encore de la casse sur le vendée globe

Vendée Globe: Demi-tour pour Hatfield, Bestaven démâte
10/11/2008-[20:10]

Coups durs pour les deux skippers, engagés sur le Vendée Globe. Yannick Bestaven, sur Aquarelle.com, a démâté alors que Derek Hatfield, à la barre d’Algimouss-Spirit of Canada, est contraint de faire demi-tour en raison de problèmes électriques. Il devrait rallier les Sables d’Olonne mardi dans la soirée, selon le site officiel du Vendée Globe.

a+

pierr

L'équipage
10 nov. 2008
11 nov. 2008
0

hugo Boss
a des voies d'eau :-(

11 nov. 2008
0

dématage
de Bel également

:-(

12 nov. 2008
0

pour Bel j'ai eu l'explication
De Pavant a vu un truc rouge qui dépassait du pont.

Il a tiré dessus.

Et tout le fil rouge est venu , libérant la vache qui rit. :-)

11 nov. 2008
0

ce n est plus
une course mais un désastre il aurait peut reporter le départ toute même savant ce qu il y allait arriver en météo, je trouve ca lamentable de la part du comité de courses, vous en penser quoi vous ? car il y a 8 ans ils avait reporter le départ alors l ont ils pas fait la !!!!!!!!!!!!!!

11 nov. 2008
0

les conditions n'avaient rien à voir
il y a 8 ans.

qu'aurait on entendu si le départ avait été reporté...

11 nov. 2008
0

vaut mieux casser là
que dans les 40ème ;-)

11 nov. 2008
0

si les bateaux cassent...
...c'est qu'ils sont pas solides !

Bien sûr c'est dommage, mais la prochaine fois ils feront mieux.

;-)

11 nov. 2008
0

ce qui
m'énèrve, y'a plus de Rochelais en course... :-(

Wavre il est déjà reparti ?

11 nov. 2008
0

VG
avec tout ces problème électriques ,ils n'ont pas du bien lire nos fils sur le sujet.

11 nov. 2008
0

ils sont en course
le comité donne le départ tu le prends ou pas c'est toi qui décide tu as aussi le choix des armes t'envoie le spi ou le tourmentin qui "veut aller loin ménage sa monture" mais ils en mettent tant que le voisin en met, le résultat c'est comme il y a qq années le vainqueur était parti après "va comprendre Charles"
par contre ceux qui ont des pb électriques auraient du nous demander nous avons de bonnes adresses ;-)

11 nov. 2008
0

il von
von pas partir avec une mer d,huile non plus
on es marin ou on ye pas
commen vouler vous batre un record a ce momen la!!!

11 nov. 2008
0

entretemps
loick avance :litjournal:
pour les facebooker il ya a un lien supporter de peyron ;-)

11 nov. 2008
0

oui cath
il y a loïck l'ancien...
...et les filles! allez les filles :-)

11 nov. 2008
0

Marc Thiercelin aussi
Le service communication de DCNS a indiqué à la Direction de Course que le monocoque de Marc Thiercelin avait démâté 7h30 ce mardi par 44°15 Nord et 8°43 Ouest. Le solitaire a précisé que les dégâts étaient importants et qu’il lui paraissait difficile de repartir en course. Le solitaire n’a pas confirmé vers quel port il comptait se diriger (source site officiel du Vendée globe.

11 nov. 2008
0

Je ne crois pas qu'on puisse dire que leurs bateaux ne sont pas solides.
Par contre ils mettent en place des solutions techniques innovantes, qui ont besoin d'être éprouvées. Par ailleurs c'est une compétition, donc par définition ils sont à fond, pas en fuite dans la piaule.

Faut comparer ce qui est comparable, et ne pas mesurer les qualités de ces machines de course à l'aune de nos voiliers de plaisance.

Quand le moteur d'une F1 casse, on ne remet pas en question ce type d'engins. Ou alors on arrête la compèt'...

11 nov. 2008
0

en 2007, les FIGARO étaient tous passés
Tout à fait d'accord. Des formule 1, cela casse.

A noter que dans une même configuration météo, sans doute plus dure, en 2007,dans le même secteur, la flotte du Figaro n'avait enregistré aucun dématage ni aucune avaries structurelles.

13 nov. 2008
0

des tafioles ..mois je vous le dit
en 76 avec mes pôtes Balour et têtedenoeudquonfaitautourdunebite d'ammarage, 60 knts au près sur une trapanelle 12, tout dessus les couil.. a rase le pont. dans le golf !!

des fiottes avec leur planches à voile géantes !!

:acheval:

:acheval:

:acheval:

13 nov. 2008
0

difficile de comparer
mais Jean Le CAm et J P Dick en ont vu d'autres :
Début de citation

Des vents de 50 noeuds et des creux de six à sept mètres qui ont décimé une partie de la flotte.

«On s’y attendait à la tempête. Mais c’est une des plus fortes que j’ai connues à cet endroit», a même reconnu, lors de la vacation de 11 heures, l’expérimenté Jean Le Cam (VM Matériaux) apparemment sorti entier de cette «machine à laver». «Je n’ai jamais vu ça», a expliqué Jean Pierre Dick (Paprec-Virbac 2), pointé en tête de la course à la mi-journée. «Je me suis défoncé cette nuit pour faire avancer le bateau car j’ai été malade pendant 36 heures. J’ai vomi tout ce que j’avais dans le bide, a-t-il déclaré. En France, c’est l’armistice. Pas pour nous en mer, nous avons vécu l’enfer !»
Fin de citation

12 nov. 2008
0

bateaux de portant,
ils souffrent beaucoup quand on leur demande de marcher fort au près.
Serait-ce une explication?

12 nov. 2008
0

peut etre?
qu'il ne faudrait pas faire faire le Paris Dakar a de formule 1.Jeff.

12 nov. 2008
0

Faut pas exagérer ! il y en a quand même une
majorité qui parvient à faire le tour, et j'ajouterai même que ceux qui arrivent au bout ramènent la plupart du temps un bateau propre, en excellent état, quasi prêt à repartir.

12 nov. 2008
0

Engins expérimentaux
Bonjour tout le monde

c'est sûr que les architectes , pour gagner quelques fractions de perf réduisent jusqu'a l'extrème limite les marges de sécurité sur leurs simulations informatiques . ça n'est pas très marin , mais après tout rien de choquant la dedans . Certains sont passé sans casse et c'est chez ceux-là que se trouve le futur vainqueur.Après tout il s'agit d'une course dans les quarantièmes rugissants , c'est quand même mieux de faire une sélection au départ que de les voir tous casser dans le grand sud .
Ce qui m'inquiète plus , c'est de voir le même esprit se répendre dans le petit monde des croiseurs . Je regardais d'un air rèveur l'autre jour mon voisin de ponton , un Hanse , avec un mat qui dépassait le mien d'au moins cinq mêtres , trois étages de barres de flèche, mais un diamètre d'espar et de haubans très nettement inférieurs a ceux d'Ommage . Pour faire des promenades par beau temps je veux bien , mais ce jeune gars sympa envisage de traverser l'Atlantique vers Toronto ,ou il a de la famille , avec femme et enfants (dont une petite fille de deux ans ).Ou est l'intérêt d'un tel gréement , de son salon design sans rien pour se tenir et de son cockpit de 12 M JI pour aller faire joujou dans les dépressions de l'Atlantique Nord ? A part flatter l'égo du propriétaire bien sûr . J'espère vraiment que la mer sera clémente car je les aime bien .
Quand aux coureurs du BOC , ce sont de super-pros , ils savent ce qu'ils font et tant-pis pour ceux qui oublient que c'est quand-même une course de fond .

Amicalement - Joël

12 nov. 2008
0

Oui, c'est une course de fond,
mais à fond !

Quand à ta remarque sur l'évolution des croiseurs, tu as probablement raison, mais ça ne découle pas de la même démarche : dans le cas du VGC, ce sont des choix techniques guidés par la nécessité de faire un bateau performant, fiable (si possible !), plus rapide que les autres, sécurisé. Rien que des impératifs sportifs.
Dans le cas des croiseurs, ce sont des motivations marketing et la réponse à une demande qui commandent les évolutions (régressions ?) que tu évoques.

Pas le même esprit...

12 nov. 2008
0

la jauge est libre
ensuite avec 90 % d'allures autres que le pre, c'est normal d'optimiser le portant, ils n'ont pas tous cassés dans la coup de vent. surement la petite piece qui casse et qui suffit à tout mettre par terre

12 nov. 2008
0

One star
pour ceci :

[i]c'est moins scandaleux que d'admettre de changer les moteurs d'une Formule 1 tous les deux grands prix .

[b]Et dans le Paris Dakar, combien de voitures le terminerait s'il n'y avait pas une assistance à chaque étape?[/b]
[/i]

12 nov. 2008
0

ces bateaux souffrent énormément au pres
ils ont font ensuite (apres le golfe) tres peu ou le moins possible et dans des mers moins cassantes que le golfe.

c'est le point clé, pour ma part ca ne m'aurait pas choque qu'ils reportent le depart d'autant plus que c'etait un grand weekend.
j'ai peur que de nombreux sponsors replient comme apres le desastre des TRIS

12 nov. 2008
0

Tu as raison Hi
Mais moi , l'esprit "ça passe ou ça casse" me révolte parceque c'est l'anti-thèse de l'esprit marin ; C'est faire peu de cas des hommes et des moyens qu'il faudras déployer pour aller chercher ces aprentis sorciers . Puisque l'on fait la comparaison avec la formule 1 , aucune équipe en F1 ne peut se permettre de prendre le risque de casser , même aux dépends des performances . Ceux qui cassent ce sont les mauvais , et ils n'ont aucune chance d'être bien placés au classement final . Alors réduire les marges de sécurité , dessiner un bateau trop typé pour certaines conditions en pariant que le vent viendra toujours du coté favorable , qu'il n'y aura pas de dépression trop méchante etc... c'est une dérive de l'esprit du Vendée Globe qui vas conduire a l'interdiction de ce genre de course par les instances internationales . En F1 il y a des " pace cars " qui calment le jeu quand ça devient trop dangereux . En haute mer : impossible , donc si les architectes et les coureurs prennent trop de risques , on finira par interdire ces courses . Ce qu'il faudrait , n'en déplaise a certains , c'est au contraire rendre obligatoire un départ dans les pires conditions pour que seuls ceux qui sont vraiment a la hauteur soient lachés dans les quarantièmes ( je plaisante ... bien sûr ).

Amicalement - Joël

12 nov. 2008
0

Vendée Globe et le Dakar...
Il y a de fortes probabilités que les voiliers du Vendée Globe ne rencontrent pas une autre fois 24 h de près dans la forte brise d'ici à l'arrivée.

Cette dépression était tout à fait ordinaire et même plutôt pas méchante.

C'était la même configuration que la première étape du Figaro 2007 ou les 55 concurrents étaient tous passés.

N'oublions pas aussi que Sir Peter Blake lors de son Tour du monde sans escale en catamaran et en équipage a rencontré les conditions les plus difficiles lors de ses dernières 24 h avant de couper la ligne à Ouessant en fuite avec des trainards!

Pour moi, 10% de dématage pour des protos pointus dans des conditions météo pour lesquels ils ne sont pas vraiment conçus, c'est moins scandaleux que d'admettre de changer les moteurs d'une Formule 1 tous les deux grands prix .

Et dans le Paris Dakar, combien de voitures le terminerait s'il n'y avait pas une assistance à chaque étape?

12 nov. 2008
0

C'est peu être un peu l'état de l'art ...
Il n'y a pas eu de chavirage. Les histoires de stabilité, depuis un fameux fastnet, ça fait parti des contraintes de courses et normes.

Il n'y a pas eu de bordé enfoncé. (Peut être Hogo Boss, mais vu les réparations subies et le délai, j'autorise une excuse).
Mais, bon , les pression sur un panneau de bordé, ça fait un bout de temps que c'est étudié. C'est dans les normes depuis un bout de temps.

Il n'y a pas eu de problèmes de safrans/gouvernails. La norme ISO est en cours de publication. Les études ont déja été faites.

Il n'y a pas eu de quille perdue. C'est récent, c'est la grosse norme en cours d'étude.

Reste 3 mats cassés. Mais dans ISO, il n'y a rien. Ni ABS, ni Lloyd. Et c'est même pas en cours d'étude. A quels efforts doit résister un mat. Aujourd'hui, c'est encore un peu l'inconnu.

Et les problèmes electriques.

12 nov. 2008
0

Je peux me tromper ...
... mais il me semble que les bateaux de course ne sont pas soumis aux normes ISO. Sauf si c'est précisé dans le réglement de course.

12 nov. 2008
0

?!?
la norme ISO, AMHA, ne concerne pas le produit (en l'occurence le canote) mais l'entreprise qui le conçoit ou le construit; c'est une norme de qualité qui est offerte au client et qui lui assure que les procédures qualité contenues dans le mémoire qualité de cette entreprise ont été suivies pour la conception/fabrication du produit qui lui est proposé.

12 nov. 2008
0

OK invite
au temps pour moi!

12 nov. 2008
0

ISO
Les bateaux de courses ne sont pas soumis aux normes ISO par la réglementation européenne. Mais les organisateurs et autres redacteurs de jauges tiennent à leur protection juridique, et rajoutet les normes ISO dans la jauge. C'est deja le cas pour mini et open 40. Et je crois que c'est un projet pour le reglement ISAF, donc ça concernera toutes les courses.

Maintenant, quand j'ai parlé de normes ISO, je ne sais pas si c'est franchement ciblé pour un open 60 faisant le tour du monde en course. C'était simplement pour dire que si une norme était publiée, ça voulait quand même dire qu'il y avait un consensus sur une méthode de calcul, une façon de déterminer les efforts er résistances et des essais validants ces résultats pour le cas général. En résumé, si une norme a été publiée dans un domaine, il y a des chances que le domaine ait un peu été étudié. (j'espère :mdr: )

12 nov. 2008
0

?!?
Il n'y a pas que les normes ISO 9000 qui concernent les co..ries de qualité dans les entreprises.
Il y a aussi www.iso.org[...]wse.htm

en particulier 12215 et 12217

12 nov. 2008
0

Attend de voir...
Cela n'a commencé que depuis deux jours...

On a largement le temps de voir arriver tout le reste que tu décris d'ici à ce qu'ils soient tous de nouveau aux Sables...

Jacques

12 nov. 2008
0

ah Laurent
tu parles vraiment bien et une fois de plus je suis d accord avec toi

mais mefie toi , cela ne va pas plaire a ceux qui n ont pas su " tourner plus d'une fois leur langue avant d'émettre un avis pertinent."

;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

12 nov. 2008
0

Je ne comprends pas
pourquoi certains plaisanciers remettent en cause toute forme d'impondérable, ce dont les prototypes sont forcément porteurs.

Sans doute à la base une méconnaissance du sujet technique. Ce qui devrait d'ailleurs les amener à tourner plus d'une fois leur langue avant d'émettre un avis pertinent.

12 nov. 2008
0

J'ai compris
que les principales casses avait eu lieu après brusque renverse de vent et que les bateaux lancés à pleine vitesse venaient taper violemment les vagues, la mer n'ayant pas encore "tournée"dans le sens du vent
bref conditions défavorables...pour gréments plutôt optimisés pour le portant!

12 nov. 2008
0

Surtout
amha, vu que le carbone est plus rigide que l'alu, il n'accepte pas les contraintes comme d'autres matériaux.
Un peu comme la fable du chêne et du roseau...

En tappant sur les vagues, au lieu de " bouger/balancer " un peu plus, ça casse.

12 nov. 2008
0

Ben, il semblerait que ce ne soit pas le mât en carbone,
mais le mât sorti de son emplanture.

Pb de haubannage trop souple?

RV

12 nov. 2008
0

Jorginho
va parler de ta théorie sur les mâts a un planchiste :heu:

12 nov. 2008
0

ici paris et polemiques inutiles
Quand je lis les posts " style c'est pas costaud" etc...........je me demande si certains on déjà navigué autrement que dans les salons nautiques ou à bord de leur peche promenade .
Les renverses suite à un front peuvent etre - vraiment - tres brutales et on se retrouve avec des vagues completement imprevisibles ; tres casse tout .... cela arrive n'importe oû sur l'océan . Il suffit de tomber sur ce mauvais train et ......

12 nov. 2008
0

J'ai construit un mat aile
ce fut celui de Fugicolor, le trimaran à l'époque skippé par Mike Birch.

une sacré aventure technique même si le cahier des charges est pointues.

N'empêche que cela reste un terrain d'aventures technologiques.
Ca, c'est pour la parti purement high-tech.

Après, il y a le golfe de Gascogne. Et d'après ce que j'ai ouï dire depuis pas mal de temps, cela peut devenir une belle saloperie ce coin-là. Un coin peut enviable par ceux qui fréquentent assidument les latitudes tout à fait hurlantes.

Alors vous portez un jugement forcément hâtif sans avoir en main quelques clefs primordiales de compréhension.

Attendez que les principaux protagonistes émettent un avis avant de le faire à leur place.

12 nov. 2008
0

Je vais te dire un truc, Lorenzo :
Point besoin d'avoir construit un mât-aile ou fait un TDM sans escales par les 3 caps à l'envers pour comprendre ce type de réactions : elles proviennent de gens qui mesurent le monde à leur aune personnelle, et refusent de comprendre qu'il puisse y a voir d'autres façons d'envisager la mer, les bateaux, la navigation...

Je ne suis pas ni un coureur (encore que, les jupons...) ni un aventurier, ni un voyageur, mais j'aime tout ce qui va sur l'eau poussé par le vent rien que pour le plaisir d'aller sur l'eau poussé par le vent... Les coureurs de VGC y vont pour un plaisir différent du mien, pas comparable, mais dans le même but : se faire plaisir sur l'eau poussé par le vent...

12 nov. 2008
0

Ne mélangeons pas tout
Cela me fait bien rigoler d'entendre certains traiter les Michel Desjoyaux, Vincent Rioux, Loic Peyron et autres de charlots ou d'amateurs.

Cela me fait aussi rigoler d'entendre les mêmes énoncer des chiffres supposés monstrueux pour un résultat que les mêmes jugent ridicule.

Laisser dire, laisser faire.

Il y a effectivement diverses manières de naviguer, et ici comme souvent, les donneurs de leçons ne sont pas toujours les plus qualifiés pour agir.

Ce n'est pas à moi de savoir si tel sponsor a fait une bonne ou une mauvaise affaire. Ces mecs sont des grands garçons, ils savent compter leur argent et lisent les journaux. Ils savent bien que la casse existe dans la course au large et que, souvent, 1/3 des bateaux aura abandonné.

Maintenant, est ce que Bernard Stamm a besoin des sarcasmes de certains pour regretter effectivement de n'avoir pas vu le cargo ?

Est ce que Desjoyaux a besoin d'entendre que tout le monde savait que son ballast fuyait pour regretter d'avoir effectivement raté ce point de sa préparation ?

En d'autres termes, avons nous vraiment quelque chose à leur apprendre ?

Effectivement, et cela a été bien dit, il est question de prototypes, mais ils ne rentrent pas à l'atelier au bout de deux heures. Ils partent pour trois mois.

Effectivement, ils commencent par une belle branlée. Je ne connais personne qui rigole à l'idée de partir au près dans 45 nd, et ce, quel que soit le bateau. Proto ou pas.

Alors oui, il y a eu de la casse.

Moi, je sais que je n'aurais pas eu le cran de partir.

Moi, j'admire un mec qui bricole un gréement pour rentrer après un dématage, et l'air de rien, se taper 300 milles comme ça et éventuellement repartir pour trois mois.

Je suis déja plus cruel pour le plaisancier qui appelle le Cross parce qu'il n'a plus de gasoil et qu'il ne veut pas rater les feux de l'amour à la télé.

Ce que je vois donc, c'est qu'ils sont tous vivants, et qu'ils ramènent tous leur bateau par leur propre moyen.

Jacques

12 nov. 2008
0

Jacques
tu es beaucoup plus sage que moi ...
toi ça te "fait bien rigoler" de lire des con.....
moi ça m'énerve, je n'arrive pas a rester indifférent.

13 nov. 2008
0

rien a ajouter
il ne faudrait pas agrandir la liste :heu:

13 nov. 2008
0

quand on en a marre de lire les cons......
on évite de rallonger la liste soi même

j'ai jamais posé de bombe et je le ferai jamais et ça ne m'empêche pas d'avoir un avis sur le terrorisme et de le donner

pourquoi j'aurais pas le droit d'avoir un avis sur des mecs qui préparent une course comme des pieds nickelés? et donner cet avis...

pour moi, c'est très très simple

tout les concurrents sont partis du même endroit au même moment pour arriver, normalement à un autre même endroit

donc tout le monde est soumis aux mêmes contraintes, les conditions météo étant identique pour tous et il y a ceux qui sont passés sans problème ( et je ne dis pas sans souffrance) et ceux qui sont rentrés sans pouvoir passer

la règle du genre compétition est très simple:
le premier est le meilleurs, le second est moins bon que le 1er mais meilleurs que le 3 ème et ainsi de suite dans l'ordre d'arrivée

ensuite, ceux qui n'arrivent pas sont les moins bons, donc les + mauvais

c'est pas définitif, car le départ de chaque course remet toujours les pendules à 0

je ne dis pas que tel ou tel est un nul, je dis que sur cette course, il a fait le charlot en ne préparant pas correctement ou en n'utilisant pas correctement son bateau en prévision de la dureté de l'épreuve

mais peut être que sur la prochaine, il sera le Cador et le premier

ceci dit, les dés sont un peu biaisés, car aujourd'hui, je m'inquiète plus pour les salariés de l'automobile et de certaines industries que pour les coureurs du VG, donc, ce qui se passe sur le VG ne m'empêche pas vraiment de dormir

cordialement

12 nov. 2008
0

le plus mauvais endroitn du Golfe
par coup de vent, c'est là où commence le plateau continental : les fonds remontent de 3000 m à 400m, la houle est furieuse d'être obligée de changer son rythme, et la mer est une véritable "marmite du diable"; c'est par là que certains ont eu des problèmes de casse.

13 nov. 2008
0

et
le mec qui revient car les batteries ne recharges pas ?? ca aussi c'est du proffessionnalisme ?? faut arreter de dire n'importe quoi ses mecs petes ds la soie ils ont des budgets open les entreprises preferent mettre leurs fric la dedans comme ca elles paient moins d'impots de charges etc ... tout cela n'est qu'une grosse arnaque et une honte pour ses mecs qui se pretent a ce jeux alors que se sont de vrai sportif !! mais l'argent est la et l argent a tué tous les sports au lieux de les faire evolué franchement je deteste tout ce genre de course et me passionne pour les petits mecs qui partent avec des bateaux de merde faire des exploits la mer c'est ça!!

13 nov. 2008
0

c'est
marrant cette habitude chez les pseudo marin de vouloir faire des grande phrase hummmmmm !!!!!

13 nov. 2008
0

t es mechant
François , il est telement bete qu il est capable d y croire

13 nov. 2008
0

Paranoïde?
"Ces individus sont suspicieux, hypersensibles, rigides, envieux, et ont tendance à argumenter.

Ils ont tendance à reporter constamment le blâme sur les autres au point d’accuser les autres d’avoir des projets diaboliques.

Ils sont à l’affût du pouvoir envieux face à ceux qui réussissent et dédaigneux face aux faibles.

Il est évident que pour ce type de personnalité, les relations interpersonnelles deviennent rapidement pénibles puisqu’ils sont sans cesse sur leurs gardes."

RV

13 nov. 2008
0

Rv
Tu peux résumer, au bout de la 3 éme ligne la migraine me prend :heu:

13 nov. 2008
0

Rv
:mdr:

:topla:

13 nov. 2008
0

Comme je l'ai déjà dit sur un autre fil,
je suis toujours interloqué de voir qu'un ostracisme se voit traité par une attitude similaire.

Un jour c'est François, le lendemain c'est Balouner.

Relèguer l'attitude de Balouner au rang d'un genre de pathologie paranoïde me semble carrément excessif, où alors non nombres d'entre les internautes héossiens devraient suivre un traitement pour cause de névrose…

les forums sont des lieux de paroles en dérapage usuel.

Comme si la parole se lâchait ici, virtuellement, et jamais de vive-voix.

13 nov. 2008
0

dis donc Pol
il y a un petit bateau a donner sur un autre fil ...

tu le récupère ...tu pars avec ce petit bateau de mer... faire des exploits et tu nous raconte.

en attendant ton retour ça nous fera des vacances

13 nov. 2008
0

renomer
le pseudo en balourd collerait mieux!

13 nov. 2008
0

Oui Pol tu as raison
il parait même que certains simulent des pannes, parce qu'en fait ils ont peur.

Vraiment merci de me donner l'occasion s'écrire cela il faut que ça se sache, vraiment incroyable des choses pareils :heu:

13 nov. 2008
0

Une analyse, peut-être
pour notre bon gros ballon :

"Un pied dans la structure psychotique et l’autre dans la névrotique, l’état-limite souffre d’un manque de structure, ce qui implique qu’il ne possède pas une organisation intérieure capable de se suffire, capable de maîtriser la frustration provenant du manque de gratification narcissique. Dans une approche psychanalytique, l’état-limite est considéré comme un continuum qui va des caractères psychotiques jusqu’aux psychopathes en passant par les narcissiques. IL y a donc dans ces organisations psychiques un large éventail allant du plus pathologique, du plus souffrant au mieux-être possible. On emploi également pour définir l’état-limite le terme anaclitique terme qui signifie dans son sens étymologique « support ». L’état limite se caractérise donc par ce besoin constant de support, besoin d’être rassuré sur sa valeur, sur son importance. Tout sujet est confronté au cours de son développement et de sa vie aux problématiques liés à l’absence et à la perte de l’objet, et donc, à la permanence des représentations de ces objets à l’intérieur de lui. L’état-limite, n’a pas appris que la réalité nous impose le fait que nous ne soyons pas seuls au monde, qu’il existe un autre, différent, qui ne pourra continuellement nous satisfaire. Le paradoxe de cette réalité c’est que nous sommes à la fois seul au monde, et à la fois partie du monde. Pour supporter ce paradoxe il faut avoir réussi à intégrer des objets satisfaisant et sécurisant en nous et il faut avoir intégré le fait que les objets extérieurs peuvent être parfois bons et parfois frustrants. Il est possible que nous endommagions ces objets suite à certaines frustrations mais il nous restera toujours la possibilité de les réparer et de les retrouver. C’est de l’incapacité de vivre ce paradoxe dont souffre l’état-limite. Pour s’en sortir, il s’emploiera à séduire un objet extérieur à défaut d’en posséder un suffisamment séduisant à l’intérieur

L’état-limite n’a pas eu le loisir, la possibilité de se distinguer, de se séparer ; il est en quelque sorte prisonnier du lien narcissique qui l’uni avec la mère ce qui aura comme conséquence une grande difficulté à développer un sentiment d’identité. La mère doit apprendre à l'enfant à se forger petit à petit une image intérieure de sa mère et ainsi pouvoir se passer d'elle un jour...

L’état-limite souffre d’une immaturité au niveau du développement de son identité et de son expression émotive. Il développera une extrême sensibilité à l’intrusion et à l’angoisse de séparation.

Comme le mentionne Winnicott, l’état-limite n’a pas su se créer un espace transitionnel, un espace psychique lui permettant d’élaborer son identité. Incapable de se re/présenter, il utilise comme système de défense le clivage, le déni et l’identification projective. C’est contre le sentiment de vide et de dépression que lutte l’état-limite. Ce sentiment de vide il tentera de le combler de multiples façons, la toxicomanie étant l’une d’elle.

Vouloir bien faire, vouloir sans cesse être reconnu, voila les grandes préoccupations de l’état-limite. Il n’est pas question de perdre la face, il n’est pas question d’accepter l’erreur. Il faut conserver le sentiment de la toute puissance procuré par l’idéal du Moi. L’idéal du Moi constitue un modèle auquel le sujet cherche à se conformer ; il occupe donc une place de premier plan et c'est par le concept de narcissisme primaire que Freud (1914) définit l'investissement libidinal de cet Idéal du Moi en opposition avec l'investissement des l'objets extérieurs. Ce narcissisme primaire entraîne d'une part un sentiment de toute puissance et un investissement auto-érotique assurant une certaine maîtrise de l'objet et le retrait du monde extérieur. "

RV

13 nov. 2008
0

C'est fait, humm, au-dessus, désolé
RV

13 nov. 2008
0

On devrait
Les obliger a finir a la rame !!!!!
Hein ?... Nan nan j'suis pula.....

A l'interieur du phare Amédée Nouvelle Calédonie

Phare du monde

  • 4.5 (90)

A l'interieur du phare Amédée Nouvelle Calédonie

2022