :topla:

08 sept. 2006

il faut effectivement tempérer...
Dit autrement, commencer à mouiller "sur l'aire",pour mouiller vertical. Dans mon idée, il faut surtout éviter , comme on le voit souvent, de commencer à mouiller en reculant déjà (moteur + dérive + eventuellement courant)...car dans ce cas, l'ancre se pose effectivement 10 ou 20 m en "aval" du point prévu (le temps qu'elle descende, souvent long pour ceux qui mouillent "éléctrique"...) ! et là, on se retrouve immanquablement trop près du voisin de derrière ...
C'est une fois l'ancre posée qu'il faut effectivement reculer (route fond) et assurer "l'ancrage" ou "la prise" !
Mais bon, plus difficile à décrire sur un post qu'en situation ;-)

08 sept. 2006

Sur l'erre, l'air de rien ...
L'aire de mouillage étant à respecter, j'utilse l'erre a bon escient pour qu'en fin de manoeuvre nul ne vienne me pomper...l'air ;-)

Pour conclure avec Yves, la Bretagne offre souvent courant (d'air...?) et vent...ce qui autorise l'usage de l'erre qui, sans en avoir l'air, permet de mouiller au bon endroit de l'aire. Et faire ainsi en sorte que le premier mouillage soit aussi le der... :-p

08 sept. 2006

précisions sur la hauteur d'eau et la longueur à mouiller
Juste pour être précis !

Gébé écrit "1,50 d'eau, fonds de sable gravillonneux. Mouillé environ 15 m de chaîne"
Avec une FOB de 16kg on peut penser à un voilier de 10-11m, dont le davier est aisément à 1,5m au dessus de l'eau.

donc : 3m au dessus du fond (1,5 du davier à la surface de la mer + 1,5 m de hauteur d'eau) et 15 m de chaîne c'est un facteur 5 ... et non pas 10 comme lorsqu'on compte (à tord) uniquement la hauteur d'eau.

Ma précision est : "on doit compter hauteur d'eau plus hauteur du davier".

Yves.
PS : bien sur ceux qui solidarise leur chaîne à un point de l'étrave situé juste au niveau de la mer gagne en chaîne ... si, si, ça se fait.

08 sept. 2006

hauteur s'eau
pour avoir subi des coups id à celui de GEBE en med avec des orages alors que je mouillais entre 3 et 5 m de fond, je préfère maintenant me tenir plus loin de la rive et mouiller par 7 à 8 m, ce qui en allongeant la chaine donne plus de souplesse sous les rafales et aussi plus de champ pour éventuellement déraper

09 sept. 2006

évidemmemnt
dans ce cas, tu ne pouvais faire mieux...moi, je n'aurais même pas pu y aller avec un TE 1,90

07 sept. 2006

salut Swanee
normal qu'il faille une grande marche arrière pour une ancre de 85 ans...avec ma Delta toute neuve, c'est idem, il faut une dizaine de mètres pour crocher car elle se pose sur le coté et sans vent (les vagues aident à crocher avec des coups de rappel)c'est la chaine qui retient le bateau si on ne tire pas dessus en marche arrière

07 sept. 2006

voui voui
:topla:
moi je pense que si on devait faire passer un permis, eh bien ça serait l'épreuve reine, comme le créneau dans le temps. même les motor boat n'ont pas une épreuve de ce genre et j'en ai vu qui posait l'ancre, chaîne verticale et vite à la plage; vu pire, la bosse "nouée" (je dis bien nouée car un noeud plat + ganse) sur le diamant de l'ancre qu'on pose délicatement sur le fond.
je trouve ça bien des gens qui se renseignent, plutôt que d'aller ratisser tout un mouillage à 1H du mat.
comme Cerigo, je "tâte" la chaîne, vent ou pas vent et s'il y a des à-coups, eh bien j'attends jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus ou bien je vais ailleurs. ensuite marche AR et on recommence la "tâte". bien sûr je vire pas en tas la chaîne, je l'allonge bien délicatement sur le fond. :coucou: c'est vrai que des voisins se posent des questions, mais pour l'instant je suis tj resté croché, contrairement à d'autres qui se baladent la nuit, dès que les thermiques s'inversent. c'est relativement rare quand même, heureusement mais ça met de l'animation et quelque fois c'est le constat amiable ou la peur bleue de l'échouage. maintenant, avec le GPS et le sondeur comme alarme de "délocalisation" , on a au moins le réveil qui sonne si on n'entend pas les vociférations des voisins pourtant proches...
bonne pioche les gars.
jlc

07 sept. 2006

ancre et marche arrière
Je ne sais comment vous faites mais à bord on éprouve toujours la delta en marche arrière avant d'installer la patte d'oie (et bien sur, des fois on recommence).

Juste embrayé sur les deux moteurs (800 tpm) c'est équivalent à 25 noeuds de vent de face (constaté par l'étirement des boudins amortisseurs de la patte d'oie).

"S'il existait une ancre qui plante toujours, on l'appelerai windows"

Yves.

07 sept. 2006

septique
Je pense opérer comme une majorité de collègues , on vient bout au vent, on s'arrête on laisse filer l'ancre au fond et on largue sa chaîne plus ou moins à mesure que l'on recule, arrivé au 3 ou 4 fois la hauteur d'eau, minimum syndical, on met au taquet et on donne un petit coup de marche arrière.
La traction sur l'ancre, transmise par 10 m de chaîne posés sur le sable dur de la plage de Houat,est parfaitement horizontale, je ne vois pas trop quel mouvement va redresser notre CQR et la remettre en postion charrue.
Les tests effectués sur les ancre mesurent la traction, ce qui suppose que l'ancre s'est plantée, ce qui parait le 1° problème à résoudre.
En apnée, j'ai essayé une fois de planter la dite CQR (trouvée couchée), dans le sable Houatais, ça meritait pas trop son nom de pioche.
Quid d'un mouillage orthodoxe sous voile, sans l'aide du moteur.

07 sept. 2006

Camille,
Je pense que c'est là qu'il va falloir être patient et culer très légèrement et par petits à-coups.
Et c'est peut-être là aussi qu'il y a intérêt à posséder une deuxième ancre d'un type différent. Sur un fond assez dur, il est probable qu'une plate "piquera" plus facilement. J'ai moi-même en 2° ancre une Fob qui m'a bien rendu service à 3 ou 4 reprises dans une configuration semblable.
(je ne suis pas sectaire...)
Et puis oubliez la soi-disante règle des 3 ou 4 hauteurs d'eau...

07 sept. 2006

Qelle CQR ?
S'agit-il d'une CQR d'origine ? Il y a eu de très mauvaise copies ... qui ne marchent effectivement pas bien du tout :-(

08 sept. 2006

du sable douillet et une bonne traction arrière
Ceci dit comme le sable en question est une denrée rare dans les herbiers de la Méditerannée, il y a quelques temps que j'ai relégué ma clone de CQR (une SOC de Plastimo) comme "ancre de miséricorde" (= une ancre dont on ne se sert jamais) au profit d'une FOB HP (qui pique, elle). Car la SOC en question, plus qu'un soc de charrue, se comportait plutôt comme un fer à repasser les posidonies.

08 sept. 2006

salut a tous ,
Avec EOLE, un poid de 15 T et une CQR de 35 kg . j'ai mouille plusieurs fois nottamment en aout devant l'ile de Batz avec un tres fort courant plus une bonne brise de NW , 50 mtrs de file , mon ancre a toujours eu une bonne tenue . meme avec les navettes des vedettes qui creent de vagues assez fortes !!

08 sept. 2006

juste une expérience....
personnelle, cet été en aout, coup de vent sur coup de vent et quasi tjrs au mouillage, la capte(hyeres) porquerolles, calanques, baie de cassis.
Toujours mis mes 30m de chaine et 60m de bout et aucun décrochage malgré des rafales a un nomnbre de noeuds que je n'ai pas les moyens de compter mais qui secouaient fort le habanage et le canot (karaté, 10m 5t). Au fait l'ancre est une cqr de 16 KG

08 sept. 2006

pour revenir a la question..
réponse: RIEN!
rien de peut faire crocher une CQR quand elle n'a pas envie.
En effet la CQR est féminine! avec toutes les qualités associées: tenacité, logique, etc
et anglaise! avec toutes les qualités également associées: opiniatreté, humour,etc .

08 sept. 2006

je crois bien que tt le monde a raison
parce que depuis le tps que les FOB et les CQR existent, ça devrait se savoir s'il y en a une bien meilleure que l'autre.
Maintenant il y a piochage et piochage, on en a déjà parlé. La topologie du fond, sable ou gravier ou sable et cailloux demande à mouiller différemment, sans parler de ces herbes glissantes.
sur le sable moi je fais crocher au plus tôt et je lâche le reste de la bosse. Sur l'herbe, je lâche plus long pour profiter de la chaîne. Je pense que faire crocher dans le sable avec trop de chaîne est + difficile, c'est pourquoi en plongée on voit l'ancre à plat sur le fond parce que tendre une chaîne (pas droite), c'est déjà costaud. par contre sur l'herbe, c'est bien lubrifié.
Tout ça pour dire que c'est qd même un sacré métier, et toujours mouiller du 1er coup, moi j'avoue sincèrement que non.
faudra que j'essaie ma CQR un jour (on m'en a donné une dernièrement), et pour l'heure, la FOB m'a tj gardé à poste.
et d'accord avec Michel, mais je rajoute que rien ne peut faire crocher une FOB qd elle n'en a pas envie, sans parler de la Britany pour l'aquelle le patronyme + que british est un sacré handicap pour nos plages... :oups:

08 sept. 2006

tu as oublié
marketing après recherches et découvertes... ;-)

08 sept. 2006

L'accroche rapide
A mon avis, d'ici quelques temps, les recherches et découvertes en termes d'ancrage feront relèguer ces bonnes vieilles ancres d'antan au rayon des curiosités sympathiques.

Tout comme l'on regarde passer, ému, une Torpédo 1935 et ses chevaux pétéradants.

Sans doute, équipements de bateau n'aura jamais eu une durée d'utilisation aussi longue, et n'aura été le compagnon salvateur d'autant de voyageurs, c'est pourquoi j'hisserais bien la CQR au pinacle de l'ingénuosité humaine...

08 sept. 2006

Mais avec un peu de temps,
la future CQR va se révèler...

08 sept. 2006

ce n'est pas ce que dit le dernier test de Voiles magazine..
''depuis le tps que les FOB et les CQR existent, ça devrait se savoir s'il y en a une bien meilleure que l'autre''

ce n'est pas ce que dit le dernier test de Voiles magazine.. sur les lignes de mouillage.. interessant d'ailleurs..

ce test demontre a nouveau que les socs sont des ancres stables et (comme dit le fabricant lui-meme) les ancres plates sont 'cycliques'..
la preuve a nouveau que toutes les ancres sont loin d'avoir les memes resultats..

CQFD..

Phare de Mean Ruz - Côtes d'Armor

Phare du monde

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Phare de Mean Ruz - Côtes d'Armor

2022