comment il s' est dirigé sans safran ? voir la video

Bonjour
Comment il s' est dirigé sans safran ?
Si ça marrivait je ne saurai pas quoi faire !
Surtout à l'approche du port .
La video

L'équipage
23 déc. 2013
23 déc. 2013
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Au large il y a un plaisancier qui avait mis un tangon à l'AR du voilier en travers et avec des poulies faisait balader un seau en galva,mais trop d'inertie à l'action ,ne permettait pas de rentrer dans un port.IL avait ensuite construit un safran de fortune qui cassait souvent.Comme quoi il faut emmener un peu de matos pour le cas où.

23 déc. 2013
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Expérience intéressante mais qui ne dit pas vraiment comment il a fait à partir du moment où il a perdu son safran.
La conclusion du voyage est tirée par le navigateur : Bateau mal préparé et sans doute un peu petit pour les conditions rencontrées.

23 déc. 2013
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Apparemment, le H.B. est orientable...

23 déc. 2013
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Il as probablement utilisé le fletner du régulateur non?

23 déc. 2013
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Je crois que ebrball a raison , je n'avais pas fait attention

24 déc. 2013
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On c pas, vu que les 3 js sans safran c'est aussi sans vidéo..

24 déc. 2013
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C'est pour cette raison que je balade une rame en bois de 4 mètres dans mon boat.
Le jour ou tu casse ou perd le safran tu arrives à te dépanner pour rentrer.

24 déc. 2013
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Oui !!
Une rame ok .
Ça dépend de la taille du bateau et avoir un point d'accroche solide .

24 déc. 2013
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200 milles vent de travers, grosse mer, avec une rame!!!
le seul truc qui aurait valu d’être filmé ne l'a pas été, ni raconté, peut être aurait il du être tu aussi.

24 déc. 2013
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Suivant le réglage des voiles on peut prendre un cap aproximatif sans safran.A mon avis c'est pour ça qu'il était travers au vent.

02 jan. 2014
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C'est peut-être possible sans houle mais par mer agitée çà ne marche pas avec mon bateau.

24 déc. 2013
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Bien sa d accord avec l insoumis

24 déc. 2013
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qui peut expliquer comment il a pu se filmer aussi bien en étant seul ???

24 déc. 2013
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Au large l'insoumis a raison , mais il faut bien atterrir un jour et la c'est une autre affaire

24 déc. 201324 déc. 2013
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Il m'a semblé observer, comme Ebraball que son moteur HB est orientable ou, au moins, mobile.

C'est suffisant pour les manœuvres d'entrée au port.

Pour la navigation sans safran, je suis surpris de la question dont la réponse pour une navigation entre bon plein et grand largue découle directement de la compréhension de l’équilibre d'un navire sous voile.

Jadis, se faire confisquer son safran en mer avec démerde-toi pour le retour faisait partie de l'enseignement de voile légère.

Ce temps serai-t-il révolu? :litjournal:

24 déc. 2013
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Relire , je crois , Fortune de mer de Kersauzon , ils sont rentrés sans safran et pas avec un "petit dériveur" .
Comme quoi certains peuvent perdre leur safran et ne pas lancer de Pan Pan ou de May day. Et de rentrer

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Je te trouve un peu péremptoire lorsque tu parles d'impossible.

Que tu n'y sois pas arrivé sur ton bateau pourquoi pas, que ce soit impossible sur un bateau de cette époque avec, en particulier un gréement en tête avec une voile d'avant conséquente je ne suis pas aussi péremptoire.

Pour ton info, je faisais ça très bien avec mon F25.

24 déc. 2013
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Quoi tu ne connais même pas tes "classiques"

Courses des Clippers le bateau de Kersauzon perds son safran , et bien ils sont rentrés ( je ne sais plus si c'etait en Australie ou en NZ, j'ai revendu le livre , il faut bien essayé d'alléger) SANS gouvernail.
Ce n'est pas par ce que ce n'est pas possible pour toi, (ou pour ton bateau) que cela ne l'est pas pour d'autres.

Avant de le prendre de haut , documente toi ...

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Toi, as-tu essayé avant d'en parler?
Je n'en suis pas si certain à lire la crainte que cela t'inspire.

Amuse-toi à essayer, nous en reparlerons ensuite.

Pour ce qui est du vent fort, si j'en juge par la mer sans mouton par force 7/8 dans le film ( :tesur: ), pas de souci :-D

24 déc. 2013
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Vois tu il y a longtemps lorsque j'etais jeune et chevelu (il y a une trentaines d'années)
Je me suis "amusé" à essayer cela pour voir .
Gouvernail bloqué dans l'axe et essayer de garder un cap (pour etre precis essayé d'osciller autour d'un cap moyen) ben si vois tu c'est possible, désolé de te decevoir .
Peut etre notre bateau s'y pretait il plus que d'autre de part l'etalement de ses voiles dans le sens longitudinal (yankee, trinquette, fischerman (ce jour la sans le fischerman) voile d'etai et gv) et aussi sans doute aussi le fait d'avoir une dérive sur laquelle il etait possible de jouer.
Bon il pesait quand même une petite vingtaine de tonnes c'est qu'en même loin d'etre une barque.

De toute facons "IMPOSSIBLE" n'est pas Francais !! Na ! :bravo: :bravo:

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Oui, sans.
Je te cite le F25 parce qu'il peut être enlevé depuis le cockpit.
J'ai fait (à l'école) sur Vaurien, Nordet, 420, capricorne (by Matra) sur laser tu me montrera comment tu règles le génois...

Oui, c'est le bordel, oui, c'est louvoyant, oui, ce n'est possible qu'entre bon plein et grand largue et non, effectivement ce n'est pas académique ni possible quand lamer est trop grosse.

Dans le cas ici ce n'était pas non plus la tempête...

En revanche, pour apprendre à comprendre l'équilibre sous voile, c'est parfait. :litjournal: :litjournal:

24 déc. 201324 déc. 2013
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J'ai aussi navigué (vite) en catalogne sur ces catas : une seule voile non bômée, une simple écoute avec une poulie centrale sur la poutre arrière.

Des excellents souvenirs :pouce:

24 déc. 2013
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Alors un coup tu nous parle de dériveur, puis tu écris je ne parle pas de dériveur . je te cite donc des exemple de bateaux qui ne sont pas des barques ...et hop tu nous re-cite des exemples de dériveurs.
A titre d'infos complémentaire au moment ou ils ont perdus le safran de KriterII ils étaient à 850 milles de Sydney( en route directe) ou ils sont retournés , sans safran ...
Ils ont bien bien réalisés "...un gouvernail de secours, en amarrant une "planche d'aluminium" d'un mètre carré à un tangon,, le tout fixé au mat d'artimon." mais "...las ce bricolage ne peut servir que par mer plate..."
Ils ont néanmoins rejoint Sydney et pas que par mer plate , le reste du temps c'était en jouant sur l'équilibre des voiles .
Donc ils ont bien démontrer, et ce sous des latitudes pas forcément hospitalières, que c'était possible .

25 déc. 2013
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"... tu ne sais pas de quoi tu parles mais tu as raison..."
:oups: :lavache:

je me demande bien sur quelle infos tu te base pour une telle affirmation ?

Mais tu as raison nous ne naviguons que depuis une petite quarantaine d'années (aussi bien au commerce ou en tant que skipper sur différents voiliers ,des sorties à la journée sur cata de 20 m au fifty de 110 t) et sur nos différents bateaux
depuis le petit premier de 8,26 m au 26,86 m
Mes brevets je les ai sans doute trouver dans des pochettes surprise,
tu as raison nous n'y connaissons rien mais contrairement à toi nous n'affirmons pas que telle ou telle chose est impossible par ce que nous ne l'aurions jamais faite...

Et aussi contrairement à toi nous ne prétendons jamais que ceux qui sont d'un avis différents sont des incapable
:non: :-p

Tiens si tu veux voir nos différents bateaux c'est ici :
long-cours.62.over-blog.com[...]59.html

Malheureusement comme j'ai eu le tords de cliquer sur 'nouvelle version" j'ai perdu durant ce transfert tout les commentaires qui étaient attachés à chaque bateau et comme je n'y connais rien, (aussi !!, :tesur: :-p) en "internet" je n'ai pas tenter de remettre les détails .
L'expérience que nous avions faite c'était avec notre Damien II,et malgrés ton conseil de retirer le safran , cela n'avait pas été fait , il faut dire que c'est une pièce en acier d'environ 2,50 de haut...

Joyeux Noel à toi et à ta famille.
Nous c'est tranquille à bord

25 déc. 2013
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Longcours. Quand on ne sait pas, on écrit pas:"Tabarly ,revenu sur sa parole, ne veut plus lui louer Pen Duick." Ou alors donne moi les informations que je n'ai pas eu en son temps... Tabarly était un homme d'une grande (excessive?)droiture; par contre ODK a eu dans sa vie quelques casseroles...
PS: Kriter II était Burton Cutter de la Whitbread 1973.

25 déc. 201325 déc. 2013
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D'autre part as tu visionné la video de Tabarly à l'arrivée de l'ostar avec ...la barre franche ...


je te remet le lien au moins tu verra que lorsque j'avance quelque chose je peux en apporter la preuve :oups:

25 déc. 2013
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Effectivement, vu comme cela tu as raison mais.... Il y a quelque chose qui me chagrine...
tu écris, septembre 1975... le premier bateau qui me fut proposé était Pen Duick VI, Or, Il s'avère que vers le 15 aout 1975, j'étais à Lymington au chantier Berthon ( je crois) en compagnie de ODK qui travaillait d'arrache pied sur ... Burton Cutter. Il y a donc une incohérence et, en tout cas, une erreur de date.

24 déc. 2013
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je pense avoir un bon niveau à ce petit jeu là avec un dériveur, mais le faire sur un croiseur me laisse plus que perplexe.
il faut alors mettre la théorie en pratique et ça se complique forcément. sur un croiseur on ne jouera que sur les voiles et c'est pas suffisant. gite, contre-gite, sur l'avant... dans nos rêves!!!

24 déc. 2013
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longcours, je te conseille de t'y mettre et tu comprendras pourquoi ce n'est pas possible. après bricoler pour pouvoir rentrer c'est autre chose, faisable bien sur mais je ne comprends pas pourquoi nous montrer des images sans intérêt et nous priver de ça!!

24 déc. 2013
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je ne change pas d'avis mais je rajouterai la prochaine fois "sauf nemo"

24 déc. 2013
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non seulement je connais mes classiques, je serai flatté de t'initier aux plaisirs de la navigation sans safran mais je sais aussi lire!
on parlait de naviguer sans safran, sans rien, pas de tangon avec des bouts de plancher, le tout bien ficelé dans le balcon arrière..
vois tu la différence longcours....
juste naviguer en jouant sur ses voiles, la gite, contre- gite et dérive et faire 200milles avec du vent fort par le travers et la mer qui va avec, à part nemo1, je ne connais pas grand monde qui oserai!!!

24 déc. 2013
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SANS SAFRAN!!! tu l'enlèves quoi. à poil pas en slip!!!
tu montes sur un opti, un 420 , un laser, un 470 ce que tu veux et hop tu l'enlèves et tu navigues sur tous les bords.
mer plate, pas de soucis dès que ça piaule, contrer les embardées me semble impossible. j'ai déjà ramené des dériveurs comme ça mais c'est loin d’être académique, et avec un max de 360°.
certains disent le faire, il faut juste que je le vois!!

24 déc. 2013
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nul besoin de génois pour naviguer sans safran sur un dériveur. c'est la que tu comprends que ton positionnement sur le bateau est primordial.
j'ai meme fait du cata en espagne sans safran. ils ont un cata, catboat sans safran ou tu cavales d'avant en arrière pour le faire évoluer.
tiens une planche à voile n'a ni safran ni génois...

24 déc. 2013
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oui en catalogne, je faisais un raid en hobie cat 16 avec femme et enfant, il y a bien 25ans et j'ai pu échanger avec les catalans nos montures si différentes. ils régataient beaucoup avec leur cata.

24 déc. 201316 juin 2020
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Pardonne-lui : ces catas catalans sont vraiment très très sympas (et pas tout jeunes, moi, c'était il y a 40 ans...) :litjournal:

Ce sont les "pati a vela"

24 déc. 2013
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je m'incline longcours... tu as raison, tu ne sais pas de quoi tu parles mais tu as raison!
joyeux noel!!

24 mars 2018
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C'est vrai, je l'ai fait aussi, ça faisait partie des exercices qu'on faisait pour se sentir prêts à différentes situations.
Pourtant, naviguer sans safran du tout n'est pas la même chose que naviguer avec un safran bloqué en ligne droite, ou même un safran qu'on laisse tourner fou.
Un bateau qui a toujours son safran, même non tenu, a toujours plus de stabilité qu'un autre qui n'aurait plus de safran : dans ce dernier cas, il risquera de pivoter de manière incontrôlable autour de son axe de dérive, et tenter de l'équilibrer avec les voiles est beaucoup plus hasardeux.
Une technique intéressante, mais trop peu connue en France est celle qui consiste à stabiliser le bateau avec une ancre flottante, et même à le diriger.
Une démonstration en video ici :

24 déc. 2013
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C'st bien dans "fortune de mer "que cela est reporté, d'ecrit, commenté.
Course Londres Sydney Londres
Kriter II, le bateau préparé à "l'arrache" par e que Tabarly ,revenu sur sa parole, ne veut plus lui louer Pen Duick.

25 déc. 2013
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C'est tout simplement ce qu'ecris Kersauzon dans " Fortunes de mer"
Page 70 "septembre 1975..le premier bateau qui me fut proposé etait Pen Duick VI, Eric Tabarly ,qui ne semblait pas vouloir courir dans l'immediat, était disposé à le loeur 35 millions d'anciens francs..." s'en suive le details de toutes les preparations liées à la locations de Pen Duick VI jusqu'a " ..au debut du printemps 1975 nous etions prets.Ce fut alors que nos efforts firent naufrage.Le 12 Avril, Eric Tabarly me faisait savoir qu'il comptait participer à la Triangulaire des Bermudes : par conséquent, il ne louait plus Pen Duick VI.J'etais chocolat. Eric m'avait fait faux bond. Je lui en voulu. Qu'est ce que je me sentais con ! Mais con ! ..."

Comment ecris tu !? quand on ne sait pas on ecrit pas ?

26 déc. 2013
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En septembre ODK dans le bureau d'Etevenon renonce à trouver " ..un Cresus disposé à jeter à la mer des centaines de millions.." et donc à construire un bateau , c'est au debut octobre 1974 que le Pen Duick avait été proposé.
Comme tu pourras le comprendre à la lecture du post precedent ou je cite : " au debut du printemps 1975 nous etions prets.."
si j'ai ecrit septembre 1975 c'est tout simplement pour ne pas etre à nouveau taxer des mots aimables du genre " quand on ne sait pas on ecrit pas " j'ai donc scrupuleusement ecrit ce qui est ecrit page 70 ligne 5 " le 2 septembre 1975" coquille presente sur le livre (si tu doute je vais etre obligé de "casser" la reliure pour scanner la page ) :reflechi:

Mais cela n'enlève rien à ce qui faisait le coeur de ta contradiction desobligeante : Tabarly a bien renier son engagement... ce qui obliger Etevenon et ODK à faire comme le disait Etevenon "un tour du monde telephonique " pour trouver dans l'urgence un bateau plus ou moins capable de faire la course .
ODK a du le louer une semaine en Turquie pour juger de ses possibilités , semaine malheureusement sans vent . Et le convoyer en suite toujours dans l'urgence avec un montagnard " fort comme un bison" Gilles Varillon, des Baleares au chantiers Berthon le 12 juillet 1975 et le depart a eu lieu le 31 aout 1975 (si les autres dates sur le livre sont exactes, ayant "bené" 95% de mes revues impossibles de verifier sauf via gogole mon ami ).

Grace à toi hier soir j'ai relu le livre !!

Mais cela m'a permis de retrouver une phrase en lien direct avec ce fil
:"...après le perte du safran, alors que la mer etait grosse et que les equipiers reglaient sans cesse la voilure afin de pouvoir maintenir un cap approximatif malgré l'absence de gouvernail..."

Pour eviter de me faire incendier : page 229 , ligne 32 à 35

:langue2: :langue2:

24 déc. 2013
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Je regrette que l'on ne sache pas comment il a fait pour " remplacer " son safran non pas pour critiquer car je ne remet pas en cause ses dires , mais pour apprendre et retenir pour le jour au cas ou .
J'ai comme Al66 une rame pour godiller et qui sait , elle pourrait un jour remplacer le safran .
J'ai un bateau de la même taille que lui et il m'arrive fréquemment au grand largue de " barrer " en réglant les voiles , maintenant sur une unité plus grande et avec de la mer je ne sais pas si je saurai faire mais cela ne veut pas dire que d'autres n'en sont pas capables .
Quant à la partie manquante du film , qui certes serait très intéressante , j'imagine tout simplement qu'il était occupé à barrer et que le peu de temps libre qu'il lui restait , il devait l'occuper à manger et dormir , mais je suis un grand crédule ...

24 déc. 2013
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Plus haut il est fait référence à un article paru dans V&V
la page de couverture " et ils n'ont pas appelés leur mère".

Un article relatait les différents essais fait pour remédier à la perte du safran

24 déc. 2013
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Retrouvé :
V&V n°396 fevrier 2004
le titre de l'article 2100 milles sans safran page 74
Bateau un Jouet 37

24 déc. 2013
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Un troll?

24 déc. 201324 déc. 2013
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J'ai tésté 48h sans safran dans du 40nds et la mer qui va avec, en Fantasia.
J'ai commencé par faire un safran de fortune avec Tangon+Godille+ porte de placard: C'est beau dans les livres, en pratique cela pourrait fonctionner par mer plate, vraiment pas pas mer agitée. Le soucis principal de ce type de bricolage est que dès que cela force un peu, l'ensemble tourne sur lui-même, la pelle ayant tendance à se mettre à l'horizontale dés que l'on veut empêcher le lof. Après avoir enfilé le tube inox de la pompe de cockpit dans le croc de tangon pour éviter cette rotation, et que celui-ci s'est tordu, j'ai compris que je faisais fausse route.
.
Il ne restait que les liaisons croisées (voile/direction et équilibre/direction). Cela fonctionne à peu près au prés, mais plus on abat, moins c'est stable.
Finalement, c'est grâce à une ancre flottante que je tractais, un foc étalé sur l'eau à l'arrière pris sur le taquet au vent que je faisait l'equilibre sous voiles, au près dans 4m de creux moyen avec defèrlantes occasionnelles. Il m'est arrivé plein de fois de virer (donc foc a contre) puis d'abattre jusqu'a empanner. Dans ce cas on s'emberlificote dans la voile que l'on traine. Un peu de boulot pour remettre au clair.
Aujourd'hui, je recommencerais avec un foc ou un tourmentin, mais lesté de l'ancre pour le faire tenir à la verticale dans l'eau et faire une poche d'eau et ainsi safran. Mais je ne souhaite pas réitérer de sitôt!

24 déc. 2013
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tu n'es qu'un ptit joueur oliv!!! l'écoute de génois dans une main, celle de la gv de l'autre et roule ma poule:!!!

25 déc. 2013
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Au début des années 70, jeune moniteur de croisière sur un Ghibli 6.6m, il m'est arrivé de ramener la bateau de St Hélier à Granville (28 milles) alors que le safran était bloqué dans l'axe, problème de crapaudine. Sans difficultés particulières me semble t-il mais par beau temps.

24 déc. 2013
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T'as oublié "depuis les haubans" pour faire contre-giter (abattre) ... bon j'retourne aux fourneaux...

24 déc. 2013
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d'ou l'avantage du cata...

25 déc. 2013
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ce n'est pas toujours possible ,sur les nouvelles carènes avec lest très étroit et profond genre luge le safran participe au plan anti dérive ,si on supprime le safran le voilier se met tout seul face au vent ,même sans gv .
si j'avais ce genre de voilier ,je m'en ferais un de secours
avec une paire d'aiguillots sur le tableau arrière ....
mais le super mistral se manoeuvre très bien rien qu'avec les voiles et la trainée du hb en puits
alain

25 déc. 201325 déc. 2013
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Pour ceux qui craignent la "trollerie", j'ai revu la vidéo :
- 2 min 16 on voit mal, mais le compas montre un cap à 2 chiffres (inférieur à 100), donc très EST alors que, vu sa route il devrait montrer 3 chiffres. Mais il dit qu'il a tiré des bords...
- 4 min 07 le compas est au 300... Un peu de nord dans sa route, alors qu'il est au moteur... Il devrait donc faire route directe, plutôt S W...
- 6 min 01 le soleil couchant montre que le bateau fait route plus ou moins au S S W
- 10 min 10 on voit un gros mouton qui arrive par bâbord. Là il dit qu'il y a force 8, il est possible qu'il n'en soit pas loin. À par que, pour régler la caméra, et s'installer confortablement, il aurait pu (du) essuyer ses lunettes...

Voilà...

25 déc. 2013
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babou, t'es l'inspecteur dédié à ce fil, surtout que le film est construit une fois arrivée, alors que le titre parle d'une nav au long cours.

25 déc. 2013
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Oui Alain (60Nora), il y a une différence entre, avoir un safran bloqué droit pour faire des essais, et absence totale de safran...

25 déc. 2013
1

60 nora, le safran fait tjs parti du plan anti-dérive et suis pas sur qu'un imoca (l'extrème) sans safran (s), a sec de toile se mette face au vent.

25 déc. 2013
0

tu n'as qu'a essayer tu verras bien , avec un arriére plat sans appendice et une quille a bascule et une dérive à l'avant je serais curieux de voir ça surtout avec la longueur de bôme ,mais généralement ils en ont deux de safrans .
alain

25 déc. 201325 déc. 2013
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Il y a quelques années j'ai écrit sur H&O un article sur un copain en solo sur son Cognac pendant trois jours sur son Cognac par F 8/10 qui s'apparente à de la navigation sans safran...

400 milles en MANCHE sur un Cognac par force 8 à 10 A chacun son Cap Horn… L’ABER WRACH – CAMARET : 96 heures

25 déc. 201325 déc. 2013
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Des 4 grands accidents matériel à bord (le feux, la voie d'eau, le dématâge, la perte de safran), hormis le feux qui est le plus grâve, des trois autres, je trouve (personellement) que c'est la perte de safran qui est le plus handicapant, devant la voie d'eau contre laquelle on peut lutter le plus souvent et le démâtage avec lequel on peut composer.
C'est bien évidement fonction des éléments, de la nature de l'accident et du niveau (technique/physique/moral) de l'équipage. Ce n'est que mon avis.
.
Bon après on peut aussi cumuler: le dématâge qui arrache le safran avant de percer la coque... qui fait un court-circuit et brûle ce qui reste...

25 déc. 201325 déc. 2013
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Cela dépend essentiellement du lieu où l'on se trouve et des conditions météo. En navigation habituelle, le démâtage et la perte de safran sont devenus les plus courants, la voie d'eau plutôt rare, le risque d'incendie en navigation est extrêmement faible.

Pour ma part, ce que je crains le plus est de me prendre un casier de nuit.

Au fait Oliv, connais tu le cas du voilier des Glénan qui aurait été abandonné à cause d'un incendie (ou pseudo insendie) au sud de Guernesey?

26 déc. 2013
0

non? cela s'est passé quand?

26 déc. 2013
0

Justement, il me manque l'année. Je t'en parle en MP.

24 mars 2018
0

Même si ce n'est pas aussi précis que le safran d'origine d'un voilier qui sort du chantier, un bon moyen (peut être le plus sur, en tout cas) semble être d'utiliser l'ancre flottante. Celle ci doit être maintenue à une dizaine de mètres derrière le bateau, par un mètre de chaine (pour le lest) et les deux écoutes de spi.
Les écoutes doivent être tenues par des poulies situées à peu près au niveau du centre de dérive (à peu près vers le milieu du bateau en général) et se rejoindre au début de la chaîne.
Il suffit ensuite de "border" l'écoute correspondant au côté vers lequel on veut aller.
Vous pouvez voir une démonstration en video ici :


Dommage que ce procédé et cet utilisation de l'ancre flottante ne soit pas encore très connue en France !

01 avr. 2018
0

Pas tout a fait sans safran mais sans l'aiguillot du bas ,j'ai pu ,a bord d'un flirt ,faire plus de cent miles avec des cordages passant dans les trous d'evacuations d'eau du cockpit.
Cordages fixés sur le femelot du safran exterieur.
Avant d'arriver à panama ,depuis 90 miles nord baranquilla
Mer d'alize?es.
Mais ce n'était donc pas sans safran .
Mais avec pas mal de chance .
Peut être que l'aviron dans la dame de nage aurait aidé sous faible voilure ,mais je suis content de ne pas avoir eu à essayer !

01 avr. 2018
0

Il y avait un stage aux Glénans dans le temps pour apprendre à diriger un bateau qui avait perdu son safran. Ma mère l'avait fait, il y avait plusieurs méthodes dont le déplacement des masses sur le bateau ou en laissant des trucs à la traîne. Un peu tard pour lui demander, mais peut-être ce stage existe-t-il toujours ?

04 avr. 201804 avr. 2018
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cela s'appelle "les liaisons croisées" au regard des "liaisons directes".
Les directes sont :
- barre / direction
- écoute / propulsion
- déplacement / équilibre.

C'est ce que l'on apprends à tout débutant. Tu agis sur X, cela réponds de façon Y. Simple, basique.

Puis plus tard tu passe aux liaisons croisées et tu apprends que:
- l'écoute comme le déplacement joue sur la direction,
- la barre sur la propulsion et l'équilibre
- les placements de poids sur la propulsion et la direction.

Et enfin, une fois tout ceci intégré, tu finis par couper une source de liaison. Par exemple la barre et alors tu fais la direction avec les deux restants : l'écoute et les déplacements :
suivant les allures, la mer et le bateau (+/- mou ou ardent) loffer = border GV et gite // abattre = choquer GV, border voile d'avant et contre-gite. Pour la majeure partie des bateaux, loffer est facile, abattre beaucoup moins (en fait les bateaux mous sont plus rares, ceci explique cela).

Mais face à une perte d'appareil à gouverner (safran, barre, drosse ou autre) le plus difficile n'est pas de loffer ou d'abattre, mais de garder une trajectoire à peu près droite. Et là, jouer avec des trainards facilite bien les choses.
Voili voilou

01 avr. 2018
0

Ill y a 40 ans et plus on avait eu non pas un stage mais un cours a ce sujet ,avec mise en pratique sur deriveur ,c'est trop loin pour ma mémoire.
Sur un croiseur cotier c'est moins évident car moins sensible au poids.
J'ai eu le problème pour rester vent arrière dans l'alizee sous pilote automatique .
J'ai du me résoudre à border a fond le foc sous la gdvoile pour tenir un cap interressant .
Même en déplaçant mes réserves d'eau.

04 avr. 2018
1

Afin d'en savoir plus pour naviguer sans safran :

karibario.blogspot.fr[...]il.html

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