L antartique en bateau plastique ?

En lisant les quelques fils existant sur l antartique je me rends compte que plusieurs bateaux en polyester sont alles en antartique.
Je pensais qu il fallait un bateau alu ou acier pour y aller, pour d eventuels chocs avec des growlers.

Alors est ce que ces bateaux polyesters ont pris de gros risques ou est ce qu un polyester solide est bien arme contre les dechirements lors de frottements contre de la glace?

Est il envisageable de renforcer par l exterieur une coque polyester ?

L'équipage
14 août 2015
14 août 2015
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Liens?

14 août 201514 août 2015
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Je me rapelle avoir vu des voiliers polyester en Arctique, mais aucun souvenir pour l'Antarctique. Je suppose que c'est possible si on se limite au nord du détroit de Gerlache par exemple. En été il est libre de glace. Faut juste veiller aux icebergs et glaces dérivantes.

Ceci dit c'est se priver de beaucoup de coins et de baies où on frotte la glace pour se faire une place. Et où une coque métallique me semble nécessaire pour la sécurité.

14 août 201516 juin 2020
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Bonjour à tous, En 91 j'ai croisé la bas un Endurance 35, plastique, Croix Saint paul, il faisait du charter et a tourné plusieurs saisons en péninsule. Coque construite par Alex le proprio, qui savait où il allait. Bon ensuite il est passé au bateau alu. Aussi , un japonais avec un petit 8-9m qui avait talonné à Dorian Bay, mais lui pas de visu. Bon si tu te fais attraper par un peu de vent entre deux mouillages, parfois ça fait cloc cloc quand même. FAire valider sa demande de visite par les TAAF étant une autre affaire....

14 août 2015
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Antartique, polyester ... Une annexe ? :acheval:

14 août 2015
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j'ai connu deux dateau plastique qui sont alles en antartique

15 août 2015
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Bonjour,
Le pire n’étant jamais certain, pourquoi ne pas tenter sa chance ?
C’est ce que nous avons fait en Février 2012 en naviguant en Antarctique à bord de notre Santorin (polyester). Après avoir parcouru en Juillet 2009 la cote Sud Est du Groenland et brisé un peu de glace pour gagner notre port d’hivernage à Deltaville (Virginie -USA) en Décembre de la même année.
Nous avions choisi de rejoindre la Terre de Graham en Février pour limiter le risque de rencontrer de la glace. Compte tenu d’une attente d’une dizaine de jour à Puerto Williams pour traverser, notre croisière sur place n’a duré que 10 jours au lieu des 3 semaines prévues.
En conséquence nous avons banalement navigué entre l’archipel Melchior et l’ile Pléneau au Sud du chenal Lemaire.
C’est quand même déjà superbe !
Les conditions météo et de navigation ont été très clémentes. Même si au Sud de Lemaire, la glace, quand même, à 2 ou 3 jours de la traversée retour m’a fait préférer rentrer sur Port Lockroy.
La glace ne présentait pas alors un danger réel et immédiat pour le bateau, il s’agissait davantage de ne pas prendre un risque inutile en fin de croisière.
Le bateau n’était pas isolé. Le beau temps a permis de le ventiler régulièrement pour éviter une condensation excessive. Nous étions équipés d’un chauffage à air pulsée et d’un poêle Reflex. Ce dernier fut la principale source de chaleur.

Ce premier voyage Antarctique, dans une zone à faible risque, c’est donc parfaitement déroulé.
Pour réaliser un second projet, à venir, plus important nous avons cependant choisi un bateau en métal.
A consulter sur Hisse et oh si ce n’est déjà fait :
www.hisse-et-oh.com[...]g-terme
www.hisse-et-oh.com[...]rctique

Il n’est pas rédhibitoire pour les TAAF d’entreprendre une navigation “occasionnelle“ en Antarctique à bord d’un bateau non métallique.
Extrait du document en pj :
Liste de contrôle des éléments spécifiques aux yachts pour la préparation de voyages sûrs en Antarctique
« Les types de coques doivent être solides. Les coques solides et robustes en métal sont préférables pour les yachts qui visitent régulièrement l’Antarctique. Se rappeler que la coque doit être accessible de l’intérieur à des fins de contrôle des dégâts. »

Bonnes navigations
Philippe

15 août 2015
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Bonjour Philippe
Je prépare mon second voyage la bas, le premier en 91, mon problème c'est la fameuse autorisation des TAAF, bon une bonne partie de copier coller, mais le hic c'est ça:

........ disposent d'assurance qui couvrent les couts associés aux:
- opérations de recherche et de sauvetage;
- soins médicaux;
- évacuation médicale;
- rapatriement des personnes dans leur pays d'origine;

... avez-vous trouvé une compagnie pour cela sans que ce soit rédhibitoire.
Il est marqué : pas d’autorisation sans ?
A plus

15 août 2015
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ah oui
L'arrêté n°2015-16 du 12 février 2015 pris par madame le préfet des Taaf......

11 mars 2018
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Bonjour Philippe,
merci pour vos commentaires raisonnables et experimentes.
Je termine mon tour ,actuellment au cap.Le NW passage.
Et prepare le prochain projet.
J''ái eu 7 bateaux, en ai construit 2, et navigue de facon permanente depuis 35 ans.
Mais je crains le mauvais choix de voilier pour ce passage du Nord Ouest,prevu en ete 19.
Un ancien plastique des annees 80, Wauquiez etc.., bien construit, avec une etrave renforcee, represente t il une impase trop dangereuse,un risque important.
Ou faut il vraiment se "rabatte"sur un acier,avec toutes les contraintes associees?

Merci pour vos conseils.

Olivier
Capetown/SA

PS: si vous etes toujours en Va, mangez quelques bons blue crabs a ma sante.
J'ái ecume la cote de Nova Scotia a KW pendant un quart de siecle.
On ne sen lasse pas.

11 mars 2018
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Bonjour,

"Le pire n’étant jamais certain, pourquoi ne pas tenter sa chance ? "

Après la lecture d' un superbe article dans un Voiles et voiliers de 1989, relatant le voyage au Spitsberg d' un Catana 40, je me suis dit: Si un Catana en sandwich peut le faire, pourquoi pas un bon bateau en CP bien préparé.

J' ai donc spécialement préparé mon Loisir 7.30 et çà l' a fait, mais en 1990, il y avait très peu de glace au Spitsberg.

Après mon retour et une réfection totale du gréement et de l'aileron et safran(qui avaient bien souffert des multiples coup de vent de l'Islande en septembre, des Féroées en Octobre et de L' Irlande en Novembre) J' ai revendu à regret ce bateau pour un peu plus grand, Un Armagnac MK2 gte.

Après grosse préparation, direction le Groenland via l'Islande, mais cette année 1993, beaucoup de glace.

Première difficulté, en traversant le premier champ de brash au large du cap Farwell, rupture des deux hélices de loch (pas de positioneur à bord), puis navigation prudente jusqu'à "port Victor", merci le radar.

mais sur la route du retour, à l'approche de Pamiut, au près par F5-6 et mer hachée, dans une zone sans glace, on s' est tapé un petit growler non détecté ni par le radar, ni par la veille sous la bulle.
Bilan: grosse voie d' eau que j'ai mis 5 bonne minutes à trouver, 40 cms d' eau dans les fonds, avec le bordé explosé sur une quarantaine de cm, ainsi que la cloison de cabine avant et une lisse.

Heureusement, le CP se réparant bien et ayant envisagé cette possibilité, j' ai pu faire une réparation de fortune pour rentrer en Bretagne.

Alors effectivement, çà peut passer avec une coque non métallique, mais pour moi, si je retourne un jour dans les glaces, ce ne sera ni avec une coque en CP, ni avec une en polyester(voire les déboires de Patrick Van-Good avec Trismus), mais avec un alu, ou acier, ou à la rigueur un bois-moulé très costaud(façon Damien).

Gorlann

12 mars 2018
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Bonsoir Ptitlouis,

j' ai vu des bateaux navigant dans les glaces équipés de protection, souvent en tôles de cuivre au niveau de l'étrave et de la flottaison.
C 'est sûr que si "Trismus" avait eu çà, il aurait été beaucoup moins emmerdé.

Mais le problème majeur reste la possible collision avec un growler (en général on voit les icebergs) et là, le danger n'est plus le choc avec l' étrave (qui est la partie la plus solide du bateau) mais les bordés qui sont très fragiles sur des bateaux en CP ou composite.

Gorlann

12 mars 2018
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Bonsoir lilas blanc,

çà a évidemment été un moment très flippant, surtout pour mon équipier et ma chatte.
Vu la vitesse avec laquelle l'eau montait malgré les trois pompes électriques et un seau de 10l toutes les 5 à 10 secondes, j' avais lancé un mayday en VHF, annulé cinq minutes plus tard quand j' ai trouvé l'origine de la voie d' eau.

La grosse erreur que j' avais fait était de ne pas avoir viré instantanément, alors que le bordé tribord était explosé au dessus de la flottaison, mais avec la gite...

Avant de partir au Groenland, j' avais évidemment envisagé cette possibilité, et tout le matos de survie était prêt, j' avais démarré le moteur juste après le choc (au cas-où), sachant qu' à partir d' un certain niveau, la dynastar ne risquait plus de fonctionner.

Mais j' ai par contre vraiment été surpris par les dégâts occasionnés par un si petit growler, car l' impact a été au niveau de la cloison structurelle en CP marine de 15mm de la cabine avant, qui a également explosé comme du bois de cageot, alors que çà n' aurait probablement fait qu' une belle bosse sur une coque alu ou acier.

Et 40cm d' eau dans un petit bateau où tout le matos est sanglé dans les fonds (groupe électrogène, machine à coudre, outillage électroportatif etc...), çà en fait des dégâts!

Gorlann

11 mars 2018
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Un jour j ai vu sur un polyester un genre de ferrure d étrave fixée le long de la flottaison sur l avant du voilier pour protéger l étrave.(pas un bulbe).
Retour pas un câble sur à ferrure de l ancre.

12 mars 2018
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ça a du être un moment méga-flippant...

15 août 2015
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Un ami a navigué en Antarctique en charter sur un bateau en ferrociment! Je n'aurais pas aimé... et préféré du plastique.

16 août 2015
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Oui oui et il navigue toujours ce skipper rencontres il y a 25 ans , plus sur l’antarctique mais en Patagonie. Au debut tusais pas qu'un marin est bon ou pas, quand il est vieux et qu'il navigue avec le meme bateau tu sais.

16 août 2015
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Je te remercie du compliment! :mdr:
J'ai 77 ans dans quelques jours et le même bateau depuis 38 ans (la moitié de mon existence)! :oups:

15 août 2015
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Relire les mésaventure de Van God avec son Trimus polyester...

15 août 2015
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Oui c'est vrai , durant notre passage en Patagonie, un voilier plastique a été drossé à la cote, les vents est sérieux parfois, des bûchettes au milieu des winchs
ua retour de la péninsule, et en fin de saison, foncer dans le noir , car dès qu'on remonte la nuit revient, dans les zones a iceberg, que tu vois pas toujours à cause de le brume , c'est un peu stressant. Alors avec un bateau bois ou plastique........, alors mettre à la cape la nuit ?

15 août 201515 août 2015
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J'ai écrit trop vite (comme d'hab): j'eus préféré un plastique à un ferrociment! Bien sûr, dans ces contrées, mieux valent les métaux...
Si mes souvenirs sont bons, les ennuis de Trismus et de ses "serrées dents" venaient de sa dérive. (?)

15 août 2015
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Non, de la peau extérieure de son étrave qui laissait le balsa à nu ... et comme le balsa est proche d'une éponge, problèmes ...

15 août 2015
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Mettre un pare glace a l etrave ? Peindre son bateau en orange ?

15 août 2015
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Orange !?
Non je vois déjà le fil que tu initierais : orange ..pressée entre les glace !! :langue2:

15 août 2015
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Pare glace acier ou inox ?

15 août 201515 août 2015
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Tout est possible pour les naifs, rêveurs ou irresponsables. Hormis le problème de la glace, il y a les orgues, gentilles bebêtes, qui ont chargé la "Cigale" de mon ami par deux fois (bateau tout alu). La chance souriant aux audacieux, de gros dommages mais nous sommes quand même retournés en Angleterre. L'amitié des orgues a quand même coûté treize mille euros de réparation (dieu merci, les deux impacts sous la flotaison se trouvaient au niveau des renforts). Bref, hormis le froid, le port de lunettes pour ne pas devenir aveugle, je ne vois pas l'intérêt réel d'une telle croisière (sur une coque de noix, même de 16 mètres), sauf si l'on se moque de sa propre vie et surtout penser à ne pas imposer une telle folie à ses enfants.

15 août 2015
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Je suis allé sur la page consacrée aux Cigale pas trouvé d'informations concernant son échantillonnage.
Par renforts tu parle des lisses ou des membrures ,ou varangue ?
Si tu as des photos je serais intéressé pour avoir une idée plus précise.
Merci

17 août 2015
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Je ne critique rien ...j'essayais seulement de répondre à la question de Longcours

15 août 2015
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Les Cigale sont plutôt dans l'esprit ULDB, donc pas vraiment construits comme des coffre-forts.

15 août 2015
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Tiens voilà la page sur le site de Finot :
www.finot.com[...]l16.htm

8 tonnes à vide pour 16 m, c'est tout dire.

17 août 2015
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Bonjour, Il s'agit d'un voyage qui remonte à des lustres où je n'étais qu'équipier. Les deux impacts, du même coté au premier tiers avant. Je suppose que les cloisons ont participé à la résistance. Alors que certains critiquent le poids du bateau, c'est peut-être ce dernier qui nous a sauvé: faible inertie comparée à un tank! Pour le reste, peut importe mon opinion, je puis simplemt dire que par expérience pour avoir eu un Mélody, un Seafin 41 et maintenant un Océanis, ces types de bateau ne sont pas conçus pour de tels voyages. A plus haut niveau il y a les Halberg Rassy, mais quel dommage de sacrifier une telle pièce. A prix raisonable, pourraient faire l'affaire: l'Irwin 52 et le Gulfstar 50 construits dans les années 80, à cette époque, les américains n'ayant pas encore appris à tricher sur la qualité et l'épaisseur des matériaux. Bon vent

16 août 201516 août 2015
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N'importe quoi, "se moquer de sa propre vie". Tu n'as rien de plus intelligent comme remarque?

Quant aux orgues, encore heureux que ce ne soit pas toute l'église que ton ami se soit pris sur la Cigale, les dégâts auraient été bien plus grave... Et le remarquons aussi que le plus dangereux c'est l'orgue de barbarie.

15 août 2015
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Ce que j'ai pu trouver pour des bateaux entre 14 et 15 m
c'est 5 ou 6 pour le bordé supérieur et 8 pour les fonds.
Brouns sur son site parle de 4 à 8 mm pour un bateau de 15 m

16 août 201516 juin 2020
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@ jpdenjean
Bonsoir Jean Pierre,
Je vois en effet que les demandes des autorités sont de plus en plus pressantes. L’incident du Akademik-Shokalskiy, en Décembre 2013, qui a bouleversé la logistique de certaines bases scientifiques, n’est peut être pas étranger à ce durcissement. En 2011 la demande d’assurances était nettement moins importante et même dans le dossier EPIE 2014 – 2015 celle-ci était moins officielle. Sur la base du dossier 2014-2015 j’avais cependant interrogé notre courtier Transmer à Nantes il y a quelques mois.
Nous sommes assurés par son intermédiaire depuis l’achat du Santorin en 2005 et notre nouveau voilier y est également assuré mais seulement en RC le temps des travaux.
Voici l’essentiel de sa réponse :
« … question relative aux capacités d’Assistance et de rapatriement de notre couverture complémentaire Transmer Assistance placé auprès d’Axa Assistance .
Je ne connais pas aussi bien votre contexte que M. Guillet (jhg@transmer.com) peut le faire mais d’emblée, il m’apparaît que :
- Sans savoir s’il tel est le cas, cette assistance ne se conçoit que dans un cadre privé et en l’absence donc de tout affrètement du bateau ou de transport de passagers payants
- Strictement pour des déplacements de moins de 90 jours, ce qui reste à valider de votre part
- Essentiellement lorsque c’est le bateau qui pose problème et non pas l’équipage. Cette couverture est sensée, en marge de quelques avantages annexes comme le soulignait M. Guillet qui affronte le problème dans d’autres latitudes comme par exemple au Svalbard , les frais de recherche et de secours nécessités par une intervention d’ équipes spécialisées dotées de tout moyen y compris l’ usage d’un hélicoptère dans la limite de 12.500 euro / personne et 30.000 euro / événement , complémenter votre couverture Assistance – Rapatriement Monde Entier Vie Privée Famille . C’est une des raisons pour lesquelles, elle ne fonctionne qu’au départ d’un quai ou d’un port et non en tous lieux ou bien, que la notion d’ expédition lui est étrangère .
Nous saurons cependant sans doute vous faire profiter des avantages de ce produit y compris dans un cadre « expédition », dès lors que de votre côté vous aurez souscrit ou validé la réalité de votre couverture Assistance – Rapatriement – Vie Privée – Famille ( cf. Vos Assureurs Vie Privée habituels , Europ Assistance ou
Souhaitant vous avoir correctement répondu
Bien à vous
Marc Allain des Beauvais »

Le besoin de cette assurance n’étant pas immédiat, je ne suis pas alors allé plus loin dans la démarche.
Je ne parviens pas à rentrer sur le site travelassur.com.Mais votre intervention m’incite à relancer le sujet. Et finalement je vais interroger un skipper de charter à PW que nous connaissons bien pour recueillir des infos. Ainsi que MSH International auprès de qui j’ai une complémentaire Santé.
Nous naviguons à titre privé.

Les points importants de cette réponse seraient sa limite à des déplacements de moins de 90 jours. Et sa mise en œuvre à partir d’un quai ou d’un port ce qui est à l’opposée du besoin en Antarctique.
Mais comme cela est suggéré dans la réponse, nous avons pu déjà vérifier que l’équipe Transmer savait faire valoir un dossier auprès de ses interlocuteurs.
Par ailleurs la demande des TAAF concerne tous les membres de l’équipage, sous la responsabilité du responsable de l’expédition désigné au TAAF. Il faut donc un contrat collectif, si c’est possible ? Ou bien s’assurer attestation de chaque compagnie à l’appui que chaque membre de l’équipage est couvert à titre individuel.

A suivre
Philippe

www.lemonde.fr[...]44.html

@Laserena
Comme on peut le comprendre à la lecture de cette réponse, peut-on encore être naïf, rêveur ou irresponsable pour s’engager dans une navigation en Antarctique. Le dossier EPIE comporte 22 pages dans lesquelles les questions concernent aussi bien la sécurité du navire et des équipages que le respect de règles environnementales. Dans ce dossier, le chef d’expédition, sur un voilier privé le plus souvent le chef de bord, engage sa signature sur un certain nombre d’obligations à respecter.

Il est vrai que les démarches sont peut être plus simples pour un voilier battant pavillon d'un pays qui n'a pas de responsabilités en Antarctique.


17 août 2015
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Merci Solbad
je me renseigne chez Transmer qui m'assure maintenant RC, j'ai annulé la tout risque puisque il ne voulait plus couvrir en dehors des zones et périodes normales.
C'est amusant de constater que les deux naufrages ayant entraîné des coûts pour la communauté, les communautés, sont dues à des paquebots qui eux, peuvent faire n'importe quoi.
dans la littérature je me souviens que du Voilier Freidys , coincé à Déception qui ait fait appel à l'aide extérieure (91) .

As tu un blog ou website, pour rester en contact
A+
JP

11 mars 2018
12 mars 2018
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je vois qu'il y a eu un tentative de remontada de ce sujet fort interessant sujet qui n'a rien donné: normal avec juste un point d'interrogation...
j'en profite pour indiquer cette vidéo de youtube d'un épisode de ran sailing ou il y a inclus un film en 3 épisodes du skipper qui raconte une aventure avec un de ses pote en antartique et Georgie du sud sur un polyester classique 33 pied

Penfield Reef Light, Fairfield Connecticut USA

Phare du monde

  • 4.5 (51)

Penfield Reef Light, Fairfield Connecticut USA

2022