Comment avez vous apris à naviguer ?

Une question très ouverte, pour que les gens expérimentés nous racontent un peu leur apprentissage.... en mettant en relief les moments ou les situations vraiment formatrices, enfin comment êtes vous devenu le marin d'aujourd'hui?

L'équipage
02 juin 2007
02 juin 2007

en fabriquant un radeau
avec une vieille porte en bois, des bidons d'huile LABO récupérés chez un garagiste et de la ficelle. un manche à balai et un vieux drap de lit comme voile et vogue la galère... c'était très chic dans la baie de la Baule !

02 juin 2007

autodidacte
Sur un bihannic (4m20) tard dans ma vie et puis...

02 juin 2007

1974.........
période peace and love avec mon frère,40 ans à tout les deux ,on avait appris que sur les iles c'était chouette alors on s'est inscrit.On a pas été déçu mais surtout on appris et apprécié de faire de la voile......C'était les glé...s:alavotre:

02 juin 2007

Ca fait 45 ans que ça dure
et j'apprends toujours. :-|

02 juin 2007

en 64
Mon père a acheté son premier 420 et j'ai tiré mes premiers bords en Mer du Nord (Nieuport)
Plus tard, les Glénans, puis, à mon tour, j'ai enseigné la voile quelques années.

03 juin 2007

vaurien
d'un "parisien" qui venait en vacance dans l'ile de Ré, a coté de chez moi
ile de paysans, (les rares pêcheur venaient de vendée...)la voile n'existait pratiquement pas en tant que loisir......mais c'est dans les années 60, avec l'arrivée d'un tourisme (presque) de masse que le cazavan est apparu sur le Fier d'Ars
puis corsaire puis star puis ......et tous les autres que j'ai construit en partie ou en presque totalité..... :-)

03 juin 2007

Il y a déjà...
46 ans, un jour au club voile de mon lycée, un "ancien" me demande d'embarquer avec lui sur l'un des dériveurs de l'école (des "pierrots" bateaux dessinés par un ancien Cap Hornier qui naviguait encore à 80 ans sur son 5.50m du Rohu).
Il n'y avait pas beaucoup de vent, du soleil et peu de temps après avoir quitté la cale du club, il me demande de prendre la barre et va piquer un roupillon en se chauffant au soleil!.......
Je n'y connaissais rien à l'époque ....et depuis j'apprend toujours car à chaque fois c'est différent et c'est pour celà que l'on y revient.
;-) :-D
Marc

03 juin 2007

debut en 1972
au club de voile de Port-Louis l'été de mes 12 ans (CLJ) tenu par des CRS. Début sur caravelle, puis vaurien, puis 420, puis 470... Puis stages à jeunesse et marine à Port Lay (à groix). Puis stage de chef de bord à jeunesse et marine pendantles vacances de Pâques 1977 à Hourtin. Puis chez de bord à jeunesse et marine de 79 à 81 à Port-Louis. Puis tour de corse à la voile en 1983,entraînement d'hiver à Lorient de 1998 à 2003, course en équipage Lorient-Dingle-Galway-Lorient en 2000, 3 fois la semaine du golfe, des convoyages entre les regates puis le reste... jusqu'à aujourd'hui et j'espère que çà va encore durer longtemps

03 juin 2007

que de souvenirs!!!!!

au club de voile du lycée à Quimper.Une convension était passé avec l'ecole de voile de Treboul:nous entretenions les bateaux et en contreparti disposions du centre et des bateaux en hiver periode ou le centre était fermé.

A cette époque deux prof du lycée passaient leurs we avec nous a enseigné la voile, et petit à petit les "vieux" formaient les "nouveaux".

Et cerise sur le gateau les filles de l'école normale venaient aussi....je n'ai pas appris que la voile......souvenirs souvenirs.....

:-D

josé

03 juin 2007

et j'oubliais

durant la semaine les prof à temps perdu donnaient des cours de nav ou autres c'était une gourmandise de suivre ses cours.

Et comme un con je n'ai pas suivi les stages de paques aux glenans , car a cette époque on nous proposait des stages gratos de 15 jours à paques pour passer le BE.En 15 j et quelques semaines en été on avait le BE maintenant il faut 3 ans.

josé

03 juin 2007

et avant tout çà
le radeau entre Port-Louis et Locmiquelic fait avec des potes avec des palletes et des futs également piqués chez le garagiste du coin... çà marchait pas mais bon dieu qu'est ce qu'on a rêvé sur ces frêles esquifs... le virus était déjà en nous et on avait une dizaine d'années...

03 juin 2007

c'étaient les années lycée..
en Bourgogne, bien loin de l'océan mais déjà fasciné, amoureux de le connaître depuis le bord.

C'était un copain d'internat qui me racontait toutes ses aventures extraordinaires, ses manœuvres, ses angoisses dans la brume, ses joies, ses découvertes, ses bonheurs après l’effort des nuits mouvementées ou étoilées, le rythme de la vie, l'appartenance à un autre monde.

Ado littéraire, un peu marginal mais surtout éprit de liberté je recherchais vers où fuir la société qui ne me plaisait pas.
L'île déserte n'était déjà plus un mythe mais je ne le savais pas.
Le bateau serait le moyen, il me fallait apprendre à le maîtriser.

Des heures et des heures de discussions passionnantes m'ont facilement convaincu et j'ai acheté ma première bible...
Je l'ai lu de la première à la dernière page, ne comprenant pas beaucoup, mais commençant à apprendre au moins le vocabulaire, je l'ai relu en picorant, je l'ai encore relu de bout en bout de nombreuses fois en attendant le premier stage d'école de croisière qui s'annonçait.

Je me rappèle les courbes de forces aérodynamiques qui étaient bien obscures, heureusement je devenais technicien par formation et les cours de mécaniques, ou de résistance de matériaux devenaient des alliés.
Sans aucun effort en quelques mois je connaissais ce gros pavé bleu presque par cœur à l'exception de la partie navigation astro que j'avais préféré laisser pour plus tard...

Et puis le premier jour est arrivé, c’était à Vannes et j'ai posé mon sac à bord.
Avec curiosité quand même, je n'avais jamais vu l'intérieur d'un voilier, je découvrais tout ce que je n’avais vu qu’en dessins.

C'était le premier stage où j'ai pu apprendre très vite avec l'expérience théorique que j'avais déjà, dès le second jour j’ai aussi expérimenté qu’une manivelle de winch nage très mal, et j’avais honte de mon erreur, mais l’esprit était très bon et la pédagogie meilleure encore.
Les étapes prévues n’étaient finalement que prétexte avouées pour apprendre davantage.

Pour la beauté du geste le petit port devant lequel nous croisions parfois nous permettait une manœuvre d’arrivée puis de départ quelques instants plus tard à la voile.

Puis d'autres stages ont suivis et un jour ce fut moi le chef de bord pour sillonner les côtes de Bretagne et de l’Angleterre sud, de Bordeaux à Cherbourg.

J'avais très tôt compris qu'il ne faut pas faire semblant, qu'il faut savoir le maximum et tous les moyens sont bons, toutes les expériences, toutes les lectures des grands qui nous ont précédé pour faire autant que possible le meilleur choix, pour être un peu accepté par l'océan.

Ma bible est toujours près de moi et avec un peu plus d'expérience mais les même techniques c'est maintenant sur mon beau petit bateau que je transmets mon savoir à mon fiston et la vie est belle!!

03 juin 2007

caravelle
les debuts furent declinés ainsi :

Caravelle en ecole de voile ...plutôt moyen , proche du nul ...

Apache (3,70m) dejà nettement mieux , avec apprentissage des secrets de la voile d' avant avec un La Rochelle /île de ré ...mais toujours pas de barre !

Mon metier implique mon premier embarquement dans la marine , sur un bateau Hydro .Je choppe le virus de l' habitable grâce à un timonier qui preparait un TDM sur un rêve d' antille .j' y ai appris la nav en theorie .

Midjet : premier bateau à moi , autodidacte , avec ma femme , on se forme tout seul .

Surprise : je me perfectionne de temps à autre sur les Surprise du club nautique de la marine à Brest .

08 oct. 200716 juin 2020

alors la suite ?
je possede aussi un midjet et que pznsez vous de ce bateau ?yann

03 juin 2007

Voile puis croisière
L'apprentissage des rudiments de la voile, ça a été sur optimiste, puis 420, puis 470, etc... Très formateur. Pas besoin d'expliquer grand chose à un gamin débrouillard pour qu'il soit autonome sur un petit dériveur. C'est une étape indispensable, à mon avis, pour acquérir des automatisme, et une bonne compréhension de beaucoup de phénomènes que l'on ressent beaucoup moins facilement sur un gros bateau.

Pour la croisière, je me suis d'abord fait embarquer par un passionné de voile pendant 2 semaines sur son bateau. On était 3, j'ai énormément appris. Quelques stages aux Glénans, mais c'est difficile de trouver les bonnes conditions pour apprendre (bateau chargé, motivation du moniteur, météo).
J'ai pas mal squatté les bateaux des autres, les bateaux de loc, pour naviguer et encore naviguer. Ainsi, on apprend tout le temps. C'est en naviguant un maximum qu'on rencontre le maximum de situations enrichissantes. Il faut donc savoir se dégager beaucoup de temps libre.

Puis, je me suis acheté un petit bateau d'occasion, et là, j'ai surtout appris à bricoler... Après 2 ans, je commence tout juste à en profiter pleinement, et naviguer vraiment. La vie de propriétaire n'est pas facile tous les jours. Je naviguais plus quand je n'étais pas propriétaire!

Leon.

03 juin 2007

Club Med en 68
puis achat d'un petit bac en plastique genre Optimist avec une voile latine.

Puis 420 en 1971 et pendant 10 ans à chaque vacance de Paques en autodidacte à Port Navalo. Les 10 meilleures années d'apprentissage !

Puis cours de monitorat en Belgique.

Equipier sur un 37' puis achat de l'Arpège, mon rève depuis toujours.

03 juin 2007

Jeunesse et Marine
en 63 et 64 sur la fameuse Real et une multitude de Baleinieres entre Hourtin et Groix. 68 a 70, avec un Super Mistral a Hyeres et dans les iles. Les belles annees ou nous ne nous posions pas de question. Pas beaucoup de monde dans l'Anse de Porman et toujours de la place a Port Cros avec un responsable de port folklorique, grandes moustaches et para boots aux pieds ete comme hivers qui ne se prennait pas la tete et surtout pas celle des plaisanciers.
Que de souvenirs aussi au Levant.
Merci MB de faire remonter ces souvenirs.

en lisant pepito et ventempoupe les pirates
a 6ans ;-)

04 juin 2007

Par hasard sur Internet
En 97 j'ai voulu apprendre à barrer un "gros" bateau. Sans expérience de voile si ce n'est quelques retournements avec un dériveur lors de vacances en été.
Je suis tombé par hasard sur Internet sur un site proposant des cours de voile à la Grande Motte. Coup de chance, j'ai appris les bases en faisant quelques ronds dans l'eau à l'occasion de quelques week end pendant 2 ans.
J'ai surtout maintenant deux amis qui m'ont beaucoup plus apporter que les cours sur les réglages de voile.
Puis je suis parti à Panama ou j'ai acheté le bateau d'un ami qui arrête sa carrière de voileux et passe au moteur pour on usage plus utilitaire et moins contraignant.
Maintenant j'apprends sans guide, premièrement à refaire un bateau complet sans port, sans quai, et avec les moyens du bord, et deuxièmement à naviguer, lentement, au rythme des pannes moteur et du vent capricieux.
Je suis encore un marin d'eau douce mais petit à petit les ronds dans l'eau s'élargissent.

04 juin 2007

J'allais en mer avant de savoir marcher.
j'accompagnais mon père sur son canot à misaine (avec quand même un petit moteur Bernard, vous savez, celui qui équipait les bétonnières). A 12 ans, il me laissait sortir seul. (par beau temps) A 14 ans, il m'a offert une Caravelle...

04 juin 2007

Nombreux étés sur un Maraudeur à Carnac...
pour inoculer le virus, puis des années d'entrainements d'hiver + régates sur 470, puis entrainements d'hiver + régates sur 1/4 Tonner (baie de seine), nombreuses croisières en famille,puis les premières locations en skippant ...c'est en forgeant qu'on devient....et faut bien se lancer un jour !
Conclusion : la régate, dans doute la meilleure des formations !

04 juin 2007

Premiers bords
tirés à la rochelle en Aout 1980 dans un truc qui de mémoire devait s'appelé touring club de france sur un 420, puis au cour de se stage une petite nav de la Rochelle jusqu'à l'ile d'aix sur un mantor se qui ma beaucoup plus botté :pouce:l'année d'après c'était un stage à moulin-mer en bretagne sur caravelle et jusqu'au mois de juin 2000 plus rien :-(sauf que là j'ai croisé un mirage:coucou: du coup je suis déscendu de ma bécane sur la quelle j'étais depuis 20 ans et la voile est redevenu mon loisir préféré:bravo:

04 juin 2007

Nostalgie....
premiers cours de voile sur ponant à Cavalaire avec mon père au début des années 60...
Celui-ci à eu le bon goût d'acheter un hors-bord pour faire du ski nautique entre chaque panne. Les copains échangeaient un tour de ski le matin pour m'embarquer l'AM sur le dériveur de papa.
A partir de là au départ de Boyardville (leYCB)
un coup de main par ci, un tour de dériveur par là, j'ai jamais arrêté de naviguer : de la planche (1976) au Dart (1982).
Aujourd'hui 3 habitables plus tard, la passion est de plus en plus forte.
Bref satisfaire un besoin d'évasion, de liberté,et maintenant un art de vivre...à mon rythme.
La voile est une excellente machine à laver la tête.
RESKEBIL

04 juin 2007

9 ans
premiére expérience sur un canoê canadien , descente d'une partie de la charente en famille , premier bords sur une fabrication personnelle sur la mare à Papet ( ferme du coin) ensuite 420 et tout ce qui flottait , vaurien , fenec , stardust , cata , et puis les habitables .

04 juin 2007

trés jeune
il y a 50 ans environ le jour où je suis tombé dans une mare et que j'étais couvert de lentilles d'eau j'ai compris que ce serait bien de rester sur l'eau. Premier temps j'ai appris à nager et ensuite dès que j'ai pu j'ai commencé à apprendre à naviguer Depuis je continue pour arriver un jour à être un Marin ;-) :-D

04 juin 2007

En autodidacte
tout simplement.

Un poil de dériveur et puis un quillard de suite et je me suis débrouillé tout seul.

Maintenant, j'avais quand même quelques "biscuits" dans ma musette : constructeur amateur d'un voilier acier de 11m, ça aide quand même car on connait presque tout ce qu'il y a sur un bateau et on est forcé d'avoir beaucoup lu avant et s'être bien informé par la force des choses.

Mais je reconnais que ce n'est pas la meilleure des solutions car quand je vois des petits jeunes qui font de la voile comme des grands dans des optimist ou qu'un gars a vécu et a grandi près de la mer et qu'il a observé une progression toute naturelle pour naviguer sérieux plus tard, je pense que c'est un atout non négligeable et moins "casse-tête" ou "casse-gueule" que ma démarche.

Et en plus, autre atout non négligeable, ils "sentent" mieux la mer par cette démarche plus naturelle.
Hélas, je ne pourrai pas revenir en arrière. Ce qui est fait est fait.

Parfois, je les envie.

04 juin 2007

tout a fait par hasard!
Il y a pas mal d'annees, nous sommes allee en famille au forum des associations de la ville ou il y avait un stand de club de voile local. Il proposait un petit concours de matelotage pour les enfants, et le prix etait une annee de voile gratuite. Ma grande soeur, qui avait alors 8 ou 9 ans s'est presentee, sans aucune connaissance prealable et, miracle, a gagnee! C'etait evidemment pas mal pour le club: nous sommes quatre enfants, et nous avons tous apris dans ce club, mes parents n'etant pas du tout voileux!
Mais, une fois mes annees optimist finis, je me suis concentree sur autre chose, en plus on a demenager, ce qui n'a pas arranger les choses.
J'ai quand meme reussi a faire une semaine de sorties par force 5 sur le laser de ma soeur (la petite, cette fois, qui n'aime pas trop quand ca devient amusant!) et sur kestrel, un gros deriveur anglais.
Puis, je suis rentree a la fac, et la, super, un prof organise une section voile: quelques sorties par an avec lui sur son habitable et ceux de ces potes du port, quelque regates, une viree en Angleterre. Le but, avoue, est de nous faire rencontrer du monde pour ensuite pouvoir naviguer sur les bateaux des autres. A part le salon nautique, c'est mon premier contact avec les habitables, et j'adore! Petite, ce qui me frustrait en optimist, c'est que, la nuit tombante, il fallait tout ranger, et c'etait fini! Quelle joie de dormir sur un bateau!
L'annee derniere, j'ai fais ma premiere croisiere un peu longue avec un type que j'ai rencontrer sur une regate. Malheureusemant, c'etait un convoyage pour ramener son bateau en mediterranee, donc fini les sorties les weekend!
Pour pallier a ce manque, j'ai achete, avec mon copain, un vieux vaurien en bois que l'on retape pour apprendre un peu a bricoler, et surtout le cout de maintenance d'un bateau.
C'est une chose de savoir naviguer, une autre de s'occuper d'un bateau, car meme un petit, ben ca coute cher!!
L'apprentissage continue, mais des que j'aurais fini de glandouiller a la fac, c'est sur, je m'offre un grand!

08 août 2007

Camp d'ados et Glénan
Vers 1962/63 un camp d'ados sncf comme un autre mai au milieu de la Bretagne sur le lac de Guerledan entre Morbihan et Cotes du Nord (à l'époque). Activité canoé et Voile (Vaurien Triton)sur le lac barrage EDF: Je découvre et j'adore! Pour mes 18ans (encore mineur à l'époque) je travaille pour m'offrir 15 jours aux Glénan (caravelle Dogre, godille,corvée de bouffe de voilerie de quart et divers): Je suis comblé ;o)
Ensuite beaucoup de stand-by puis un peu de Muscadet et de Samouraï avec des amis en Med et aussi un séjour sur un First 30 avec des ados toujours en Med et enfin achat d'un Jitzo (6m) perso en 1995 :o). Nav sur lac dans le Jura puis en Med et depuis 6ans j'ai mon 10m de 34 ans (que j'ai équipé progressivement) avec lequel je fais environ 1000 miles par an.Quelques coup de chien mediterranéens et cet été entrainement pendant les BMS (Force 8 et même 9 pendant 1H,c'est indispensable pour bien connaitre les limites du matériel et du bonhomme) avant de traverser l'Atlantique cet hiver. J'ai vu ce qu'il faut que j'améliore (entre-autre la possibiliter de mieux étarquer trinquette ou TMT en ajoutant un Winch). Et le principal c'est que le bateau est moi on est rentré un peu fatigués mais en confiance.Il tient très bien sa barre et accuse pas mal les déferlantes.Lui a perdu un bon morceau du liston à cause de celles-ci.En récompense je lui change tout le gréement et le plaisir continu.
Je précise pour ceux qui désespèrent...
Mon équipière me fusillait régulièrement les premières années quand le voilier prenait 10 degrés de gite (je le faisait exprès , tout cela etc...) Cet été tout allait très bien: elle arrivait même à aller faire un thé par 30 degrés minimum et s'arrangeaient avec les deferlantes qui courraient sur le pont et passaient sous la capote; elle vient même de s'acheter un micro-Cha, c'est vous dire! Par contre pour la traversée c'est pas son truc...Mais il y a encore au moins deux mois.. ;o)
cordialement.
Jitzo

08 août 2007

Un jeune marin
apporte sa petite expérience, j'ai fait qlq camps nautiques préados sur optimiste, caravelle etc en guise de découverte, mais la révelation c faite à l'age de 18 ans qd j'ai découvert Bernard Moitessier et ses romans qui m'ont bien fait réver et acquérir une philo de vie. Bien sur depuis tt petit j'allais en vacance à la mer, et le soir les ballades passaient souvent par le port c peut être là que tt à commencé. Ensuite il y a eu une préparation militaire marine qui m'a permis de passer le permis côtier à moindre cout sur la base du près du hemme à Armentière, avec une période bloquée à Brest pour les manoeuvres de prise de coffres sur des embarcations réformées dédiées aux plongeurs de la MN, et on est passé tt prés d'un grand plaisir : Le groupe PMM a été séparé en deux pour pouvoir embarqué sur l'Etoile et la Belle Poule à quai ds la rade, viens le moment ou le commandant de la section ns dit que si le tps se maintien on demandera une sortie en mer, mais le capitaine de l'embarcation a refusé prétextant une mer trop forte.... (peut être au large) mais ns on regardaient devant ns et on ne voyait qd petit clapot, on aurait juste aimé faire des ronds ds l'eau sur ses vieux gréments. Ensuite c salon nautique sur salon nautique tjs pour rêver et pour affiner le choix du bâteau idéal, pour moi de façon définitive et pour le meileur compromis qualité/prix confort en mer qualités marines se sera un BI-loup 89 ( en attendant de découvrir le Bi-loup 30 en Sept au grand pavois de La Rochelle) certainement plus cher mais prometteur. J'ai tjs un Voile Mag ds les mains, divers livres techniques sommeillent à la maison, même ss bâteau on peu commencer à acquérir des connaissances, la pratique c pour bientôt, j'ai maintenant 33 ans et l'acquisition est pr bientôt.

08 août 2007

à coups de pied au cul !
...

08 août 2007

Mon papa
naviguait déjà quand j'étais tout p'tiot, il a eu un dériveur (Moth) puis un dériveur lesté (Rafale 600) puis un petit croiseur (Jaguar 27 racheté a un ami à lui)!
Mais petit puis ado, si j'aimais l'accompagner de temps en temps, je n'étais pas réellement passionné par la chose!

Ce n'est que plus tard que j'ai eu envie de naviguer par mes propre moyen en faisant l'acquisition à mon tour d'un petit dériveur lesté (Prairie 560). Je passe mon permis lac et cours d'eau et mon permis mer, puis... ironie du sort, je fais l'acquisition à mon tour d'un Jaguar 27.

Depuis, via des bourses aux équipiers, j'ai eu l'occase de m'embarquer en mediterrannée pour des rallyes course-croisière (type "Transmed des Passionnés, Route du Jasmin, Bordée Maltaise...) et un jour un ami qui venait de faire l'acquisition d'un Via 36 m'a proposé de l'accompagner avec un autre copain pour un transat. Ce que j'ai accepté!

Toutes mes expériences maritimes ont été savoureuses et riches d'enseignement... J'ai eu bcp de chance de tomber sur des gens compétents, honnêtes et sympas! Le skipper qui m'aura le plus marqué est celui d'un Feeling 446 du nom de JIVAGO. Il était Italien, il s'appellait Filippo et sa compétence n'avait d'égal que sa gentillesse! J'ai bcp appris avec lui! Alors pour celui ou celle qui le croiserait sur un ponton! saluez le de ma part! ;-)

Enfin, même si ma zone de navigation reste principalement le lac Léman, il n'en reste pas moins qu'on y apprend bcp... les changements météos y sont souvent d'une rapidité et d'un violence déconcertante! ;-)

Mais il me reste tant à apprendre... Eternel débutant! ;-)

Cordialement

08 août 2007

Cursus...
Ben, école sur hobby 14.C'est bien ce truc.Le 16, y vaut qoi? Ouahou.Et le 18, y vaut qoi?
Et un 6 m,c'est plus dur?Bof,non.
Et la marée et les courants,c'est qoi?
-Réponse:UCPA La Rochelle,1er niveau.(Union des Célibataires Pas Amarinés) :-p 7 jrs sur 31 pieds.
-Pis la pétolle, c'est quoi? Meme réponse.En méditéranéeCorseSardaine.Tankés 4 jours sur 15.Pis le gros temps, c'est quoi? PLanqué à Bonifaccio 3 jrs..2 ème niveau.

-Pis la grande nav, c'est quoi?Les Antilles comme terrain de foot.3 ème niveau.

Et pis des nuages dans les yeux,le premier baston, la première fois que la côte disparait à l'horizon, la première nuit de nav,la première aube au milieu.

Pis l'aventure c'est quoi? Les premiers gabelous etrangers qui veulent vs embastiller parce que vous n'avez pas fait la Clearance DeSuite..

-Et pis ce que chaque bord apporte de merveilleux qui fait que le marin se reconnait à cette folie au fond des yeux, et à la leçon d'humilité qu'il a prise à tout jamais.
Bons Vents.

08 août 2007

planche puis ecole
J'ai decouvert la voile par la planche, des 9 ans (dur a l'epoque, rien n'etait dimensionne pour un gamin).
Puis une serie de stages (4) dans une ecole (jeunesse et marine), lac puis bretagne.
Et, en //, navigation avec mon oncle sur un 6,5 sur le bassin d'arcachon.
Un peu de deriveur a l'occasion.
Apres, nav dans une assoc (ASPTT) , puis skipper pour l'assos en question. Et sorties en famille en location.
Apres encore, achat d'un sunlight et re-apprentissage en famille. Puis nvx bateau + grand...
Comme le dit un des posts, on apprend tjs. Mais les bases sont importantes.
Cordialement,
JF

08 août 2007

naviguer???
est ce savoir diriger un engin propulsé par des voiles ou savoir se situer sur mer avec un sens marin et des aides techniques
that is the question???

pour sur on devient le marin qu'on est grace à son expérience
perso, ceux qu'on écoute ou qu'on lit, ensuite selon son degré d'assimilation, on devient spécialiste....

moi j'ai souvenir du surf que je pratiquai enfant, ca me plaisait énormément et c'est un rapport corps à corps avec la mer, ses formes....

diriger un engin à voile, ce fut grace à une école auquelle bien sur j'étais réfractaire...quand je ne dégueulais pas pardessus-bord (caravelle):-D

aller voir derrière l'horizon à la voile...là on ne triche plus, quand on y allé on aime ou on n'aime pas :-D :-D :-D

09 août 2007

vacances
Salut à tous
pour ma part mes premiers bords ont été fait sur des dériveurs devant la plage de St Brévin l'Océan à l'age de 10 ans. Les bateaux s'étaient des R9M, 420, 470, et puis 505.
Ensuite beaucoup de location avec les copains sur Granville et découverte des îles anglo.(Folie Douce, Cherguy etc.)
Puis on se lance comme skipper en Méditerranée.(Love Love avec ma femme cela ne s'invente pas ...)
Puis un grand vide d'une dizaine d'année puis retour en Med et propriétaire d'un 10m.
Beaucoup d'écoutes et de lectures et surtout beaucoup de découvertes perso.

09 août 2007

LVJ et UCPA
Début en 68 j'avais 16 ans avec Loisirs et Vacances de la Jeunesse(une émanation du PCF) près d'Audierne.
Des souvenirs inoubliables de parcours entre 3 bouées sur Vaurien et SANS safran, fous rires garantis et ça vous apprend à équilibrer un bateau.
Ensuite 420 et 505, avec des arrivées de plage freinées à la dérive, de vrais hooligans.
Puis plus sérieux, premières croisières sur Mousquetaire avec un passage du Raz de Sein en partie à la godille cause pétole à l'aller et au retour coup de tabac, la plaque tétière est arraché de la GV et la bôme tombe violemment sur le pont sans blesser personne, on a fini avec le foc, inoubliable aussi.
Et enfin sérieux de chez sérieux, l'UCPA de Pauillac en 71 sur 1000 Lanaverre et là on ne rigole plus, chef oui chef ..........
Et pour finir, aujourd'hui je continue à apprendre.

15 août 2020

Peut-être ne regardez vous plus ce site ...
bouteille à la mer, j'étais moniteur de voile en 1968 à LVJ Esquibien, le vaurien, les 420 "Le 505 en bois" vous oubliez le Flibustier ... mais oui les Mousquetaires !
Je suis adjoint à la culture de la ville nouvelle d'Audierne-Esquibien et souhaite préparer un dossier sur les colonies de vacances qui y ont existé.

Si vous avez des souvenir ou des éléments :

Michel Van Praët
2 rue Gay Lussac
29770 Audierne

michel.van-praet@orange.fr

11 août 2007

Né à 200 kms...
de l'Océan, imprégné de culture paysane venue des grand-parents, vers mes 15 ans, le hasard malicieux me fait lire Slocum et Gerbault.
Je demande tout de suite à apprendre à nager!
Sur l'atlas familial (en ma possession), je trace mon tour du monde - contre les alizés-!
Mes premières vacances en 62, après la guerre, 2 semaines au club de Royan à l'école sur Caravelle et Vaurien.
Pendant 4-5 ans, location systématique de dériveurs (Ponant préféré) en Méditerranée,en Bretagne et jusqu'en Norvège. Mon premier bateau : le Super Mistral de Amel. C'est avec lui que j'ai tout appris de la croisère aidé par le pavé des Glénans et les Merrien.
Je fais toujours aujourd'hui mes 1500 à 2000 miles sur 4 mois et demi au 3 quarts en solo avec mon 10 mètres adoré.
C'est donc les lectures qui m'ont subjugué et poussé sur la mer où j'ai trouvé tant de bonheurs.
Je suis stupéfait par les progrès techniques alors que j'ai commencé la navigation à l'estime avec des boules de papier pour estimer ma vitesse!
Maintenant, sans faire le modeste, je n'apprends plus guère, au contraire, je commence à oublier... :-( :-D

11 août 2007

Le mauvais exemple à ne pas suivre :
Le mien ! :non:

Passer directement de la Land Rover dans le sable, à un voilier de 14 mètres sur la mer, et partir pour les Antilles après avoir fait deux fois le tour de l'île de Bréhat pour tout entraînement... :oups:

Je cherchait à l'époque un nouveau moyen de locomotion et hésitais entre le camion aménagé ou la péniche... le hasard et mes moyens financiers m'ont fait choisir un voilier.

Quelques années de boulot pour le mettre dans un état acceptable et remplir la caisse de bord, et départ.

Avec comme baptême la tempête d'octobre 87 dans le golf de Gascogne. :lavache:

Mais Tilikum est un bon bateau, il m'a pardonné toutes mes erreurs ! :-)

J'avais quand même navigué dans les bouquins durant deux ans, et savait me servir d'un sextant... que j'ai appris à manier et toujours dans les bouquins à l'aide d'une flaque d'eau dans le désert iraquien... ;-)

L'idée de suivre quelques cours dans une école style Glénans m'a effleuré l'esprit, mais j'ai horreur de la promiscuité !

Heureusement, je ne connaissais pas H&O et ses bons conseils, sinon je ne serais probablement jamais partit ! :tesur:

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11 août 2007

Doué!
Il faut être naturellement doué pour "commettre" çà sans ennuis!

08 sept. 2007

avoir le cul borde de nouilles
parce que la chance ca aide, on a beau dire !

08 sept. 2007

Octobre 1987
je ne sais pas si tu à le souvenir, c'est tout sauf de la chance, autre exemple équivalent Décembre 1999, et en plus l'anonyme Tilikum dit que ce nest pas un exemple à suivre
Pour 1987 les médias se sont réveillés 4 jours plus tard et en Bretagne beaucoup de gens ont perdu des plumes, comme pour DEAN en Martinique,et plus loin.

08 sept. 2007

humour
humour, humour, fred lui quand il parle il se nomme, et puis moi aussi je préfère le rhum

08 sept. 2007

fred , un anonymme ?
:tesur: arréte l absinthe !! :mdr:

09 sept. 2007

j'ai commencé...
...par des stages de parapente, y a une vingtaine d'années !
mais suite à quelques atterrissages quelque peu "rock'n roll"...

...j'ai preferer continuer en école de voile.

c'est moins casse-gueule.

:-D
jacques

09 sept. 2007

En 1975
Attaché au mat de la barge à voile de mon père au large du Bic (Québec)

Ensuite à l'adolescence, je suis embarqué sur la goélette que mon père avait acheté pour faire école de voile sous l'égide de Cap-Espoir.

On s'est fait une belle odyssée en faisant Sorel Terre-Neuve à deux sur cette goélette aurique de 16 metres.

J'apprend toujours à naviguer, un peu moins sur les voiliers depuis que je suis devenu Spécialiste des Glaces à bord des brise glaces de la Garde Côtière du Canada.

J'y reviendrai à la voile, sur les trave de De Roos.

Je retape encore et toujours mon Mason
Quand on a du temps on n'a pas d'argent, mais quand on a de l'argent on n'a plus nécessairement le temps.

tout vient à point à qui sait attendre...

Ig

09 sept. 2007

hum, avoir appris à naviguer
implique que l'on sait naviguer, je ne suis pas certain que je sois concerné, je crois être toujours en phase d'apprentissage mais allez, je repond quand même:

-Je n'ai rien appris sur le bateau familial (un mousquetaire en Corse) ni lors des quelques locations de voiliers que mes parents ont souscripts aux antilles, la voile en elle-même m'ennuyé, j'etais malade, je n'avais qu'une hate arriver aux mouillages (ce qui ne m'empeche pas d'avoir des souvenirs fabuleux).

-En ecole de voile en guadeloupe, sur optimist, je n'y ai pas particulierement brillé, deja enfant l'esprit regate, compet qui se ressentait dans ce club m'ennuyé profondement, avec mon binome on se cassait souvent en douce avec l'opti pour aller pêcher loin des autres qui tournait en rond au grand desespoir des moniteurs et de mon pére, mais j'y ai acquis quelques notions quand même, enfin je crois.

-achat d'un 470 (à l'insubmersibilité douteuse et au jeu de voiles pourri) par mon pére, achat motivé sans doute par l'eloignement de la mer.
Aprés avoir habité à Marseille, Ajaccio ou en Guadeloupe, le Berry c'est sympa mais pas pour la plaisance. Quelques petits ronds sur le lac d'Eguzon, et sur quelques plans d'eau souvent trop petits pour vraiment en profiter mais on s'est quand même amusé et je crois y avoir appris encore quelques trucs.

-quelques mois aprés mon aménagement en Bretagne (Finistére Sud), achat de Sami, un Samourai MK1 pour profiter un peu de la mer, au debut j'avais envie d'une barcasse, pas necessairement à voile pour pêcher, promener les enfants et puis des souvenirs de navigations qui remontent à la surface (pas que chez moi), l'envie de m'y mettre, achat de bouqins, le papa qui vient pour me "transmetre" les bases (et en profiter aussi), j'accroche completement, on se fait plaisir lors de mes permieres navs en tant que chef de bord, on apprend à vitesse grand V en faisant quelques anneries bien evidement, la satisfaction de voir qu'on est capable tout seul d'aller à un point A à un point B qu'avec l'aide du vent (même si le point A n'est pas tres eloigné du point B on en retir une certaine satisfaction), commencé à distinguer un bateau mal réglé d'un bateau bien réglé, s'empresser de rattrapé le mal réglé et parfois, rarement, le bien réglé, ne penser plus qu'a ça et bienfait collateral sa famille aussi !

Aujourd'hui on s'emploi à trouver le remplacant de Sami, prevu à l'origine pour des navs à la journée ou au we, c'est vraiment vraiment trop court ! :heu:

je crois que j'ai un peu dépassé le sujet original du fil en racomptant un peu ma vie et à travers elle mon apprentissage de la voile chaotique veuillez m'en excuser :blabla:

09 sept. 2007

"à bord des brise glaces de la Garde Côtière du Canada"
Mais c'est un sujet tout aussi passionnant que nos navigations de plaisanciers... non ?

Je suis certain qu'il y a des histoires intéressantes, peux-tu nous raconter ? ;-)

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10 sept. 2007

Au Glénan...
... trois stages de 1975 à 1977. Initiation à Penfret sur Caravelle, Vaurien et Dogre. Puis Fort Cigogne, pilotage, matelotage, sur Choses, Cotres des Glénans. Puis Paimpol, croisière sur Mousquetaire Club.
Ensuite, rencontre de voileux au boulot et croisières comme second pendant quelques années puis chef de bord dans l'Assoce du boulot et en location avec équipage de volontaires. Skippage occasionnel pour des comités d'entreprises de la région.
Aujourd'hui, je suis propriétaire. Et c'est très différent même si la mer et la navigation reste les mêmes.
Les Glénans reste, pour moi, la meilleure des formation que j'ai reçue. Je reste marqué par leur simplicité et le côté rustique de cet enseignement.
Amicalement,
Régis

08 oct. 2007

avec mon pere.
Embarqué de force (lol) a l'age de 3 ans sur un super dorade. c'etait il y a 38 ans par un papa qui avait tous appris sur papier a 600 km de la mer.

20 ans a tirer des bords entre brest et la rochelle le super dorade c'est changé en poker puis en sun fizz.

avec lequel j'ai reproduis le meme schema avec mon fils (c'est banal en fin de compte). Mais direction l'espagne , il avait 1 mois et demi.

l'histoire n'ai pas finit............

09 oct. 2007

ah! la marine!
ben moi,c'est sans mon avis que je me suis retrouvé embarqué sur le voilier à papa.
donc avant de savoir marcher,je rampait déjà sur le pont et menait des inspections dans les fonds...
aprés des études laborieuses ,et n'envisageant aucunement un avenir sédentaire, j'ai passé mes brevets de la marine marchande.
mes connaissances à l'estime et la méthode "à papa" me suffisaient pour des petites traversées de corse.
équipé donc d'un gps et d'un compas de route, je me démmerdait. le voilier à papa fait 10m, est en bois, vieux , sans winchs ou treuils,sans pilot auto, sondeur, et même sans loch...
la methode académique que j'appris par la suite me démontra que des calculs précis sont plus sùrs ...
et qu'il est précieux d'avoir tous les instruments necessaires, même le radar, mais il est vital de savoir s'en passer également.
l'experience reste malgré tout la 1ere qualité du marin, mais il faut de la théorie aussi au novice pour éviter les éceuils parsemés sur sa route.
et toujours avoir à l'esprit que LA MER NE PARDONNE JAMAIS L'ERREUR!

09 oct. 2007

hummmm
la mer est notre maitresse, exigeante,parfois sévère,et souvent (heureusement caline!!!!!! Le bateau est la danseuse de grand père sauf qu'avec lui on n'attrape pas de mst, quoi que!!!!!!!! tout dépend de qui est invité à bord

12 oct. 2011

Stage de voile gagné comme prix au lycée,moniteur de voile ,équipier sur gros ou dériveur en régate ensuite,convoyages ,et achat du bateau perso ensuite.

12 oct. 2011

Optimist en école de voile en Guadeloupe (il y a pire comme coin pour apprendre), tout seul sur le 4,70m familiale (étang et lac de la région centre), sur le mousquetaire de mes parents (corse), sur plein de trucs flottant loués par mes parents aux antilles (souvent un Melody), sur mon premier un samourai en Bretagne sud, je n'ai pas l'impression d'avoir cessé d'apprendre encore aujourd'hui sur mon cata ou sur les bda.

12 oct. 201112 oct. 2011

Néophyte, j'ai intégré "par erreur" un stage de formation de moniteurs BEMV... heureusement que le CTR m'a pris sous son aile...

12 oct. 2011

école de voile sur caravelle, vaurien, 420, etc ...(eh oui, c'était l'autre siècle !!)
puis initiation sur habitable sur le BDA, un Arpège entre autres(coucou Hélène !)
et puis le ptit bateau du père, etc ....

ça fait 45 ans quand même !! :-( :lavache:

12 oct. 2011

bsr ,
embarqué pratiquement de force à 14ans sur un ponant pour faire le lest mobile sur l'etang du tanchet aux sables d'olonne
pratiquement changaié , la peur de ma vie ,ça penche ces bétes la ..
puis l'envie d'y retourner .
et j'en ai fait mon metier par plaisir puis passion ...
alain

12 oct. 2011

Ben moi j'ai eu Bil56 comme mono !!!

12 oct. 2011

et tu t'en es remis ?? :-D :-D

12 oct. 2011

Adolescente, vacances chez mes grands-parents en Anjou. Un copain vient tirer des bords sur son 420 sur la Loire à Bouchemaine...C'est là que j'ai pris le virus.
à la rentrée, je me suis inscrite au club de voile de la fac. On allait faire du vaurien le dimanche sur le canal de Willebroek. C'est là que j'ai entendu parler des Glénans. Et pendant 10 ans, j'y ai passé toutes mes vacances; initiation à La Forêt-Fouesnant sur les cargognes, manoeuvres à Fort Cigogne sur les "choses" et les cotres des Glénans, stage iti sur Mousquetaire entre Penmarch et Groix, école de croisière à Paimpol sur Dogre, plusieurs aller-et-retour en Cornouailles anglaises avec le GICG sur les frégates, superbe croisière en Turquie sur un Arpège, (premier bateau des Glénans à avoir un moteur), j'ai aussi été "maîtresse de maison" à l'île d'Ars, et j'ai fait une transat à bord de "Glénan" comme équipière pour la Tall Ships Race. Entretemps, je vis en Afrique centrale à 4000 km de la mer, mais je trouve le moyen de naviguer sur le lac Tanganyka (saison des régates "gros temps" sur 505 et sorties à la journée sur un Samouraï). De retour en Belgique, je m'inscris à un cours de navigation théorique pour me "recycler". Là la plupart des propriétaires embarquent des équipiers et je navigue pratiquement tous les week-ends d'avril à novembre en Mer du Nord.

Depuis 7 ans mon compagnon et moi préparons un 34 pieds en acier pour "naviguer loin et longtemps"; mais depuis, les loisirs se passent à bricoler à bord et je navigue beaucoup moins.
Aux Glénans, pas de cours théoriques, on apprend sur le tas et on "debriefe" le soir à l'escale. Naviguer sur les BDA est aussi très instructif.
Je donne des cours depuis une dizaine d'années, histoire de perpétuer l'envie et de donner les "essentiels" pour commencer à naviguer en sécurité.

12 oct. 2011

Oups! Caragogne! c'étaient des caravelles pontées avec lequelles ont apprenait les manoeuvres des habitables : changement de foc, prises de ris, mouillages, prises de coffre etc...

12 oct. 201112 oct. 2011

Il y a un certain temps... pour ne pas dire un temps certain...
Club nautique de la BA126 (Solenzara) sur 420 et 470 (grande découverte... savais à peine nager !)
Puis retour vie civile avec le virus de la voile, acheté un Caneton, puis régates Class8 et Class10 en copro.
L'occasion d'un convoyage en tant qu'équipier vers la Martinique pour goûter à la grande croisière...
Le tout entrecoupé d'obligations professionnelles...
Et maintenant plutôt pépère (trois longues années avant la retraite) sur un EVASION34 acheté l'an dernier à un très bon prix alors qu'il baignait dans son jus... La voile je connaissais un peu et maintenant je découvre les "plaisirs" de la bricole on board !!!
A+
DD

12 oct. 2011

A 6 mois on m'a mis les "pieds" sur un bateau. Puis, petit à petit, j'ai suivi la famille : dériveur, petit habitable, Optimist... sans trop m'y intéresser. Ensuite, Ecole de voile en Opti, 320, vaurien, 470, Laser, Moth, ... (quand j'avais 10-14 ans). Quelques loc en famille. Ensuite 5-6 ans sans.
Puis plus gros pendant 20 ans où j'ai appris la navigation sur cartes sur le tas (j'étais le seul à ne jamais être malade à la TAC)
Aujourd'hui encore plus grand (35 ')

12 oct. 2011

Comme dans la chanson de Jean-Louis AUBERT, j'étais un petit garçon qui assis sur la plage regardait passer les bateaux...
Puis, l'âge aidant, je me suis enhardis à aller les voir d'où ils partaient et un jour voyant un monsieur partir tous les jours seul sur un 5O5, je lui ai demandé s'il ne souhaitait pas avoir un équipage. Il me renvoya au Club dont il faisait partie et c'est ainsi que je passais mon brevet de barreur.
Ensuite, la sortie à la journée ne comblant pas mon envie "d'horizons", je suis parti en habitable avec le concepteur du WALDER.
Mais si la théorie du bateau des autres nous démontre que c'est la meilleure et la plus économique façon de naviguer, j'ai voulu mon propre bateau !
D'abord, un Cap-Corse en co-propriété, puis à moi tout seul. Les iles de Lérins et d'Or étaient à moi !
Puis une construction amateur en acajou moulé. Très beau bateau, la Corse nous a ouvert les bras. Enfin, un WESTERLY RENOWN 31, l'Italie, la Sardaigne, la Grèce étaient à porté de voile !
Oui mais la navigation me direz-vous, tes bateaux on s'en fout !
Ben à partir du moment où j'ai eu un bateau, je n'ai eu de cesse que de le faire travailler, j'ai créé une association Loi 1901, j'ai proposé des sortie en mer dans les villages vacances familiaux, puis au collèges, et j'ai navigué quasiment de 180 à 200 jours par an, et comme dit le vieil adage, c'est en forgeant qu'on devient forgeron !

12 oct. 2011

Bonsoir,

Quand j'étais petit petit, sur un maquerautier en baie de St Brieuc, lest en galets, voiles en coton, moteur avirons biceps, à peine de métal à bord,les axes de poulies et de safran, le cloutage du bordé, guère plus, la condition pour embarquer c'était un couteau en poche et savoir nager 50 mètres.....j'ai appris à toute vitesse et investi mon argent de poche dans un opinel sans virole.

12 oct. 2011

J'ai été initié par un oncle à l'âge de 4 ans.

De 7 ans à 11 ans j'ai passé 5 été dans un camp aux USA, c'est là que j'ai fait mes premiers ronds dans l'eau en solitaire sur des petits dériveurs.

Ensuite, j'ai passé les étés de mon adolescence à faire des ronds dans l'eau sur un lac, puis j'ai eu mes années de planche à voile, de catamaran de sport.

Plus tard j'ai eu mon premier quillard... L'hiver, j'ai fait de la voile sur glace pendant une quinzaine d'année.

Après plus d'une quarantaine d'années à faire des ronds dans l'eau j'ai décidé de m'inscrire à l'Institut Maritime du Québec pour apprendre enfin à naviguer. J'y ai suivi plus d'une centaine d'heures de cours théoriques et j'ai complété avec 2 stages embarqués de 2 semaines chacun (dans le Golfe du Saint-Laurent).

J'ai beaucoup appris, j'ai surtout appris que j'avais encore beaucoup à apprendre.

12 oct. 2011

Bonsoir,
Comme beaucoup je pense,
1- voile légère
2- association qui possédait un bateau
3- des connaissances donc le bateau des autres.
et puis... un jour, j'ai eu mon bateau, le plus beau... !
JJ

12 oct. 2011

j'ai appris sur le tas! le rôle du tas était tenu par un vaurien, un as de cœur, un daimio, un écume de mer, un karaté et maintenant j'apprends toujours sur mon Neptune 99

12 oct. 2011

Bonsoir. Tout simplement en lisant Moitessier,Bardiaux,Le Toumelin pour ne citer qu'eux(la liste est trop longue),tenté l'école de voile en vain car pas de sous et de toute façon, fallait prouver que l'on savait nager ce qui n'était pas le cas et de rage, je me suis mis à construire des modèles réduits naviguants dabord en voile libre ce qui supposait savoir comment çà marche suivi de modèles radiocommandés de la plus simple radio construite par moi-même à une du commerce plus récente et enfin mon premier bateau....j'en suis au quatrième. Le bateau des autres, c'est plutôt en tant "qu'instructeur" que je le pratique. Ha!si, "empreinté"une plate pour m'apprendre à godiller.

Ps: le voilier que vous pouvez apercevoir sur certaines de mes photos est le premier et il a 50ans!

12 oct. 2011

par le plus beau des moyens : la famille. il y a 50 ans ça a commencé par : maraudeur, corvette, atlante, centurion, melody, rush, first 325 et sun odyssey 37.
la vie, les enfants font évoluer la taille des bateaux et la distance des navigations aussi. les parents ont commencé, nous avons pris le relais, nos enfant prendrons peu etre la suite, mais ça c'est pas moi qui decide, l'avenir et les envies des uns et des autres

12 oct. 2011

à 8 ans sur un Tabur 320 d'occase que m'avaient offert mes parents,à 13 ans,je piquais le kerlouan du père pour m'échapper dans les 7 iles,à 16 ans,le permis A offert par ma grand-mère(pour ne plus être hors la loi!!!!),à 17ans,navigation sur l'Aloa 25 de mon pote (qui,d'ailleurs,bossait déjà),à 19 ans engagement dans la MN (pour 17ans dont 15 d'embarquement),à 25 ans ,je me suis alors payé mon premier canot (un ptit class7) pour naviguer maintenant sur un kelt9.voili,voilou pour faire rapide.

12 oct. 2011

1970 stage à l'age de 7 ans sur le lot .... sur un optimist pendant 15 jours, puis 420 .... 470 en championnat régional et de France dans les années 1985 à 1990 accompagné de planche de régate biensur c'était l'époque ...... puis la suite c'est maintenant ...... l'avenir est bientot à nous et on y travaille.
Thierry ;-)

12 oct. 2011

Dès la naissance, mes parents avaient un cap corse à Granville, puis un 420… et puis j'ai fait du vaurien, caravelle, 420, en école de voile… un peu de régate, puis planche à voile (les trucs importables de 5m de long), puis le BDADP (bateau des amis des parents), un peu de tout, quelques sorties sur 8m JI, un peu sur Sélection, histoire de me faire des bras… Et puis aussi, à la même époque d'ado, sur un petit pêche promenade Amiot (Améthyste), sur lequel j'ai fait toutes les conneries du monde, tiré des bords carrés depuis la Rance jusqu'à Chausey… rêvé de passer avec le Cap Fréhel… chose qui n'arriva pas… le moteur étant interdit pour ce record (je m'étais juré de me faire percer l'oreille… )… Puis encore les BDADP, du Hobie cat… des bateaux de toutes sortes… parfois des gros, juste comme ça… parfois les plus improbables… puis mon premier co-achat, un Westerly Konsort 29 que j'aimais beaucoup, mouillé du côté de St Briac… sur lequel j'ai appris la perversion des moteurs diesel, les joies du bricolage permanent… puis la Martinique, un Sun Fizz (rêve de grand voyage) que j'ai rénové et avec lequel j'ai trop peu navigué… et peut-être bientôt un nouveau bateau… j'espère un tri ou un cata de moins de 10m, histoire d'apprendre encore, sur plusieurs coques et d'être sur l'eau, tout simplement.

18 oct. 2011

Tout a commencé dans les années 50 à la lecture d' Alain Gerbault et de Paul Chack (tu seras marin )
Et puis il ya eu Tabarly et Moitessier,
Lecture encore de Annie Vande Wiele et son Omoho, Vito Dumas etc....
apprentissage dans les années 60 sur un vaurien à Butgenbach,
Construction d'un Mirror Dinghy pour 100 £
location de petits voiliers et vacances dans les îles d'or dans les années 70
Premières vacances en Croatie au début des années 70
Croisière dans les Cyclades avec l'ULYC
Réalisation du rêve de toujours et départ pour un tour de France à la voile à partir de Nieuport sur un Edel 4 "Thiluric"
Hivernage à Granville en 2001
hivernage à Pontrieux en 2002
Arrivée à Lorient ( Port Louis )séjour jusqu'en 2004,sur le bateau toujours et seul!
Arrivée à Belle-ile en mer en 2005 et j'y sui depuis cette date.
Achat de Manapany un Coronado 31 en 2007 grâce à deux sponsors inattendus mon fils cadet et mon filleul
Locations du bateau et de son skipper pour une somme modique et pour améliorer l'ordinaire
Comment voulez vous ne pas aimer cette vie simple et bon marché après tout cela !
Et je continue...

12 oct. 2011

Il s'appelait le BIM.
C'était une prame de la taille d'un optimist dont elle avait un peu la forme.
Construite par un charpentier pour les 3 filles du pacha, elles s'appelaient Béatrice, Isabelle et Martine : B I M.
Un gréement aurique, avec un foc dont le guindant ne faisait pas un mètre, une dérive sabre et un safran en tôle... à la rame, à la godille ou à la voile...
Nous avions aussi un canot en bois, il faisait à peine 4m, avait un mât comme un poteau planté dans le banc le long duquel coulissait un rocambau pour hisser une voile en coton et enverguée sur un gui. Au début de l'été un voisin venait avec son tracteur, il fallait des bras pour mettre le canot sur la remorque pour le descendre sur la grève.
Après 3 jours pour que le bois gonfle, il fallait calfater à l'étoupe et au brai, avec un peu de coaltar.
J'ai appris à jouer dans les courants et cailloux près de Bréhat.
J'ai aussi usé mes (vieux) jeans coupés au dessus du genou sur les plats-bords d'un vaurien familial.
Une semaine d'école de voile à 13 ans, chez Dédé...
Les bateaux des ami(e)s qui cherchaient un équipier de poids sur leu 420, simoun 4.45 (très bon bateau), puis sur 470 je devenais trop encombrant sur le 420.
Sont arrivées les planches à voile... qu'on qualifiait de voile libre. C'est vrai que c'était sympa de charger ça sur les voitures et de se retrouver sur les différents spots du secteur.
Puis j'ai récupéré une caravelle pour promener ma petite famille.
Quelques rares "croisières" sur le bateau d'oncles, d'amis...
Un stage Glénans en 1994.
Mais Paris, c'est loin de la mer et les vacances sont comptées.
Depuis 2001 je navigue sur le bateau d'une association. J'ai passé les permis, j'ai obtenu mes galons de chef de bord et maintenant je fais naviguer les équipages dans une bonne ambiance. Le bateau (SunLight30) est sorti 121 jours en un an (2010-2011)- dont 45 jours à mon actif.
Je fais quelques régates à Loguivy ou Paimpol... une participation à Skipper d'Islande (Paimpol-Reyjavick sur un Class40)en 2006.
Je continue à apprendre et je suis de plus en plus avide de connaissances et d'expériences, de découvrir d'autres mers et d'autres esquifs. Le bateau des autres, avec le partage... Naviguer solidaire plutôt que solitaire.

Là, je regrette de ne pas avoir de photo du BIM, pour le concours photos du mois. Nostalgie. :doc:

17 août 2020

UNF c’est bien loin !
Moi aussi j’y ai été moniteur. Je garde un bien bon souvenir des centres de Niolon, Thonon et de celui, voisin de Charenton dont j’ai oublié le nom.
Je me rappelle aussi des Argonautes, des Tritons et des C10.
Qui se souvint encore des ces bateaux en bois qui dans ces centres servaient à l’initiation des stagiaires ?

12 oct. 201116 juin 2020

Qui se souvient encore de l’UNF ( Union Nautique Française ) qui avant de fusionner avec l’UNCM pour créer l’UCPA a initié à la voile un grand nombre de voileux !
C’est là que je me suis formé puis que j’ai été moniteur….
Il y a bien longtemps. Je continue toujours à apprendre.

13 oct. 201113 oct. 2011

Ado, dans les années 60 (né en 52), avec mes potes au départ de la plage des Sables Blancs à Tréboul sur Vaurien, 420, 470, Fireball, 505 puis Muscadet, Corsaire et enfin consécration quand on m'a invité sur un Star, puis un Dragon, un Requin ... on allait bouffer des crêpes à Morgat !!! Et on se tirait la bourre.
Pendant ce temps-là mes parents me croyaient sagement en train de jouer au ballon avec mes cousins et cousines à la plage de Kervel, de Ste Anne la Palud ou à la plage du Ris.

Puis un grand blanc jusqu'au convoyage d'un OVNI de la Rochelle à St Malo en 77 avant d'être embringué dans l'achat à 3 du ketch Helena (17m, de 1929, actuellement aux Antilles), découvert au Cap d'Agde en 1978 dans un piteux état.
Belle période au Cap d'Agde où on était voisins et potes du NAN.
Quelques semaines de chantier chez les Frères Spano au Graux du Roi puis départ vers la Guyane, mais je me suis arrêté à Tanger pour cause de rencontre amoureuse.

Puis un blanc encore mais pendant 15 ans, cette fois ...
Jusqu'à ce qu'on vienne me chercher, encore ... ;-)

13 oct. 2011

Premier pas sur le bateau des parents, un Dufour 1800, à 6 semaines, puis sur le Comet 28 race que je possède toujours. Optimist, Equipe, camps de voile en Bretagne (sur un Triagoz 25 entre autre, première croisière de l'île d'Arz à Houat et retour) avant de commencer au Centre d'Entraînement à la régate en Surprise sur toutes les régates du circuit lémanique et quelques régates en méditerranée, également en JOD 35, 3 tours de France à la voile, sur la même période. Egalement équipier en régates (Tiolu, First 36.5, J122, Lüthi et actuellement Grand Surprise depuis 4 ans)et croisières (Romanée, Dufour 385GL) sur le BDA. Plus récemment, navigation en vieux gréement sur Fleur de Passion () et je continue d'apprendre tous les jours avec plaisir et humilité.
Bon vent à toutes et tous.

13 oct. 201113 oct. 2011

Dans les hautes Pyrénées d'ou je suis natif, en lisant Moitessier, un bouquin que mon père tenait de son père . J'ai ensuite lu tous les bouquins de Bernard, et d'autres, puis la vie professionnelle m'a permis de travailler à La Rochelle ( allez savoir pourquoi), je me souviens quand je me suis retrouvé devant Joshua derriere Ancan, j'en avais les larmes aux yeux, j'ai de suite acheté un Edel 2, puis un Brio, puis un Storm, puis un first 25, ce fut Aix, Ars, les Sables, Yeu, Pornic, etc Vannes.

Marin débutant pour toujours quand on commence à 36 ans, très heureux que mes enfants aient découvert les joies du bateau très jeunes.

Les copains du port, car naviguer c'est d'abord de belles rencontres, discuter, bricoler, merci à eux qui partagent leur savoir et leur temps.

Le plus formateur, certainement le fait de naviguer seul, un peu plus loin à chaque fois, en distance ou en vent, je viens seulement de connaitre 42 noeuds en rafales dans le pertuis pendant le dimanche du grand pavois cette année, l'adrénaline du grain qui arrive, le rideau noir s'approche, préparation rapide des voiles, pas beaucoup de temps, tout va très vite, boum ça y est c'est la claque, quelques minutes d'extase et de stress devant les éléments qui s'énervent, le bateau se comporte bien, ouf !, exercice de mise à la cape, belle navigation pour moi, retour au port sans rien casser, pas beaucoup de monde sur l'eau, alors je me dis que je progresse.

fil très agréable à parcourir, de beaux récits !

:goodbye:

13 oct. 2011

D'abord la voile légère, il y a 50 ans, avec un petit dériveur de 3 m, que j'avais construit moi-même, puis un 4m Morin pour des balades et quelques régates avec ma jeune épouse, ensuite un Maraudeur et un Corsaire pour pouvoir emmener les enfants en promenades de la journée.

La théorie avec beaucoup de lectures: Le cours des Glénans, Alain Grée, la série des Nauticus, les anciennes revues Bateaux et Voiles & Voiliers, Jean Merrien et les récits de navigateurs: Le Toumelin, Bardiaux, Tabarly....

Le permis moteur, il y a quelques années, un peu pour voir ce que c'était !

Le maniement de la voile elle-même étant bien acquis, la vrai croisière côtière a commencé, en 1976, avec l'Edel V (la Costa Brava), puis la semi-hauturière avec le Love-Love (les Baléares), puis ensuite les Baléares, Corse, Sardaigne, avec des bateaux plus grands Trident 80, Neptune 94 et l'actuel Gib Sea 106 S sur lequel je continue à apprendre.

13 oct. 2011

Ma première grande nav, fût sur le lac d'Annecy en Août 56.(C'était hier!)
Mon frère et moi avions profité de l'absence des parents et gds-parents, pour installer en guise de mât, sur le canoë de la maison (dont l'utilisation nous était bien entendu interdite), une cornière métallique à laquelle nous avions fixé un manche de râteau. Et sur ce manche de râteau maintenu par du "fil de fer", la vieille toile à matelas qui servait à protéger le tas de bois, fût "jetée" en guise de voile.
Et ce fût le grand départ, mon frère maintenant tant bien que mal "la voile", et moi m'ingénuant à l'aide de la pagaie à maintenir le cap!. Arrivés à peu près au milieu du lac, le virement de bord pour prendre le chemin du retour ne posa aucun problème, et jamais encore, il nous avait été donné de goûter à autant de liberté!. Nous étions les plus heureux du monde.
Bonheur qui fût de courte durée, car de retour à la maison, le "comité d'accueil", aligné sur le ponton car revenu plus tôt que nous ne l'avions prévu, ne voyait pas du tout les choses sous le même angle!.
La sanction fût immédiate : confiscation du canoë avec immobilisation effective par chaîne et cadenas, et inscription dès le lendemain matin à la SRA (le club de voile d'Annecy), pour apprendre à se servir d'un voilier.
Et là ce fût d'autres histoires très dures, car avant de pouvoir mettre le pied sur un bateau, il fallait avoir passé au moins 15 jours à nettoyer, gratter, poncer, peindre etc. etc.. les "Vauriens" du club, avec à la fin de la journée l'inspection du responsable, (un ancien de "la royale" ?), qui trouvait toujours l'imperfection qui était le premier travail du lendemain matin.
Et finalement plus de 50 ans après, il faut toujours, pour 1 heure de navigation, en passer 10 fois plus à terre. . .

13 oct. 201113 oct. 2011

je suis marin de métier depuis mes 18 ans, côté mécanique, jamais rien appris de la navigation théorique.

fait un peu (très peu) de caravelle, passé une semaine comme équipier (ou plutôt ballast) d'une yole de régate lors d'une semaine de Kiel en 1996, on a terminé 25ème sur 26 (l'équipage de la frégate française avait déclaré forfait, héhé), le plus intéressant dans cette expérience était la 3ème mi-temps...

loué un 9.80 mètres un weekend avec un pote expérimenté comme chef de bord, été suivre le cours de yachtman au RMU à Liège, donné par des vieux barbons totalement percutés (sauf Jean-Marie et André), jamais été passer l'examen de yachtman, pas obligatoire (pour le moment).

acheté mon voilier, ai bien relu mon RIPAM, et suis parti comme un grand, il y a environ un an et demi...

Laurent

13 oct. 201113 oct. 2011

Salut à tous,
enfant, d'abord le plaisir, en famille, dans la baie de Cannes, sur le bateau des tontons "aux gros bidons", sur un pointu " le baffi". Plaisir des île de Lérins et de l'Estérel. Adolescent, pratique de la planche à voile et navigation sur un super mistral, Cannes, Port Cros.
Parenthèse avec mon premier bateau, une pirogue qui descendra du Pérou au Brésil : navigation fluviale de jeunesse extraordinaire..

Avec les pitchouns, j'ai loué quelques fois un hobby cat, quelques planches.
Puis Habitant Marseille, un ami ma invité des années sur son Chassiron Tdm, Colo. Corse, Côte d'azur, Minorque. La vraie expérience, les nuits et les coups de vents, les traversées de quelques jours, les responsabilités. Et JP qui m'offre mon premier "cours des Glénans"..
Virée aussi sur un Bavaria 36, entre St Mandrier et les îles d'Or.

Parenthèse sur un Scout Challenger et un 430 Morin qui n'ont fait que passer,
et depuis deux ans et demi, mon vrai copain : Elepyo, petit croiseur sportif qui sort au moins trente fois par an entre Camargue et Côte Vermeille, plutôt autour de Gruissan.
Beaucoup de sortie solo au début, pas mal de copaings maintenant.

Pour résumer : de bouche à oreille, par ceux qui m'ont accueillis à bord ; de ligne en ligne sur les ouvrages, des Glénans au guide des manoeuvres, à la longue route et au tempêtes des mers du sud, plus les mensuels : de fil en fil sur les blog de l'Apcs et HH ; de vagues en vagues et de bords en bords sur la mer, de jours en jours.
Sans oublier les nourritures audio visulelles, de Thalassa à Antoine, de Arte aux Courses au large, et les nombreux sites et blogs actuels.

Pour dire qu'un peu comme en musique, pour naviguer, j'apprends la théorie ET la pratique, en alternance, par divers accès.

Pierre

13 oct. 2011

En naviguant ...

13 oct. 2011

ça résume tout le fil... :pouce:

14 oct. 2011

Et quel fil !! Très sympa de lire toutes les diverses expériences :p
Pour ma part je pratique peu pour l'instant alors j'essaie de renforcer le côté théorique, je me dis que ça servira toujours. Me suis inscrite à l'extension hauturière histoire de savoir tracer une route et calculer une marée, mais ce que j'attends avec impatiente c'est le prochain stage au printemps !

14 oct. 2011

J'ai habité sur un bâteau, jusqu'à l'âge de deux ans, puis sur une plate à l'aviron dans les marais du Pouliguen, puis appris à godiller sur une annexe de sardinier dans le port, sous le regard et les injonctions des anciens, puis acheté 50F une vieille annexe de sardinier, à laquelle j'ai rajouté de la quille et gréé en haouari, avec un bout dehors rétractable, là seul, la baie de la Baule, les Evens, la côte sauvage, nos canots à sardine étaient marins et aimaient le vent. Sortie et remontée du chenal du port du Pouliguen à la voile et à la godille, en utilisant courrants et contre courrants. Puis 33 ans de terre. A 50 ans, en Méditerrannée, à la voile à nouveau mais à deux, sur un trident 80, et maintenant sur un First 345 et j'apprend à chaque sortie, la mer et le vent ne m'ont pas encore tout dit!

14 oct. 201114 oct. 2011

Bjour,

Ado, dans les années 60 sur l'étang de Thau. Je passais une partie des vacances avec mes parents au camping de Balaruc-les-Bains, alors géré par le Touring Club de France. Un peu marre de la plage, je me suis inscrite à l'école de voile : caravelle, vaurien, puis 420. Deux saisons de suite ; à la fin de la deuxième, j'étais chef de bord, j'avais 16 ans, le nez pelé par les multiples coups de soleil ; les « vieux » élèves mâles n'appréciaient que modérément d'être sous la responsabilité d'une fille, c'était pas trop dans les moeurs à l'époque.

Ensuite j'ai fait un peu de 470 sur un lac près de Toulouse, puis j'ai rencontré le père de mon fils qui n'y connaissait rien mais a bien voulu essayer. Au bout d'une après-midi, il a trouvé que c'était pas son truc de faire des ronds dans l'eau sur un engin aussi instable... l'été suivant nous étions à l'archipel des Glénans pour un premier stage à Penfret (Caragogne, vaurien). Puis on a enchaîné pour plus sérieux au départ de Paimpol (Mousquetaire et Armagnac), puis formation théorique au ponton à Paris et on a fini par le stage d'application chef de bord sur « le » Glénan à Pâques (seule fille avec 10 mecs... un par mètre de longueur de coque, en gros, c'était la règle en ce temps-là !).

Le reste, je l'ai déjà raconté par bribes ici...

;-)

14 oct. 2011

Bonjour
A 16 ans en 81 sur une caravelle de l'école maritime Paul Bousquet de Sête.On passait un CAM de marine Marchande et on tirait des bords sur l'étang de Thau,je ne vous cache pas que les réglages étaient plus qu’approximatifs mais qu'importe,on voulais des embruns dans la tronche.Ensuite 11 ans de marchande qui m'a appris à être sur l'eau (entre autre)
En 2007,Achat d'un Dufour 2800CS donc stage d'habitable au club de Fos,depuis le temps je ne me rappelais de plus grand chose en matière de voile. Depuis,des Navs avec des amis sur leurs bateaux puis sa continue.
Ce lundi j'achète un rush,je vais continuer à apprendre et je crois que tout l’intérêt est là, d'apprendre tout le temps.J'èspère bien que cela ne s’arrêtera pas.

15 oct. 2011

à Hyères, pendant mon service militaire, j'avais un copain qui avait un Finn, un Cinqo, et un Requin...Nous naviguions vers Porquerolles à chaque perm.
Après, j'ai continué "sur le tas", 420, Ponant,Micro, Ovni, DF 920 et j'ai le sentiment d'avoir encore beaucoup à apprendre...

17 oct. 2011

Ecole de voile sur les rhétais de Gaston Cazavant dans le cadre du CNAR, au début des années 70
Tiburon (un infame bouchon biquille) du grand-père - Ponant du tonton à partir du Fier d'Ars
Ecole de croisière sur les Arpège et Dufour 35 du CNIO (St Martin de Ré)
Puis les années universitaires et les nav. avec les copains … l'inévitable EDHEC, les entrainements d'hiver Granville ou Saint Malo et quelques "folies" possibles à 20 ans et sans charge de famille .
Vint une relativement longue parenthèse . Le changement d'équipière, il y a quelques années, a été l'occasion de reprendre le large en location (Atlantique, Méditerranée, Adriatique) .
… puis achat d'une magnifique unité ancienne et apprentissage de la rénovation et l'entretien .
Les moyens : l'expérience (naviguer bien sur!), la lecture (ouvrages ou revues spécialisés), les rencontres de pontons (professionnels ou amateurs éclairés) … puis plus récemment la toile … et une infaillible curiosité ;-)

17 oct. 2011

"Comment avez vous apris à naviguer ?"

En achetant un bateau et en montant dessus.
Et ensuite en allant de plus en plus loin.:aurevoirdame:

Ben quoi, on est quelques uns ici à avoir débuté comme ça. :mdr:

17 oct. 2011

Tomber dedans quand j'étais petit ,famille de marins ,Royale, Compagnie des Indes ,Corsaires (négriers ?)Eau salée dans le biberon puis galette saucisse,bref la Bretagne.
Radeau avec bidons de 2 litres,plus d'eau dans les bidons qu'autour,ensuite futs de 200 litres (la classe),Haddock Simoun,d'autres engins flottants dont j'ai oublié les noms,suivi del'école de voile à 11ans et à Granville dirigé par un certain Suvigny(SUSU pour les intimes).Bien sur le BDA et les miens ,peut être un dernier bateau plus grand pour la dernière ligne droite mais pas sur du tout.Donc un parcours normal..Ah j'ai du comme vous tous dessiné 4792,5 plans dont aucun ne flotte ,mais dans ma tête ils étaient tous parfaits.Ouf, Repos! Vous pouvez fumer

17 oct. 2011

A mon clavier car mon histoire est bien différente. Habitant Strasbourg, puis Metz, longues vacances familiales sur l'île de Noirmoutier avec un père qui nage à peine et une mère qui ne sait pas nager. La mer me fascine, mais je dois me contenter de pagayer sur un Marsouin en caoutchouc. Mariage avec une alsacienne qui est malade dès qu'elle met le pied sur un ferry ou paquebot (Grèce, voyage en Algérie...). Travaillant à Nancy, père de jumeaux, la voile n'est plus qu'un rêve lointain, et des lectures. A 36 ans, elle me met à la porte et une semaine après cette annonce, je m'inscris dans une petite école de voile habitable à Saint-Malo (Melody 'Valsitude' à Gérard). C'est le coup de foudre. Deux autres stages d'une semaine, puis Perros - Benodet sur le Rush d'un copain, et je loue pour la première fois un petit First 235 à La Rochelle en mentant sur mon expérience. J'ai vraiment tout à apprendre, et je le fais petit à petit un mois par an, en location, deux semaines en 'famille' / copains et deux semaines en solitaire hors saison, presque toujours en Bretagne sud, sur des bateaux de plus en plus longs. J'attends patiemment l'âge de la retraite (qui a sonné il y a trois ans) pour faire mon premier achat, et partir plus loin. Mon fils navigue volontiers avec moi (quand il a le temps !), ma fille non.
Mes rêves (Caraïbes, Pacifique...) restent intacts 27 ans après avoir mis le pied sur le pont d'un bateau et la date du départ est fixé (au moins dans ma tête)...

17 oct. 2011

1964 Triton, Caravelle, Vaurien en école de voile, entraîné par mon père un peu contre mon gré au début...
Puis achat du premier bateau familial 470 (xxx , 3709, puis 4954) régates, régates, régates en 470, 505 et Finn puis Edel 2, Edel 4, Ecume de Mer, Espace 1000 jusqu'en 1977
1989 plongée principalement en Mer Rouge...jusqu'en 2003
2007 à aujourd'hui Kayak de mer Bretagne nord
2008 Nouvelle Zélande Océanis de loc + kayak de mer stop
2013.... prévu à plein temps aussi souvent que possible sur petit engin poivré genre Mini Transat 6,50 vers Europe du Nord. :heu:

17 oct. 2011

Le premier 470 N°489 nous sommes allés les chercher nous même à Pessac chez Morin à chaque fois. Le Padré fur délégué de ligue Dauphiné-Savoie ces années là... :heu:

21 oct. 2011

oh que si la mer pardonne beaucoup... la preuve c'est que je suis encore là...
Voir les déboires d'un âne :
lebateauquibouge.blogspot.com[...]/

21 oct. 2011

Vers les 30 ans, achat d'une planche à voile en promo, le plus difficile a été de faire la première fois le noeud de cabestan pour fixer le wishbone au mat, la notice n'étant pas très explicite. J'ai fais une fois 'le Fort Bloqué'sur le continent 'Port Tudy' sur l'ile de Groix et retour en ne tombant qu'une seule fois.
Les enfants aimaient bien venir avec moi faire un petit tour chacun leur tour.
Puis ce fut EDEL 2, 18 pieds, 5,50m. On est partis à 4 pendant 3 semaines de Hoedic aux Glénan et tout ça en 5ième catégorie !
Puis First 24 QR, superbe : 2 chambres, une salle de bain, un coin cuisine, habitabilité pour 4 sans problème. On a fait de l'Ile d'Yeu à Brest.
Juste un peu léger, 1600 kg, ç'est vite chahuté par le clapot.
Puis location 2 semaines d'un SUN DANCE 36 en 1993, le WHEN à ST Raphael pour aller en Corse et retour.
En 2004 achat d'un Biloup 88, moteur diesel, 3000 KG, biquille: super.
Pendant 5 ans sorties du dimanche avec le pique nique, meme l'hiver et vacances entre La Rochelle et Morlaix.
Là en attente de la retraite dans 18 mois et d'un nouveau bateau 10 - 11 m pour faire le golfe de Gascogne et la Méditerrannée.
Formations : 'sans passer par les grandes écoles' Il y a des mots savants que je mon cerveau ne maitrise pas, comme loffer et abattre, mais ma main sur la barre sait très bien ce qu'elle doit faire !
Donc formation sur le tas en autodidacte et en lisant revues, cours de navigation des Glénan.
On y arrive toujours plus ou moins bien avec les poulies, les drisses et tout le reste et puis au bout d'un moment, par l'observation et la reflexion, c'est le matériel lui même qui me dit comment bien m'en servir, qui me dit le bon instant pour tirer, pousser ou lacher la barre, l'écoute ou l'ancre.
Le service militaire dans l'armée de terre m'a aussi beaucoup appris : procédures radio, faire le point avec la carte et la boussole, calculer un azimut de marche etc ... et puis marcher de nuit dans la campagne, ce qui par certains cotés ressemble bien à une navigation de nuit.
Oui, il y a eu de beaux moments dans ma vie et ce n'est pas fini.

21 oct. 2011

Dans les années 70, sur dériveur, caravelle, vaurien, 4,20, fireball, sur la Seine à Dammarie les Lys, puis toujours au sien du Touring club de France à leur école de croisère du Havre sur sloop grénam, arpège, ensuite avec des copains aux Sable d'olonne sur muscadet, brise de mer, enfin depuis 76 sur la grande bleue je continue à m'émerveiller de cette magie à chevaucher les vagues à l'aide d'une voile et du vent.

Sans oublier la lecture de nos nombreux grands prédécesseurs de TOUMELIN à GERBAULT en passant par Moitessier et d'autres plus jeunes.

Et bien que cela continue toujours et longtemps pour nous tous.
Bon vent.

22 oct. 2011

à 16 ans je suis parti marin pêcheur à Lorient on partait 15 jours en mer (une marée)
puis après école d'Etel puis 7 ans de marine marchande et école de Douarn pour préparer l'entrée à l'école d'officiers de la marchande
depuis je travaille à terre et je fait du bateau pour le plaisir
ancien propriétaire d'une frégate chantier Mallard plan herbulot
et depuis peut à la recherche d'un voilier pour la retraite
voila!pour moi la meilleure école tout apprendre et comprendre à terre et aller en mer mettre en pratique
Il faut savoir ce passer de l'électronique et aussi savoir s'en servir

17 jan. 2012

en 1983 avec un first 24 et le livre des Glénans comme coéquipier :doc:

17 jan. 2012

il y a 4 ans
avec un Jouet 22 et : la voile pour les nuls
oups

18 jan. 2012

A 16 ans, par hasard, mes parents m'offrent un stage au choix, j'hésite entre archéologie et voile !,je ne connaisais ni l'une ni l'autre. Le bon choix, découverte de la Bretagne sud, j'ai enchaîné trois stages à ROSBRAS/BRIGNEAU, sur caravelle, vaurien et 445, une passion était née, puis achat d'un char à voile et d'une des premières Dufour Wing, et beaucoup plus tard découverte de la croisiére ( en 2006..) locations puis achat de mon premier bateau en 2009. Depuis je lis beaucoup sur HEO, ou j'apprends beaucoup de choses.

18 jan. 201218 jan. 2012

Bonjour,

Issu de parents naviguants, passionés... depuis toujours dans l'eau !

Optimist et équipe au seul club de voile de Toulon qui soit au top: le CMV bien sur ^^ !

Ensuite, sorties sur les voiliers des autres à la Réunion pour des ballades côtières, parfois un peu musclées.

Pour mes 23ans: stage au glenmuch' sur l'île d'Arz... la semaine de nouel. Au moins on est pas dérangé par les touristes !

Club de voile de l'école d'ingé: cata, bizu sur la Ganguise...

Course de l'EDHEC l'année dernière (JPK 960), suivie par les "100 miles" de Port Camargue (A35).

Je suis en attente pour des sorties avec des amis sur un Gibsea 33, et je rêve de mon petit canote...

++

PS: les glénans, une tradition familiale, et toujours aussi agréable !

18 jan. 2012

Au centre Nautique de Pouldohan (fermé depuis longtemps) en face des Glénan.
Je n'avais pas de sous pour payer le stage alors j'ai fait moniteur sur un Mousquetaire.
Bon j'avais déjà 2 semaines de planche à voile dans les pattes et on partait à 2 bateaux, ça s'est bien passé...

18 jan. 2012

Réquisitionné sur le dériveur familial, un Haddock, à l'âge de 5 ans.
A 10 ans, sur un optimist home-made, et en parallèle équipier sur le "bar" (dériveur lesté en bois de 8m et quelques) du grand-père,
puis régate avec mon frère sur le Simoun 4.85 familial, puis en 79, en planche à voile.
Moniteur dans une école de voile à l'époque où aucun diplôme/brevet n'était réclamé...

En 1980, achat d'un Kelt 5m50 avec celle qui allait devenir mon épouse, la mère de mes enfants, mais avant tout mon équipière favorite.
Suivrons un Cabernet, un Cornu, un Karaté.
En 2007, revente du Karaté et achat d'un Tricat 22, avec intermède lasers (un chacun).
En 2010, achat d'un Tricat 23.5, plus facilement transportable, pour participer à un circuit de régate.

Et j'espère que la "collection" n'est pas finie; chaque nouveau bateau nous a permis d'apprendre, et d'apprendre encore.
Et la transhumance du petit tri vers différents bassins de navigation nous permet là aussi d'apprendre.

Grosses lacunes:
- zéro pointé sur tout ce qui est théorique. Réglage d'un mât, coupe d'une voile et positionnement de son creux, etc... pour tout ça, je fais au pif, à l'estime, même si j'ai lu les bouquins de Merrien.
- aucune longue navigation (Transat) à notre actif; juste des croisières avec sauts de puce.

18 jan. 2012

Mon père avait un Vaurien... cela doit être ma toute première embarcation.
A 6 ans il m'a mis sur un Optimist du club... on commence par ponton-bouée / bouée-ponton... à force d'en faire on apprend.
Quelques stages ADEPS et avec le club de voile, puis passage au 470 : les vacances à Gruissan, le reste de l'année sur le lac de la Platte-Taille.
Pour faire bonne mesure, on rajoute un Moth Europe dans la panoplie...
Le soir je lis et relis la brique des Glénans... j'en rève mais cela semble loin.

A 14 ans, je m'engage dans l'équipe sécu (sauvetage) du club de voile.
Par tous les temps, il fallait sortir rechercher les véliplanchistes fatigués, les cata chavirés, les régatiers cassés... et même un micro 6.5 qui avait chaviré suite à la perte de sa dérive.
Je navigue pendant les vacances d'été, je fais du sauvetage tous les weekends.

Vers 20 ans, vient "la grande pause" (ma copine supportait pas de me voir partir tous les weekends).
Durant un peu moins de 20 ans je ne mets quasi plus les pieds sur un voilier, sauf quelques passage sur le bateau du paternel... probablement 1 ou 2 jours tous les 5 ans.

Remarié, j'emmenne ma femme sur le bateau de mon père à Gruissan... elle trouve cela super...
Le virus me reprend: je m'inscris aux cours et passe mon brevet de chef de bord, navigue avec les copains du club, passage par les Glénans (notament pour faire de la vraie nav sans GPS au ras des cailloux en Bretagne Nord), aide un copain à remonter son 57 pieds sur toute la côte du Portugal. location en Grèce cet avec des amis...

En septembre cet année, on passe à l'acte achat de Ruthie, Bavaria 42... c'est le compromis pour naviguer ren famille... de toute façon je n'ai pas le temps pour un TDM.

Conclusion... les réflexes du dériveur font la base, le feeling et les réflexes, l'expérience sécu donne le vécu des situations difficiles et du gros temps, le reste c'est du polissage et des techniques complémentaires.
Je regrette juste d'avoir attendu si longtemps pour m'y remettre.

18 jan. 201218 jan. 2012

Autre leçon à tirer, et qui peut être utile pour les plus jeunes, choisir son conjoint en fonction de ses souhaits de navigation :langue2:
Ma femme convoyait des westerly de l'Angleterre en France à l'âge de 12 ans (avec la boite de cassou sur le bleuet à même la coque car bateaux pas aménagés) et quand je l'ai rencontrée, elle était sur un canot de la SNSM. On avait de bonnes chances de passer notre vie à deux sur l'eau ou proche de l'eau!

a 11 ans on m'a mis sur une caravelle sur la plage de bertheaume en bretagne et depuis le virus ne m'a jamais quitté :-)

18 jan. 2012

bonjour,
je ne sais plus ,quand je n'ai pas de bato il me manque un membre.quand je ne suis pas dessus je n'ai qu'une envie c'est d'y aller ,et comme j'ai de plus en plus de temps libre j'y suis presque tout le temps .
je crois que je suis monté sur un mousse sur le lac du tanchet aux sables d'olonne a 12ans
mais comme c'etait avant hier je ne suis plus très sûr .
et après on apprend au fil des embarquements ,mais le dériveur et la régate m'ont beaucoup appris puisque j'en ai fait mon metier .
alain

18 août 2020

à 7 ans, en optimist, dans un club ffv (ffyv à l'époque), sur une marre à canard près de chez mes parents dans l'est de la france.
à 14 ans, toujours dans l'est, sur une marre à canard un peu plus grande et un peu plus loin, un club ffv de folie, esprit régatier, pour compléter jusqu'au caev à 17 ans. la saison des régates commençait à paques et se terminait début novembre.
on cassait la glace dans les bateaux avant de les remettre à l'eau qui était à 8 ° à ces débuts et fins de saisons.
il y avait un circuit régional sur une dizaine de plans d'eau à 150 kms à la ronde et 10 à 15 équipages du club se déplaçaient systématiquement dans différentes classes, opti, moth, laser / x4 / yoles ok, 420, 470 et pav.
c'était les années 70 /80...

52 ans après, j'apprends encore à chaque sortie....

19 août 2020

Comme j’ai appris à conduire ... 2 petits accidents ensuite plus de souci 😂

19 août 2020

stage de 4 jours sur un petit habitable : Sormiou 28 puis bourse aux équipiers en 10 ans plus de 300 sorties de la 1/2 journée à la navigation de 2 mois Patagonie/Magellan/Malouines/Argentine su 28 au 64 pieds

19 août 2020

En regardant la chaîne de voilier libre...

2012-08-20 - Floro (Norvège)

Phare du monde

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2012-08-20 - Floro (Norvège)

2022