Connaissez vous des plaisanciers sauvés par leur canot de survie?

Le canot de survie est obligatoire. Mais est il vraiment utile et donc utilisé?

Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie, la vôtre peut être.

Cet ancien fil est fermé. Afin de recentrer le débat sur la sécurité à bord, suite à votre expérience ou vos recommandations, merci de vous référer au fil suivant : www.hisse-et-oh.com[...]ecurite

L'équipage
27 déc. 2009
27 déc. 2009
0

oh il y a peut

la goélette qui parti d'Espagne et les passagers qui ont surveçu plusieurs jours dans leur canots..

Le bateau qui prit feu lors du depart de la course du Rhum ,presque tout le monde s'est refugié sur les canots .Nous on avait pris un couple traumatisé .

des exemples il en a plein

josé

29 déc. 2009
0

6 personnes sauvés assez pres des cotes du mexique en octobre lors de la
baja ha ha

un J 120 skippée par une francaise, jaumiere détruite suite à chocs répétés avec baleines
étaient déjà en hypothermie apres 4 heures

27 déc. 2009
1

quel question ...
heureusement que dans la plupart des cas ca marche sinon il n'en vendrait pas beaucoup et ce ne serait pas obligatoire

27 déc. 2009
-2

Des fois, ça marche pas, c'est balot...
"dans la plupart des cas ca marche sinon il n'en vendrait pas beaucoup et ce ne serait pas obligatoire"

Et bine justement, un canot ne s'ouvre pas toujours quand on en a besoin...

J'ai bien dit en plaisance car dans le cas de la vedette passager incendiée lors de la Route du Rhum, si les canots ont été utilisés, ce ne sont pas eux qui ont sauvés les passagers, compte tenu du nombre de bateaux à proximité immédiate.

Pour ma part, je connais autant de décès liés à l'utilisation d'un canot que l'inverse. D'où l'objet de mon interrogation.

28 déc. 2009
-1

Sauvetages avérés : 8 personnes sauvées
Pour les cas dont je me souviens, 2 se sont passés en croisière et 4 en course dans des conditions plutôt raisonnables.

En CROISIERE:

-SHPOUNTZ 44 en bois moulé avec deux convoyeurs à bord entre Gijon et Bordeaux durant l'hiver 2008.

  • A.Gliksman au large des Bermudes avec 2 équipiers. Son trimaran Kelsall à la cape à chaviré par l'arrière. Plusieurs jours de dérive dans le canot.

En COURSE:
- ( course de l'Aurore année 1980? )Luc Berthillier sur son proto Joubert qui a coulé rapidement dans des conditions ordinaires en approche du Fastnet en mer d'Irlande; A dérivé prés de 8 jours dans le sud-ouest de l'Irlande.

  • ( course de l'Aurore année 1980? )W.Borel sur son Eglantine en alu qui a coulé rapidement dans des conditions banales en Manche - Si ma mémoire est bonne, son Bib ne s'est pas ouvert et il a été récupéré par un bateau proche

  • (Ostar début 80) SUNSHINE à B.Mothes Masse du coté des Açores. Je ne me souviens plus du détail.

  • (Ostar début 80) SUNSHINE à XXXX au milieu de l'Atlantique. Je ne me souviens plus du détail.

Total : 8 personnes sauvées.

27 déc. 2009
-1

Peut tu préciser s'il te plait?
Pour ma part, je connais autant de décès liés à l'utilisation d'un canot que l'inverse

27 déc. 2009
0

probablement un ou deux sauvetages réels par an en Europe
pour quelques dizaines de milliers de canots vendus chaque année

amicalement

27 déc. 2009
2

en suivant
Salutatous

Le radeau de survie gonflable, que l'on utilise sur nos bateaux de plaisance, est la pire des solutions mais ... on n'a parfois pas le choix. En tout cas, il faut tout faire pour ne pas avoir à l'utiliser. Tant que le bateau n'est pas coulé, il vaut mieux rester dans le bateau, voire dans le radeau de survie mais à proximité du bateau (quitte à y rester accroché).
En effet, un radeau de survie gonflable n'est qu'une piscine pour enfants à laquelle on a rajouté un toit de tente en partie gonflable ...
Il faut savoir qu'en moyenne, le radeau de survie se retourne 7 fois par 24heures (quand il y a de la mer bien sûr). Pour avoir tester le retournement à 6 dans un radeau de 6, ça fout la trouille. Il faut beaucoup de temps pour sortir, le remettre à l'endroit, re-rentrer dans le radeau avec une dépense d'énergie énorme.
Il y a aussi une procédure à connaître pour embarquer à bord, une procédure aussi en cas de retournement, procédures faites pour ne pas perdre d'équipier.
Mais, on n'a pas le choix quand c'est le dernier recours.

Cordialités maritimes
Lareng le hareng

27 déc. 2009
1

j 'ai un exemple ...
un adulte avec un enfant sauvé grâce à la survie .
Suite à un choque , la coque avait un trou d' au moins 60 cm de diamètre et à coulè en quelques secondes ...

Autre cas , j 'etais present sue la fregate Tourville lorsque le chalutier "Le sextant" a sombrè au large de St Nazaire . Nous avons recuperé tout l 'equipage qui etait dans sa survie ...

27 déc. 2009
0

Radeau or not radeau
Bonjour,

Les radeaux de survie sont l'ultime moyens dans le cas ou le navire coule. Tant qu'il flotte rester dessus!!!

Un radeau 6 places c'est petit pour 4 personnes et ce n'est pas prévu pour attendre bien longtemps.

Pour moi vu que c'est obli j'en avait un, mais je faisais plus confiance à mon annexe semi rigide parée sur bossoirs et à mon sac de survie et mes bidons.
Equipage parée et entrainé à ce genre d'évacuation, car cela se produit toujours au plus mauvais moment.

Pour moi la survie est un moyen qu'on trouvé des entrepreneurs pour avoir une rente a vie sur le dos des navigateurs.

La révision tout les 3 ans n'a pas fait baisser le prix.
Maintenant cela rassure certains et je ne me permettrais pas de juger. Pour être peinard avec les autorités il le faut de toute façon.
Essayer de faire la révision en métropole car dans les antilles il te voit venir de trés trés loin !!!

27 déc. 2009
1

Oui
Un que j'ai rencontré à Toulon. Son Gin Fizz est parti au fond entre les baléares et la sardaigne (10 établi, sanci, capots arrachés). Pas de balise, 72h pour être récupéré.

27 déc. 2009
0

Moi et mes deux compagnons de voyage...
Nous ne serions plus de ce monde sans notre bip de survie, bien que très imparfait...
www.quivontsurleau.com[...]12.html

27 déc. 2009
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la chair de poule...
J'ai la chair de poule en lisant l'article sur le site.... son grand mérite, à tout le moins, l'accent de la vérité vécue, brrr

28 déc. 2009
0

Evidement...
...et tu as cent fois raison mais il faut replacer cela dans le contexte 1976! Les moyens de communication sont aujourd'hui répandus et accessibles à tous. Ça change beaucoup de choses;-)

28 déc. 2009
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Super article
En out cas, cette aventure qui s'est heureusement bien terminée conforte mon opinion sur la nécessité d'avoir dans le grab-bag une VHF (et un petit GPS) à piles : ils auraient été répérés probablement par un des bateaux rencontré et contactés sur le 16...

27 déc. 2009
0

Moi
et 5 autres personnes sur un cata retourné dans des conditions difficiles. J'avais assisté à la visite de sécurité du radeau, je connaissais les procédures d'utilisation. On est resté 12 h à bord avec des creux mesuré sur zone de 7 m, et on ne s'est pas retourné une seule fois (sinon, je ne suis pas sûr que j'en parlerai).
Donc, bien sûr, il vaut mieux en avoir un, mais après tout, on peut aussi préférer couler en gentleman comme disent les anglais...

28 déc. 2009
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A l'attention de François.
Il serait instructif que tu nous raconte ton expérience. Pourquoi embarquer sur un canot de survie si le cata n'est "que" retourné.

Mais peut être a -t'il coulé?

Cela mérite un complément d'information.

28 déc. 2009
1

Faut voir..
la réalité est un peu différente de ce que l'on imagine avant. C'est un Iroquois, flotteur en tête de mat, ca se couche. Difficile de rester dans ce genre de position. En plus, il a fallu défoncer à coup de pied la porte des couchettes "sous l'eau" pour sortir ceux qui était dedans. On a vérifié que la survie marchait et on est monté dedans en restant accroché par un bout au bateau (plus facile à repérer ), mais à la nuit ca devenait scabreux. Le vent étant d'ouest entre 7 et 8, à 70 milles de la cote, on pouvait espérer dériver à 2 kn et retrouver la zone des chalutiers en 24 heures. En réalité, la balise a fait qu'on a été récupéré 12 heures après l'avoir activé. Le bateau est revenu sur La rochelle quelques jours plus tard, à l'envers. Les coques dépassaient l'eau de 40 cm, impossible d'y tenir dessus. Je me méfierai des certitudes sur la position par rapport à l'eau d'un cata à l'envers. A l'endroit, avec une voie d'eau, ca me semble plus accessible.

27 déc. 2009
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Pour repondre à la question ambigue de viking35
car c'est comme au loto 100% des gagnants ont tenté leur sort, lire l'excellent livre de Dougal Robertson "Survivre" écrit suite au naufrage du bateau en 72. Il put sauver sa famille grace à leur radeau (qui a fonctionnait à l'époque) puis ensuite l'annexe (car elle fuyait trop au bout de 2 semaines).
Viking, faut il prendre ta question au second degrés pour admettre qu'un radeau est plutôt indispensable?

27 déc. 2009
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76 jours
Je vous conseille la lecture du bouquin de Steven Callahan "A la dérive 76 jours perdu en mer"
Ce concurrent d'une mini-transat y raconte son aventure suite à la fin de son Napoléon Solo et la façon dont il a survécu durant les 76 jours qui ont précédé sa récupération par des pécheurs de Marie-Galante.

Ce bouquin est toujours dans ma bibliothèque de bord et même parfois dans le bidon de survie.

Philippe

28 déc. 2009
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Salut Viking
Je ne comprends pas bien le but du fil. Au début je pensais que tu voulais des témoignages de Héossiens. Puis toi-même, tu fais référence à la littérature (Gliksmann).

Si on part dans cette direction, la liste est assez longue. En plus des cités plus haut on peut aussi ajouter Patrick Van God et Wendy, Yves Jonville, les Bailey ...

Aussi les canots de survie sauvent les gens lors de la récupération, les hélicos n'aiment pas les mâts. Le canot ne sert que très peu de temps alors, mais il n'empêche qu'il participe au sauvetage.

Que cherches-tu en fait?

28 déc. 2009
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le BUT est un inventaire
Avant d''être un "écrivain" Alain Gliksman est un marin. Le fait que ce soit passé au large des Bermudes est peu important.

Il est vrai que je m'attendais à recueillir plus de témoignages européens, proche de nos cotes.

Certains écrivent que les exemples sont nombreux mais je préférerais qu'ils soient cités...

C'est vrai que les canots de survie sauvent les gens lors de la récupération,mais ils contribuent aussi à la perte d'équipiers. L'utilisation à mauvais escient entrainant la disparition de certains. Le solde est-il positif?

"Que cherches-tu en fait?"
Seulement à savoir ce que j'ignore peut être, des cas concrets de l'utilité d'un canot de survie en plaisance.

28 déc. 2009
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utilité

celà me parait assez saugrenu de mettre en doute l'utilité d'un canot de survie ,alors qu'il a sauvé des centaines de personnes de par le monde et que toutes les marines du monde en sont équipé.

la seule chose que l'on peut souhaiter c'est de n'avoir jamais l'occasion de s'en servir .Quand à son utilité la question ne se pose m^me pas.

josé

28 déc. 2009
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Grâce ou à cause , vaste débat.
Il s'avère que, parmi les cas dont je connaissais l'utilisation, 8 personnes ont été sauvés GRACE au canot mais au moins 7 autres sont disparues A CAUSE de ce même canot de survie.

J'ai aussi eu l'occasion de "sauver" un équipage sur son canot de survie par pétôle et mer d'huile à coté de son Kelt 7.6m qui talonnait gentiment sur la Gamelle devant Audierne...

28 déc. 2009
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Les sept suivants auraient sans doute être pu évités.
Les victimes du Fastnet 79 qui avaient embarqués dans leur bib ont considéré que leur bateau était "en train" de couler.

19 des 24 voiliers abandonnés ont été retrouvés plus ou moins remplis d'eau.

Deux exemples parmi les plus tragiques.
-GRIMALKIN, est un Nicholson 30 qui a été roulé et démâté. Son propriétaire, blessé et considéré comme mort, est resté à bord en compagnie de deux autres équipiers. La cabine remplie d'eau, le fils du propriétaire et deux autres équipiers ont embarqué dans le canot de survie. On ne les retrouvera jamais.

Les 3 équipiers restés à bord ont été sauvés, pas les trois sur le bib.

  • TROPHY était un Oyster 37 de 12.m avec 8 équipiers à bord et trois des 6 équipiers à bord du radeau de survie ont été hélitreuillés mais les trois autres ont disparus. Le propriétaire, resté à bord, fait partie des survivants.

19 voiliers ont été abandonnés et récupérés, 5 bateaux coulés (après abandon) et 15 morts, beaucoup dans leur canot de survie

Mes sources: FASTNET force 10 de John Rousmanière

A celà, j'ajouterais l'équipière d'un Fisher 37 (fifty) dont les vitres de la passerelle ayant été brisée, son mari lui a ordonné d'embarquer dans le bib qui s'est détaché. On ne l'a jamais retrouvée.

C'était il y a une dizaine d'années dans le Golfe de Gascogne.

28 déc. 2009
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de la loterie

ou de la mauvaise option prise par l'équipage ou le skipper .

josé

28 déc. 2009
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Loterie, oui et non
"si on interdisait les radeaux de survie à bord il y aurait moins de victimes?"
C'était mon interrogation par rapport à ce que je connaissais. Je n'ai pas d'opinion tranchée.

Je sais seulement qu'il n'est pas facile de refuser l'aide d'un hélico dans les conditions qu'ils rencontraient malgré le danger que cela représentait.

Mais certains équipages ( que je connais) l'ont fait et sont rentrés par leur propre moyens, y compris avec de petits voiliers.

Il y a eu d'autres victimes pour cette raison mais les deux cas cités sont nets. Si les équipiers étaient restés à bord, ils auraient été sauvés.

Loterie n'est pas vraiment le mot. Mais certains ont eu la malchance de rencontrer des vagues pyramidales.

Le fait d'avoir un canot, faussement rassurant, encourage surement des équipages à s'en servir à tort avec les risques que cela comporte. Cas du Fisher 37 et de l'équipage qui avait talonné devant Audierne.

Dans le cas de la pêche et du commerce, il est certains que les canots de survie ont sauvés des milliers de vie. Pour la plaisance en Europe, cela n'est pas aussi évident.

28 déc. 200916 juin 2020
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Autre exemple
la famille Bazin sauvée au large de Trinité-et-Tobago après 3 jours de dérives en radeau.
Ils avaient dû quitter leur catamaran en urgence, un Hobart 900 qui s'est disloqué, et s'est rempli d'eau avant de sombrer dans du très gros temps.

29 déc. 2009
1

NE JAMAIS ABANDONNE SON VOILIER QUI FLOTTE
"on n'a pas d'exemple d'équipiers ayant renoncé à embarquer dans le radeau de survie". Il me semble que certains s'y sont refusé mais peut être autant parce qu'ils étaient HS, malades que par réflexion... Je crois que c'est le cas pour Grimalkin.

Cela dit, je ne suis pas sur que j'aurais refusé l'aide d'un hélicoptère à 30 m au dessus de moi si, trempé, fatigué, dans la nuit, j'avais été en avarie de safran ou rempli de 1000 l d'eau.

Pourtant, je connais trois voiliers de 9m dont l'un qui avait perdu et récupéré un équipier qui l'ont fait et s'en sont sortis.

Un 4ième, avec une membrure cassée, a préféré être hélitreuillé (sans difficultés particulières) et a abandonné le voilier qui a été retrouvé.

L'intérêt de ce Fastnet est que c'est, à ma connaissance, le seul exemple d'utilisation des moyens de sauvetages à grande échelle.

Et il aura servi de leçon à une génération de régatiers: NE JAMAIS ABANDONNE SON VOILIER QUI FLOTTE, même rempli au 3/4 d'eau.

03 jan. 2010
1

Tout à fait d'accord avec Calypso 2
Quant à l'essai de Bombard à Etel, il s'agissait d'un essai d'un nouveau modèle de radeau de survie tout à fait officiel, en présence de l'Inspecteur de la Navigation, de l'Administrateur de la marine, le canot de la SNSM assurant la sécurité.
Après un premier essai sans problèmes, mais estimé non concluant car les conditions étaient "trop clémentes", un second fut tenté dans des conditions difficiles.
Après avoir franchi les premiers rouleaux, le radeau fut retourné par un rouleau suivant.
Quant au canot de la SNSM qui se porta sur les lieux, il se retourna aussi, une aussière s'étant prise dans l'hélice.

On fit porter à Bombard la responsabilité de ce désastre qu'il traîna toute sa vie.

Il reste que ses travaux ont permis de mettre au point des modèles de radeaux qui sont maintenant adoptés par toutes les marines du monde.

Quant aux radeaux "dynamiques" et autres complications, ils seraient nécessairement lourds et encombrants, incompatibles avec la taille de nos bateaux. De plus, s'ils étaient utilisés en mode mixte annexe/survie, ils auraient toutes chances d'être en mauvais état en cas de besoin urgent.

Les moyens de signalisation actuellement disponibles les rendent de surcroit inutiles.
En navigation à porté de VHF, et en particulier avec l'ASN, on connait la position du sinistre et la récupération est rapide. En hauturier, avec une balise, on se retrouve dans une situation à peine plus complexe et différents moyens de secours peuvent être sur place relativement rapidement : largage d'une chaîne de survie par avion, déroutage de navire de commerce etc...

Reste la question du respect des procédures de révision sur lesquelles il semble qu'il y ait des progrès à faire.

28 déc. 2009
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pas d'accord

un canot de survie n'a noyé personne , qu'il n'est pu les sauvés est une chose mais qu'ils se soient noyé à cause c'est une affirmation un peut rapide .car tu sous-entend que si ce bateau n'avait pas été équipé de canot ils étaient sauvé, c'est allé un peut vite en besogne, il me semble

28 déc. 2009
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Doit-on déduire de tons argumentation que...
si on interdisait les radeaux de survie à bord il y aurait moins de victimes?

Tu vois, on peut faire dire tout et son contraire à des informations partielles.

Dans les cas cités, notamment au cours du Fastnet, j'ai plutôt l'impression que les conditions étaient tellement extrêmes que les chances de s'en sortir dans les différents cas de figures relevaient en partie de la loterie!

28 déc. 2009
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ça c'est de la pure

supposition ,on peut tout aussi bien avec ton raisonnement supposé que n'ayant pas de canot ces plasisanciers aient tenté de regagner la cote à la nage ...on suppose , on pense que...mais est-on sur .

par contre ce qui est s^r c'est que beaucoup m^me en plaisance peuvent aujourd'hui raconter leurs mesaventures

là ça me rappel les debats pour ou contre la ceinture de sécurité ..

josé

29 déc. 2009
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La leçon du Fastnet
Une des grandes leçons du Fastnet avait effectivement été qu'il ne fallait pas abandonner un bateau tant qu'il ne coulait pas.

Maintenant si on considère les bateaux qui ont coulé on n'a pas d'exemple d'équipiers ayant renoncé à embarquer dans le radeau de survie et ayant survécu me semble-t-il.

Renoncer aux survies pour éviter de s'en servir à tort reviendrait donc à refuser à ceux dont les bateaux coulent effectivement une chance de s'en sortir.

28 déc. 2009
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je pense que sous réserve d'une remarque,
le radeau est un solide "plus".

La seule remarque qui me vient à l'esprit : on reste à bord tant que le bateau flotte. Après oui, le radeau de survie sauve des gens, pas tous probablement...

En Belgique le radeau n'est pas obligatoire, mais j'en ai un à bord.

28 déc. 2009
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Bon...
Il ne faudrait pas dire n'importe quoi quand même, les radeaux de survie n'ont jamais tué personne! Il sont très imparfait, mais sauve des vies. Le problème vient avant tout des personnes! On ne peut pas critiquer quelque chose parcequ'on l'utilise pas de la bonne manière! Savez-vous le nombre de bateaux abandonnés et retrouvés à flot bien qu' en partie plein d'eau alors que l'équipage dérive dans le canot de survie?

Lisez "la rage de vivre": 15 jours à la dérive en méditerranée. L'histoire est simple. Un énorme coup de vent, un bateau mal préparé, une voie d'eau plus ou moins maîtrisée, la peur et le stress qui s'installent. Et si le bip ne se gonflait pas? Alors, on le gonfle et on l'attache sur le roof. Et si il se faisait déchiré ou emporté par une déferlante? Alors on le met à la traine derrière le bateau. Et si le bout casse? Alors, on monte dedans...Et le bout casse! L'équipage s'en sort inextrèmis après une dérive de deux semaines. Le bateau est récupéré 3 semaines plus tard.

Des exemples comme ça il y en à des dizaines et des dizaines, alors s'il vous plait ne dites pas de bêtises.

À la suite de mon naufrage, j'ai écrit un livre pour partager mon expérience en espérant que cela puisse servir à quelqu'un.Je suis allez au salon nautique, mais le titre ne plaisait pas, et puis il fallait arranger ceci et cela alors je leur ai di d'aller se faire voir!

J'ai rencontré les coureurs de l'époque (1977). Nous avions tous le même avis. Le bib de sauvetage rond que l'on connait bien devait être amélioré. Il suffit de lui donner une forme allongée, une tente amovible et de pouvoir gréer un petit mat et un bout de voile. Mais voilà, on m'a dit que la réglementation n'était pas faite pour les gens comme moi, mais pour les plaisanciers qui naviguent l'été et qui représentent la majorité (en nombre, mais pas en heures de navigations!!!!) des navigateurs français. Surtout, qu'il ne prennent pas d'initiatives "on" va les sauver...

Est-ce que les choses ont changé aujourd'hui? Pas beaucoup à mon avis. On navigue de plus en plus sur des bateaux ultras légers, comme si les océans étaient devenus depuis dix ans de grands lacs plats sans rides sans tempête.

En ce qui nous concerne, pour Terralie qui est en construction, si la règlementation (dangereuse) française/européenne ne nous convient pas,nous ferons comme bardiaux ou alors prendrons un autre pavillon. C'est décevant.

Suis-je hors sujet?

Amicalement, Michel

29 déc. 2009
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il y en à des dizaines et des dizaines
"Des exemples comme ça il y en à des dizaines et des dizaines"
Michel, si tu en connais des dizaines, cites en seulement quelques uns, de préférence en Europe, car c'est l'objet de ce fil.

A ce jour, en dehors des fortunes de mer que j'ai rapporté, nous en sommes à 3 cas en Europe et 4 dans le monde depuis 1972.

Je suis étonné car, habituellement, pour le moindre souci technique, le forum est très réactif.

29 déc. 2009
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Bin dans ce fil
si on liste les exemples cités, on ne doit pas être loin de la dizaine. Mais c'est vrai, si tu les veux en Europe, donc max 12 milles des côtes, cela reduit le nombre de cas connus.

Ceci dit, nous ne pouvons que parler des cas connus ou des nôtres.

Si tu veux être plus exhaustif, et en avoir des dizaines, il faut consulter les stats des RNLI, SNSM ...

Il ne faut pas oublier les plaisanciers sauvés dans les minutes ou heures , près des côtes, pas nécessairement dans le mauvais temps dont personne ne parle car pas extraordinaire.

Parfois un Yachting Monnthly ou un V&V en fait une page style "ça vous est arrivé".

Pas besoin de dériver 76 jours pour pouvoir prétendre avoir eu la vie sauve grâce à la survie. 20 minutes en eaux froides suffisent à tuer.

29 déc. 2009
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Après mon naufrage
j'avais fait un gros travail de recherche, car je voulais être actif pour les autres.
Aujourd'hui, je suis à fond dans la construction...
Je veux bien rechercher ses sources.
Franchement il me semble que le sujet que tu as lancé mérite d'être mieux organisé, car quand les réponses deviennent trop nombreuses, après on ne s'y retrouve plus!
Peut être que les responsables du site seraient OK pour utiliser ce sujet l'ordonner et le finaliser en un véritable article documenté.
Je suis preneur.
Je rabâche, mais il me semble qu'aujourd'hui les plaisanciers sont plus préoccupés par la vélocité de leurs voiliers que par la sécurité...Alors merci d'avoir lancé cette discussion, même si la question est un peu surprenante a première vu.
Michel

28 déc. 2009
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Y aurait il une alternative au radeau
lorsque le bateau coule ?

Comme dit précédemment, les radeaux actuels sont très imparfaits, mais à moins d'en construire un soi-même selon d'autres exigences, je ne vois quel autre choix faire.

C'est le type de sondage qu'à mon avis Heo ne peut satisfaire.
Il faudrait que les ex-naufragés y soient de passage ces jours-ci.

La survie dynamique est bien sûr plus approprié pour augmenter nos chances de survie.
Le coût en serait peut être dissuasif.

28 déc. 2009
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j'ai pas tout lu
mais pour ma part et je ne parle que de survies RÉVISÉES sur 5 tentatives aucune n'a fonctionné correctement. La pire peut être le bout pas attaché au déclenchement heureusement à terre révisée en juin et percutée en septembre. une autre ouverte au cutter le bout était enroulé autour de la bouteille une autre nous avons tiré à deux sur le bout la survie bloquée au tableau arr après de très gros efforts elle c'est ouverte A L'ENVERS, sur les deux autres une n'a pas réagit du tout et la dernière se dégonflait aussi vite qu'elle se gonflait, dans toutes le ravitaillement en eau et biscuits était à mettre par dessus bord moisi pour les biscuits et de la mousse dans les réserves d'eau.

28 déc. 2009
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On a du mal a vous
Croire 5 ratés sur 5 vous devez être dans un secteur ou la main d'oeuvre n'est pas fiable ou bien vous avez une poisse maximum , naviguer en solo , c'est trop dangereux d'embarquer avec vous. Pour moi je pense qu'il n'y a jamais a tirer à 2 sur le bout quand ça ne déclenche pas, il faut ouvrir le sac ou conteneur car ça accroche sur quelque chose. C'est pas forcément facile une fois le bib à l'eau mais il n'y a pas d'autres solutions. Vous l'avez compris je suis à 100% pour le bib obligatoire, car ça implique la survie de votre équipage (il n'y a pas que la voie d'eau massive il y a aussi l'incendie. Léo

29 déc. 200916 juin 2020
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Y'en a qui pètent bien
Dernière révision en 1999.En 2000 révision des 10ans, trop cher, mise au rencard. périmée en 2002.
La voilà à la piscine le 14 juin 2006 bien ouverte du premier coup.........

29 déc. 2009
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2/3
Bib qui n ont pas fonctionne correctement, dont une qui ne s est pas ouvert et l autre qui a mis 10 min et qui n avait pas le materiel a bord (pagaie, bouffe, eau, jeux, ligne de peche, couverture,...) et l autre qui ne s est pas ouverte du tout...

ceux qu on a retrouve sont probablement ceux qui ont eu la chance d avoir un bib fonctionnant correctement.

des gars bien plus experimente que moi qui font des 10zaines de test chaque annee rapporte une valeur de 1/2.

28 déc. 2009
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Rumeurs de Ponton
Il parait que faire péter la survie dans le carré d'un voilier de moins de 9m, permet de garder celui ci a flot jusqu'à l'arrivée des secours , ce qui est plus sécurisant que de rester a bord.
Avez vous déja entendu la même chose ?
Bonne navigation et bonne année.
Alain

29 déc. 2009
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Ne serait pas compris par les autorités
Pourquoi pas ! Mais à moins de disposer d'une survie périmée en sus ou de naviguer solo,la réussite étant hypothétique, vaut mieux laisser ce sujet au niveau du comptoir!
Et un rhum pour la nouvelle année !

28 déc. 2009
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le pb
n'est pas de de chercher une solution pour ouvrir c'est un matos qui pèse un âne mort quand on a pas de logement dans le tableau arr et que le bib est dans un coffre ou même sur le pont en général si on a besoin du bib c'est que ça va pas très bien et dans des conditions réelles avec du matériel qui est révisé je ne lui fait pas confiance je préfère de loin avoir mon annexe prête et seulement quand l'annexe sera opérationnelle je m'occuperais du bib.
Il suffit éventuellement de discuter avec les gars de la snsm qui doivent faire des demos et qui ouvrent systématiquement le parapluie en disant que le matériel est périmé ce qui est sensé rassurer lors d'un non fonctionnement.
D'après le/les fabricants il y a 100% de réussites et pour cause ceux qui en sont morts ne viennent pas se plaindre

28 déc. 2009
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Révisions
J'avais déjà signalé que le fonctionnement des survies était étroitement lié à la qualité des révisions et que les fabricants n'y peuvent pas grand chose en pratique. L'espacement des visites est une bonne chose de ce côté là, le stade suivant étant à mon avis leur suppression, en séparant les produits à péremption du gonflable (les airbags auto sont considérés valables pour 15 ans sans révision, mais c'est un choix de conception au départ. Le taux d'échec n'est pas nul, mais de l'ordre de 1/10 000....). Par ailleurs, les études montrent que les airbags sont responsables d'environ 200 décès sur 20 ans (monde entier). Personne n'envisage de les supprimer cependant...

28 déc. 2009
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il ya quelques temps
quelqu'un avait donné un lien sur une survie rigide qui se déplie. Elle pouvait servir d'annexe aussi. Quelqu'un l'aurait il encore?

02 jan. 2010
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j'ai retrouvé mon lien
www.portlandpudgy.com[...]/

02 jan. 2010
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Bravo......
:pouce:

Mais notre bien aimée administration aura-t-elle un jour l'ouverture d'esprit nécessaire pour homologuer une telle embarcation ? ;-)

02 jan. 201016 juin 2020
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portage astucieux
---&gt

29 déc. 2009
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Justement je m'interroge
J'ai un radeau de survie qui ne me parait pas très fiable parce que très statique (y'à plus qu'à attendre et prier) et une annexe (gonflable toujours gonflé) sur bossoirs, toujours à poste, qui a le mérite de pouvoir avancer (au moteur si pas loin des côtes, à la rame pour avancer coûte que coûte et pour pas mourir de froid, un bon bricolo peut même rajouter une voile de fortune. L'inconvénient de mon annexe, c'est qu'elle n'a pas de tente mais est-ce réellement un problème avec nos équipements modernes (vêtements chauds et étanches, couvertures de survie) ?

En cas de perte du navire, j'opte sans hésiter pour un embarquement dans l'annexe. D'après vous, est-ce une grave erreur ?

D'ailleurs, tout est dans le vocabulaire : je préfère embarquer dans une chaloupe plutôt que dans un radeau !

Améliorer la conception des annexes, les rendres "réversibles" (la configuration annexe pour le mouillage et la configutation survie pour la navigation), n'est-ce pas la solution d'avenir idéale ? un retour de la bonne vieille chaloupe ...

Dans ce cas, que fait-on du radeau de survie ? on l'accroche à la chaloupe ? ceinture et bretelles ...

Olivier

29 déc. 2009
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Les deux peut être...
Selon moi, cela dépend vraiment de la situation. Dans mon cas, avec un naufrage à 2 milles de la côte, l'annexe à voile ou à moteur aurait été salvatrice. Mais nous étions jeunes et fauchés...
Le seul intérêt des radeaux est de te protéger efficacement du froid ou du chaud. C'est important.
Sur Terralie nous aurons donc un canot + une annexe. Mais cette annexe ne sera pas gonflable. Très légère en bois époxy renforcé verre et carbone sur le même principe que l'annexe gonflable. Caissons carrés au lieu d'être rond, matériel de survie, mats et voile. Sa place sera à l'arrière du dériveur, au-dessus de la jupe. Par expérience, je sais que les grosses annexe avec planché alu etc., indispensable en grand voyage, sont très rarement démontés, alors autant aller vers l'efficacité de quelque chose bien conçu et polyvalent.
Qui peut le plus peut le moins.
Mais il est vrai que selon le bateau et le programme, une solution est mieux adaptée qu'une autre. Cependant attention: On peut avoir un problème très près de la terre qui nécessite les mêmes moyens qu'au large, vhf, gps ou pas!
Michel

29 déc. 2009
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Crois moi
Le radeau avec tente, c'est impressionnant comme c'est sécurisant à l'intérieur. Il faut absolument garder les deux, attachés entre eux d'une manière absolument sure, à moins d'avoir une annexe prévu très sérieusement pour ça;-)

29 déc. 2009
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se protéger de la pluie et des embruns
c'est bien le but de la tente. Je m'en passerais difficilement en Atlantique, meme en été !

29 déc. 2009
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C'est intéressant de comparer ...
... le récit de la Fastnet 79 à celui de Sydney-Hobart 98.

Lors de la Fastnet 79, plusieurs équipages ont embarqué sur le radeaux de survie après un ou plusieurs chavirages alors que leur bateau flottait encore.

Il y a aussi eu de nombreux chavirages et des bateaux salement amochés lors de la Sydney-Hobart 98. Mais quasiment tous les participants sont restés à bord de leur bateau, en soulignant la lecon de la Fastnet 79: on n'embarque sur un radeau de survie que s'il faut faire un pas vers le haut.

6 morts lors de cette Sydney-Hobart. De mémoire:
- Une crise cardiaque après chavirage
- Une noyade becoz coincé dans le cockpit sous le bateau retourné
- Une autre noyade becoz blessures graves suite à un chavirage
- 3 disparus après avoir embarqué dans un radeau. La coque s'est semble-t-il fendue après être tombé d'une vague. Le bateau a coulé rapidement et l'équipage a attendu le dernier moment pour embarquer sur les 2 radeaux. 6 autres équipiers sauvés.

Vu les conditions, ca m'a parut peu de victimes au bout du compte ...

29 déc. 2009
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le canot de survie
est un des éléments de la chaîne de survie et pas le moindre.Comme la mer est la même au large ou près des côtes alors choisir un modèle offshore type B (double fond)pour quelques centaines d'euros supplémentaires répartis sur 15 ans.
Puis amha le plus important est la réduction du temps de recherche des secours avec 2 aides: la VHF/ASN qui donne la position éxacte du navire au moment de l'abandon et la balise EPIRB qui "traque"la route du radeau.
La meilleure chance de survie est de jamais avoir de l'utiliser
Bonne année 2010 à Tous
André

31 déc. 2009
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utile, témoignage d'un collègue
Ce que je raconte est arrivé à un collègue cette année, son bateau à eu une voie d'eau, ils ont pompé, et essayer de colmater la fissure, mais le bateau se remplissait toujours plus, puis celle ci s'est agrandi et le bateau s'est rapidement rempli, tellement rapidement qu'il n'a pas eu le temps de couper le bout qui tenait l'annexe derrière le bateau ils ont sauté à l'eau pour grimper dans le radeau de survi.

Pour être précis, il n'a pas eu le temps d'enlever le noeud qui relié l'annexe au bateau et il n'avait de couteau sur lui, pas le temps de le prendre.

il ne pensait pas que le bateau allait couler si rapidement.

cela les a sauvé dans leur cas, pas eu le temps non plus s'appeler à la vhf, celle ci était sous l'eau, c'est d'un tel portable qu'ils ont demandé de l'aide une fois dans le radeau.

31 déc. 2009
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Merci pour ce témoignage
qui qui montre une fois de plus que chaque naufrage à sa particularité et que ce qui est valable pour les uns ne l'est pas forcément pour les autres!
bonne année à tous,
amicalement, Michel ;-)

31 déc. 2009
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Armagnac dans le Raz Blanchard
Il y a quelques mois, un Armagnac a coulé dans le Raz Blanchard après qu'un bouchain ait éclaté.

Je n'en sais plus sur les circonstances, peut être est ce le cas relaté précédemment par Maritoine?

01 jan. 2010
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en effet, c'est lui
ils étaient 3 à bord, le bateau tapait, dans une mer qui était assez haché. dans ce passage la mer est souvent désordonnée et y a pas souvent le choix du cap pour être plus confortable, car il faut bien passer.

une fissure est apparu, ils ont un mis un sac à voile contre la cloison et sa compagne s'est assise dessus, pour que cela rentre moins vite.

La VHF fixe etait fixé en position basse,(sous la couchette il me semble) c'est pour cela qu'elle sait retrouvée noyée.

Il n'y avait pas de panique à bord, la situation était génante c'est le moins que l'on puisse dire mais pour l'instant l'équipage gérait la crise, mettre le hord bord en route pour aider le cap et passer au mieux dasn les vagues, pomper l'eau et sortir du raz au plus vite pour retrouver une mer plus clémente.

l'équipage (jeune) avait déja pas mal navigué, connaissait bien le coin, et le proprio bien le bateau pour l'avoir restauré. je crois même qu'ils avaient du aller au scilli 2 ou 3 mois avant avec ce boat.

31 déc. 2009
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1980 l'idée des survies dynamiques fait son chemin
mais le chemin doit être particulièrement long car actuellement il n'y a pas de survie dynamique sur le marché, seulement des bidouillage de navigateur +/- réfléchis

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j'ai choisi la survie dynamique a voile
apres avoir percuté sans reussite deux survie dans mon jardin !(de deux marque differente )

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homologué
bien sur que non ,mais il vaut mieux etre vivant dans une annexe non homologuée ,que mort noyé a coté d'un radeau homologué degonflé ! ;-)

31 déc. 2009
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tu es
dans le vrai mais es-ce homologué

03 jan. 2010
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je suis bien d'accord avec toi
pour l'avoir essayée à deux et seul à bord mais que dire aux bleus quand ils te demandent le tampons de contrôle? c'est une des raisons qui me fait demander le pavillon Belge dans qq jours, la finalité revendre la mienne et acheter la même

04 jan. 2010
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et
incroyable à l'arrivée tu risques un PV :-D

31 déc. 2009
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Précision
Suite à mon naufrage, il y a une chose que j'ai toujours avec moi, c'est une balise de detresse. Maintenant j'ai la balise perso Fastfind et vu que là où je navigue, l'eau est à 26 minimum, et que j'ai toujours un ou deux kayaks en plus de la survie, je ne suis pas stressé.

02 jan. 2010
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Synthèse des post précédents :

En remontant sur 35 années, nous n’avons recensé que 5 cas d’utilisation d’un canot de survie en navigation proche des côtes française :
Shpountz, le cas de Pepperbox sans doute, Aile Blanche, Iroquois et celui d’un Armagnac coulé dans le Raz Blanchard.

Ce chiffre est à rapprocher des milliers de canots de survie qui équipent nos voiliers.

D’autre part, la majorité des utilisations du canot de survie recensées ont eu lieu en course ou au large.

Sauvés GRACE au canot de survie :
En CROISIERE:

-SHPOUNTZ 44 en bois moulé avec deux convoyeurs à bord entre Gijon et Bordeaux durant l'hiver 2008.

  • "Le Gin Fizz est parti au fond entre les Baléares et la Sardaigne (10 établi, sanci, capots arrachés). Pas de balise, 72h pour être récupéré."

  • Pepperbox : "un adulte avec un enfant sauvé grâce à la survie.
    Suite à un choc, la coque avait un trou d'au moins 60 cm de diamètre et à coulé en quelques secondes ..."

-Aile Blanche coulé à 2 milles de la côte en Méditterranée

-Cata Iroquois (9m)," flotteur en tête de mat, ca se couche. On a vérifié que la survie marchait et on est monté dedans en restant accroché par un bout au bateau (plus facile à repérer), mais à la nuit ca devenait scabreux. Le vent étant d'ouest entre 7 et 8, à 70 milles de la cote, on pouvait espérer dériver à 2 nds et retrouver la zone des chalutiers en 24 heures. En réalité, la balise a fait qu'on a été récupéré 12 heures après l'avoir activé."

  • 2009 Armagnac dans le Raz Blanchard

Total : 16 personnes sauvées.

En COURSE:
- (Course de l'Aurore ou Figaro- année 1980?) Luc Berthillier sur son proto Joubert qui a coulé rapidement dans des conditions ordinaires en approche du Fastnet en mer d'Irlande. Il a dérivé ensuite prés de 8 jours dans le sud-ouest de l'Irlande.

  • (Course de l'Aurore année 1980 ou 81 ) W.Borel sur son Eglantine en alu qui a coulé rapidement dans des conditions banales en Manche - Si ma mémoire est bonne, son Bib ne s'est pas ouvert et il a été récupéré par un bateau proche . A noter que le même navigateur avait déjà coulé quelques années auparavant sur son vieux cotre aurique…

  • (Ostar début 80) SUNSHINE à B.Mothes Masse du coté des Açores. Je ne me souviens plus du détail.

  • (Ostar début 80) SUNSHINE à XXXX au milieu de l'Atlantique. Je ne me souviens plus du détail.

-Sydney Hobart 1998 : « 3 disparus après avoir embarqué dans un radeau. La coque s'est semble-t-il fendue après être tombé d'une vague. Le bateau a coulé rapidement et l'équipage a attendu le dernier moment pour embarquer sur les 2 radeaux. 6 autres équipiers sauvés. »

-Mini-Transat 6.5m « Napoléon Solo »
Steven Callaghan, concurrent d'une mini-transat raconte son aventure dans "A la dérive 76 jours perdu en mer" et la façon dont il a survécu durant les 76 jours qui ont précédé sa récupération par des pécheurs de Marie-Galante.

  • GUIA IV, plan Miller de 13 m en bois moulé, lors de l’étape Rio de Janeiro-Portsmouth en 1975. Coulé par un orque au large du Brésil.

Total : 16 personnes sauvées.

Dans le MONDE depuis 1972 :
- un J 120 skippé par une francaise, jaumiere détruite suite à chocs répétés avec baleines étaient déjà en hypothermie apres 4 heures
- A.Gliksman au large des Bermudes avec 2 équipiers. Son trimaran Kelsall à la cape à chaviré par l'arrière. Plusieurs jours de dérive dans le canot.

  • la famille Bazin sauvée au large de Trinité-et-Tobago après 3 jours de dérive en radeau. Ils avaient dû quitter leur catamaran en urgence, un Hobart 900

-Patrick Van God et Wendy,
-Yves Jonville,
- les Bailey ...

DISPARUS A CAUSE du canot de survie :

  • GRIMALKIN, est un Nicholson 30 qui a été roulé et démâté. Son propriétaire, blessé et considéré comme mort, est resté à bord en compagnie de deux autres équipiers. La cabine remplie d'eau, le fils du propriétaire et deux autres équipiers ont embarqué dans le canot de survie. On ne les retrouvera jamais.
    Les 3 équipiers restés à bord ont été sauvés, pas les trois sur le bib.

  • TROPHY était un Oyster 37 de 12.m avec 8 équipiers à bord et trois des 6 équipiers à bord du radeau de survie ont été hélitreuillés mais les trois autres ont disparus. Le propriétaire, resté à bord, fait partie des survivants.

  • "l'équipière d'un Fisher 37 (fifty) dont les vitres de la passerelle ayant été brisée, son mari lui a ordonné d'embarquer dans le bib qui s'est détaché. On ne l'a jamais retrouvée. C'était il y a une dizaine d'années dans le Golfe de Gascogne."

Total : 7 personnes perdues.

Je suis convaincu que d’autres exemples existent en France mais ils ne doivent pas être nombreux.

En effet, j’en ai parlé à plusieurs amis comptant chacun plus de trente années d’expérience et nous avons « tourné » autour des cas que nous connaissions déjà. Du Havre à St Nazaire, il est certain que si nous avons oublié quelques cas, cela reste anecdotique.

Ce qui en vient à poser l’efficacité réelle des canots de survie, objet de ma question.

Nous sommes en 2010, n’existerait t’il pas d’autres solutions plus efficaces ?

Faisons travailler nos ménages et gardons l'esprit ouvert. A suivre.

03 jan. 2010
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Un peu de sémantique.
Je persiste.Dans les cas, cités précédemment, de décès du fait de l'utilisation d'un canot de survie, posons mous une seule question: que ce serait il passé si les équipiers n'avaient pas eu de radeau à leur disposition?

Ils seraient restés à bord et auraient été sauvés; On ne peut donc remplacer à cause par malgré.

"Pousse Rapière" était un First 30 mais je ne souvenais plus des circonstances. On peut seulement s'étonner qu'un First 30 coule sans avarie de structure... Il suffisait peut être de bloquer les panneaux de descente...

Je rappelle aussi qu'il m'est arrivé de trouver par calme plat un équipage réfugié sur son canot de survie à quelques dizaines de mètres de son voilier! Ils avaient paniqués et craignait que leur voilier ne prenne feu!

Que ce serait il passé s'il y avait eu du vent?

Par ailleurs, il ne s'agit pas de naviguer sans moyen de sauvetage mais d'imaginer d'autres moyens. Je précise qu'il y a 15 jours, je ne me posais pas vraiment la question en dehors du fait que je trouvais abherrant de posséder une survie sur un catamaran quand on connait les difficultés que cela pose quand l'on veut les couler volontairement...

Mais ce fil a fait évoluer ma réflexion. Et ce qui est bon pour la pêche ne l'est pas obligatoirement pour la plaisance. D'autre part, nous sommes en 2010.

02 jan. 2010
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Interprétations...
Au lieu de "disparus à cause du canot de survie", il faudrait dire "disparus malgré le canot de survie".
Il se trouve que, dans les cas évoqués, les canots de survie n'ont pas permis de sauver les personnes embarquées à leur bord.

De mémoire, on peut ajouter une personne sauvée par son canot de survie , le propriétaire de "Pousse Rapière", un Symphonie je crois, il y a une douzaine d'années. Dans le mauvais temps, après plusieurs éjections du propriétaire et de sa femme, attachés par leur harnais (d'où l'intérêt d'être attaché assez court pour rester à bord), épuisement du skipper qui ne parvient pas à remonter sa femme à bord, elle meurt attachée au bateau. Pour autant que je me souvienne, il finit par embarquer à bord de sa survie qui s'échoua sur la plage d'Aytré. Je crois que l'on n'a jamais retrouvé le bateau.

Il reste que, lorsque le bateau coule ou qu'il brûle, il n'existe pas d'autre solution que d'embarquer à bord de la survie, seule chance d'être sauvé. Même si les survie ne sont pas parfaites, on peut préférer un moyen pas totalement parfait que pas de moyen du tout.

J'ai encore vu quelques sauvetages réalisés récemment avec les survies dans le bulletin de la SNSM ou le blog du CROSS.

03 jan. 2010
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Pour coroborer
ton analyse, relire le livre de Louise Longo: "Elle dort dans la mer..."

Ou il semble assez clair que le skipper à perdu les pédales età fait évacuer le bateau prématurément, dans des conditions de quasi panique, sans prendre de nourriture mais en prenant des cigarettes et de l'alcool......

Le voilier fut récupéré et remorqué 10 jours avant la survie......

Conséquenses: décès du skipper et de sa gamine !

Seule Louise Longo à eu la force morale de survivre !

C'était début Octobre 1994, au large de la Galice.

03 jan. 2010
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daniel
à ma connaissance pousse rapiere etait un impensable, , bois moulé avec roof assez proéminent et autres sources de fuite
ce n était pas un First 30, j'ai du mal à imaginer le genre de mer qui pourrait détruire un First 30
Ma source est le voiles et voiliers fortunes de mer

par ailleurs le cas du J 120 que je rapporte est sans ambiguité aucune, il y aurait eu mort d'hommes et de femmes, c'était il y a 2 mois à 30 milles des cotes du nord du mexique au sein d'une flotte de 200 bateaux en rallye !

04 jan. 2010
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Sémantique toujours...
Les exemples cités par viking35 ne démontrent pas que la survie est responsable de la mort des navigateurs, mais que c'est son usage anticipé ou erroné qui est responsable... pas le même procès : dans un cas on met en accusation un matériel ou sa conception, dans l'autre son usage.

04 jan. 2010
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en projet
de navigation longue, je me demandais justement si une balise personnelle serait plus appropriée qu'une fixe.
Elle serait normalement toujours sur moi, autour du cou une poche ?
est-ce ce que tu fais ?
JJ

03 jan. 2010
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Si j'en crois les exemples cités au-dessus
Le principale problème de la survie est qu'elle est très peu visible sur l'océan et certains dérivent très longtemps. Une petite balise de détresse personelle (moins de 500€) ne devrait-elle pas être systématiquement achetée et mise dans le grab-bag afin de démultiplier l'efficacité de la survie ?

03 jan. 2010
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Parmis ceux
qui sont restés le plus longtemps a bord de leur bip les Bailey :117 jours !
D'un autre coté il y a une vingtaine d'années nous faisions du charter et donc à bord nous avions une survie classe 1 .Aprés une grande revision à 10 ans, changer tout ce qui se trouvais à bord (bouteille ,ration,eau absolument tout),suivi d'une revision standard l'année suivante.
La survie est arrivée à 12 ans et nous avons essayé de la gonflée :devider le cordon et tirer,rien ! tirer plus sechement :le bib glisse (un classe 1 10 places !)deux personnes retiennent le bip et re traction sur le bout le bip decolle du sol mais :rien.
Finalement on ouvre et on declenche la bouteille à la main : miracle le bip se gonfle...a moitié et un geyser de cristaux de glace jaillit ,le raccord du deuxieme boudin n'est pas serré !
Et parmis le matériel des produits hors d'ages pourtant factués comme remplacés...
Je dois encore avoir des diapos.
EN mer, par mauvais temps ils ne nous rester que quelques minutes à pester contre ce p.... de bip.
C'est utile quand ca marche et que cela ne ce delite pas trops vite,pour ma part je prefere une annexe rigide concue pour.

03 jan. 2010
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Pour notre part
nous avons actuellement une annexe rigide de 3,30m et une survie 10 places classe II qui arrive en fin de vie.
Je suis donc en train de coucher sur le papier notre prochaine ax :
- de préférence en alu, longueur env. 3,8 m, coffres étanches, réserves de flottabilité, arceau avec flottabilité pour le redressement, système de tentes à poste rapide à gréer, ceinture de petits pare battages à poste, couleur jaune fluo (comme les ambulances Allemandes)...etc,la présence d’une (fausse) cheminée sur notre bateau nous oblige à une forme « catamaran » à l’arrière, avons un temps envisagé un cata mais l’auto-redressement et plus dur à resoudre
Suis ouvert à toutes idées intéressantes pouvant faire avancer le smilblick.
Pour avoir naviguer au commerce ,je prefere de loin un canot à un bip,reste le probleme du poids de l'ensemble,mais si j'avais un peu plus de place une "caravelle" customisée serait le pieds !!!

03 jan. 2010
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La sécurité
est une affaire personnelle. Ce n'est pas l'administration qui nous oblige à ceci ou cela qui met les fesses dans nos bateaux.
Sa position est nette : Pas de survie dynamiques.
Pourquoi ? Parce que la règlementation est développée pour la majorité et la majorité n'est pas votre cas ou le mien. La majorité est celle qui navigue en statistique sur une moyenne, vous le savez de quelques heures par ans. Donc l'administration se moque totalement de votre cas personnel au point qu'elle pourrait tout à fait être menée devant un tribunal européen avec de bonnes chances de perdre.
Nous ne sommes pas prêts d'avoir des canots de survie homologués sur nos bateaux !
Comme c'est nos fesses que nous promenons sur nos bateaux ainsi que celle de nos familles et pas celle des ronds de cuir qui décide pour nous en fumant un cigare, il faut faire un bras d'honneur à cette administration, trouver et mettre en place une survie vraiment efficace. Cela veut dire qu'il faut se poser la question du pavillon (hélas) pour sortir de cette dictature, ou être hors la loi pour se protéger.
Je vous rappelle qu'Alain Bombard qui est à l'origine de canot de survie avait un engin dynamique !!!

03 jan. 2010
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épique
je connais 2 cas perso sauvé par la survie
1 un chassiron coulé par un orque au large des galap
3mn aprés, ils étaient trois ds la survie, et 14jours après récupérés par un cargo russe (relaté ds VV en 93)...
mais eux aussi me l'on dit, avec une semaine de plus, la survie n'aurait pas tenu?
en 2010 sont-elles plus performantes?

perso je préfère la survie dynamique-bricolé (je parle pour un tour du mondiste), en cotière elle a sauvé de nbreuses vies dont le deuxième cas que je connais, ils se marièrent ds la survie et jurèrent de repartir...sauvés
:-)
il y a aussi le voilier insubmersible/...ma solution préférée
;-)

04 jan. 2010
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helicoptere
Il ne faut pas se fier à ces délais. Cela peut être considérablement plus long selon le disponibilité des moyens. En Manche et Bretagne, on peut être épaulé par les moyens anglais ou anglo-normands, ce n est pas le cas en Gascogne et en meditéranée. C est pour cette raison que le Bib restera le moyen le plus immédiat et plus sûr pour survivre à un navire qui coule.

04 jan. 2010
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Toujours les délais...
En principe, les équipages de la SNSM sont prêts à prendre la mer en 10mn.
Pour ce que je connais, c'est à dire les côtes de la manche et Mer du Nord, le maillage des moyens de sauvetage est très serré, avec une gestion en fonction des sorties possibles compte tenu de la marée.

Pour les hélicos, pratiquement chaque département dispose d'un "Dragon nn". S'y ajoutent les hélicos de la Royale basés à Cherbourg et, en cas de besoin, les moyens d'Aurigny (canot tous temps), Guernesey (canot tous temps, hélicos et avions avec détection infra rouge donc recherche de nuit possibles), Jersey.

On doit y ajouter tous navires sur zone en cas d'alerte pan pan ou mayday, plaisance, pêche, commerce (600 navires par jour en transit plus 120 ferries dans le Pas de Calais et une quinzaine entre la côte anglaise et les côtes normandes (Le Havre, Ouistreham) ou bretonnes (Roscoff, St Malo)

Nous bénéficions donc d'un réseau de secours très serré qui améliore les chances de récupération rapide en cas de pépin.

04 jan. 2010
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helicoptere
Les hélicoptères "Dragon" ne sont pas dédiés au sauvetage maritime. Ce sont des hélicoptères de la sécurité civile, donc s'ils sont déjà employés à une autre mission, et que le Dauphin de la marine est indisponible ou employé sur une mission de la marine nationale, vous aurez le temps de tremper si vous n'avez pas de survie.
En Méditerranée, les délais ne sont pas forcement plus long, bien que les moyens soient très solicités, mais vous n'avez pas de moyens anglos-saxons et il y a plus de mer à courir, c'est pour ça que les délais "peuvent" être plus long.
Je ne connais pas précisément le sauvetage maritime en méditerranée, en théorie il y a un partenariat avec les pays limitrophes, mais je n'ai jamais entendu parler d'hélicoptère espagnol ou italien ayant hélitreuillé des naufragés dans les eaux françaises.

04 jan. 2010
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En principe...
" En principe, les équipages de la SNSM sont prêts à prendre la mer en 10mn." C'est effectivement ce qui est dit.

Dans la pratique, au moins dans notre région, ce n'est pas toujours le cas.

Deux exemples:
-Si cet aprés midi, un sinistre a lieu au Cap Fréhel à l'ouest de St Malo. C'est l'hélicoptère basé à Granville qui sera sur zone 20 mn après.

En supposant qu'ils puissent sortir (nous sommes en marée basse de vives eaux et le port est fermé), le canot SNSM de St Malo ou la vedette de Dinard, mettraient de toute façon au minimum 45 mn pour arriver sur zone.

  • Si une alerte est déclanchée en Rance à 10 km de St Malo, il est en pratique plus efficacede faire appel aux pompiers de St Malo qui mettront 15 à 20 mn pour être sur l'eau qu'à la station SNSM locale dont la vedette est au mouillage.

Le temps que les bénévoles rejoignent l'annexe pour se rendre à leur vedette au mouillage est supérieur au temps que met l'hélico de la Sécurité Civile de Granville pour être sur zone!

Par ailleurs, renseignement pris en Méditterranée, les temps d'interventions ne sont pas plus long qu' en Manche. Comme partout, il arrive que deux sauvetages soient simultanés. Dans ce cas, un autre hélico ( gendarmerie, marine...) prend la relève.

04 jan. 2010
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Hélicoptère
"il reste évidemment celui de la gendarmerie. "

?????

Les moyens de la gendarmerie départementale ne sont pas employés par les Cross.
Il arrive rarement que celui des douanes soit sollicité, mais certainement pas celui de la gendarmerie, sauf très rare concours de circonstance, et de mémoire, je n'en ai pas à vous citer.

04 jan. 2010
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Sauvetage en France: interventions en 45 mn
Je crois aussi qu’il faut raisonner différemment selon que l’on navigue comme 95% des plaisanciers, c'est-à-dire à moins de 50 milles des côtes ou au large.

En lisant les rapports du CROSS, vous constaterez que les hélicoptères de la Sécurité Civile interviennent à 50 milles de leur base entre 30 et 45 mn après l’appel de détresse.

04 jan. 2010
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Délai d'intervention sauvetage
Ce que dit Frablo est intéressant.

Je me suis fié à ce que je connais, c'est à dire aux rapports d'intervention des Cross Corsen et Jobourg.

Peux tu nous indiquer pourquoi les délais seraient plus long en Méditerranée?

04 jan. 2010
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Et les ferries et NGV
entre les côtes GB et les anglos, ce qui représente pas mal de navires sur zone en cas de pépin.

04 jan. 2010
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Exact Frablo, mais...
par expérience, lorsque je navigue dans ce secteur, je peux suivre les opérations à la VHF et je n'ai jamais eu l'impression d'une non disponibilité des hélicos.
Ils ne sont, heureusement, pas utilisés à 100% de leur temps et les missions sont en général courtes, sauf recherche en mer.

04 jan. 2010
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C'est le CROSS qui organise l'opération
en optimisant les moyens en fonction de la situation du moment.
Il est évident qu'il ne lancera pas l'opération avec le canot de la SNSM qui ne peut pas sortir faute d'eau.
Et si l'hélico de la protection civile est indisponible, il reste évidemment celui de la gendarmerie.

En côtière, les secours sont en fait rapides. A nous de ne pas les déclencher pour rien.
Encore que des patrons de stations SNSM m'ont toujours dit qu'il valait mieux déclencher une alerte pas tout à fait justifiée que l'inverse et qu'ils ne font pas la tête si leur intervention ne s'avère pas nécessaire finalement.

04 jan. 2010
1

Complément au bib
Bien que ce ne soit pas vraiment en rapport avec la question initiale du fil, je pense qu'une EPIRB ou une PLB est maintenant le complément presque indispensable au bib, même en navigation côtière.

Naturellement, à ne déclencher qu'à bon escient, c'est-à-dire s'il y a menace sur la vie.

04 jan. 2010
0

Réflexion
Pour les tenants de la survie dynamique (= + ou - un dériveur) quid de la tenue par très gros temps : les cas cités plus haut de chavirages de survie malgré la présence des sacs de stabilisation (environ 400 l d'eau pour une six places) laissent craindre des dessalages à répétition; Le cas est différent si on considère uniquement l'évacuation d'un voilier par temps maniable suite à voie d'eau ou incendie dans un endroit loin de tout.
Je voudrais ajouter avoir évoqué le cas de la survie mixte servant d'annexe avec des spécialistes : aucune solution satisfaisante n'a pu être trouvée à ce jour : trop cher et trop lourd pour une annexe (bouteille, tente), problèmes de vol et d'état quand nécessaire. Le seul fabriquant qui en proposait une (Tinker en UK) l'a retirée du catalogue : 2 vendues en 5 ans...
Je crains que ça ne s'applique aussi à une survie/annexe rigide.

07 jan. 2010
0
  • ou moins un deriveur relire les Robertson qui ont survecus , à 6, grace à leur petite ax apres que leur survie ce soit desagregée,ou les Bailey dont l'annexe ne s'est pas plus retournée, bien au contraire ,que leur survie,ou encore l'annexe de Trismus qui leur a permis de rejoindre la cote bresilienne...etc
04 jan. 2010
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écumeur tu rectifies si je me trompe , mais en baie de seine ,
je crois que les hélicos des pilotes ont un contrat d'assistance avec le cross ?
209.85.229.132[...]/search

04 jan. 2010
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hélicoptère
"je crois que les hélicos des pilotes ont un contrat d'assistance avec le cros"

??????

Le pilotage est une entreprise privée, à ce titre le Cross ne peut demander à ce type de moyen d'intervenir sans rémunération.

D'autre part, il n'y a de contrat d'assistance pour le sauvetage entre le cross et une entreprise privée.

05 jan. 2010
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attention
Ne pas confondre article de presse et réalité....
L'article est déjà quelque peu nuancé, parle des hélicoptères au futur, et parle d'assistance, et surement pas de sauvetage.
Connaissant les administrateurs pour avoir travaillé avec eux, je ne pense pas que l'un d'entre eux ait signé un contrat avec une entreprise privée, ce serait la porte ouverte à d'autre type de contrat, avec des compagnies spécialisées.
ceux qui naviguent du Côté de Granville et St malo ont certainement déjà entendu une conversation VHF entre un particulier en difficulté et l'entreprise Malouine "Ocean XXX", comprendront donc de quoi je parle.
D'ailleurs, qui pourrait me dire où travaillent les patrons de la vedette du Havre ? je n'ai qu'un vague souvenir mais..... ;-)

05 jan. 2010
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non
Ce n'est plus le cas.
Il me semble qu'il y a eu un accident mortel il y a quelques années, je ne saurais dire si la fin du partenariat est suite à cet accident, ou tout simplement à cause de contraintes techniques.

06 jan. 2010
0

Sauvetage privé

« ceux qui naviguent du Côté de Granville et St Malo ont certainement déjà entendu une conversation VHF entre un particulier en difficulté et l'entreprise Malouine "Ocean XXX", comprendront donc de quoi je parle »

Le sauvetage privé existe depuis plus d’un siècle. Il est basé sur le principe du « no cure, no pay ».

Dans le cas dont parle Frablo, il vous faut savoir qu’une SARL dont l’activité est l’assistance aux plaisanciers existe depuis quelques années dans la baie de St Malo.

Ses clients abonnés sont assurés d’une assistance rapide pour leurs petits soucis . Evidemment, leur bateau en patrouille croise de temps à autre, un plaisancier non client en difficulté « ordinaire » (panne de moteur, mouillage coincé…) qui aimerait bénéficier de leurs services gracieusement.

A noter, que nombre de bénévoles de la SNSM locale voit, ou voyait d’un mauvais œil leur activité, considérant qu’elle leur faisait concurrence ! Alors que cette société ne s’occupe pas de sauvetage proprement dit, ce qui, justement, leur est parfois reproché !.

Je n’ai pas entendu parler de problème grave et il me parait évident qu’en cas de danger imminent leur bateau sur zone interviendrait.

Mais tout le monde n’a pas la même notion de problème grave. Pour beaucoup, c’est une simple panne de moteur qui empêche d’être dans les délais à l’écluse…

05 jan. 2010
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frablo , ce que j'en dis .............
www.havre-presse.fr[...]scousse

contrat de partenariat......

05 jan. 2010
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contrat avec le cross
Bonjour Frablo,

il y a 15 ans le cross avait un contrat avec helli service, j'ignore les termes de celui ci, mais ce derniers était à sa disposition, ou du moins si il n'etait pas en vol pour déposer ou prendre un pilote, il était ensuite aux ordres du cross. cela était immédiat et généralement l'équipage (avec un plongeur) répondait présent trés rapidement.

si ils étaient en vol, dans la minute, sinon le temps qu'ils se préparent je dirai 15mn maxi.

Une équipe vraiment efficace et qui répondait toujours présent et ceux de jour comme de nuit.
Vraiment un grand bravo à eux, une réactivité hors pair, du travail de qualité.

j'ignore si ce type de contrat existe tjrs.

05 jan. 2010
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J'ai fait une excursion sur le site du Pilotage du Havre
Ils citent également l'article indiqué par STP. C'est donc du sérieux.
Le pilotage du Havre dispose d'un Dauphin AS 365 utilisé pour la mise à bord ou débarque de pilotes (1800 par an dont 400 appontages en 2007) par appontage ou hélitreuillage.
C'est donc un moyen supplémentaire à disposition du CROSS, qui s'ajoute au Dragon 76 (+ départements voisins), à l'hélico des douanes et aux hélicos de la Royale basés à Cherbourg.
La station du Havre s'est dotée d'un hélico en 1976, lors de la mise en service du terminal pétrolier d'Antifer car il faut aller chercher des supertankers jusqu'à 25 milles au large.
Je n'ai pu trouver les causes du crash de septembre 2005 où le pilote de l'hélico et un pilote perdirent la vie.

La station de pilotage est autogérée et assure une mission de service public sous contrôle des AFFMar.

Le pilotage fut initialement créé par un règlement de Henri II du 15/7/1551. C'est donc une vieille affaire.

Compte tenu du statut particulier du pilotage du Havre (et autres ports of course), ce n'est donc pas un problème qu'il soit appelé en renfort sur certaines opérations de sauvetage ou d'assistance.

06 jan. 2010
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un témoignage émouvant de la skippette du J 120 coulé par une baleine
il y a quelques mois

la manière dont elle a géré et la discipline des équipiers est exemplaire

c'est une professionelle

ils n'ont passé que quelques heures dans le radeau mais vu qu'ils sont entré trempés et que l'eau est froide au sud Californie et nord Mexique ils étaient en hypothermie

Sans radeau, malgré epirb hélico etc ils étaient mal

Il faut downloader
www.latitude38.com[...]12.html

Vous pouvez choisir le numéro de décembre en une fois ou deux

C’est page 102 à 107, "surviving the nightmare"

06 jan. 2010
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En 2010, nous avons des combinaisons de survie...
D'ou l'intérêt des combinaisons de survie... ( 500 euros )

07 jan. 2010
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Balise de détresse, combinaison de survie, air bags...
"ça me fait réfléchir car j'avais tendance à prendre un peu de recul par rapport à l'interet de l'objet dans de la semi cotiere ..."

Et bien, nous sommes en phase... et ce fil m'a fait aussi réfléchir sur les moyens de secours actuels les plus efficaces.

Soyons pragmatiques et les canots de survie nous paraitront bientôt inutiles .

Zodiac et Plastimo ne seront pas d'accord et il faudra plus de 20 ans avant que l'idée ne fasse son chemin... mais rien ne nous empêche de naviguer sous un pavillon européen.

07 jan. 2010
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Solutions alternatives...réfléchissez
Je raisonne en terme d'efficacité mais le budget pour une combinaison de survie correspond à celui de la révision des 3 ans d'un bib... et dans un fil prochain, je vous proposerais une solution alternative qui fera débat j'en suis sur...

A vous aussi d'y réfléchir.

07 jan. 2010
-1

Tout à fait d'accord.

Mais, si l'on admet que le risque 0 n'existe pas, que pour des voiliers jusqu'à une certaine taille ( ou plutôt quel poids ) il est possible de les rendre insubmersible.

Compte tenu de l'infime pourcentage de voiliers qui coulent totalement, je préfère barboter dans mon voilier au 3/4 rempli d'eau que dans un canot dont on sait que, de toute façon, on est trempé et qu'il chavire facilement dès que la mer est formée.

En plus, je sauve mon bateau.

Evidemment, je raisonne pour une navigation à moins de 100 milles de côtes européennes.

Pour les bateaux à moteur (risque d'incendie ) ou la navigation au large, les canots de survie me semblent garder leur intérêt.

07 jan. 2010
2

petit à petit

une strategie chasse l'autre .Dans un premier temps c'était etre autonome , ne compter sur personne pour etre secouru , faire tout pour se sortir de la m... seul et en dernier ressort mais juste avant de boire la tasse se resoudre à demander de l'aide.Et c'était la honte , le queue entre les jambes

maintenant trop tard pour l'heure de l'apero ,hop telephone, vhf, balise...venez me chercher svp. et encore parfois sans svp.

Alors à quoi bon avoir un bib ...autant la remplacer par une balise

josé

07 jan. 2010
0

possibilite
Etant donné qu'il est recommandé de ne quitter son navire qu'en dernier ressort, il y aurait une possibilité qui je pense rendrait bien des services.
Ce serait des volumes gonflables alimentés par bouteille et actionnés à la main.
par exemple, un à l'avant un à l'arrière maintiendrait le bateau à l'eau.
Je ne pense pas que cela prendrait un gros volume, rien de comparable à nos survies, et avec un pliage adéquat il se développerait uniformément.
en prix, sûrement rien de comparable aussi à nos survies.
dailleur, si je conanissais une PME qui savait construire des volumes gonflables, je ne manquerai pas de prendre contact pour expliquer plus en détail cette idée.
JJ

07 jan. 2010
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Le risque 0 n'existe pas.
Bien sur que non, mais je ne connais qu'un voilier à avoir subit une explosion de gaz. ( Un Nicholson 55 anglais) et le voilier n'a pas coulé.

Par contre, les incendies sur des vedettes sont fréquents, me semble t-il.

07 jan. 2010
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Bravo...
Je n'imaginais pas que quelqu'un se souvenait de ce président du Conseil de la IIIième république disparu entre Jersey et St Malo sur un Cornu, je crois, dans les années 60.

Il était équipé d'un moteur à essence, donc c'est une supposition puisque ce fut une perte corps et biens. Mais il y a aussi quelques cailloux sur la route.

Mais on peut effectivement les rajouter dans la liste de ceux qui auraient sans doute aimé d'avoir un canot de survie...

07 jan. 2010
-2

Sur H&O, on se cultive...

Si l'on remonte à 50 ans, on trouvera bien dans le monde quelques voiliers incendiés et je crois que les feux de fritures sont nombreux en dessous de vaigrages souvent très proches du réchaud. Loin de moi, donc, l'idée de se passer d'un extincteur.

Mais l'intérêt de ce fil était de réunir nos connaissances. Force est de constater que nous avons retrouvés peu de cas de pertes totales de voiliers en Europe.

Pour ma part, parmi mes amis et relations, j'ai un ami à coup sur sauvé par un canot, un autre perdu faute de canot, un troisième dont le canot ne s'est pas gonflé et ait vu ( en Angleterre) seulement un voilier incendié partiellement.

Chiffres à rapprocher de mes 13 connaissances ou amis tombées et perdues en mer.

Je suis obligé de constater que cela fait peu de cas d'utilisation réelles par rapport aux nombres de canots en service.

Cela dit la vie humaine n'a pas de prix... et c'est un bon business pour certains.

07 jan. 2010
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J'attends avec grande impatience
Le fil prochain qui va faire débat , selon viking35. Il doit nous avoir trouvez une idée géniale pour se passer de bib. Plus qu'à attendre. Il va sans doute devenir très riche et célèbre. Léo

08 jan. 2010
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Un peu de logique...
en admettant que des volumes gonflables à l'intérieur d'un bateau puissent le rendre insubmersible, cela signifierait (dans le cas évoqué) que les coffres soient laissés vides afin de permettre l'expansion des volumes gonflables.
On voit difficilement devoir vider les coffres dans l'urgence avant de faire gonfler les ballons!
On a vu aussi à une époque l'idée d'une ceinture gonflable à l'extérieur du canote!
Toutes idées aussi farfelues les unes que les autres, le système étant inévitablement porté à se détériorer dans le temps, vieillissement, chocs, ragage etc...

Le principe du radeau de survie indépendant est tout de même plus rationnel, protégé par sa coque et placé dans un endroit d'où il peut être mis à l'eau instantanément. Pourquoi chercher à réinventer la poudre à canon alors que le système actuel a été adopté en fait dans tous les pays du monde, ou bien alors on présuppose que dans aucun de ces pays n'existe un génie capable d'inventer autre chose!

Heureusement, nous avons notre ami Viking 35 qui va nous sortir de notre situation à risque et rendra service à l'humanité navigante!

08 jan. 2010
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Il n'y a pas que chez nous...
que se posent des problèmes d'état réel du radeau et du matériel de survie.
Ils ont néanmoins tenu 9 jours avant d'être récupérés par un remorqueur, sans avoir eu le temps de lancer un Mayday!

08 jan. 2010
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Pour rester positif,
Il est intéressant, dans discuter, mais pour assurer la flottabilité d'un bateau de 12M soit environ 8T, on a besoin d'un grand nombre de système répartis dans le bateau, avec des bouteilles d'air dont le poids et l'encombrement seraient un handicap important. Le coût d'installation de cette usine à gaz, puis ses révisions à bord, le volume de rangement, (solidité indispensable),ça freinerais nos ardeurs .Seul les chinois pourraient sortir un dispositif à prix compétitif, mais comme je n'aurais pas confiance, je garderais mon bib. Léo

10 jan. 2010
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Daniel, Drum qui avait perdu sa quille était en alu je crois ?
en.wikipedia.org[...]_Le_Bon

While Duran Duran was on hiatus in 1985, Le Bon drew media attention when his maxi yacht, Drum, lost her keel and capsized during the Fastnet race, just off Falmouth, along the southern coast of Cornwall. Before being rescued, Le Bon and other crew members were trapped underwater, inside the hull, for forty minutes. Despite the accident, Le Bon and Drum went on to participate in the 1985-1986 Whitbread Round the World Race, coming in third overall in elapsed time. Le Bon and his partners eventually sold Drum; the events surrounding Drum and the races were chronicled in a 1989 movie entitled Drum - The Journey Of A Lifetime.

Twenty years after his accident, in 2005, Le Bon made public his desire to race again. During a touring hiatus in August 2005, Le Bon again raced Drum in the Fastnet race, borrowing the vessel from her current owner (the Scottish multi car garage owner Sir Arnold Clark) to participate, and raising funds for the RNLI charity. Unfortunately, Le Bon had to leave the race unfinished, as light winds were slowing Drum (and Drum's competitors), and would have delayed the boat's arrival at Plymouth, interfering with Le Bon's obligation to perform in Japan at a sold-out, 60,000-seat show.[2]

14 jan. 2010
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First 45 et ...?
Un ami m'a indiqué qu'un First 45 F 5 avait arraché son arbre d'hélice en prenant un casier. Cela se serait passé au moteur en arrivant à St Pierre de Guernesey. Ils ont été récupérés avant que le bateau ne coule par le canot de sauvetage.

Sans plus de précision, on m'a indiqué qu'un voilier de Lorient avait coulé au Portugal avec usage du canot de survie en 2009.

07 jan. 2010
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Daniel, tres bonne remarque mais la baja ha ha
où est arrivé l'accident est un peu l'équivalent de la route du jasmin,
toulon malte ou de la barquera aller retour,

tu crois que les équipages ont des combis de survie ??

et encore dans la baj ils ne s'écartent pas de la cote de plus de 30 ou 40 milles

dans le cas du J 120 je mes ens obligé d'admettre que sans bib il y aurait surement eu des victimes

ça me fait réfléchir car j'avais tendance à prendre un peu de recul par rapport à l'interet de l'objet dans de la semi cotiere ...

07 jan. 2010
1

Nous avons rarement,
Des combinaisons de survie sur les voiliers de croisières. Le budget pour un équipage est conséquent et elles ne remplacent pas le Bib c'est un + . Pour le moment viking35 tu ne propose pas d'alternative sérieuse à ce bib qui n'est pas parfait, mais qui me semble la moins mauvaise solution . Léo

07 jan. 2010
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La combinaison de survie
est, à mon avis, un moyen additionnel mais ne pourrait être considérée comme un moyen de base de sauvetage, même en côtière ou semi côtière.

On risque de barboter dans l'eau un certain temps, sans moyens de signalisation ni de repérage.

Je pense que, même en côtière, le radeau de survie est indispensable. Même à 2 milles de l'entrée d'un port, on peut devoir évacuer le yote d'urgence.
A bord de la survie, on dispose pour le moins d'un répit, on dispose de fusées (rien n'empêche d'embarquer la mallette de fusées du bord en plus), éventuellemnt d'une VHF portable, pour être récupéré rapidement.
Si on se trouve dans l'eau à barboter sans aucune protection thermique, le temps de survie en Manche est au mieux de quelques heures en été. En ce moment, la température de l'eau doit être "fraîche" (1,5° dans le bassin du port à Deauville mardi dernier) et la durée de survie se compte en minutes.

07 jan. 2010
1

Viking, que fais-tu....
lorsque ton bateau est aux 4/4 rempli d'eau et que, debout sur le rouf, tu as de l'eau à la ceinture... et encore pas pour longtemps?

Je pense que tu commenceras à rêver à quelque chose qui flotte et à bord de quoi tu puisses te réfugier... même si c'est imparfait!

08 jan. 2010
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SEVYLOR
Sevylor 69563 ST GENIS LAVAL CEDEX

07 jan. 2010
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Et Félix Gaillard?
Bien sûr, c'est très vieux. Qui se souvient de cet homme politique.

Il disparut avec son voilier, probablement explosion due à un moteur à essence. C'est ce qui se faisait à à l'époque, dans les années 60/70.

07 jan. 2010
1

Il y a 50 ans...
Si on remonte aux années 60, j'ai entendu parlé d'une Corvette disparue le 6 juillet 1969 en Bretagne nord, un Mousquetaire avec 5 équipiers, dont l'un que je connaissais bien, entre Ouistreham et Cherbourg auxquels s'ajoutent un Tiburon et un Requin dans les Anglos.

07 jan. 2010
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une minute pour éteindre un incendie
c'est le temps dont on dispose sur un bateau "plastique" avant d'être asphyxié parait-il...mieux vaut donc avoir un canot de survie dans ce cas.

07 jan. 2010
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Non, Viking, IVè République.
La 3è fit naufrage avec la guerre, remplacée par la IVè avec une constitution votée à grand peine en octobre 1946.

L'hypothèse de l'explosion/incendie du au moteur à essence est la plus généralement acceptée, mais c'est vrai que les cailloux sur la route auraient pu également être à l'origine du naufrage, le résultat étant le même finalement.

Avec la voie d'eau majeure, l'incendie, toujours possible, est le pire danger qui menace un bateau, même à voiles. Avec les bateaux belges insubmersibles, c'est le seul.

Il faut donc toujours avoir les extincteurs en état sous la main.
Viking, tu pourrais également lancer un fil demandant combien de plaisanciers ont été sauvés par leu extincteur. Je pense que ce serait très peu, mais de là à nier l'utilité des extincteurs à bord (comme de la survie), il y a un océan...

07 jan. 2010
1

Bon sang, mais c'est bien sur...
Je viens seulement de lire le post de Gribou.
J'ai la même logique. Un produit de ce type, l'INSUB a été proposé par Hutchinson au début des années 70.

Il s'agissait de volumes gonflables rangés sous les banquette destinés à maintenir le bateau à flot. Sans doute, faute de publicité suffisante ( personnellement, je n'en avais pas entendu parlé alors qu'à l'époque je travaillais dans le nautisme) le produit ne s'est pas vendu et les canots de survie ont été rendus obligatoires par l'administration.

La suite vous la connaissez.

08 jan. 2010
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Un dernier exemple
www.yachtingworld.com[...]iferaft

Bateau de 17 m coulé en 30 secondes après perte de la quille...

08 jan. 2010
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pourquoi
Dans les coffres ? cela peut être indépendant.

10 jan. 2010
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Un RORQUAL aussi
J'aurais du m'en souvenir plus tôt, cela s'est passé dans mon jardin il y a environ 10 ans.

Par beau temps, au portant, à l'est de Chausey, à proximité du Founet, un Rorqual (version en bois moulé) a perdu sa quille ( seulement collée!). ils n'ont pas eu le temps de mettre le bib à l'eau.

Les deux équipiers ont été récupérés très vite par un bateau à proximité.

Notez au passage que le nombre de voilier en bois moulé ayant eu des avaries de structures entrainant leur disparition brutale est important (Schpoutz,Guia,Airel, Morning Cloud...)

11 jan. 2010
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OESOPHAGE BOOGIE, XERYUS, J 24, AIREL, MORNING CLOUD...

Lors d'un spi Ouest France, Oesophage Boogie, un 3/4 Berret a coulé en talonnant sur Méaban à l'entrée du Golfe du Morbihan.

Cela me rappelle que XERYUS à coulé sous le phare des Needles lors du Tour de l'ile de Wight, là aussi, il avait milles voilers autour de lui...

Il y a longtemps, un J 24 a coulé lors de la SNIM à Marseille, sans oublier AIREL et MORNING CLOUD

17 jan. 2010
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un first 42
qui s'est plus ou moins ouvert en deux, le bateau a coulé tres vite, il était tres bien préparé skipper tres competent, tout cela c'est de tete
jamais élucidé, ovni ? jaumiere ?

27 juin 2020
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Le First 42, il s'agissait du voilier d'un copain, Didier Levillain , lors de la Route du Rhum. Il n'a jamis su pourquoi mais son voilier a coulé par l'avant.

18

À viking 35,
Polémiquer sur le radeau de survie me semble indécent.
Oui, c’est cher.
Oui, les révisions sont hors de prix.
Ouî j’espère ne jamais avoir à le percuter.
Mais quand ton bateau coule sous tes pieds et que tu n’as plus que ça pour sauver tes fesses, tu ne te poses pas la question.
Libre à toi de t’en passer, mais n’incites pas les autres a le faire.
Tes propos souvent déplacés et à l’emporte-pièce sur ce site m’insupportent. Et je ne suis pas le seul.
Patrice

28 juin 2020
-11

Le fil est de 2010.
Quand on dispose aujourd'hui de combinaisons sèches à 80 €,
que les sauveteurs sont toujours sur zone moins de 1 h 30 après l'alerte,
que plusieurs voiliers "qui étaient en train de couler" ont préféré embarquer sur leur survie,
que d'autres sont morts alors que leur voilier a été retrouvé,

N'y a t-il pas matière à y réfléchir?

28 juin 2020
-2

C'est certain , on va obliger TOUS les bateaux de loc, de propriétaire ou autres à avoir une combi, CE et vérifiée 2 fois par an, par personne après avoir bien entendu fait un stage par an de formation à la survie,à partir de quelle taille de bateau???, combi à partir de quelle age, nous manquons de matériel de sécurité et de normes.
je remarque qu'il y a toujours un gros pb sur la dérive dans un post précédent, , il faut solutionner, c'est très très important et enrichissant, dérive, peut être un coup de CORIOLIS???

28 juin 2020
2

ric avec Coriolis tu va nouf aire tourner en bourrique ..
alain

28 juin 2020
-2

Rajouter un brin de vent, une pincée de vagues et saupoudrez avec du courant ( je connais le coin par coeur)
J'ai eu sur mon bateau, l'année dernière, un ancien "moniteur"(bénévole) dans les 65 ans d'une célèbre école , il était payé par météo france de modéliser la dérive des sargasses,plus que galère.
Il n'a respecté aucune des normes de sécurité et m'a couté cher en casse, mais il savait tout mais la participation!!!

28 juin 2020
4

Après un "Naufrage devant Fouesnant", vous me donnerez un "connaissez-vous-des-plaisanciers-sauves-par-leur-canot-de-survie"
Quand il n'y en a plus, il y en a encore...

28 juin 2020
4

Bon Dimanche a tous
Je partage a 1000% l’avis d’Ar-men !
Partant du principe que la vir n’a pas de prix et que si l’on navigue un tant soit peu, les équipements de survie ne sont pas un luxe.
Quand la loi de Murphy ou les plaques de Reason s’en mêlent, tout ce qui a été correctement prévu côté armement de sécurité et l’entrainement qui va avec n’est jamais de trop.
Croire que l’on sera a tous les coups secouru dans l’heure qui suit est une illusion.
D’abord il faut pouvoir donner l’alerte, ce qui signifie avoir une radio DSC et être entendu ou/et avoir une balise EPIRB.
Avoir alerte les secours c’est bien si on est localise (sinon la triangulation prends du temps).
Ensuite il y a la phase de contre appel du CROSS ... ensuite le déclenchement des secours.
A quelle distance est-on de la côte ?
Si on est en panne moteur ou avec voie d’eau pourrons nous attendre 30 min (mini) en derivant avant de se crasher sur les rochers ou de couler ?
Et je ne parle pas du cas ou le canot SNSM est déja engagé, ou l’hélico Dragon est indisponible ou engagé, ou la mer est mauvaise ou de nuit ...
Une petite lecture attentive du Bea mer devrait convaincre les septiques que meme les professionnels (souvent pècheurs), tres bien equipés avec radeau de survie, VFI, combinaisons de survie ... et connaissant bien la mer, se sont fait avoir et y ont laisse leur vie :-(
Prétendre qu’un équipement de survie a 1000 € est inutile ou accessoire est juste une énorme connerie, sauf si on considere que sa propre vie et celle de ses passagers n’a pas de valeur ( ce qui n’est pas mon cas, mais je me fait peut être une trop haute opinion de moi même).
Certains pensent encore que la ceinture en voiture ne sert a rien :-(« 

28 juin 2020
-1

"Certains pensent encore que la ceinture en voiture ne sert a rien :-(« "
Sans doute les mêmes pensent que la terre est plate...
;-)

28 juin 2020
2

Je suis sensibilisé à cette histoire de survie ayant navigué des années en long et en large de la manche en Etap insubmersible seul avec mes deux jeunes ados. Des enfants au début. Vu que le bateau était insubmersible on n'avait pas de survie mais ça m'a toujours laissé partiellement insatisfait car le risque d'incendie est le même que le bateau soit insurbmersible ou non. Le truc des combinaisons de survie à 80 Eur est le manque de visibilité d'un type dont la tête dépasse si peu de l'eau. Au moins dans une survie les occupants seront visibles de plus loin. Ceci dit Viking a raison. One need to CLIMB in a raft from a sinking boat. On n'abandonne pas un bateau qui flotte (sauf si il flotte à l'envers). Que des gens meurent en commettant cette erreur alors qu'il est connu et écrit qu'il ne faut pas le faire est un fait de la vie qui est qu'il est difficile de protéger les gens de leurs propre connerie et que le darwinisme est une réalité avec laquelle il faut vivre . Quand a syrion qui écrit ci dessus que la vie n'a pas de prix. C'est sympa mais c'est faux. Allez avec votre vieille grand-mère de 87 ans à l'hosto et comparez le jugement du staff par rapport à un traitement médical hyper couteux. Ensuite renouvelez la même expérience avec votre fille de 15 ans. Toute vie a un prix. Elle dépend de l'âge. Du potentiel de la personne. De son apparence physique etc. Etc. C'est dure à lire mais c'est important de le savoir pour rester hors des ennuis au moment ou il le faut.

28 juin 2020
1

D'une part c'est un vieux fil de 2010
D'autre part, il me semble qu'il est intéressant de pouvoir discuter calmement d'un sujet de sécurité, et de conception et d'armement des bateaux, en s'appuyant sur des données factuelles, en intégrant en particulier l'insubmersibilité ou l'incoulabilité
Je trouve les informations données (parfois assez maladroitement il est vrai) par Viking sont à cet égard intéressantes.

Certes, le radeau sera fort utile par exemple en cas d'incendie.
Mais il semble aussi que ce soit une solution à n'utiliser qu'en dernier recours.
Ledit dernier recours est certes plus facile à déterminer derrière son clavier et devant son whisky (pas trop tassé pour rester lucide), et nettement moins sur place et dans la mouise.
L'incoulabilité/insubmersibilité permettrait probablement de diminuer les situations d'"affolement prématuré" conduisant à l'abandon du bateau que l'on retrouve ensuite flottant, et qui dérive moins en étant plus repérable qu'un radeau. Comme lors du Fastnet 79.
Le sujet est épisodiquement discuté, depuis Harlé (ci dessous), ou par exemple www.bateaux.com[...]coulent
Certains constructeurs continuent du reste à vendre des bateaux incoulables (puisque l'insubmersibilité n'est plus homologuée sur les bateaux de conception récente)
Tant qu'à faire de mettre 1000 euros sur la sécurité, vaut il meiux privilégier la flottabilité, ou le radeau? A moins que ce ne soit les deux...

28 juin 2020
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Bonjour,

Je suis bien d' accord avec les posts précédents dénonçant la stupidité de déconseiller d' avoir une survie à bord.

Surtout que d' avoir un radeau n' empêche nullement d' avoir aussi des combinaisons de survie(j' ai deux combi Viking réformées mar-mar à bord).

Tout moyen d' améliorer la sécurité est bon à prendre.

c' est sûr que de nombreuses fois, des bateaux ont été abandonnés au profit des radeaux à tort, mais ce n' est pas une raison pour déconseiller de les avoir.

Pour les combinaisons de survie, les Viking sont très faciles et rapides à enfiler.

Par contre, à l' occasion de la révision de mon radeau, le contrôleur me disait de bien faire attention aux collages des combinaisons "réformées mar-mar", car c' est leur point faible, et il m' a suggéré de les éprouver en tirant dessus régulièrement.

De toute façon, si on doit se retrouver dans une survie, mieux vaut que ce soit avec une combinaison risquant éventuellement d' voir un collage qui lâche que sans rien du tout, çà sera toujours une chance de plus de s' en sortir.

Gorlann

28 juin 2020
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tu ne peux pas être en combi mar-mar dans un radeau de survie, cette combi est faite pour aller à l'eau et survivre dans l'eau

28 juin 2020
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d'accord c'est plus safe , survivre , c'est le but, la finalité, puis monter dans un radeau, ou une intervention externe

28 juin 2020
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En complément de ce que j'écris ci-dessus, on peut aussi avoir une meilleur solution qu'une survie. Si je suis bien informé il existe des annexes rigides insubmersible avec une jupe gonflable. Cela pourrait être une option pour un grand bateau en pesant bien le pour et le contre . Tant qu'on ne mène pas une activité commerciale sur l'eau la loi peut être vue par une personne d'expérience comme rien de plus qu'une bienvenue source d'inspiration qui délimite plus ou moins adroitement un point bas de l'équipement. Surtout quand on navigue jamais dans ses propres eaux internationales comme c'est mon cas.

28 juin 2020
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Ce TOBAGO a été sauvé dans le Golfe de Gascogne grâce à son annexe .

« Je retiens le BIB par son amarre mais le Cata plonge déjà par l’arrière, le panneau solaire, sur son portique, affleure l’eau à chaque ressac et son cadre vient crever le BIB. »

28 juin 2020
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Ma question est : "Le canot de survie est obligatoire.** Mais est il vraiment utile et donc utilisé?

Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie**, la vôtre peut être."

Ma réflexion étant qu'en plaisance , le temps le plus long que j'ai en mémoire est de 1 h 30 pour un Océanis au milieu du Golfe de Gascogne, de nuit par gros temps.

Ce n'est pas un fil de réflexion sur la sécurité ou sur l'usage ou pas d'une survie ou d'une combinaison.

28 juin 202028 juin 2020
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A la demande"connaissez vous des gens qui ont été sauvés par leur radeau" oui
mais la questions combien ont disparus avec leur radeau??? on sait pas, il ne sont pas la pour raconter et se faire démonter, mais il y en a des célèbres.
Le temps le plus long....1H30, bon courage avec ton gilet dans le golfe de gascogne pour être reperé sinon fait un procès post mortem et tu prends un avocat du diable. il n'y a pas que le golfe de gascogne;
Malheureusement , grace à grain de soleil malheureusement disparu, nous avons une epirb, au de la de 60MN, mais compter sur un sauvetage sous 1H30.Pour fuesnant, si le sémaphore ne ls avait pas vu par hasard , le temps aurait été plus long, mais ce n'est pas un secteur très dangereux.
A propos de mémoire, faudrait peut être faire une RAZ et surtout changer le logiciel.
au fait, pourquoi, dans la chaine SAR, il larguent un radeau???? pour la plaisance.
Pour tes stats, sur fouesnant, ont ils été sauvés par le radeau???, disons que 2 étaient plus en sécurité que ceux dans l'eau.
Priez pour ceux qui sont à terre, ceux qui sont en mer, ils se démerdent.

28 juin 2020
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L’annexe, meme insubmersible, ne peut pas légalement remplacer un radeau de survie (voir division 240).
Et pour en revenir a la premiere question de ce post, la survie est obligatoire des que l’on passe en semi hauturier (plus de 6 miles des cotes).
Pour avoir pratiqué une mer formée dans un pneu (insubmersible) de belles dimensions , je confirme que l’on embarque beaucoup d’eau et que l’on risque fortement de finir à l’eau sur un coup de roulis ou une déferlante. A mon avis, meme si je ne l’ai pas essaye (heureusement), on est plus au sec et a l’abri dans une survie étudiée pour.

28 juin 2020
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Quand il s'agit de ma propre vie et de celle de mes proches je me tamponne un peu de savoir ce qui est obligatoire ou pas si le risque est purement répressif. Par contre il est productif de partir du principe qu'une loi est basée sur le total de l'expérience acquise et dès lors intéressante à suivre dans son propre intérêt. Ceci dit comme ce n'est pas toujours le cas (une loi peut être dépassée ou passée en force sous la pression des lobby) il faut dès lors toujours garder son esprit critique. Par exemple en ce qui concerne la survie. La forme spécifique semblerait donner la meilleure stabilité. Une bonne loi doit s'accompagner d'un élément d'explication. Dans le cas contraire le législateur fait mal son boulot ou l'éducation nationale fait mal son boulot ou encore les deux.

28 juin 2020
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Qu'est-ce qu'elle vient faire au milieu des survies, l'education nationale ???

28 juin 2020
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Roc, elle intervient dans le fait que la première fonction de l'éducation nationale est de former des individus avec une tête bien faite plutôt qu'une tête bien pleine.
Une tête bien faite est une tête qui utilise en premier lieux son propre discernement.
Ecrire "la division 240 dit que...." est une preuve de bon discernement quand on n'a ni le temps ni l'expérience de former sa propre opinion à propos d'un sujet. Dans le cas contraire, dans un registre aussi important que la vie et la mort, il n'est pas sérieux d'uniquement appuyer ses décisions sur ce que dit "la division 240". Celle-ci dans un cas extrême pourrait parfaitement vous tuer dans la plus stricte légalité.
C'est la raison pour laquelle j'écris qu'une bonne loi est une loi qui s'accompagne d'une explication sur le fond de la loi, d'un aspect didactique. Si une loi passe dans la population sans explications et qu'elle est acceptée sans mots dire, il s'agit alors d'un échec du système éducatif qui forme une jeunesse qui n'utilise pas suffisament la valeur première en toute situation, à savoir son propre discernement. Le fameux "common sense" Anglo-saxon, qui restera toujours plus fort et efficace que toutes les lois du monde.

28 juin 202028 juin 2020
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Sauf ton respect, vu le nombre de gugusse qui passent entre les mains de l'éducation nationale en regard du nombre de gugusses qui ont besoin de connaître la division 240, c'est une IMMENSE connerie de croire que c'est un problème de l'éducation NATIONALE.

L'éducation nationale a franchement autre chose à foutre que de s'occuper de ça, il suffit de marcher dans la rue pour s'en apercevoir.

28 juin 2020
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Ma question est : "Le canot de survie est obligatoire. Mais est il vraiment utile et donc utilisé?

Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie, la vôtre peut être."
**
Je note que même Philippe Harlé en son temps constatait :
"le canot de survie a probablement tué plus de personnes qu'il n'en a sauvé "
**
Ce n'est pas un fil de réflexion sur la sécurité ou sur l'usage ou pas d'une survie ou d'une combinaison.

28 juin 2020
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Peut être un sujet à aborder à ETEL en parlant de BOMBARD.

28 juin 2020
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Et la terre était plate et pourtant elle tourne, les chose évoluent , elles.

28 juin 202028 juin 2020
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@vicking au sujet de harlé: Et la terre était plate et pourtant elle tourne, les chose évoluent , elles.

28 juin 2020
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"le canot de survie a probablement tué plus de personnes qu'il n'en a sauvé "
Il serait surtout intéressant d'avoir de véritables statistiques, pas seulement celles récoltées par une seule personne.
1- Combien de naufragés dans le monde ont été récupérés en vie sur leur radeau à comparer avec combien de naufragés sont morts sans être dans un radeau.
2- Combien de naufragés dans le monde ont été récupérés en vie sur leur radeau à comparer avec combien de naufragés on été récupérés morts dans leur radeau.
3- Combien de naufragés ont été récupérés en vie dans leur seule combinaison de survie.

Et pour finir, qu'en est il réellement de cette affirmation : la récupération se fait en moins d'une heure trente ?
Je n'ai pas la réponse mais je soupçonne qu'on est assez loin des chiffres annoncés franco-français.

28 juin 2020
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l'équipage du Caïman est d'alerte à une heure, donc à moins de passer le mur du son, oui ses chiffres sont bidons.

28 juin 2020
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C'est possible mais dans la pratique, les hélicoptères sont trés efficaces et leurs délais d'interventions sont fréquemment de l'ordre de 30 minutes.

Je suis preneur d'informations précises sur des délais plus long.** Cela arrive mais c'est rare. **

28 juin 202028 juin 2020
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Je suis preneur d'information si vous connaissez des délais d'intervention supérieurs à 1 h 30 en France . ( délai entre l'alerte et le sauvetage)

28 juin 2020
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@entre_cotes, faut pas tracasser le fake newseur, c'est du grand délire, et le plus grave c'est certains le croient, c'est vraiment nuisible. Je lui avait souhaité déjà de se retrouver dans le golfe de gascogne avec un gilet ou même avec une combi.

28 juin 2020
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Le canot de survie est un sujet intéressant et important.
On aurait pu le traiter sous l'angle : quelles sont les bonnes pratiques d'utilisation, quand, comment, etc...
il y a un stage STW consacré à ce sujet.
Eh bien non, ici c'est vu côté "micro trottoir" : citez des cas que vous connaissez , et de toutes façons je vais moi vous démontrer qu'il ne sert à rien.
Dommage, mais c'est ainsi.

28 juin 202028 juin 2020
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P.... on a une législation qui nous impose des radeaux qui ne servent à rien, c'est quoi ce loobying, ces politiques, les chalutiers vont faires des économies et même les petits traversiers , ont se fout de nous

28 juin 2020
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Petite histoire de "formation" sensibilisation à CC dans un école de voile que je ne nomme pas/
Un consultant déclare: il faut larguer le radeau à partir de l'avant du bateau.
Bon courage, déjà que mon radeau j'ai du mal à le porter, qu 'il est à l'arrière, qu'il faut l'emmener par les passavants, dans une mer d'huile et le balancer par dessus les filières, sans omettre d'attacher la sangle, je n'ai rien dit, j'étais salarié, mais je ne même suis pas marré.

28 juin 2020
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tu gagnerais en crédibilité, Ric, si au lieu de critiquer encore et encore tu proposais pour une fois quelque chose. on a bien compris qu'on est tous des cons, nous, les glénans etc... mais crois tu 2 secondes que quelqu'un te donne du crédit? si tu sais quelque chose dis le... c'est un peu le but du forum

28 juin 202028 juin 2020
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@patxaran/
merci grandement de votre intervention fort constructive, mais nous sommes fébriles dans l'attente de votre démonstration promise et bien entendu avec tous les justificatifs joints.
Il est certain que comme disait wicking, le courants en bretagne sud sont négligeables ou autre termes, mais encore les radeaux ne sont pas necessaires, c'est sur à rueil malmaison, je me demande ce qu'ont les bateau mouche sur la seine , et pourquoi???
C'est quoi votre bateau???

28 juin 2020
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INTERVENTION N°3 Ma question est : "Le canot de survie est obligatoire. Mais est il vraiment utile et donc utilisé?

Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie, la vôtre peut être."
**
Vous êtes nombreux à écrire lors de différents posts que vous connaissez de nombreux cas. Quels sont ils?
**
Ce n'est pas un fil de réflexion sur la sécurité ou sur l'usage ou pas d'une survie ou d'une combinaison.

28 juin 2020
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@ senetosa,
Je n'ai jamais dit: nous les glenan, bien au contraire, j'ai travaillé chez eux brevet d'état, salarié, pas un boc ou autre bénévole , je suis parfaitement contre, je ne suis pas formaté du tout; tout les autres moniteurs de croisières non bénévoles que j'ai connus ont étés aussi écoeurés.
N'étant pas un inquisiteur, ou autre , la réponse qu'ai je à proposer??, rien sauf démonter les fakes news, ceux qui ont été sauvés grace à un radeau qui coute cher achat et entretien comprendront.
Ce sujet est completement tordu , ne serait ce que l'intitulé, qui ne demande pas de propositions.

28 juin 2020
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@ric56 etonnant qu'avec ton experience tu n'ais pas des exemples de marins sauves ..

28 juin 2020
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Un sujet tordu? Il me semblait que ma question étéait compréhensive pour un esprit simple... "Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie, la vôtre peut être."

28 juin 2020
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C'est certain , je croise tout les jours des radeaux avec ou sans personnes et des gens qui barbotent dans l'eau, je les laissent, ils ont 1H30 pour être récupérés, les potains dans les journaux sont toujours à vérifier comme sur les réseaux.
merci déjà de créer un profil, ce devrait être obligatoire, avant de critiquer.

28 juin 202028 juin 2020
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@ric56. Il y avait des elections aujourd'hui si l'envie de dictature te demange
Par ailleurs , tu es en charge de formations et d'éducation ...et grand navigateur et jamais vu un radeau et meme pas un avis ………

28 juin 2020
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je prépare mon bateau, pour partir...
meme pas en reve j'imagine de partir sans radeau.
le problème ici, je pense, est l'exploitation des chiffres, comme souvent.
c'est vrai que le radeau a été souvent utiliser à tort ou mal et fait des victimes.
c'est vrai, aussi, que fort heureusement, il ne sert que rarement.
c'est vrai que certains radeaux manquent sérieusement de fiabilité et qu'ils ont probablement fait aussi des victimes.
pour moi c'est l'incompétence, l'impréparation des gens qu'il faut remettre en, question.
mais on ne peut pas exclure d'avoir à l'utiliser un jour, j'en suis plus que convaincu alors pour le cas ou et parce que des gens vont devoir me faire confiance j'aurais un radeau.
mon soucis aujourd'hui est de devoir faire avec un radeau, acheté avec le bateau, et qui n'est pas dans les plus fiable (changement envisagé).
il serait plus responsable de se concentrer une fois de plus sur son utilisation plutot que de prendre le risque de le discréditer.

28 juin 2020
-1

@senetosa, que du bon sens , mais des radeaux qui ont fait des victimes possible je n'ai aucun échos, oui et non, c'est le dernier recours , alors;
Un radeau révisé est fiable.
Le pb, une personne affirme sans justificatifs ou en tronquant, interprétant, c'est grave.

28 juin 2020
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INTERVENTION N°4

Ceux qui ont l'habitude de consulter mon blog connaissent plusieurs cas de victimes à cause d'un canot de survie. MAIS CE N'EST PAS LE SUJET DE CE FIL.

La question est :

** "Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie, la vôtre peut être."**

28 juin 2020
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En tous cas, il ne me viendrait pas à l'idée de partir sans radeau.
Je ne me vois pas une seule seconde partir du principe que les secours arriveront dans moins d'une heure et demi.
Il arrive qu'un bateau coule en quelques minutes. La fatigue, la panique (sauf bien sûr pour ceux qui sont des caïds de la zenitude), la VHF qui, loi de Murphy oblige, ne fonctionne pas à ce moment là, la combinaison qu'on n'arrive pas à enfiler pour une raison x ou y... Tout ceci fait que je ne vois même pas l'intérêt de poser la question...

28 juin 202028 juin 2020
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INTERVENTION N°5

Ceux qui ont l'habitude de consulter mon blog connaissent plusieurs cas de victimes à cause d'un canot de survie. MAIS CE N'EST PAS LE SUJET DE CE FIL.

La question est :

** "Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie, la vôtre peut être."**

Entre-côtes, tu écris "Il arrive qu'un bateau coule en quelques minutes." Ce sont justement ces cas que je ne connais pas. Intruisez moi.

28 juin 2020
0

Le vendredi 19 Juin à la Ciotat. Un voilier a coulé rapidement. (je n'ai pas les détails c'était annoncé sur la VHF et j'étais dans la rade de toulon)

29 juin 2020
2

@pinch :Non, il n'a pas coulé. Il avait une voie d'eau lorsque le moteur tournait, celle ci cessait moteur arrêté. Ils ont été remorqués par la snsm jusqu'au port et la voie d'eau avait cessé du fait de l'arrêt du moteur. Je pense vraiment que l'on parle du même, c'était l'après midi. Les occupants n'ont pas quitté le voilier, ils ont été remorqués à bord. Je pense que tu as entendu le début de l'alerte, mais tout s'est bien fini et ils n'ont pas barboté. Tant mieux pour eux parce qu'elle était fraiche avec du vent depuis 2 semaines mini!

28 juin 2020
1

Demande à Jérôme Poncet sur Guia III s'il préfère nager avec les orques ou être dans une survie.
Quand nous avons fait la dernière étape du triangle, l'équipe de Guia IV avait gardé ça en mémoire bien qu'ils ne l'avaient pas vécu eux même.

29 juin 2020
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Je sais , le Triangle Atlantique en 1975, j'y étais aussi sur Bob IV. Mais depuis 45 ans , j'en connais quand même une vingtaine d'autres.

Mais je parle des canots utiles en France puisque dans chaque fil concernant des accidents, de belles âmes me parle de cas que je suis censé ne pas connaitre.

La question est :

** "Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie, la vôtre peut être."**

28 juin 2020
0

@meilmor.
bonsoir
je ne me permet d'émettre un jugement à ton sujet, tu n'as même pas un profil, alors, ne le fait pas à mon encontre et surtout sans extrapoler.
ce n'est surement pas les mêmes valeurs;
Cordialement.

28 juin 2020
1

@ric56. He ben je me le permet. Surtout quand on se pose en educateur

28 juin 2020
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Suite à l'intervention N o4 du vicking, qui ressemble plus à une injonction/
dernier cas connu: naufrage en baie de fouesnant, récemment, 2 pax.!!!!
Mais je suis interessé de connaitre la finalité de son enquete, le but quoi le but

28 juin 2020
0

Merci. Dois je comprendre que depuis 2010 date d'origine de mon post, *vous ne connaissez pas d'autres cas?
*

Le but est de savoir si j'ai oublié des cas d'utilisation parmi ceux que j'ai collecté depuis 30 ans.

28 juin 2020
0

@wic king.
Il semblerait que depuis mon intervention signalant une utilisation de radeau en baie de fouesnant, vous n'en teniez pas compte, sauriez me rendre compte de votre analyse circonstanciée.
D'avance merçi.

28 juin 2020
5

Bonsoir,
Celui qui trouve le livre de ces photos a gagné un stage survie !
Faut pas rêver les gars et croire à 100% que dans l'heure et demi la cavalerie sera là...
Un petit grain de sable dans la chronologie des secours,un oubli dans la panique de l'embarquement sur le radeau et ça sera bien plus longtemps...
Une zone de mauvais temps et de nuit et vogue la galère..
De plus loin de l'Europe ou bien éloigné des côtes ça se complique encore plus...
Tikipat qui a coulé en Indonesie pourrait nous raconter son attente et les marins qui ont barbote bien plus que 48h dans un radeau aussi,comme certains du Vendée Globe aussi il me semble...
Cette façon binaire d'opposer le radeau de survie à une autre solution est un peu simpliste .
Perso si je coule vraiment c'est annexe plus survie qui vont à l'eau...
On a mille fois discuté de l'équipement lamentable et de l'arnaque des révisions,il est clair que tant que le bateau flotte c'est pas la peine de se presser d'y embarquer...
En attendant j'en ai une de 8 personnes à bord qui pèse son poids mais bien que je prévoie une insubmersibilite totale de mon canote tant d'espaces vides sont à prendre,je ne partirai pas sans elle...et l'annexe !

28 juin 2020
7

Je mets de temps en temps mon grain de sel dans ces conversations stériles.

@vicking35,
Mon jugement ne changera pas la face du monde et tant mieux.

Stp arrête de parler de ton blog,
Des blogs il y en a à foison sur le net sur tous les sujets, ce sont juste des commentaires, appréciations, des jugements strictement personnels. Concernant le milieu marin, je pense que pour une majorité de navigateurs que ce soit simple plaisancier ce que je suis ou navigateurs au long cours tu es un bel inconnu. tu te gargarises de tes idées. Qu'est-ce que ça t'apporte ? Une autosatisfaction Une certaine "Aura" ?
Mais franchement à quoi sert ton blog, à occuper tes longues soirées d'hiver plutôt qu'être devant la tv ? A ce sujet, je suis d'accord avec toi.
Que tu occupes ton temps pour te faire plaisir, chacun ses passions. C'est ton droit.
Tu es comparable à un jardinier qui passionné d'orchidées voudra imposer son savoir pensant qu'il a la meilleure technique de floraison.
Ou un alpiniste bon amateur qui déclarera connaitre le meilleur passage.
Ou un pilote automobile de rallyes régionaux donnera des leçons de trajectoire.
Bref des exemples ont peut en citer à foison.
Mais fais toi plaisir pour ton humble personne, ce sera suffisant.

Par contre, n'oublie pas que des personnes de très hauts niveaux, maitrisant leur sujet ont pu subir des déboires, des avaries, commettre des erreurs et malheureusement aussi perdre leur vie et ne t'ont pas attendu pour des leçons.
Presque chaque année nous en avons malheureusement l'exemple.

Juste un conseil, toi qui maitrise internet fais une recherche sur "Procuste"

28 juin 2020
-3

Mr james, surtout ne contredisez pas le vickink dans son délire, ce serait dommage de ce passer de ce personnage qui fait perdre du temps à qlq personnes et risquer leur vie à d'autres, le cas est grave, mais ce qui m'attriste c'est que pas mal de personnes abondent dans son sens et partent en vrille
Encore une réponse senscée

28 juin 2020
5
  • insubmersibilité/incoulabilité : si la qualité "insubmersible" a disparu c'est parce que que les architectes navals peuvent garantir que le bateau pourra continuer à flotter plein d'eau mais ne peuvent pas garantir qu'il flottera à l'endroit; donc "insubmersible" n'existe plus et place à "incoulable" qui correspond plus à la réalité;
  • radeau de survie : le radeau de survie, vendu aux plaisanciers, est la pire des solutions trouvées pour laisser une chance de salut aux infortunés qui perdent leurs bateaux en pleine mer; en moyenne, le radeau se retourne 7 fois par 24h ... et, au bout de la première fois où tu remontes dedans, tu es complètement épuisé; plus tous les défauts connus de cette piscine pour enfant à laquelle on a rajouté un toit gonflable ... mais il serait totalement fou de partir sans comme il serait totalement fou de ne partir qu'avec; je vous engage fortement à faire des stages sécurité pour comprendre les enjeux et les intérêts de TOUS les matériels de sécurité
28 juin 2020
-2

@larent,
sans être pessimiste , le radeau qui se retourne 7 fois /24h c'est dans des conditions extrèmes , déferlantes .
pas pour des plaisanciers lambda",ce n'est pas péjoratif

28 juin 2020
3

pas du tout, tu te trompes; dans des déferlantes, y a longtemps que tout le monde est noyé et n'est plus à bord

28 juin 2020
7

A Ric,
Je n'irai pas jusque là je ne connais pas ce Wiking.
Il a peut-être de bonnes idées et raison sur certains points,mais c'est plus la façon de le faire qui me gêne.
Je ne vais pas pour autant en faire un ennemi personnel ou me braquer systématiquement avec lui,j'aime bien être positif quand même et ne pas considérer chacun définitivement et arbitrairement comme un incapable,un menteur ou autre.
On a tous de bons côtés à côté des mauvais et je reconnais que moi aussi je suis parfois rigide, trop intansigeant et combatif.
En vieillissant je me calme (j'ai 59 ans),et comme Flora le disait justement, des fois après avoir écrit impulsivement une réponse je la relis puis l'efface voyant son caractère trop tranché.
Je pense que ça ne mène nulle part et ne fait qu'envenimer les choses d'aller trop dans l'agressivité.
Je ne suis pas d'accord je le dis voilà tout.
Pas de querelles de personnes et jamais je n'envoie de message privé pour insulter quelqu'un.
Dans le temps j'avais mis en cale un excité qui commençait cette approche,mais ça ne me gênait pas de lire ses écrits qui parfois avaient du sens.
Merci de ne pas juger les autres sur ce qui est mis dans leur profil,c'est tellement aléatoire...

28 juin 202028 juin 2020
-3

merci de ta réponse,
personnellement je n'ai aucune agressivité, et apprécie les dialogues , échanges pas genre sens unique, c'est normale. A mon age , plus que le tien, je suis saturé par la désinformation qui cause de gros ravages, il n'y a qu'à relire l'intégralité de ce sujet ainsi que celui de fouesnant ;
en désaccord sur certains sujets , il est possibles de reconnaitre les qualités d'autres écrits ultérieurs , c'est de l'honnetetée, pas du braquage, mais il faut savoir répondre et rendre compte de ses erreurs d'un coté comme de l'autre, ce n'est pas mon sentiment actuellement, à lui de le prouver puisqu'il demande en permanence des preuves sans tenir compte des réponses ou objections

28 juin 202028 juin 2020
-1

NB: je n'ai jamais envoyé de Mp pour insulter et n'ai eu aucun contact avec ce personnage qui a insulté pas mal de personnes, ce qui m'indispose, mais recu ou envoyé des MP pour remercier, pas mal.

29 juin 2020
1

Citez un cas où Viking 35 vous a rendu service par ses interventions.
Je ne le répéterai pas.

29 juin 202029 juin 2020
-4

"Citez un cas où Viking 35 vous a rendu service par ses interventions."

J'ai la satisfaction d'avoir connu cette grande satisfaction .

Au moins un voilier a été sauvé grâce à la lecture de mon blog.

"C'est alors que je me suis souvenu d’une visite sur votre site quelques mois auparavant... J’ai donc commencé l’installation d’une ancre flottante Plastimo en cône, rangée dans un coffre."

Je confirme que Ric56 ne m'a jamais insulté en MP contrairement à Lucien 85 .

INTERVENTION N°6

La question est :

** "Citez donc les cas ou vous savez qu'il a sauvé une vie, la vôtre peut être."**

phare des Baleines, ile de ré

Phare du monde

  • 4.5 (171)

phare des Baleines, ile de ré

2022