A quel angle au vent l'empanage "surprise" se produit il ?

Bonjour à tous:
Question qui va en faire rire plus d'un mais je me pose la question : Vent arriere à quel angle du vent sur le mauvais bord la bome va t'elle decider de basculer ?
A partir l'axe du vent apparent, ou du vent reel avec l'alignement du boat ? A partir de l'alignement du vent apparent avec la bome ? Autre subtilité à prendre en compte ?
i
( Là je sens que je vais me faire chambrer grave )
cordialement :tesur:

L'équipage
17 jan. 2014
17 jan. 2014

Cela dépend des vagues et de l'anticipation du barreur, donc de l'âge du capitaine.

17 jan. 201417 jan. 2014

De toute façon, s'il est "surprise", c'est que l'on ne s'y attend pas.
Je ne crois pas qu'il y ai d'angle bien défini, une saute de vent peut faire l'affaire, même sur une allure bien stable.
Ou alors, un trou de vent, la GV se dégonfle, le vent revient avec un chouïa d'angle différent, et vlan !
Le mieux est de le prévenir avec une retenue de bôme.

17 jan. 2014
17 jan. 2014

C'est l'angle à partir duquel vous ressentez une violente douleur au sommet du crâne!!!
:doc:
Cordialement

DT...

17 jan. 2014

Comme dériveur, une mauvaise vague et c'est la mauvaise surprise.
Vive le frein de bôme. Pas mal à la tête, pas de dégats sur le matériel.

17 jan. 2014

Un repérè quand ta voile d'avant commence à se dégonfler et passe de l'autre coté un peu plus d'angle et ça empanne.

17 jan. 2014

Avec de la grosse houle... on sait pas trop...
Et l'age du capitaine n'a rien à voir! ;)

17 jan. 201417 jan. 2014

A partir l'axe du vent apparent, ou du vent reel avec l'alignement du boat ? A partir de l'alignement du vent apparent avec la bome ? Autre subtilité à prendre en compte ?

Vent arriere à quel angle du vent sur le mauvais bord la bome va t'elle decider de basculer

Primo, ne t'occupe pas de penser "vent réel", "vent apparent", "vent apparent courant" etc...
C'est de la théorie qui sert juste à expliquer/comprendre certains phénomènes. Sur l'eau il n'y a qu'un seul vent: celui que tu reçois sur ton boat. Seul les multicoques et les régatiers peuvent avoir besoin d'une telle info.
Donc ce vent que tu ressens à bord, il a une direction. Si tu est vent AR, cela veut dire que l'axe de ton boat et l'axe du vent sont parallèles. Dans cette situation, ta GV est sur un bord, la bôme débordée.
Maintenant la réponse à ta question:
L'empannage se produit quand le vent passe d'un angle d'un degré sur tribord de la chute à un degré sur le babord de ta chute. C'est la chute de la GV qui est dans l'alignement théorique du vent. Un pti peu à droite, tes tribord amure, un pti peu à gauche, t'es bâbord.
Mais comme t'es en route, l'axe de la chute n'est pas dans l'axe du bateau. Si ce passage (1°trib à 1° bâbord) se fait alors que ta bôme est complétement débordée, c'est la balayage assuré sur presque 180° de la bôme d'un bord à l'autre: dangereux, et totalement de ta faute car cela veux dire qu'avant d'empanner tu naviguais sur la fausse panne... et suivant comment elle est débordée, la fausse panne va de 5° à 70°/80°. Tu est donc en mesure de t'en rendre compte et d'agir pour l'éviter (la fausse panne).
la solution "académique" (c'est ton expression non?) consiste à rester V.Ar (vent et axe du bateau //) puis a border pour amener la chute de la GV elle aussi // au vent et à l'axe. Puis elle passe (1°) et tu la choques.

18 jan. 2014

@ Oliv44 : ah ! ça c'est de la belle réponse !, je t'ai mis une étoile et je pense qu'elle est encore plus belle car tu as fait court (si tu vois ce que je veux dire :-D)

:topla:

17 jan. 2014

olivier explique tout bien come d'hab, comme en general le pb c'est quand je dors, je me dit que 165 sur la fausse panne est un max absolu a ne pas depasser; l'empannage lui risque d'arriver vers 150 , mais ca depend surtout du greement ( poussant ou pas) car un greement poussant ne permer pas de choquer la GV autant qu'un greement a bastaques ( cas de deux etages)

17 jan. 2014

D'autant plus, qu'au vent arrière, le vent réel et l'apparent se confondent........

17 jan. 2014

(en direction)

18 jan. 2014

Si le vent est faible, une vague peut faire accélérer le bateau et créer du vent apparent de face. Ensuite, sur l'arrière de la vague le vent te rattrape.

Un peu de roulis, et c'est le moment "idéal" de faire l'empennage surpris.

17 jan. 2014

Pour répondre à la question précise de Papy : c'est le vent apparent qui compte (celui que tu ressens à bord), et l'empannage surprise a lieu lorsque le vent prend de l'autre côté de la grand voile. Il faut donc se trouver au dela du vent arrière ( sur la fausse panne). Plus la grand voile sera débordée, plus la surprise sera tardive. Bien entendu une variation de la direction du vent, une abattée du barreur,une vague sur l'arrière peuvent précipiter les choses....
De l'intérêt d'une retenue de bôme sur un bord un peu long.

17 jan. 2014

Oliv44 Merci beaucoup pour ces explications.
Hummmm. voyons si je comprends bien....
Dans un monde parfait : Si le boat est vent arriere parfait , j'essaie de mettre ma chute ( la bome ?) à 90° pour avoir le max de surface projetée.
L'empannage se declencherait dans ce cas "parfait" à 91° en fausse panne. J'aurais donc une marge de route aleatoire, pratiquement jusqu'au vent de travers fausse panne.!?
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Dans mon monde reel il y a les haubants qui limitent le débord de la bome à ...70°.....mon gisement de route vaseuse sans empannage "surprise" serait donc de 70°.
adhoc 2 tu as bien resumé : il faut deborder un max la bome.
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Pitaluge le vent reel et apparent sont en phase uniquement en vent arriere parfait......Mais alors...si reprends mes valeurs....puisque le vent apparent "loffe" avec la vitesse et l'angle ce n'est plus 70° de route vaseuse à laquelle j'ai droit mais moins. Et d'autant moins que le vent reel est faible et le vent apprent fort.
En consequence bome debordée à fond j'aurais droit, au mieux , à... 60° de route vaseuse avant l'empannage surprise. ?
i
Je me demande finalement,si allure grand largue il ne faut pas commencer à penser à envoyer la retenue de bome. Votre avis
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Ai je bien compris ? Qu'en pensez vous ?
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cordialement

18 jan. 2014

Le mieux est souvent d'éviter le plein vent arrière et de tirer des bord de grand largue. On gagne en vitesse, en tranquillité, en confort et en sécurité ce qu'on perd en allongement de route.
Exception : quand on est dans un chenal étroit parallèle au vent.

18 jan. 2014

Oui, bien sûr, tout est affaire de circonstances, mais il ne faut pas écarter à priori la solution des bords de grand largue. Il y a malgré tout parfois un intérêt au plein vent arrière, c'est de faire porter le foc en ciseau, alors qu'il pourrait être déventé au grand largue trop près du vent arrière.
Quant au surf, peut-être ... Personnellement je manque d'expérience à ce sujet avec mon langoustier. :-)
.
Quant à la question vent apparent/réel, au plein vent arrière, je préfère personnellement me fier au vent réel que je lis sur l'eau qu'au vent relatif que je vois sur les pennons perturbés par les voiles.

18 jan. 2014

C'est ce que je faisais jusqu'ici, et je crois que je vais continuer. Mais je m'instruit cça peut etre necessaire de se mettre plein vent arriere dans certains passages.

18 jan. 2014

@ Lulu2 : ce n'est pas toujours le cas, ça dépend de la houle, des vagues et du bateau; notamment si tu as la chance d'avoir la houle et les vagues pilent dans le cul, donc dans l'axe du vent, au vent arrière tu vas profiter de la houle pour partir en surf et ce sera meilleur qu'un bord de grand largue;
tout ça est à tester in-situ;
(clin d'œil à mon pote philippe)
cordialités maritimes
larent le hareng

18 jan. 2014

Je dirais que tu as compris.
juste un point de vocabulaire: "puisque le vent apparent "loffe" avec la vitesse et [...]"
On dit que le vent "refuse" (son axe se rapproche du vent de face) ou "refuse" (son axe s'ecarte du vent de face)

18 jan. 2014

Merci pour l'info.
Je ne savais pas si "refuser" et "adonner" se disait sur les allures de vent dans le dos.
Puisque au tres grand largue, si le vent "adonne " on perd en vitesse, donc on à l'impression que ça refuse à l'avancement....
Dans le doute d'etre compris j'ai utilisé "le vent apparent qui loffe" pour dire que "le vent apparent se rapproche du lit du vent reel".

18 jan. 2014

Oups! saleté de copier/coller et pas de relecture. Méa culpa.
(refuser // adonner)

18 jan. 201418 jan. 2014

@ Papy-jame :
- Oliv44 te l'a dit, oubli le vent réel, il n'a pas d'existence réelle sur un voilier, le seul que tu matérialises est le vent ressenti qui est la combinaison de plusieurs vents;
- on ne dit pas que le vent loffe, on dit que le vent refuse (le vent se rapproche de l'axe de ton bateau par l'avant) ou, a contrario, le vent adonne,
- la fausse-panne est pile le vent arrière, quand la GV, bordée dans l'axe, ne sait pas si elle part à tribord ou à babord;
.
mais tout cela est théorique, car le vent tourne légèrement sans arrêt et comme dit plus haut, la houle, les vagues, l'habileté du barreur font que le bateau traverse souvent sans prévenir le lit du vent;
donc ta conclusion de dire, en fin de grand largue j'installe le bloqueur/frein de bôme, est la bonne décision

cordialités maritimes
larent le hareng

17 jan. 2014

J'ai oublié : Mototunga je ne comprends rien à tes valeurs d'angles.
desolé. 180 pour vent arriere, quand tu dis 165, ce serait 15° de fausse panne ?
cordialement

18 jan. 2014

si tu veux, c'est ca

18 jan. 2014

Pas mieux. 160-165, faut commencer à faire gaffe.
@papy : si tu connais un bateau qui tient le 180 du vent réel sans qu'on réveille le gazier préposé à l'embraque toutes les 14 secondes, tu me dis, j'achète...

18 jan. 2014

si tu barres tu n'as pas besoin d'instrument.
sans spi tu navigues avec les voiles en ciseau.
plein vent arrière les voiles sont chacune de leur coté. si tu remontes un peu trop dans le vent ton génois va voiloir reprendre sa place et de l'autre coté c'est la gv qui va vouloir passer.
tu navigueras en allant chercher la limite de faire passer ton génois pour t'assurer que la gv ne passe pas à la volée.
le repère pour ta gv c'est effectivement la chute mais en haut, c'est la que ça déclanche. et tu peux faire retarder le passage en choquant un peu de hale bas et donc en ouvrant un peu plus ta chute de gv.
avec de la mer on rajoute de la difficulté mais un bon barreur ne se fait pas surprendre.

18 jan. 2014

senetosa :
Si je te traduis bien, les voiles en ciseaux "auto-reguleraient" l'allure vent arriere ?

18 jan. 2014

une girouette type windex permet d'un coup d'oeil de voir ou on en est.

18 jan. 2014

Une girouette, oui c'est bien.
Mais je préfére amplement un bon pennon dans le pataras: meilleur repère visuel, simple, gratuit, sans consomation éléctrique, pas besoin de percer ....

.

Puisque au tres grand largue, si le vent "adonne " on perd en vitesse, donc on à l'impression que ça refuse à l'avancement....

Dans le doute d'etre compris j'ai utilisé "le vent apparent qui loffe" pour dire que "le vent apparent se rapproche du lit du vent reel".

les termes "refuser" et "adonner" s'apliquent a toutes les allures. Si tu veux être bien compris, il faut utiliser le vocabulaire adequat.

18 jan. 201418 jan. 2014

Un bon pennon (pour moi) c'est de la bande magnetique (colle pas, s'efiloche pas, hyper solide). Tu le met à un mètre au dessus de la tête et il doit être suffisament long (quarantaine de cm).
L'avantage du pennon, c'est que tu travaille les sensations de vent car il ne s'agit nullement de barrer les yeux rivés dessus mais de visualiser un repère validant les sensations du vent sur toi (nuque/son dans les oreilles etc (le pennon n'étant qu'un répère visuel validant la sensation du vent).
Avec l'éléctronique, on ne travaille pas la sensation du vent. On s'y réfère et on ne la remet pas en question. L'éléctronique à le mauvais coté de rendre l'homme paresseux (solution de facilité).
D'un coté on progresse, on travaille ses sensations internes, donc son sens marin (on a pas le choix), de l'autre on se repose uniquement sur un sens externe (la vue) et on appauvri sa pratique.
Je vais certainement me prendre une vollée de bois vert, mais c'est la vision du prof de sport. C'est aussi la vision du marin qui doit savoir faire avec les éléments, la simplicité, pas avec les éléctrons.

18 jan. 2014

@0491xxxxx
Oui, je sais bien que le bois ne viendrais pas de ton coté.
concernant l'éléctronique je parle de "Girouette Vs Pennon" comme repère contre la fausse panne...
Bien évidement, il y a des cadres ou l'éléctronique est la bienvenue (ne serait-ce qu'un sondeur...

19 jan. 2014

Essaies les liens pour fermer les sacs poubelle, ça marche bien.

18 jan. 201418 jan. 2014

Oui et non Bruno, derrière ce que tu appelle "Feeling" il y a plein de processus physiologiques tenant à la perception des informations (internes et externes), a leur analyse et a la réponse que tu leur donnes.
Barrer, tout le monde peut faire. Bien barrer, tout le monde peut aussi, mais cela s'apprends.
Pourquoi "des yeux derrière la tête"? justement, on ne barre pas avec les yeux (ou le moins possible)

18 jan. 2014

Et la nuit ? :reflechi:

On sent le vent sur son visage, si l'on est à la barre.

Si on fixe son regard sur un pennon ou sur une girouette, on risque d'être distrait et de ne pas sentir ce qui se passe.

Un bon barreur sent le vent, les vagues et sont bateau.

:aurevoirdame:

18 jan. 2014

C'est quoi un bon pennon dans le pataras ? Et tu le places à quelle hauteur pour que le barreur n'ai pas l'air de regarder les étoiles avec un torticolis menu menu au bout de quelques heures ?

18 jan. 2014

il n'y a aucune raison de te "prendre une voléé de bois vert".....c'est un prof EPS qui te le dit(et redit car déjà abordé sur d'autres fils...)
c'est tout le problème(les problèmes)de la prise d'informations("proprioceptives"=ce que l'on ressent "dans" son corps:tensions/pressions/étirements/contractions/relachements/équilibre/déséquilibre......"exteroceptives"="ce qui se passe" à l'extérieur de son corps:adversaires si sports collectifs par ex/vent/vagues/houle ect...si conduite d'un voilier....
toute la question est de pouvoir "traiter/:assimiler/trier/hiérarchiser ces infos....la marque de "l expertise"est là.....
je n'ai jamais eu "d'électronique" sur mes bateaux,et trop peu navigué sur des bateaux qui en étaient équipés....aussi je m'avancerai à pas comptés(!)en disant que si on ne" lache pas"les sensations "sans electronique"cette dernière peut etre un plus(d'informations)par ex la nuit?en régates?établissement de polaires?VMG?...ect....

19 jan. 2014

Pourquoi bois vert. On m'a appris à naviguer avec une girouette (aussi) mais j'apprends à me servir des pennons. Je trouve ça plus fin, plus précis, surtout dans les petis airs bien sur, mais je manque et de savoir faire, d'expérience ainsi que de connaissances techniques pour en exploiter l'ensemble. Ça n'empêche pas de s'y intéresser ne serait-ce que pour progresser :)
.
En tous cas merci. Plus de bandes magnétiques depuis des lustres, j'essaierai avec des bouts de laine. C'est moins glamour mais ça le fera je suppose.

21 jan. 2014

Ha nan déjà qu'Alain traite mon bateau de poubelle sans poignées , je ne vais pas prendre le risque d'y mettre le couvercle :)
.
Cela dit je note l'idée.

18 jan. 2014

@oliv: il doit me manquer les yeux derrière la tête. tout ça est à la finale une histoire de feeling, la barre c'est du feeling, si tu réfléchis tu fais des conneries, c'est du pilotage.

18 jan. 2014

Un peu hors sujet mais pas complètement. Pour ne pas faire d'erreur de barre quand on sent un empannage involontaire venir :
Mettre la barre du côté de la bôme (pour une barre franche).

18 jan. 2014

Haha.

La première fois que j'ai barré avec une barre à roue, cette réflexe m'a eu...

:-( :-( :-(

18 jan. 2014

lulu2
heu....tu es sur de ton coup là !? j'aurais dis le contraire....bizarre :reflechi:

18 jan. 201418 jan. 2014

L'âge du capitaine n'est pas indifférent.
La question de Papijane est primordiale descons navigue sous pilote.

Si pipi avec girouette, la marge de sécurité pour faire ses petites affaires tranquille dépend de la houle et du bon réglage du pipi.
Un gyro est mieux de toute façon.

Si pipi avec compas magnétique, cette marge est plus importante, beaucoup.
Si la centrale de nav donne le VMG, je m'aperçois que souvent il est plus payant de s'écarter du vent AR. Problème résolu.

Ne m'aperçois-je pas aussi des fois qu'une voile d'avant seule est plus sage que cette foutue GV collée au mât avec cette putain de bome lourde comme un âne mort.
Tout ça pour être tranquille et plus confortable, avec un pipi plus calme. Question d'âge je disais...
J'ai remarqué aussi que dans les petits airs le vent en tête de mât n'est pas celui du centre de GV ni celui ressenti par le barreur. Et aussi que le courant change la donne: le réglage n'est pas symétrique. Sauf à être exactement parallèle à ce courant ce qui est très provisoire.

Quoi qu'il en soit, un palan 4brins frappé au vent, ou un bout sur winch retient la bome et doit être assez long pour qu'elle passe en douceur si jamais la marge avait été mal appréciée.

18 jan. 2014

Plein de facteurs interviennent effectivement, en dehors de l'âge du captain... la vigilence en est un , et les signes avant coureurs, point d'écoute du génois qui descend, regarder la girouette et quand tu es un peu sur la fausse panne, entre 2 et 10°, suivant l'état de la mer qui vient du secteur arrière, le bateau qui a tendance au roulis ou pas, regarder la chute de la GV, si c'est une GV semi lattée, au niveau des lattes du haut, si ça commence à rentrer vers le cockpit, diriger le bateau à l'inverse du coté où se trouve la bôme... avec plus ou moins de rapidité suivant les facteurs cités plus haut...
Bref, l'angle est trés variable en foction de tout ces éléments, plus la coupe de ta voile, le gréement...etc ;-) :lavache:

18 jan. 2014

JM fred salut ! Tu dis l'inverse de lulu2, qui, lui preconise envoyer la barre coté bome.
Sur ce coup je serais plutôt d'accord avec toi......Qu'en disent les autres ?

18 jan. 2014

Nous sommes bien d'accord : il faut mettre la barre franche du côté de la bôme pour faire tourner le bateau du côté opposé.

19 jan. 2014

Non, non, on dit la même chose, sauf que ce que je dis s'applique à tout les types de barre, franche ou à roue...
Je parle en effet de "diriger" le bateau du côté opposé à la bôme : par exemple si tu es tribord amure (donc la bôme sur bâbord) et qu'il faille le diriger vers tribord, à toi de donner le coup de barre du bon côté suivant qu'elle est franche (donc vers la bôme c'est bon) ou à roue (c'est comme en voiture)... :bravo:

18 jan. 2014

Moi on m'a toujours dit qu'un barreur faisait l'essentiel à l'oreille... Donc si le vent change d'oreille = ça va empanner :)

18 jan. 2014

Oui, c'est bon ça.

18 jan. 2014

Il en manque un morceau:

dit qu'un barreur faisait l'essentiel à l'oreille... interne ! Mais aussi à la kinésthésie, mot compliqué pour dire: aux sensations de barre (la kinéstésie est ce qui te permet de tenir un oeuf dans une main sans l'éclater, sauf si tu le décide!).
C'est aussi pour cela qu'il est plus difficile d'être (bon) barreur de portant (moins riche en sensations) que de près.
Les meilleurs barreurs que j'ai vu etaient... aveugles (deux expériences). Phénoménal.

18 jan. 2014

Ne pas oublier non plus que le vent est turbulent.

Il l'est le plus sur plan d'eau intérieur, sous le vent d'une côte, quand un bateau te croise au vent.

Même en dehors de ces cas là, il y a toujours un peu de turbulence.

18 jan. 2014

A moi, papyjane! Ôte-moi d'un doute! Navigues-tu en course ou en croisière?
Ta question induit du contrôle visuel: soit pennons, soit réactions de la toile.
Parce que moi, la nuit, voire le jour, je somnole sur le banc. Sûr que mon dos me renseigne mais j'évite de naviguer en ciseaux. Quitte à ne pas aller au plus vite mais au plus reposant.
Je dirais bien une zone sûre (ou morte) de 60°. Comme le près.

18 jan. 2014

Merci pour toutes vos contributions.
-Le drapeau sur le pataras c'est ma girouette , mais je reconnais que ce n'est pas tres stable donc pas precis. J'ai mis des penons sur les haubans c'est un peu mieux, mais bof...
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-J'ai un tres gros doute quand au coté auto-stabilisant de l'allure des voiles en ciseaux que semblerait indiquer Senetosa.

-Question à 2 balles : Vaut il mieux un frein de bome à poste, ou mettre une retenue de bome à la demande ? En terme d'efficacité, de rapidité de manoeuvres, de cordages emcombrants au mauvais endroit sur le pont. ?

Merci d'avance et bonne soirée
:alavotre: C'est l'heure du pastis

18 jan. 2014

j'ai eu un frein de bôme, mais je préfère la retenue (bout de 12 mm passé sur un gros taquet au maître-bau).

18 jan. 2014

Je pensais qu'il fallait mettre la retenue loin sur l'avant. Si pres du mat, avec la geometrie, les efforts doivent etre monstro sur le taquet. Mais je ne suis pas sur de bien voir le montage.......
cordialement :reflechi:

18 jan. 2014

je n'ai jamais dit que c'était autostabilisant papy.

19 jan. 2014

Desolé j'ai mal interprété.
Cordialement

18 jan. 2014

.........une poulie au maître-bau avec un bout ur un winch pour laisser la GV passer doucement et éviter le coup de fouet sur la grande écoute préalablement rebordée.

18 jan. 2014

deriveur Dans ma tête , Je ne vois pas du tout ton montage, au maitre bau mais de chaque coté ou au centre ?
Sur un winch ?
Pourrais tu detailler. Merci d'avance
:reflechi:
Cordialement

19 jan. 2014

deriveur
Merci beaucoup pour ta description detaillée.
Cordialement

19 jan. 2014

Tu as un Flirt. Super! Voilà "mon" système. D'abord quelques dimensions pour que tu visualises mieux: bome 5m, bau 4.40, passavants 0.50m,GV 48m² à bordure libre. Donc un bateau beaucoup moins vivant que ton Flirt, mais faut pas se rater!
Le matériel:
-une sangle de 50mm X 1.50m cousue à chaque bout, multi-fonctions. Ici je la passe entre voile et bome pour qu'elle tire à peu près normalement (90°)
-une poulie ,celle du hale-bas de spi, que je positionne avec une boucle en Dyneema sur un des dalots du liston espacés de 60cm, c'est une coque alu, (sinon prévoir une cadène?)
-un bout à tout faire de 12 , reste d'une bosse de ris réformée long de 6m environ avec éventuellement un mousqueton pour crocher les deux extrémités de la sangle sur bome.

Cette retenue part de la sangle via la poulie vers un des winches disponibles et elle est étarquée à la main. Je la passe de préférence à l'intérieur du passavant.
Si la voile est prise à rebours, la retenue retiendra (!!!) la bome. Si c'est volontaire la manoeuvre se poursuit en reprenant la grande écoute et en choquant la retenue à la demande
YAPLUKA passe la retenue et sa poulie sur l'autre bord. Pour retenir la bome, ou aussi aplatir la GV. Ou bien la range où le barreur le demande après accord du capitaine selon la prochaine manip.

Jadis je n'avais ni sangle ni mousqueton ni poulie. Un simple bout, deux demi-clés sur la bome, puis sous l'oreille du taquet au maître-bau. C'était plus simple, mais moins pratique.
En espérant t'avoir été utile? Demande aussi à d'autres, mon expérience n'est que MON expérience, dans ton cas je ne connais pas trop.

Papy d'après ce que tu disais sur un autre fil, tu ne fait jamais de vent arrière...
:langue2:

18 jan. 2014

C'est vrai que j'evite le vent arriere, mais dans certaines passes ça peut être indispensable. Autant maitriser l'affaire à priori.
Cordialement ;-)

18 jan. 2014

L'empannage ça peut se gérer...je crains bien plus le départ au lof ou à l'abattée. Ca surprend toujours un bateau qui refuse de virer surtout par gros temps. :acheval: :acheval: :acheval:

18 jan. 2014

le moment critique c'est quand on se prend la bome dans la gue.....donc juste un peu avant la douleur.
Apres un frein de bome c'est bien aussi, ça evite de se faire mal, et la casse du matos

19 jan. 2014

salutatous
- le frein de bôme ralentit le passage de voile et c'est déjà bien mais si tu ne voulais pas empanner, tu es obligé de ré-empanner; mais tu peux, malgré tout, tout casser dans le cas d'un empannage viril,
- le bloqueur de bôme empêche le passage de la bôme, ce qui est mieux, et si la voile empanne seule mais pas la bôme, il est très facile de faire ré-empanner la voile seule; le seul défaut du bloqueur de bôme, c'est que sur un coup brutal, tu peux casser ta bôme; je préconise donc de mettre, non pas un seul point d'attache du bloqueur sur la bôme, mais d'en mettre 3 (3 pontets de bôme par exemple) et le risque de casse est grandement diminué; qui plus est (comme dit plus haut) avec un bloqueur de bôme, si son bout est monté sur un winch, tu empannes ta voile à la vitesse que tu veux et ça, c'est vraiment top

cordialités maritimes
larent le hareng

19 jan. 2014

Si tu as à faire du plein vent arrière (ou approchant) en croisière, le mieux est encore d'affaler la GV et de rouler sous génois seul.
De plus, tu auras plus de facilité à barrer, surtout dans la brise...

19 jan. 2014

Excellent solution lorsque le vent est assez fort, le génois seul travaille à 100%, on n'a plus ce problème de GV qui risque d'empanner sauvagement sur un coup de roulis ou une inattention du barreur.
Encore faut-il que le vent soit stable en direction sur la route projetée.
On barre alors très relax, ou le pilote fait peu d'efforts car le bateau est tiré par l'avant, sur des rails!
La navigation sous génois seul est beaucoup plus pratiquée chez nos voisins belges, hollandais ou Gibis.

19 jan. 2014

On a expérimenté cette technique cet été sur un 52, jusqu'au travers.
On avait été trop fainéants pour hisser la GV full batten...

19 jan. 2014

Oui, sans GV, plus d'empannage "délicat".
Méfiance tout de même, c'est pas obligatoirement une bonne habitude. Porter un GE seul, c'est bafouer la règle : "porter la toile du temps", celle qui permet par exemple de manoeuvrer sérré pour récuperer un HLM par exemple.

19 jan. 2014

C'est vrai.
Mais de toutes façons, à en entendre certains, tout le monde sur ce forum porte son gilet et un harnais + ligne de vie en permanence sur le bateau, donc...
PS: oui, ton trèèèèèèèèèès ironique!

19 jan. 2014

On ne bafoue pas la règle "porter la toile du temps". En revanche, c'est vrai que cela peut poser problème si on a besoin de revenir au près serré, mais dans ce cas, le GV prête à être envoyée se retrouve vite en position pour servir et il y a le moteur pour aider.

19 jan. 2014

Excellente question, la réponse est : un certain angle !
J'ai la plus grande méfiance envers les retenues et frein de bôme...
On risque de se croire en sécurité, et de faire n'importe quoi...

19 jan. 2014

"J'ai la plus grande méfiance envers les retenues et frein de bôme... "

Un vrai marin est un marin méfiant. Et comme je suis un bon marin, je suis méfiant: ceinture, bretelles ET je reste assis...
Pour avoir été croisé par le sillage de ferries,mégayachts et autres mégacons, même la nuit, je mets une retenue à ma bome. Dont le bout est sur le taqet de grande écoute. Mais si tu m'invite à bord, je n'en mettrai pas, promis. Je garderai mes bretelles quand même

19 jan. 2014

Un vrai marin est un marin méfiant. Et comme je suis un bon marin, je suis méfiant: ceinture, bretelles ET je reste assis...

Pour moi, un bon marin a avant tout la maitrise de son engin...
Il n'a pas besoin d'ersatz pour ne pas empanner, la barre lui suffit.
Frein de bôme, je n'y ai jamais vu d'interêt.
Une retenue, le seul interêt que je peux y voir est la limitation du raguage sur un (très) long bord. rien a voir avec l'empannage.

19 jan. 2014

Au fait, c'est quoi un frein de bôme? J'ai jamais vu ça...

19 jan. 2014

Ah d'accord...
"Même pour les marins les plus aguerris, l’empannage reste une manœuvre délicate et dangereuse" Je me suis arrêté là...
Surtout que sur la vidéo, avec le bazar bordé au max, 1: il augmente considérablement l'angle nécessaire pour empanner. 2: il part à moitié au lof.
Je crois que je préfère encore empanner en récupérant du mou puis en freinant la bôme en sortie d'empannage (1-2 tours au winch avec une écoute à l'allemande, rien à faire avec un palan de GV).
Et puis c'est bien beau de dire que ça contrôle les mouvements verticaux, mais on a pas inventé le hale-bas pour rien...

19 jan. 2014

Merci pour l'erzatz. Ce mot a une petite sonorité bretonne, mais de mauvais souvenirs pour moi.
J'ai eu la curiosité de regarder ton profil. Y en a! comme disaient les tontons flingueurs. J'ai aussi navigué à Paimpol, les week-end d'hiver dans les années 69 et quelques. Et participé aux cours sur la péniche de Paris. J'avoue ne plus me reconnaître dans les Glénanneurs de Bonifacio. Les ans en sont la cause. Et aussi la mentalité, pardon, nos mentalités.
Un ( très ) long bord pour toi, c'est quelle distance ou quelle durée?
Sans ironie, en croisière, je mets une retenue. Sauf sous spi. Et si je dis que je suis un bon marin, c'est que j'ai de l'humour et de la chance, du moins assez jusqu'à maintenant.

19 jan. 2014

Oliv44 TRES bonne info ! La retenue peut faire partir en grosse caguade, en y reflechissant ça me parait logique.......
Merci pour cette précieuse info.
Cordialement

19 jan. 2014

forcément dans le cas d'un départ à l'abattée, il te faudra gérer l'empannage de la gv avec sa retenue, mais dans la grande majorité des cas elle t'évitera de faire passer la gv violemment et te permettra tranquillement de remettre le bateau sur sa route. tout est bon quand c'est bien fait, réfléchi, maitrisé.

19 jan. 201419 jan. 2014

Un ( très ) long bord pour toi, c'est quelle distance ou quelle durée?

Ce n'est pas tant une distance, mais plutôt le temps ... de raguage. Avant qu'il ne commence a faire son oeuvre. Je suppose que cela dépends donc de lui.
En même temps, dans une telle situation je ne suis jamais tranquille. C'est comme si je savais que j'allais peut-être devoir courir, mais que je savais aussi que mes lacets sont attachés entres eux...

Empannez donc avec la retenue. Par petit temps, pas de pbs. Avec de la mer et du vent, c'est "part au tas". Une façon de s'entrainer au départ à l'abattée sous spi? :-p

[...] mais de mauvais souvenirs pour moi.

Désolé, je ne pouvais pas savoir. Je ne te visais pas spécialement, et c'est un mot que j'utilise courament. Quant à mon profil, quand je suis arrivé sur le forum, très vite on m'a gueulé dessus "met ton profil à jour, on ne réponds pas aux inconnus" (je l'avais un peu énérvé). Je me suis executé.

19 jan. 2014

la retenue n'empêche pas l'empannage (1°tribord/1°babord...) mais le balayage de la bôme...
sauf que cela revient à laisser ta GV à contre, situation totalement improbable pour les efforts d'équilibre sous voiles. Avec du vent, ton bateau réagira par une forte gite et un peu de départ au lof. A bord il faudra sauter sur la retenue pour la larguer (d'ou le fait de pouvoir la gérer du cockpit) mais pas la larguer sauvage (sinon elle balaye fortement... et perds donc tout son -soi-disant- intérêt) mais en la contrôlant au winch.
L'autre solution consistant à ré-empanner au plus vite à la barre (mais auras tu assez de vitesse pour que le bateau soit encore manoeuvrant)?
Dans un cas d'empannage avec retenue de la bôme, il est déjà arrivé que celle-ci plie et casse (Larent en parle plus haut).
Utiliser une retenue, c'est possible, mais il faut connaitre tout ce que cela peut impliquer et faire en conséquence.
C'est comme pour beaucoup de manoeuvres: par beau temps, l'erreur est vite pardonnée/rattrapée. Par mauvais temps...

19 jan. 2014

OK avec un équipage ( barreur en particulier) expérimenté et fiable. Lorsque l'équipage ne l'est pas, c'est bien préférable de mettre une retenue de bôme car cela évite quand même des situations qui peuvent mal se terminer ( blessures suite à empannage, casse matérielle).

19 jan. 2014

Oliv 44 Personne n'est à l'abri de faire une annerie, une inattention. Même le meilleur des marins.

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Un genois seul, si on est pas surtoilé, à mon avis on peut remonter au vent pour recuperer un HLM.
Cordialement

19 jan. 2014

@ papyjame: ta question était je crois de savoir quand tu étais sur la fausse panne.
pour le savoir, à mon avis, le meilleur moyen c'est d'avoir tes voiles en ciseaux. chaque voile te donne alors l'angle à ne pas dépasser. tu vas trop sur un bord et c'est la chute du génois qui referme, trop de l'autre coté la chute de ta gv en haut referme, la fausse panne est entre les deux. si tu retires une voile tu ne peux plus barrer sur la fausse panne tout simplement.
si c'est pas clair demande à oliv de traduire, et si il n'est pas d'accord avec ça alors ne l'écoute plus!!

A partir du moment ou tu dépasse l'axe du vent arrière tu es fausse panne et la tu risque d'empanner sauvagement ;)
Quant tu abat tu choque tes voiles et quant la voile d'avant se dégonfle tu te rapproche du vent arrière (c'est un repère), la si tu veut tu peut passer ta voile d'avant en ciseaux et si tu abat plus tu es fausse panne.
si tu regarde la chute de la voile a se moment la tu voit quant elle va passer.(plus elle est tendu plus elle risque de passer rapidement).
cordialement

19 jan. 2014

@senetosa - beau temps belle mere : Ma question n'etait pas de detecter la fausse panne. Mais de savoir jusqu'ou on pouvait naviguer en fausse panne sans risque d'empannage.
i
Bugcrucher et Mototunga donnent 15 ° de fausse panne sans risques.
Au delà ils preconisent de securiser par une retenue. Je retiens ces valeurs pour l'instant.
je pensais qu'on pouvait aller jusqu'a 45° comme ça au pif mais je n'ai pas l experience ni le grand savoir : D'ou ce fil
i
Oli44 A quelle valeur de fausse panne ( louvoiement du boat et du barreur, instabilité du vent... ) mets tu en place une retenue ?
i
Merci pour vos contributions
Cordialement

19 jan. 2014

Mais de savoir jusqu'ou on pouvait naviguer en fausse panne sans risque d'empannage.

Ce n'est jamais une bone idée de NAVIGUER sur la fausse panne. Mais si ponctuellement tu t'y retrouve, tu as une 60aine de degrés (vu qu't'as des Bdf poussantes)

.

Oli44 A quelle valeur de fausse panne ( louvoiement du boat et du barreur, instabilité du vent... ) mets tu en place une retenue ?

Je ne met jamais de retenue pour éviter un empannage. Je reste à coté du barreur, je lui donne des repères, au pire j'interviens sur la barre.

20 jan. 2014

Toujours super concentré sur la voilure !? Donc tu ligne pas le Maquereau vent arriere ? :-(

20 jan. 2014

j'adore!! Et la dorade, et la péro et la mour et là faut pas être sur la fausse panne. Ni la panne tout court. Quant à la retenue...

20 jan. 2014

Personnellement, pas de ligne mais un travail de taille réduite. J'ai cette maladie des jeunes qui nous empêche de naviguer en prenant le temps, ce qui fait que je vais toujours trop vite pour une ligne...
Je me poserai la question de la fausse panne dans un certain nombre d'années, en attendant je sors le spi et roulez jeunessssssssssssssssseeeeee!

20 jan. 2014

Réponse simple: à partir de la fausse panne, c'est une question d'équilibre. Mets toi plein vent arrière, fais l'essai et tu verra à quel moment la baume passe.

Conseil: fais ça par petit temps et mer plate, c'est un très bon exercice pour le barreur.
Bon vent!

21 jan. 2014

J'ai l'idée d'essayer une retenue de baume avec amortisseurs du style de ceux que l'on installe sur les amarres pour éviter les chocs violents, qu'en pensez-vous ?

21 jan. 2014

je rappelle que sur nos bateaux, l'espar en question c'est la "bôme" et qu'en cas d'empannage intempestif, c'est bien le "baume" qui servira à masser votre cuir chevelu.

Québec, le cap Gaspé

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2022