équipement électronique

Hello , j'ai navigué étant ..jeune au compas de relèvement , estime , point GPS, carte et ..basta..
Actuellement j'ai une central de navigation gps B&G , je souhaite équiper le bateaux d'un récepteur 4G , un PC pour avoir les carte et ma nav dessus . le bateau est équipé de la wifi .
je connais rien à toute les options possible d'application routage , ni à leur interconnexions avec l'équipement actuel ..
une alarme de mouillage serai aussi la bien venue ...
merci pour les conseils , la simplicité serai la bien venue ...
Amicalement les skippers!

L'équipage
05 juin 2018
05 juin 2018
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Bonsoir,

C'est un vaste sujet et les solutions sont très nombreuses.

Qu'entends-tu par "le bateau est équipé de WiFi" ? Quel équipement pour faire quoi ?
Quelle est la taille du bateau, la capacité des batteries ?

Sinon, pour le PC: 2 solutions: le portable ou le PC fixe à bord. Pour un bateau assez grand qui est utilisé souvent, j'opterai pour un PC fixe alimenté en 12V. Cela permet des connexions solides (et optimisées) et cela dégage la table à carte. Le portable est pratique car on l'emmène avec soi, mais la connectivité est limitée et il commence à falloir des adaptateurs.

Le plus simple pour commencer est de connecter ta centrale B&G sur le PC via une liaison NMEA série. Pour le logiciel, beaucoup utilisent openCPN, pour ma part je suis fidèle à Scannav (payant mais raisonnable) depuis 18 ans. Si tu ne bricoles pas trop en informatique c'est une bonne solution.

Pour la 4G, tu peux commencer par connecter to smartphone en USB sur le PC. La portée est limitée mais ça marche et c'est très simple. Tu peux aussi installer un router 4G avec des antennes externes, mais cela commence à faire un bon investissement.

A suivre....

07 juin 2018
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hello , c'est un OC 41.1 , il y a une interface wifi , 4 batteries de 80A , pour la servitude .
liaison NMEA ..c'est quoi ?
la liaison permet t'elle de voir les carte sur le PC ou tablette?
(les cartes sont installées sur le pack B&G en extérieur )
OpenCPN ? fiable ?
Scannav ? fiable et prix ?
Ordinateur ? quel model adapté à l'univers marin ?
merci (beaucoup)

07 juin 2018
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la liaison nmea 0183 date de 1983 et le 2000 de 2000
c'est une liaison filaire qui permet à différents appareils de se comprendre ;elle est composée de sentences qui sont des trains d'impulsions à différentes vitesses la plus courante est 4800bauds
en ais c'est du 38400 donc il faut régler le récepteur pour qu'il puisse la recevoir .
alain

07 juin 2018
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Bien garder en tête: La navigation avec carto électronique peut tomber en panne à tous moments. Elle ne dispense absolument pas de tenir, par sécurité, un pointage traditionnel de sa position et de savoir revenir instantanément à des procédures basiques mais efficaces. Le gros problème des montages électroniques actuels est leur fiabilité toute relative, leur obsolescence programmée et très souvent leur cartographie propriétaire pouvant poser de sérieux problèmes de relance en cas de panne.
Après on peut faire toutes les combinaisons tordues de tous ces matériels. Encore faut-il pour que cela marche que les connexions électriques soient les bonnes ET que la programmation indispensable soit valable !!!!!!.

(pour le fun: deux destroyers américains bardés de toute leur électronique de surveillance ont été, il y a peu, mis à mal par de gros cargos, les commandants de ces ne respectant pas des règles élémentaires de navigation)

07 juin 2018
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Je suis Ok avec ça à 100% , je suis élevé aux compas de relèvement , estime et basta ...mais bon la méditerranée avec ses humeurs ...j'aimerais prévoir plus finement mes navigations. Mais je conçois que les dépenses d'énergie doivent être maitriser et les installations fiables ...

07 juin 201807 juin 2018
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La simplicité, c'est le loch à poisson et le plomb de sonde. ça ne tombe jamais en panne, (mais parfois au fond de l'eau...)

L'électronique -si tant décrié - commence par le sondeur, le GPS, le loch, les afficheurs, etc... qui navigue sans ?
Le matos électronique augmente un peu à chaque progrès, progrès qui devient difficile à intégrer quand on a dépassé un certain taux de perte neuronale (et là, c'est la litanie du "c'était mieux avant parce que ce n'était pas si facile que maintenant " , phrase qui signale en fait que c'était mieux avant quand on avait 50 balais de moins....)

J'ai navigué l'an dernier sans sondeur, (et sans carte papier), ça ne m'a posé aucun souci (côtier Corse, Sardaigne avec la Maddalena etc.); mais bon je cale 75 cm : ça aide à la tranquillité d'esprit.
Quant au "GPS qui pourrait tomber en panne", en plus de ceux du bord, on a ceux des portables. Avant que tous ne tombent en panne soudaine, on a le temps de voir venir le port voisin...
Pour rappel, un papy breton sachant pêcher et ayant le bon sens marin s'est paumé dans la brume alors même qu'il n'avait pas de panne électrique !
On a bien plus de risque d'arriver à la cote sans carte papier parce qu'on a fait un détour imprévu, que sans GPS parce qu'il est en panne...

La navigation sur papier c'est génial, ça donne toute son aura au navigateur qui utilise des compas et autres règles au fonctionnement étranges. Le best dans le domaine étant bien entendu le sextant : là, la supériorité du sextanteur est démontrée à tout jamais.

Le gros problème de la navigation papier est qu'il ne faut JAMAIS naviguer là où on n'a pas la carte. Il faut donc avoir un planning hyper précis et invariable, ou bien acheter TOUTES les cartes de détail (de Corse et Sardaigne et les autres îles au cas où... ça fait du poids, du volume, et des zeuros). Ou bien ne jamais s'éloigner des coins où on a l'habitude de naviguer.
Sinon, on fait comme souvent j'ai vu au siècle dernier, à l'entrée des ports bretons : le voilier anglais qui attend que l'on passe, pour nous suivre (bah oui, si j'y vais, c'est que je sais où passer...).

Le PC fixe durci ? je vendrai le mien. Il a 3 ans et devient obsolète, avec ses cartes dépassées, limitées, et très très chères... l'écran fixe sur la TAC.
Le traceur ? idem.

Aujourd'hui, après expérience, je préfère de très loin la tablette.
Moi, j'ai opté pour ipad, que j'ai en double (ça coute le prix d'une quinzaine de cartes papiers... ce qui n'est pas suffisant pour faire le tour de Bretagne en côtier).
Si je rajoute les 2 téléphones que nous avons (ben oui, on est 2 à bord), ça fait 4 supports.

L'appli que j'ai choisie, c'est W4D. Elle me donne la carte de détail, le bateau posé au milieu, la météo, l'AIS de ceux qui en sont équipés me montre où je vais les couler, l'appli me calcule la route si je veux, je trace les relèvements en 2 secondes avec indication immédiate des distances, etc...
J'y ai toutes les cartes shom du monde à toutes les échelles et à jour. J'y ai également toutes les cartes italiennes (je suis en Sardaigne).
Le tout pour le prix de 5 ou 6 cartes papier chaque année.
Cette appli est bien entendu accessible sur les 4 terminaux dont je parlais (2 ipad et 2 iphones).

J'ai aussi une vielle tablette Samsung, et je songe à doubler avec une autre appli. Mais le soutien et l'après-vente de W4D fait ses preuves régulièrement sur ce forum, et je n'en ai pas vraiment besoin (ça me fait quand même 3 systèmes indépendants...)
Enfin, il ne faudrait pas oublier le macbook et le PC portable, sur lesquels j'aurai pu installer applis et GPS... ce que je n'ai pas fait (pas encore)

N'ayant pas le wifi à bord, j'ai installé un multiplexeur de type shipmodul-wifi auquel j'ai amené toutes les données (sondeur, girouette, cap, vitesse etc... c'est en réalité hyper facile à faire... ) : elles sont renvoyées en wifi, et donc accessibles sur tablette via W4D. Cela me permet de doubler le système d'affichage des paramètres importants.

Bon, faut quand même installer et apprendre à utiliser tout ça.
Il y a donc une période critique d'adaptation, plus ou moins longue suivant chacun, mais qui reste parfaitement accessible si tous les neurones n'ont pas été grillés par le temps d'avant quand il était meilleur que maintenant.

07 juin 2018
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Rappeler des réalités fondamentales de navigation à garder en tête, et qui ne font que paraphraser les textes officiels à l'usage des navigateurs ne veut pas dire que l'on n'utilise pas les technologies du jour.
Perso que ce soit en voilier ou en pilotage avion je dispose naturellement et de façon très redondante des technologies les plus modernes mais dans les deux cas la navigation est toujours recoupée avec contrôle sur la carto papier et tenu d'un log papier. Et cela fait toujours partie de la formation règlementaire en particulier pour le passage des examens, avion ou bateau.
Le papy breton signalé disposait d'une boussole.......

08 juin 2018
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Pour info si vous n'êtes pas au courant: On doit obligatoirement disposer à bord en navigation de quelques documents règlementairement définis. Pour faciliter la vie des plaisanciers des éditeurs intelligents publient chaque année une Bible annuelle (Bloc-Marine entre autre) qui contient TOUT, règlements en tous genres, livre de bord ET toutes les cartes côtières et les ports.
Sur le livre de bord, qui est un document officiel essentiel, en cas de contrôle ou d'accident, doivent figurer en premier la composition de l'équipage et le nom du chef de bord, puis des données diverses de navigation. En cas d'accident un livre de bord très mal tenu n'aiderait vraiment pas le chef de bord.

Pour le papy cité il semblerait qu'il disposait dune boussole (compas).
Même un enfant peut retrouver sa direction avec cet engin (pour le soleil dans la brume il faudrait disposer d'un viseur polarisant comme il y a très longtemps les Vikings.
Les satellites sont pratiques mais peuvent être sujet à pannes diverses. Dans tous les cas le GPS américain et ses concurrents Russe, Chinois, Européen sont totalement contrôlés par les gouvernements respectifs qui peuvent si nécessaire faire dégrader les données (au minimum régionalement).

09 juin 2018
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Libre à vous de penser et faire ce que vous voulez,
y compris en tant que chef de bord, responsable de la vie des autres.
Perso, j'essaye en bateau ou en avion de naviguer avec un minimum de rigueur intellectuelle, ne serait ce que pour donner de bonnes chances à mes passagers ou à moi même, de revenir vivant.

Objectivement, je n'ai jamais vu de différence fondamentale de démarche basique entre navigation maritime côtière et hauturière, la première le plus souvent potentiellement plus risquée que la seconde.
Dans tous les cas une navigation doit êtes préparée et menée sérieusement. Les règles fondamentales de positionnement sont éternelles, la base très simple étant partir d'un point clairement identifié et suivre avec un maximum de précision une direction donnée, pour atteindre un objectif choisi qui doit lui même être identifié correctement.
Tous les moyens à sa disposition à une époque donnée sont bons à prendre mais doivent toujours être validés.
La boussole, élément passif, a révolutionné la navigation.
Elle reste présente sur les bateaux et avions.
Des accidents de navigation maritime ou aérienne sont arrivés pour ne pas avoir appliqué correctement ces bases (y compris quand ils disposaient d'aides électroniques fiables).
En mer, sans plus aucun repère terrestre il ne vous reste comme quand indicateurs passifs, sur lesquels on peut toujours compter que la boussole, le Soleil et les étoiles quand ils sont visibles.

09 juin 2018
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C'est quoi le sens marin ??? Les connaissances nécessaires à toutes sortes de navigations ne sont pas innées mais sont enseignées de générations en générations nourries d'expériences et de connaissances nouvelles à chaque époque.
Comme tout le monde j'ai appris et j'apprends encore chaque fois que je pratique, que ce soit par simple plaisir ou par obligation pour maintenir une autorisation de pratiquer, le but fondamental étant d'essayer de garantir la sécurité. C'est assez astreignant (et couteux).
Comme tous et vous aussi je compose avec la météo.
Dans toute navigation on prévoit obligatoirement les déroutements possibles (les règles et méthodes de déroutement ou pour retrouver sa route quand on est perdu, ce qui ne devrait pas être, font partie intégrale de l'enseignement de la navigation).
Perso si, par exemple, je n'ai aucune information fiable sur une ria très douteuse je reste au large ou vais ailleurs et si je suis au mouillage dans un endroit très peu fiable je repars au large même si je dois être tabassé. La sécurité (relative) est a priori au large.
Mais le plus grand danger reste soi même:
Pour ma gouverne personnelle, j'ai testé un jour par mer très calme une arrivée côtière par nuit complètement noire avec sondeur + GPS + Radar dans une toute petite crique caillouteuse mais que je connaissais parfaitement de jour. C'était très risqué et ayant vérifié ce que je voulais savoir, je ne recommencerai pas et déconseille fortement autrui de vouloir tenter l'expérience (c'est plus dangereux que de faire du vol de nuit!)

09 juin 2018
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J'aime beaucoup la navigation de nuit et ce test anecdotique était dans le style IFR avion (en avion on vous fait poser l'avion complètement sans rien voir du tout à l'extérieur, tout le pilotage fait aux instruments, l'instructeur gardant la visu assurant la sécurité, vous donnant cap et consignes à suivre rigoureusement.
La navigation de nuit avion est presque magique, demandant plus de concentration que celle en bateau, vu les temps de réponse très courts.
A propos de carto, avant l'époque de la numérisation, Antoine par exemple utilisait des cartes microfilmées pour ses longs périples.
Sur mon bateau il y a depuis l'origine (18ans) ou progressivement complétée ou mise à jour une navigation électronique complète avec carto PC+GPS, Radar, AIS, deux sondeurs (+ligne de sonde) , un GPS traceur sur le pont, GPS de secours, PA+régulateur, VHF, balises de secours, etc.. mais les éléments essentiels de navigation sont systématiquement reportés régulièrement sur papier (Livre de bord et cartes routière marine).
Dans la mesure du possible j'ai à disposition les cartes et docs concernant la zône de navigation envisagée.
La météo côtière est suivie. Je n'ai pas de liaison satellite. Au large le baromètre surtout et les cartes isobariques faxées apportent les renseignements nécessaires. Sextant et tables sont toujours présents sur la bateau, au cas où toute l'électronique serait neutralisée (coup de foudre direct ou à proximité par induction).
(Dans l'un des indispensables bidons étanches de survie (l'équipement d'un bib étant très insuffisant) il y a entre autre un GPS et VHF portable (pour communiquer en cas de bateau pas trop loin), un compas, une toquante, un fascicule de survie avec rappel de positionnement céleste minimum (au pire avec les doigts)).

08 juin 201808 juin 2018
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La tenue du livre de bord n'est obligatoire -et réellement utile- qu'en hauturier, là où il est facile d'avoir LA carte papier à bord.

En côtier, ce qui m'arrive bien plus que 99% du temps, je maintiens qu'il est utopique d'avoir toutes les cartes papier pour peu que l'on sorte du coin de son port... d'ailleurs, ici, je ne sais même pas si on peut les acheter !
donc le risque de tomber en panne de carte papier est bien plus grand que celui de voir sa tablette être HS.

Oui, le papy breton, que l'on ne peut soupçonner ne pas avoir ce bon sens marin si peu partagé (celui qui en fait mention sous entendant généralement que lui le possède et vous non...), n'avait aucun équipement électronique, n'avait pas de panne électrique ni de panne GPS, et il s'est perdu ! pourtant, il n'avait pas d'AIS et n'avait donc pas l'oeil collé aux écrans en permanence !!!
N''empêche, il a eu du bol, et j'en suis très heureux pour lui. Pour la fête des GP, je propose de se cotiser pour lui offrir un petit GPS ? ah mince non : il risquerait alors de tomber en panne, et même de perdre son bon sens marin !!!

09 juin 201809 juin 2018
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oui oui : c'est obligatoire (en hauturier)
et oui oui : les satellites tombent en panne.

enfin oui oui : il faut toutes les cartes détails de tous les endroits où on risque de naviguer. Je suppose que c'est le cas pour tous les bateaux qui ne sortent que 8 jours par an. Ouf : ils sont en règle

J'ai toujours pensé que le compas était un engin trop moderne pour aller en mer. Les gens ont ensuite l'oeil collé dessus et ne regarde même plus la mer. La preuve !

09 juin 2018
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Oui oui : le sens marin appartient à celui qui en parle, et fait défaut à qui on oppose l'argument
de même la rigueur intellectuelle et autres prise en charge de la sécurité : si TOI tu sais assurer, il est évident que l'autre (en l'occurrence moi) ne sait absolument pas en faire autant. C'est évident.

Mais je suis intellectuellement heureux quand j'arrive dans un endroit pas vraiment prévu initialement (c'est un peu ma vision de la navigation) : j'en ai la carte, à tous les coups.

09 juin 2018
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Naviguer de nuit est dangereux. La preuve étant que certains "loueurs" l'interdisent...
Se mettre en situation d'aborder de nuit une crique fermée et caillouteuse est une vraie erreur. Certaine formation apprend à le faire (blind test).

Pour ma part, je ne me perds plus depuis mon premier MLR il y a plus de 20 ans...
et, depuis l'an dernier, quand je me déroute, j'ai la carte de détail et à jour (sur PC, Traceur, 2 tablettes = 3 sources différentes) : pas besoin de rester au large se faire tabasser après une traversée tumulteuse (ce qui ne devrait plus m'arriver non plus : merci le cours météo et les fichiers gribs !)
Où que ce soit dans le bassin.
Est-ce réellement aller à l'encontre de la sécurité ?

Je ne dois pas être le seul à faire ce raisonnement : l'on ne voit plus ces annonces de recherches échanges ou ventes de cartes qui fleurissaient il y a 20/30 ans chez les tourdumondistes... STW proposait des photocopies à bas coût pour pallier à la difficulté de se procurer des cartes et surtout au prix astronomique que cela représentait. Tous ces gens inconscients qui naviguent sans le bout de papier... naviguent.

Je suppose que la même discussion existait quand le plomb de sonde a été remplacé par le barbare sondeur électronique... (qui tombe en panne, j'en témoigne !)

07 juin 2018
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Tout à fait d'accord avec Persil pas fané ! Rester bloqué sur les techniques d'il y a 100ans ne rime à rien. Ce n'est que du passéisme. (je sens que je vais me faire des copains).
Je navique depuis 18ans avec une cartographie electronique sans soucis. Pour ne pas répéter le post précedent je peux dire:
1) sur un bateau l'électronique est souvent plus fiable que le reste. fondamentalement, cela tombe rarement en panne
2) L'obsolescence, n'est pas vraiment rapide un un appareil ou un PC peut largement faire 10ans

Mainte,nat on peut discuter les détails d'installation et là chacun a son expérience et ces idées et c'est bien l'intérêt d'un forum d'échanger

Pour continuer la discussion, je trouve que la tablette c'est un bon complément, mais si on navigue suffisemment un PC fixe alimenté en 12V avec un écran solidment fixé également c'est ce qu'il y a de plus fiable. Avec une alimentation directe en DC on optimise la consommation. En plus les PC fixes ont des ports séries et cela évite des connexions volantes et des convertisseurs supplémentaires. Pas besoin d'un PC durci et on peut avoir les même jeux de cartes sur le PC et sur la tablette (cf offre Scannav).

Si ta centrale B&G concentre déjà toutes les informations debase (GPS, vent, loch-profondeur), un câble série (3 fils + blindage) doit faire l'affaire.

07 juin 2018
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Mon ipad principal est équipé d'une puce 4G : elle est donc totalement autonome pour récupérer cartes et météo,
elle se connecte en wifi sur le multiplexeur (fiable : aucun problème jusqu'à présent), aucun fil volant ou autre
elle est installée dans une box parfaitement étanche qui la garantit contre les chocs,
j'ai 3 supports pour l'y accrocher : dans le carré, dans le cockpit à l'abri, et à la console de barre (génial pour les mouillages). A chacun de ces endroits, une prise USB pour l'alimenter.

08 juin 201808 juin 2018
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bsr tribrasil

au niveau table a carte :

pour naviguer meme pour traverser les océans,, pas besoin de grand chose restez comme vous avez toujours fait , cartes papier, rapporteur breton , un compas, compas pointe seche , un sextant des tables, crayon et gommes , un lock, quelques notions , et du nez ,

pour faire la meme chose avec plus de confort en mettant un pied dans le progres sans trahir a la simplicité, remplacez le sextant par un GPS portable a pile

la ou il me semble que le progres a du bon et ou on aurai tort de s'en priver ,, c'est dans les communications et la sécurité

pour le reste ,: cartographie électronique logiciels, interconnection wifi et tous le reste interconnecté en , nmea machin ou truc,ou autres ordi, tablette ,avec programme machin et fichier truc , laissez tombé .,c'est plus adapté au bateau de course

(ce n'est que mon point de vue)

cdlt

09 juin 2018
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Chacun son point de vue, basé sur le refus absolu et honorable de tout modernisme (la transgression étant l'acceptation du progrès mais avec 30 ans de retard),

ou plus souvent sur des idées reçues (Einstein disait que c'était ça, le "bon sens" : l'ensemble de nos idées reçues avant 16 ans),
ou par pragmatisme.

Pour ma part, après avoir navigué "sans", et depuis peu naviguer "avec", je mets la réception de la météo (aujourd'hui fiable à 3 jours), dans la case "sécurité" , pour peu bien sûr que l'on ait appris à lire et corriger les fichiers truc en question (2 jours de formation extra à STW avec un routeur pro....)
Il y a 30 ans, jamais je ne serais parti sans avoir écouté le bulletin météo sur VHF...
Aujourd'hui, il me semble inconcevable au niveau sécurité de sortir sans charger les fichiers truc, infiniment plus fiables qu'à l'époque (après corrections, bien sûr). Le tout pour un coût qui représente celui de 2 ou 3 cartes papier chaque année (cartes dont on se sert d'ailleurs autant que le plomb de sonde : en cas de panne du sondeur. ah mais il n'y a pas de sondeur dans ta liste? )
Il en va de même du routage, -toujours après avoir fait "sans" pendant longtemps, et "avec" depuis l'an dernier - routage qui se fait bien sûr à partir de ces fichiers météo. Réduire de moitié le temps de parcours en décalant le départ de 2 heures, éviter la dépression ou le calme en déviant sa route, c'est un choix que l'on peut faire (ou pas)... quand on sait qu'on en a le choix. Une telle opération prend 2 minutes à peine, mais encore faut-il la tenter un jour pour le savoir.

09 juin 2018
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Personne ne parle jamais de la carte papier qui s'envole du cockpit ... parce que ça aussi ça arrive ... sauf si on la laisse en bas mais il y a des cas où c'est quand même bien pratique ...

Je vous laisse j'ai mon cheval qui vient de se détacher de ma calèche !

toute neuve avant de repartir de bretagne

Phare du monde

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2022