GV seule manoeuvrante ?

Salut les marins, il y a un truc qui me lâche pas le ciboulot depuis cet été, les parents de ma compagne m'ont prêté leur quillard pendant trois jours en méditerranée alors que je suis total débutant, même si j'ai fait pas mal de dériveur, jeune. On a baladé le long de la côte et un soir je suis entré dans une crique étroite avec la GV seule presque vent arrière et j'ai lofé au dernier moment pour stopper le bateau nez au vent. Ça a marché! Mais ensuite je me suis demandé si j'aais pas fait une énorme co... une énorme bourde ! Le centre de la GV étant plutôt en arrière de la quille, cf jpeg, peut-elle permettre au bateau de virer rapidement ? Je me suis dit après coup que la vitesse de rotation initiale avait seule permis de terminer la maneuvre... et j'ai eu quelques sueurs froides... Merci pour le partage de votre expérience et/ou de votre connaissance livresque !

L'équipage
27 nov. 2023
27 nov. 2023

Pas de soucis la GV faisant lofer et le génois abattre.
Donc pour venir bout au vent avec le GV seul c'est bon.


remimari:ok merci c'est ce que j'ai trouvé aussi... mais avec foc seul ça donnait quoi?·le 27 nov. 19:08
27 nov. 2023

Je me réponds a moi-même ;-) en fait je m'aperçois que sous GV seule le bateau est ardent, c'est a dire que justement il a tendance à lofer ! donc c'était bon? Du coup par contre si je n'avais conservé que le foc, je me plantais dans la falaise?


thierry0809:Oui mais il est quand même conseillé de démarrer le moteur au cas où....·le 27 nov. 19:10
dgedg:Oui, le foc risque de t'empêcher de virer·le 27 nov. 19:15
27 nov. 2023

Tu as très bien fait, le dériveur est très formateur...
Si tu avais fait ça sous voile d'avant seule... le bateau n'aurait probablement pas lofé et donc...
il aurait fallu mouiller en catastrophe.


Trimaran:Ça dépend surtout de la vitesse et de la capacité à Virer sur sa quille. On ne connait pas le modèle de bateau.·le 27 nov. 19:39
remimari:apres j'imagine qu'on peut abattre au lieu de lofer sous foc seul ? mais ça tourne bcp moins bien (vite), non?·le 27 nov. 19:41
27 nov. 2023

Ça dépend du bateau, mais en général sur un sloop monocoque, la GV seule permet d'être manœuvrant


Lulu2:En général oui, mais pas tellement sur certains bateaux (comme le mien). ·le 27 nov. 19:34
fritz the cat:au vent arrière sous foc seul ,on peut virer bout au vent si on a suffisamment de vitesse avec l'inertie du voilier ,"videmment il faut le laisser fasseyer ,sur le mien c'est encore pire au portant j'arrive à virer vent de face quand ça souffle de trop j'ai la trouille d'empanner surtout si je me suis fait surprendre et que je suis surtoilé ,et on ne parle pas des mêmes surfaces .·le 27 nov. 19:38
Trimaran:Oui, c'est spécifique à chaque bateau.·le 27 nov. 19:40
juliusse:@lulu2, encore une fois, voilà ce qui arrive quand on veut avoir un cotre de pirate 😜🤣·le 27 nov. 20:01
Lulu2:😄·le 27 nov. 21:02
27 nov. 2023

merci les amis ... je crois que je vais m'inscrire à un stage avant d'aller à la côte... des conseils? les glénans?


juliusse:Si tu as fait pas mal de dériveur, chercher dans les clubs près de chez toi pour embarquer comme équipier en régate. Ça te sera plus profitable et moins cher que les Glénans·le 27 nov. 20:09
voilic:Voir aussi macif, ucpa,....Et tous les Bateaux Des Autres...·le 27 nov. 20:25
Matsyl:Les formations de pontons c'est bien aussi, nous avons apprécié l'école de voile, mais apprendre sur le bateaux des autres est vraiment formateur. , moins scolaire, rajoute là-dessus l'occasion de faire des rencontres sympa, d'essayer des bateaux.·le 28 nov. 15:49
Sypasi:ouais. Bof, apprendre les façons de faire par des gens qui font comme ils font parce que c'est comme ça qu'ils font depuis 50 ans, sans jamais avoir imaginé de se poser la question comment , et surtout pourquoi faire autrement... Un bon test : tu regardes comment ils font un noeud de chaise (s'ils font le truc du puits et son serpent, tu vas voir ailleurs) ou tournent un taquet (s'ils croisent l'un sur l'autre, idem...). ·le 28 nov. 15:50
Trimaran:Et pourtant le puit et le serpent, quand au taquet, rien compris.Tu aussi maintenant, les tutos.·le 28 nov. 19:51
Sypasi:cqfd. ·le 28 nov. 19:53
jackx308:@Sypasi, tu juges un marin au moyen de faire un noeud de chaise!!!!!!, peu importe la méthode c'est le résultat qui compte. ·le 28 nov. 20:22
Trimaran:Surtout que c'est un nœud qui a la particularité de se glisser, or tension.·le 29 nov. 10:46
juliusse:@trimaran, avec une clé Yosemite, ça ne bouge pas 👍(malheureusement, ça ne plaira pas à tout le monde car pour faire une clé Yosemite correctement il faut faire le noeud de la façon dite classique 🤣)·le 02 déc. 13:25
Sypasi:@Jacks : Il y a des tas de façons de faire un noeud de chaise, chacune ayant son intérêt : sous tension quasi permanente, sous tension par à-coup, d'une seule main, les yeux fermés les mains au dessus de la tête, etc.. Celle du puits n'est intéressante dans aucun cas, sauf pour raconter une histoire au louveteau impétrant de 8 ans (une histoire, pas un rituel...). Alors oui, de la façon dont le "marin" (candidat moniteur) fait un noeud de chaise ou tourne le taquet, j'en déduis des choses tout comme je jaugeais un plongeur inconnu à la façon qu'il avait de poser son sac sur le bateau et équiper sa bouteille... Rarement trompé à ce niveau là.·le 02 déc. 14:22
The Sailing Chemist:Pour la question initiale, les stages sont surtout utiles pour les grands débutants, mais pour acquérir le la maîtrise de Chef de bord, ils sont nettement moins efficaces, voir quasi nuls comme l'organisme que tu cites. Si tu as la possibilité de t’insérer dans un club de régate, ca sera beaucoup plus formateur. ·le 02 déc. 15:14
Calypso2:hum , la regate formateur pour un équipier c'est à voir ..le skipper n'a pas forcement l'esprit a enseigner durant la regate et bien souvent l'équipier embarqué sert de sacs à sable à la contre gite et pour decapsuler les bieres et bien souvent il se fait copieusement engueulé lors d'un virement raté .. non pour apprendre il faut aller dans un structure ou l'on enseigne , c'est bete mais evident·le 03 déc. 11:44
juliusse:@calypso, quand tu fais de la régate un peu sérieusement, tu vas aussi régulièrement aux entraînements, et si le club est bon, il y a régulièrement des sessions de formation ·le 03 déc. 12:06
Calypso2:il y a beaucoup de si ,non ? mais je pense connaitre un peu le parcours ·le 03 déc. 15:07
The Sailing Chemist:Oui il y a beaucoup de si, dont le principal est celui d'être dispo tous les WE. C'est pour cette raison que malheureusement, je n'ai pas pu pratiquer cette voie à mon grand regret. Je la conseille quand même surtout en alternative de la voie des stages que j'ai longtemps pratiqué et qui est clairement très limitée pour devenir un CDB autonome.Ensuite ton propos est juste universellement, cela sera fonction de l’état d'esprit du skipper , ce serait surprenant qu'ils soient tous identiques. Les pratiquants régatiers reportent (sur HEO) qu'un équipier sérieux et sympa est toujours recherché alors les skippers demandeurs pourront être un peu pédago aux moments inter régate , mais quand il dit de régler pour du près pour rattraper le boat en avance, ce sera pas le moment de poser les questions. Au CVD (Dieppe) il y a des entrainements tous les dimanches avec des débriefs , quelques débutants (motivés) y participent avec les habitués et les proprios de bateaux, c'est ce que l'instructeur responsable des stages m'avait bien expliqué. Mais dommage pour moi, exilé en Picardie profonde , je ne peux pas y participer. ·le 03 déc. 16:09
Duduche Braz:Participer à des régates ce peut être aussi l'occasion de naviguer sur des bateaux différents, avec des équipages ayant des façons de faire différentes dans les manœuvres... et on en apprend toujours quelque chose. ·le 03 déc. 17:45
Ratafia1:Je me souviens d une rencontre déterminante à mes debuts.Un petit vieux ac un clebard débile qu il venerait (Et reciproquement), dont je tairais le nom par respect pour sa discretion naturelle. (Le vieux, pas le chien). Certains ici le croisent sans doute au quotidien sans se douter du cv nautique du bonhomme.Vegetarien lui même, il avait equipé sa trapanelle d un frigo et tout le circuit energetique que ce dernier necessite, juste pour pouvoir conserver au frais des monceaux de saucisses de Strasbourg, seul aliment que son cabot acceptait de manger.Après une vie sur l eau, trois tours du monde et un nombre incalculable de transats, (En arpège pour la majeure partie de ces peregrinations), il coulait une retraite heureuse en Bretagne sud.Sans que je le sache il observait du coin de l oeil mon apprentissage, et après quelques mois de hauts et de bas relatés ici même, il est venu voir pour me distiller mine de rien qques precieux conseils qui me servent aujourd hui encore à chaque fois que j appareille.Un jour que je l accueillais au ponton alors qu il revenait de nav, je lui tourne son amarre, tout fier de mon noeud de taquet que je commence a vraiment avoir en main.Il eclate de rire en voyant mon application, et envoie deux demi clés sur le sien, et me dit."Ça me fait chier ces noeuds a la con ... ...J ai jamais pu les apprendre".On s est vu regulierement jusqu a mon départ de Bretagne et après observation, je n ai pas vu un seul autre noeud a son bord que deux demi clés. Jamais. Bref .. ...Je confirme, c est pas le noeud de chaise qui fait le marin. 😉·le 03 déc. 18:26
27 nov. 2023

Le mieux c'est quand même d'arriver au moteur, ça évite de faire peur aux autres, voir à soit même, ça évite un ennui de drisse ou d'écoute qui se coince et de se faire une frayeur.
Et je pense sans être méprisant envers toi qui demande conseils que:
Je compare les arrivées sous voile dans les ports ou au mouillage, avec ceux qui démarre au feux en faisant patinés les roues pour montrer qu'ils sont bons , en fait ça n'ammene ni ne prouve rien.


BWV988:@ "en fait ça n'ammene ni ne prouve rien."Ben si , d'abord manœuvrer à la voile est un plaisir, ensuite ce que ça amène, c'est l'acquisition d'une bonne maîtrise de son bateau, et il ne s'agit pas de prouver quoique ce soit.·le 27 nov. 20:36
juliusse:Triste de lire ça. Au contraire, s'entraîner à manœuvrer sous voiles est probablement la meilleure chose que l'on puisse recommander à quelqu'un.·le 27 nov. 20:39
ED850:On a un bateau à voile qui est apte à naviguer à la voile et à faire à peu près tout ce qu'on veut, sous voile. C'est non seulement un plaisir de le faire, mais une sécurité importante de savoir ce que son bateau est capable de faire, quelle est son erre, comment il vire, etc... ·le 27 nov. 21:30
remimari:euh, moi c'était pas dans un port... c'était dans une crique déserte ! et le moteur, moins je m'en sers mieux je me porte... ;-) je préfère le bruit de l'eau et du vent à celui de la civilisation industrielle ! ;-)·le 27 nov. 21:46
jackx308:Je savais que j'allais me faire démonter (gentiment). Vous avez raison il faut connaitre son bateau et faire des essais dans différentes conditions, mais pas obligatoirement sur un moment qui peut-être délicat. Tous ça n'est pas très important. Mais je suis attentif quand je vois arriver un bateau de loc, et ou un voileux puriste qui fait tout à la voile, et qui mettent des gants pour manier la télécommande du guindeau. Allééé, c'est pour rire.·le 27 nov. 23:29
ED850:Des locs à la voile? Même en pleine mer avec 15 kn de vent travers, sont au moteur.😉·le 28 nov. 00:01
Semper Fi:Avec l'expérience du moteur HB de 5CV qui cale toujours au mauvais moment, une fois qu'on s'est fait avoir à se retrouver sans voile et sans moteur, on prend vite l'habitude de faire à la voile... moteur en route au cas où !!!! ·le 28 nov. 01:59
Sypasi:pas besoin d'être locataire pour mettre le moteur en route : on a ici des experts de la régate qui ne supportent pas l'idée qu'on puisse naviguer à la voile avec seulement 5 noeuds de vent... et s'en satisfaire ! Sinon, pour en revenir au sujet, je préfère manoeuvrer sous génois seul en jouant avec l'enrouleur, moteur en route pour prendre le relais. Pour parer à la panne moteur, mon ancre est prête à être mouillée, et je sais qu'elle croche et stoppe le bateau immédiatement. Je ne milite pas pour cette méthode, j'admets volontiers qu'il serait préférable d'en adopter une autre, mais c'est un peu comme le chirurgien : la meilleure méthode est celle qu'il maitrise parfaitement... Je précise que je mouille rarement là où c'est encombré (je ne rejoue pas les batailles navales), et que parcoure la zone en large et en travers avant de décider l'endroit où je dépose mon ancre. Je repère ainsi les roches, les herbiers, les plages de sable, éventuellement les positions des ancres des autres bateaux. Cela ne peut pas se faire en étant propulsé par la voile, mais uniquement moteur au ralenti. ·le 28 nov. 13:24
Trimaran:Je vois pas pourquoi, si tu maîtrises ton voilier, tu ne peux pas faire ce que tu dis, juste à la voile.·le 28 nov. 19:54
Sypasi:tu ne vois pas ? cela n'a strictement aucune importance. Mais l'essentiel est que tu aies pu causer...·le 29 nov. 08:58
Trimaran:Exactement, aucune espèce d'importance, ce qui compte c'est la manœuvre.·le 29 nov. 10:48
Calypso2:je met un plus à jackx308 ,car il est bien plsu sage envers soit m^me et envers les autres d'affaler avant d'arriver au mouillage et de faire une tour complet dans le zone au moteur avant de choisir sa place en demandant au voisin si celà est possible ..et alors tout va bien, tranquillement ,cool ....par contre rien m'empeche de s'amuser à prendre un corps mort à la voile loin des autres bateaux ..·le 03 déc. 17:51
27 nov. 202327 nov. 2023

Arrivant portant dans la crique, ton intuition était la bonne quant à la possibilité de te retrouver facilement face au vent. Le problème aurait pu venir ensuite, si pour une raison ou une autre il avait fallu repartir tout de suite, face au vent, sans erre, et dans un espace restreint. Facile avec un petit dériveur, plus délicat avec un croiseur sous GV seule. Mais là, il aurait suffit de sortir un tout petit morceau de génois vite fait, pour assurer.
En tout cas, dans ce genre de manip, la règle c'est avoir le mouillage prêt à filer.
Jean


Semper Fi:Quand on est passé par le dériveur, on a aussi appris à faire culer le bateau avec la GV à contre, ou encore s'écarter du lit du vent en bordant le foc à contre.J'admets n'avoir jamais essayé sur un vrai "gros" croiseur, mais sur mon 1er quillard de 24 pieds ça fonctionnait nickel (en tout cas vachement mieux que ce pu... de sa...perie de moteur HB 2T de m.... qui calait toujours au moment critique)... et à côté de chez moi, les Class 8, ils font tout à la voile de cette manière (pas le choix de toute façon). ·le 28 nov. 02:10
jeec:Oui, la technique de faire culer le bateau avec la GV à contre marche bien, quand cela est possible (pas trop de vent). Bien sûr penser à inverser la barre. Cela permet de bien se positionner sur la bonne amure pour pouvoir repartir.Dans ces manoeuvres dans des espaces restreints ou encombrés, toujours être prêt à larguer en grand la GV en cas de départ au lof non souhaité.Jean·le 28 nov. 08:46
27 nov. 2023

Bonjour
Avec mon quillard 7m50, cela m'arrive de naviguer sous grand voile seule,
Par exemple dans le golfe du Morbihan si il y a trop d'autres bateau.
Tu fais des bords carrés, mais par contre tu vois très bien le plan d'eau, et surtout les autres bateau.
Seul inconvénients, tu ne peux oas serrer au vent, et il faut garder de la vitesse pour virer de bord.
Une fois intégré cette limitation dans ta navigation. Tu fait des birds carres, tu vire de bords bien plus tot qu'avec 2 voiles
Ça marche très bien


BWV988:+1 Dans la plupart des cas c'est effectivement la meilleure manière de faire, pour prendre une bouée par exemple, mais comme tu le soulignes fort justement, sous gv seule, il ne faut pas vouloir serrer le vent comme le ferait avec gv et foc et il faut privilégier la vitesse·le 28 nov. 08:02
28 nov. 2023

Bonjour,
ben moi qui suis juste un plaisancier lambda, pas un puriste, quand j'arrive dans une calanque, c'est foc roulé et GV affalée, moteur en route.
Ce qui me permet de prendre tout mon temps pour choisir l'endroit où je vais mouiller, de manoeuvrer au ralenti s'il y a d'autres bateaux et de repérer les surfaces de sable au milieu des mattes de posidonies avant de jeter l'ancre.
Mais bon, ça ne m'a pas empêché d'amener mon bateau sur son poste à la voile dans le port le jour où mon démarreur s'est mis en grève sans préavis.
Ce qui n'a pas été au goût du staff du port, mais c'est une autre histoire...
VdB


Semper Fi:Moi c’est pas pour la pureté du geste, c’est en raison du manque total de confiance en moteur HB...·le 28 nov. 09:26
Calypso2:idem ·le 03 déc. 18:35
Calypso2:idem comme VDB·le 03 déc. 18:41
The Sailing Chemist:Dans la cas de la panne moteur , pour rentrer au port c'est mieux de les avertir avant à la VHF ?·le 03 déc. 22:24
28 nov. 2023

En ce qui concerne les maneuvres à la voile dans des ports et mouillages: j'ai du manoeuvrer mon bateau sous GV seule pour attraper un coffre dans un mouillage étroit et encombré à cause qu'un quiproquo à propos de qui garde les clefs du bateau.
C'est pas évident (bateau de 11.7m). D'abord, à l'inverse, d'un dériveur, tout se fait avec un décalage dans le temps. La prise de vitesse, la perte de vitesse. Sous Dès lors les bords courts au près dans un mouillage sont énormément stressant car on est souvent limite manque à virer. Il faut ne pas trop loffer et faire comme les pilotes de F1, freiner au dernier moment, ou dans notre cas, virer au dernier moment.
Nous étions occupé à mettre un bout de génois dès que possible et la l'effet sur la vitesse est instantané.
Tous les intervenants ci-dessus ont en fait assez raison AMA. Ceux qui disent qu'un bateau qui arrive à la voile dans un mouillage encombré fout la trouille aux autres et ceux qui disent qu'ils faut pratiquer pour connaître son bateau.
Pour terminer, certains quillards sont évidement nettement meilleurs que d'autres à cet exercice. J'ai fait exactement la même chose sur un Dehler 36DB, version course du Delher 36 qui déjá ne se traîne pas et il manoeuvrait sous GV seule dans un port de pêche breton comme un dériveur (bateau de 11m quand même). Une grande GV et un petit foc est plus facile pour cet exercice. D'une manière générale manoeuvrer à la voile dans des endroits encombrés avec des bateaux de + de 10m n'est pas évident mais ça aide de savoir le faire donc bien vu que tu ais fait cet essais. En venant du dériveur tu as un énorme avantage, ceux pour qui l'élément pivot de la sécu est "un bon moteur" sont souvent pas venu du dériveur et sont passé tout de suite au "gros voilier". Lors d'un moment de détresse ils auront pkus soubenttendance a se précipiter sur le moteur pour se rendre ensuite parfois compte que l'hélice est prise dans un bout ce qui est assez commun dans le chaos de l'urgence. Etre décomplexé avec le concept qu'un voilier c'est avant tout un voilier permet, à mon avis, d'avoir de meilleurs réflexes, par exemple dans le cas que je viens de citer, prendre don temps de regarder que rien ne traîne dans l'eau car finalement on est assez confortable avec l'idée d'être à la voile même dans un moment de stress. Aussi dans le vrais mauvais temps un voilier sous moteur va nulle part, il se fait juste secouer d'une manière incroyablement chaotique.


28 nov. 2023

Un keke YouTubeur du sud suite à un commentaire sur une de ses vidéos où il professait comment prendre un mouillage parfait en affalant en premier la gv pour casser la vitesse en gardant ensuite le génois pour faire chauffer la bourrique puis et en finissant uniquement au moteur m’a pris la tête ( il aime pas la contradiction, problème d’égo probablement ….)
J’ai essayé de lui faire comprendre humblement (car moi je ne vend pas de formations 😂 ) qu’il valait mieux garder la gv haute car en cas de panne moteur au moins on reste manœuvrant et que dérouler une bout de génois prend moins de temps que de rehisser la GV mais ce fut peine perdue .
J’ai cité la littérature : tabarly, les glenans …. Mais non , rien à faire , il y a ceux qui lisent et ceux qui naviguent dixit le you tubeur.
En conclusion tu as bien fait et oui le deriveur est une bonne école .
Pour ma part je suis passé de l’habitable au laser et c’est clair qu’on comprend mieux que au près tirer comme un bourrin sur la barre pour faire abattre un bateau gîtè ne sert à rien . Mieux veut se remettre à plat …..


Polmar:Sans oublier de choquer la GV en tirant la barre, bien sûr 😉.·le 28 nov. 11:54
Calosorus:Et qu'en poussant la bôme, face au vent, on freine et on peut même faire marche arrière. LeYouTubeur en question est un âne.·le 28 nov. 16:09
28 nov. 2023

Pour @Jolly.rodjer
:-)


Jolly.rodjer:👍😂·le 28 nov. 11:49
LAKS:EXCELLENT !!!·le 03 déc. 17:29
28 nov. 2023

GV seule, pas de problème mais genois seul? pas pour moi 🙂 faut tester son canot sous une seule voile, sur mer plate et vent modéré 🤔


28 nov. 2023

C'est à dire que génois seul pour faire des manoeuvres dans un espace réduit et encombré c'est OK si veut reconstituer la bataille de Salamine entre les flottes Perse et Grecque. Beaucoup de bateaux finirent éperonnés. Bien se mettre d'accord avec les figurants cependant.
Le seul moment ou j'aime bien avoir une voile d'avant seule c'est par grand vent au portant car c'est confortable et très stable directionellement mais même la on risque car si il faut pour une raison ou une autre ré-établir la GV on est facilement baisé. Idem si on souhaite se mettre à la cape.


roc:J'adore la référence à la bataille de Salamine ! 👍·le 28 nov. 15:14
28 nov. 2023

Foc autovireur par vent arrière, grand l’argüe, travers aucun problème.


28 nov. 2023

Hello,
Je ne pense pas que ce soit le fait d'arriver à la voile ou au moteur dans un mouillage encombré qui fait peur. C'est le fait d'arriver vite ou lentement. T'arrives à 2,5nds, peinard à voile, écoutes en main pour ralentir encore si besoin, tu fais peur à personne. T'arrive à 7 nds au moteur, tout le monde râle.
Et c'est bien normal.
F


28 nov. 2023

Il faut savoir faire les deux et pour être à même de gérer une panne moteur il faut pratiquer régulièrement des arrivées et départs sous voile. Évidemment en le faisant dans des conditions qui s'y prêtent et en prenant les dispositions nécessaires. Rien n'interdit de faire une arrivée 100% sous voile mais avec le moteur démarré, chaud, prêt à être embrayé au cas où.

Dans le cas qui nous occupe ici, je dirais que rentrer sous voile n'était pas un problème, c'est ressortir qui aurait pu mal tourner. Il fallait être de pouvoir y prendre soit un corps-morts, soit avoir un mouillage à poste. Ou bien savoir à quel moment était la limite pour dérouler / envoyer un foc ou un génois.

Dans un port, je crains plus le c... qui manoeuvre mal au moteur que le type qui ose une arrivée un peu tendue sous voile, sous réserve qu'il ai identifié des alternatives en cas de problème.
Que ça soit au moteur ou sous voile, réfléchir à ce qu'on fera en cas de pépins est une bonne chose... absolument nécessaire.
Surtout si on navigue avec un équipage ou des débutants qui sont plus passagers qu'équipiers : annoncer à l'avance ce qu'on va faire si tout se passe comme prévu ainsi que les alternatives possibles permet de rassurer les gens et d'éviter les situations désagréables.


28 nov. 2023

Pour être concret !
Le 21 septembre suite à panne moteur je suis rentré à Port Gardian Par 30-35 noeuds de vent uniquement au foc.
Pour accoster au quai d’accueil j’ai éclaté deux PB,?seule façon de me freiner.
Si c’est à refaire, je refait la même chose


Flora :):Par vent de SE je suppose ?... C'est un tout petit port ! et il n'y a pas beaucoup de profondeur.Tant mieux si ça s'est bien passé. Avec quel bateau ?·le 28 nov. 14:03
Emge1:Tout à fait SE.Le port à été dragué à 2,5m en 2022.Peu de place pour freiner entre la passe et le ponton.?j’étais sans voile depuis le chenal et malgré ça à 3-4 noeuds au ponton pousser par le vent·le 28 nov. 14:39
Emge1:C’est un Hanse 415 , 2,15 de tirant d’eau·le 28 nov. 14:41
Van de Boot:Port Gardian par vent de SE à NE, comme tu n'as pas assez de vitesse quand tu arrives entre les pontons d'accueil, le vent te pousse vers les pendilles et tu as toutes les chances de t'emberlificoter dedans... Rentrer sous foc seul là dedans, chapeau!!! VdB·le 28 nov. 14:44
Emge1:Tu peux me croire, avec ce voilier aucun problème. Ça n’a bougé pas ça va où tu veux. Je ne suis pas un champion. J’avais simplement anticipé la manœuvre.·le 28 nov. 15:19
Flora :):Y a maintenant un ponton d'accueil où on peut se mettre en long, je crois ?·le 28 nov. 15:32
Van de Boot:Hors saison, sinon pas possible. Hormis en avant des pompes, s'il n'y a personne... VdB·le 28 nov. 16:16
Sypasi:Rentrer à la voile dans un port, avec un 41 pieds par F7/F8... moi, j'aurais cherché une autre solution. Pourtant, je suis bien assuré, et mon bateau est en alu. Mais je ne suis pas un expert.·le 28 nov. 16:36
Emge1:Chacun comme il peut. J’ai pesé le pour et le contre au large et comme il été 17h30 et qu’à 18h plus personne a la capitainerie je me suis décidé pour pour Gardian. Alternative C’etait a 14 milles Port Camargue, plus loin, de nuit avec les casiers de pêcheurs, mais plus facile car plus large.·le 28 nov. 16:49
Sypasi:Oui, je comprends. Une manoeuvre réussie est toujours une catastrophe ratée de peu...·le 28 nov. 16:51
Emge1:Ce n’est faisable que hors saison , je savais de la capitainerie que le ponton d’accueil était vide. Autrement tu peux oublier, il n’y a rien ou aller à la voile.·le 28 nov. 17:24
Flora :):Par vent de SE, on peut aller mouiller derrière Beauduc, mais il aurait fallu l'anticiper, dans ton cas, sans moteur. Une fois devant Port Gardian, c'était compliqué de revenir en arrière contre le vent.·le 28 nov. 20:28
28 nov. 2023

si vous aviez tous un bato comme le mien ,on aurait diminué l'empreinte carbone avec de post qui n'aurait pas eu lieu d'être .


28 nov. 2023

SOUS GV SEULE !!!….
😱
Quelle inconscience
Si si , le monsieur il dit tout le contraire


😂


roc:Y'a pas que ça comme truc bizarre à voir, avec cet homme là... je suis tombé sur un départ cul au quai par vent de travers. Bon. Je ferais jamais comme ça dans tous les détails, sinon je me bouffe les bateaux d'à côté.·le 28 nov. 18:50
fritz the cat:ce n'est pas facile de transmettre ses connaissances quand on sort des sentiers battus ,personne n'est obligé de fonctionner comme lui ,et on peut prendre plusieurs avis et en faire une synthèse ·le 28 nov. 20:18
Jolly.rodjer:Transmettre ses connaissances , faire preuve de pédagogie , être didactique ok…. Palatrek le faisait très bien et en plus il acceptait la contradiction . Mais vendre des conneries et être imbus de sa personne je dis non·le 28 nov. 22:53
Jolly.rodjer:Ah oui , le garçon vends des cours sur support «papier » et propose du coaching voile via échange vidéo .Ben oui , il peut pas enseigner la voile , il n’a pas les diplômes lui !·le 28 nov. 23:00
The Sailing Chemist:C'est un point qui reste pas clair, le diplôme D’état de voile est obligatoire pour partir en stage de formation voile avec des élèves, mais en coaching internet ce n'est pas obligatoire ?De tte façon, je suis déjà convaincu que des (pas tous) BE voiles ne valent rien en instructeurs et que des voileux expérimentés peuvent être très bons (mais pas tous non plus)·le 29 nov. 22:22
Jolly.rodjer:Ben en tant que be voile , excuse moi , mais je suis àlors mais vraiment vraiment complètement d’accord avec toi .·le 29 nov. 22:28
Jolly.rodjer:Je trouve que la ou ça pêche c’est du côté des youtubeurs qui ont tendance à avoir des comportements de gourou ….C’est peut être juste que pour aimer se dévoiler de la sorte il faut avoir un certains ego ·le 29 nov. 22:40
The Sailing Chemist:Oui on l'a déjà bien constaté sur HEO avec quelques channels, mais donc quid de l'obligation légale, on peut enseigner la voile online sans diplôme ? ·le 29 nov. 22:46
Addiction:Très fatiguant à écouter le gars, j’ai coupé à 20 sec, il n’a pas grand chose à dire mais il le fait quand même ·le 30 nov. 00:24
The Sailing Chemist:Je l'ai écouté, il y a du blabla car c'est un peu du teasing pour proposer la presta pédagogique, mais bon, ca va quand même. On a eu des exemples de youtuber , qui sans s"en rendre compte (?), donnaient un sentiment d'égo surdimensionné et franchement ca ne faisait pas envie, surtout qu'il y en a un qui propose des transats charter de 3 ou 4 semaines... ·le 30 nov. 09:23
Jolly.rodjer:Ce que l’on ne peut pas faire c’est enseigner la voile sur l’eau sans diplôme .Quand au reste si ça n’est pas interdit …..·le 30 nov. 12:05
The Sailing Chemist:OK je comprend. Il serait intéressant de pouvoir comparer les contenus des cours entre ceux des néo instructeurs youtubers et des associations historiques, si l'expérience perdure on finira par avoir du feed back. ·le 30 nov. 22:36
Jolly.rodjer:Ben y’q déjà pas de comparaison possible au niveau des tarifs . Vu le coût la prestation a intérêt d’être à la hauteur .😱Mais pourquoi payer alors que sur hissé et oh il suffit de poser une question 🤔Venant du monde associatif historique il y a déjà une sacré différence dans la démarche . Désintéressé dans un cas , financière dans l’autre !·le 01 déc. 09:27
Jolly.rodjer:Je rajoute des photos de tarifs en bas de post ·le 01 déc. 09:29
Sypasi:Je ne vois pas trop la différence de qualité entre le youtubeur qui fait des vidéos et le voisin de ponton qui est ici égulièrement conseillé pour apprendre. Ah si quand même : le premier risque les critiques car sa tecnique est publiée (et on ne s'en prive pas sur héo), l'autre peut raconter autant d'âneries qu'il a apprises lui-même d'aun autre comme lui, il ne risque strictement rien.·le 01 déc. 09:29
The Sailing Chemist:(@J.r) J'ai (par expérience) bien goûté à l'associatif historique et franchement je ne les ai pas trouvé si désintéressés que ça. Le bon stagiaire c'est le stagiaire qui s’inscrit et paye des stages, celui qui cherche à s'émanciper et acquérir l'autonomie sans devenir un futur bénévole, n'a aucun intérêt et recevra au mieux de presta pédagogique bâclée. C'est certes navrant venant d"une structure supposée associative mais c'est bien une réalité. Donc il est intéressant d'avoir de la variété dans les offres de formation, certaines peuvent être plus chères mais si la qualité resultante est bien là, c'est mieux que perdre sont temps et son argent dans des "écoles de vie".
Pour le partage d'expérience entre voileux via les forums, amha ca restera très limité, ce sera plus le coté distrayant et le plaisir le lire et partager sur des sujets de passion commune. L'embarquement sur bda et surtout la participation régulière à une équipe de régate sera une voie top à condition d'être en situation de pouvoir le faire avec assiduité. ·le 01 déc. 10:53
juliusse:@sailingchemist, je vois de quelle associations tu parles. Mais saches que beaucoup de petites structures enseignant la voile ne sont pas comme ça et ont encore le vrai esprit associatif.·le 01 déc. 11:45
Jolly.rodjer:👍C’est dans des structures comme ça que j’ai évolué ·le 01 déc. 13:46
juliusse:@jollyrodger, c'est comme ça que ça aurait dû rester. Les grosses asso sont aujourd'hui au même tarif que les skippers pro🤷·le 01 déc. 14:45
29 nov. 2023

Un autre argument pour la gv seule c'est la visibilité et le réglage d'une main quand on est seul ou pas nombreux et si le hâle bas est un peu relâché on s'arrête vite , surtout en poussant la bôme à contre , les aviateurs n'ont rien inventés avec les aéro freins!


J'ai lu (mais je ne me souviens plus de la source) qu'il était possible de faire une manœuvre osée de mouillage sous GV + génois ou GV + spi. C'est dans une configuration précise ou le vent porte vers le mouillage donc a réserver aux vents faibles. Ca consiste à arriver au portant est on s'oriente vers la zone repérée. En vitesse, on large le mouillage direct avant la cible et l'ancre va ralentir puis crocher et le voilier va pivoter sous le vent et se retrouver face au vent. Alors on affale et roule la toile. Ca semble "gonflé" comme technique bien qu'il y ait bien une logique de base. Je l'ai jamais testé ou vu réalisé, sur un day boat je tenterais bien le coup.


Domde:Ça s’appelle mouiller à l’italienne; le bateau fait tête sur son ancre quand après avoir largué rapidement un peu près deux fois le fond on freine le guindeau pour crocher l’ancre. L’avantage c’est de pouvoir mouiller exactement ou on veut sans avoir à passer derrière les bateaux déjà mouillé et remonter au vent pour mouiller ce qui est parfois compliqué si le mouillage est encombré Faut faire cette manœuvre en douceur pour ne pas casser le guindeau ou le davier.·le 29 nov. 23:37
Domde:Évidemment on affale bout au vent. Donc sans le spi.·le 29 nov. 23:39
Addiction:Ca marche, la chaîne est bien étalée au fond, il faut être bien synchro pour filer la chaîne sous peine de griffer l’étrave .·le 30 nov. 00:20
fritz the cat:je le fais souvent à sec de toile , par vent faible ;mais je donne un peu de barre d'un coté ou de l'autre pour que la chaine ne passe pas sous la coque ,quand j'en ai mis assez long ,je bloque et le bato fait tête tout de suite et l'ancre est bien plantée sur fond de sable généralement·le 30 nov. 12:12
01 déc. 2023

Exemple tarifs d’une miss de Brest.


The Sailing Chemist:La partie expertise pour l'évaluation de l'état d'un bateau est pour un type pas assez connaisseur fortement conseillée, mais on sait que c'est déjà une presta courante et bien pratiquée dans le milieu des experts maritimes. Pour le conseil et soutien (bref le coaching), je ne suis pas sur, je me demande si une prise en main de voilier avec un skipper pro n'est pas plus adapté pour renforcer la confiance. Mais cela dit , on peut acheter tous les conseils du monde, il y a bien un moment ou il faut le faire soi-même . ·le 01 déc. 14:31
01 déc. 2023

Ayant navigué et régaté sur un dragon, qui n'a pas de moteur, pour arriver au mouillage sur bouée (corps-mort) la procédure consiste à enrouler le génois, se mettre bout au vent, amener la grand-voile, dérouler le génois, reprendre un peu de vitesse et négocier son approche, parfois en tirant des bords dans le mouillage déjà encombré d'autres concurrents... l'important étant de garder juste ce qu'il faut de vitesse pour être manœuvrant.
C'est assez formateur.


BWV988:Je ne comprends pas très bien cette manip, qui consisterait à enrouler le génois, affaler ensuite la gv et réennoyer le génois...IL me semble plus simple pour prendre une bouée d'enrouler le génois de tirer des bords sous gv seule, de terminer bout au vent sous gv, de s'amarrer à la bouée et d'affaler la gv . Cela dit je n'ai jamais naviguer en Dragon, par contre la prise de bouée sous voiles est une manœuvre que j'exécute couramment et il y a là quelque chose qui m'échappe.·le 01 déc. 18:56
Addiction:Sur Requin , c'est la manœuvre la plus courante, enrouler le génois, choquer le hâle bas et terminer à la grand voile, le requin est assez similaire au Dragon, et les génois ne sont pas très grands pour manœuvrer au près . ·le 01 déc. 19:09
Addiction:L'avantage de terminer avec la seule gv est que la plage avant est dégagée pour attraper ma bouée ·le 01 déc. 19:05
Domde:C'est vrai pour la plupart des voiliers, la grand voile seule permet d'être manoeuvrant à toutes les allures et de contrôler les trajectoires, c'est moins le cas avec une voile d'avant qui ressemble à un fusil à un coup: en cas de ratage c'est parfois irrécupérable suivant la configuration qui empecherai d'arriver bout au vent. Arriver dans ce cas sur la bouée avec bout de génois que l'on enroule progressivement pour se positionner au bon endroit quasiment sans vitesse. Il est conseillé de démarrer auparavant le moteur pour se tirer d'affaire en cas de ratage.·le 01 déc. 19:45
Trimaran:L'avantage du multicoque, c'est la largeur pour prendre une bouée, l'inconvénient, c'est la largeur pour slalomer entre les bateaux aux mouillages.·le 01 déc. 20:18
The Sailing Chemist:Et sur le multi c'est pas evident de virer avec la GV seule ? J'ai été surpris en Hoby Cat d'être obligé de re-dérouler le foc car sinon pas moyen de virer (j'avais mis un ris dans la GV) pour rejoindre la zone de mouillage.·le 01 déc. 20:44
Duduche Braz:Il faut dire que sur le corps-mort, au bout d'une laisse assez longue, il y a déjà le canot à moteur qui sert d'annexe... ·le 02 déc. 14:34

Phare du monde

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2022