A 1,2 ou plus d'Equipiers..Fastoche! mais SEUL???

Il est vrai que tous les trucs et astuces s"adressent la plus part du temps à ceux ou celles qui naviguent à plusieurs!trop peu souvent aux solitaires -comme moi-.UN EXEMPLE:Comment hisser les voiles par force 4/5???sachant qu'il faut rester face au vent!idem pour prendre un ris?
Je suis de MARSEILLAN - 34 -je navigue donc en Méditerranée!allez donc prendre seul une bouée d'amarrage pour vous mettre-c'est trés souvent obligatoire-cul à quai???
Merci à tous les Frères de Mer qui auront la gentillesse de me répondre.
Jacques.
PS.je navigue seul depuis un an!et si vous passez du côté de l'Etang de Thau,prévenez moi!
ET...Faisons vivre ce site qui est FORMIDABLE!

L'équipage
26 fév. 2003
26 fév. 2003

Naviguer seul
Pour la prise de riz seul voici ma méthode :

  • Change de cap, et met toi au bon pré/plein.

pis après comme d'hab

  • bloque la barre
  • choque la grand voile pour la faire fassailler.
  • affale jusqu'à ton oeil de riz
  • passe le dans le cuningam
  • hisse la GV
  • étarque ta bosse de riz
  • borde la GV
  • reprend ton cap
  • borde les voiles

L'important est d'avoir préparer ses bosses avant de partir... Parce que les passer quand ca commence à bastonner.... Bonjour le sport

Bonne nav

26 fév. 2003

Enrouleur ....
Tu peux aussi opter pour un systeme tout enrouleur genois et grand voile, outes les manoeuvres reviennent au cocpit, c'est plus facil, plus rapide, plus sur, et ca ne tombe plus en panne. (enrouleur de voile Leisystem par exemple)
Nico.

01 mars 2003

Leisystem ? tout n'est pas rose.
Attention tout de même avec le Leisystem !

Sur d'autres forums, j'ai déjà évoqué l'installation, plus ou moins
heureuse, d'un Leisystem sur mon Moddy 376. et vous trouverez ci-dessous quelques
extraits de ce que j'en disais à l'époque.

Bien évidemment, je ne prétends pas détenir la vérité absolue; ce n'est qu'un avis d'utilisateur.
.
Deux systèmes s'affrontent sur le marché : le Leysistem (le mien) et Profurl.

Pourquoi avoir choisi Leysistem ? Pour une question, toute bête, d'accueil
sur le stand au Salon (le vendeur était également l'installateur ; ce que j'ai bien
regretté par la suite...), pour une question d'esthétique : le Leysistem
ressemble plus à une GV classique que la Profurl et son énorme bôme en alu
et, bien évidemment, pour une question de prix (env. 1500 euros de
différence en faveur du Leysistem).

Les avantages de Profurl ? Incontestablement son hale-bas rigide qui
maintient la bonne angulation entre le mât et la bôme, seule garantie d'un
fonctionnement correct du système (quelle que soit la marque choisie).

Les inconvénients de Profurl ? Son système de fausse ralingue en avant du
mât qui ne me paraît pas très solide et l'aspect inesthétique (à mon goût)
de la bôme. Maintenant, n'ayant pas expérimenté le système Profurl, il m'est
impossible d'avancer un jugement éclairé.

Les avantages du Leysistem ? Sa facilité d'installation, son côté
esthétique, son prix.

Quant à l'utilisation courante, c'est une autre paire de manivelles !
Certes, le système fonctionne et même relativement correctement. Lorsque
tout va bien, prendre la valeur d'un ou deux ris ou affaler la voile est un
jeu d'enfant; mais si toutes les conditions ne sont pas strictement réunies,
c'est la panique à bord. La voile se coince, s'enroule en forçant sur le
tambour avant, sort en force de sa fausse ralingue et la seule solution
consiste à terminer la manoeuvre, à la main, au pied de mât.

Quelles sont les conditions à réunir pour que tout se passe au mieux ?
La première des choses est d'obtenir un réglage "micrométrique" de la
balancine pour que la bôme et le mât fassent un angle de 89°. Sur le stand,
au Salon, lorsque le vendeur monte et affale inlassablement sa GV de
démonstration de trois mètres carrés, le tout avec deux doigts nonchalants,
ça semble magique; sur un 38 pieds, avec des creux d'un ou deux mètres, ce
n'est plus du tout la même chanson, même si l'on vous assure du contraire.

La solution : une solide balancine en pré-étiré avec une marque d'arrêt
cousue, par exemple au niveau de l'entrée du coinceur, pour toujours
conserver le même réglage.

Autre chinoiserie : la bosse sans fin d'enroulement revient au cockpit par
des poulies placées au pied de mât (à vous de les prévoir avant la pose) et
passe par d'autres poulies, renvois ou guides pour revenir au cockpit.
Evidemment, à la moindre manoeuvre, des "coques" se forment et bloquent tout
le système; comme pendant ce temps-là, vous n'avez rien vu et
continuez à wincher comme un baudet, tout se coince et risque de se
déchirer. La solution? Je l'ai trouvée cet été : une poulie ouvrante au bout
de la bosse sans fin, frappée sur un élastique (genre rappel de trapèze pour
dériveur, j'en ai toujours une vingtaine de mètres à bord, cela sert à plein
de choses), lui-même frappé sur un point fixe, dans le prolongement de la
bosse de manoeuvre (dans mon cas, le balcon arrière). C'est mi-ra-cu-leux.

Troisième difficulté : le bon contrôle de la drisse de GV pendant la
descente et l'enroulement de la GV. Trop tendue, elle oblige à forcer comme
pas possible sur la bosse de manoeuvre, trop lâche, la voile s'affale trop
rapidement et il faut passer la surmultipliée pour suivre le rythme.

Au début de l'utilisation de ce système, je m'arrangeais pour que nous
soyons trois, voire quatre à la manoeuvre (et il faut bien admettre que les
volontaires ne se bousculaient pas) : un pour contrôler la drisse de GV, un
pour actionner la bosse d'enroulement, un pour surveiller les noeuds et les
coques sur le trajet de la bosse sans fin et un quatrième, si y en avait un,
pour aider à enrouler au pied de mât (j'ai rapidement supprimé le poste de
quatrième homme, le jour où un membre d'équipage survolté à passé le pied au
travers du pare-brise de ma belle capote toute neuve)

Depuis, Dieu merci, ça va mieux. Grâce au bon réglage de la balancine, la
voile s'enroule, à peu près correctement; la bosse de manoeuvre, maintenue
par son sandow, court sans problème dans ses poulies et ses renvois. Il n'y
a guère que la drisse de GV qui nécessite encore la présence d'un équipier.
Pourtant "ils" m'ont vendu, à prix d'or, et en supplément, un frein de
drisse censé régler le problème. En fait, sa principale fonction semble être
de bouffer avec appétit et entrain ma drisse de GV. Pour le moment donc,
rien ne vaut la manoeuvre à la main.

Deux autres problèmes encore : lorsque l'on diminue la voilure de la valeur
d'un ou deux ris, il faut, en arrivant au port, renvoyer toute la toile pour
obtenir un enroulement correct sur la bôme; sinon, la toile, qui a
travaillé, se coince irrémédiablement. Enfin, lorsque l'on est amené à
prendre la valeur de trois ris, la bôme devient dangereusement basse et
menace de tout balayer sur son passage, y compris l'équipage -ce qui n'est
qu'un moindre mal- mais surtout la capote de descente, déjà sérieusement
éprouvée lors de l'épisode précédent.

Pour envoyer la bête, pas de problèmes majeurs, si ce n'est qu'il faut tout
de même pas mal de vigueur ou, c'est mon cas, une manivelle de winch
électrique. Encore que, dans cette dernière configuration, il faille être
particulièrement vigilant et veiller à ce que rien ne coince car sinon,
c'est la casse ou la déchirure.

De même en envoyant, faut-il vérifier que les bouts de latte ne viennent pas
se coincer entre la bôme et la poutre d'enroulement : ceci est surtout
valable pour les premières lattes et dans le cas où l'on a roulé dans le
sens des aiguilles d'une montre, alors qu'il faut faire l'inverse.
La parade? Retirer systématiquement la housse de protection de la voile,
"conçue" pour rester à poste mais qui, de toute façon, se met à vibrer et à
battre dès que l'on est au près, au risque de se déchirer. La remettre à
l'escale prend cinq minutes ( à condition de l'avoir un peu bricolée,
toujours avec un bout sandow miraculeux, pour pouvoir la fixer autour mât).

J'ai été séduit par ce système car, comme je le disais plus haut le vendeur
était aussi l'installateur pour la Méditerranée. Ce me semblait une garantie
de sérieux. Dire que les choses se sont passées au mieux serait une pure
litote mais ceci est une autre histoire.

En résumé, je ne peux pas affirmer que ce système ne fonctionne pas : j'en
suis, à 60% globalement satisfait. Simplement, je crois que ce système n'est
pas fait pour des 38 pieds et surtout, surtout, pour des vents dépassant les
3O nds. ce que, malheureusement, chacun d'entre nous est amené à rencontrer,
ne serait-ce qu'une fois, dans sa vie de navigateur.

Enfin, Leisystem n'était pas présent au Salon cette année et son site n'est plus actualisé et son E-mail pas joignable. Inquiétant, non ?

Alain Fosse

26 fév. 2003

Prendre un ris seul
La méthode décrite par Marc est classique et demande une certaine stabilité de route du bateau. Il est également possible de prendre la cape:
foc bordé à contre
GV fasseyante
barre amarée sous le vent

Un équilibre se crée entre le foc qui fait abattre et la barre qui fait lofer. Cet effet est renforcé par la GV qui prend un peu dans les abattées et moins dans les aulofées. En fait le bateau décrit des S.

Si il y a un bon vent il peut être préférable de réduire d'abord le foc ce qui est facile si il est gréé sur enrouleur.

Pour border le foc à contre il n'est pas nécessaire de tirer comme un désespéré sur l'écoute. Il suffit de virer en gardant l'écoute de foc à poste et en choquant l'écoute de GV. On se retrouve automatiquement à la cape avec un bateau qui parait soudain très calme.

On peut hisser la GV à la cape en profitant éventuellement des aulofées.

Michel Laurens

26 fév. 2003

Balancine
Marc a oublier de reprendre la balancine avant d'affaler, à moins d'avoir un hâle-bas rigide.
Plus la bôme sera soulagée et plus la prise de ris sera facile.
Tu dois avoir un pilote...? Je navigue aussi en solo, sur un Attalia.
Pour hisser, pilote et moteur avec juste assez de vitesse pour rester face au vent, pas trop vite car ce sera plus difficile.
Prise de ris, au pré j'abats de 5°, choque un poil d'écoute de GV mais pas trop pour que la bôme reste tenue si on s'appuie dessus, la balancine... et la suite comme Marc.
Il m'arrive parfois de ne pas toucher le pilote, le simple fait de choquer la GV fait abattre le voilier.
Au travers je loffe 20/30°, j'enroule le génois qui dévente et m'occupe de la GV
Amarrage cul à quai: délicat et sportif. Les aussières sont prêtes et frappées aux taquets pas trop longues mais assez, au moment où le bateau va toucher le quai remettre en marche avant, la barre étant bloquée au centre avec le pilote en stand Bye et... sauter sur le quai avec les aussières s'il n'y a personne pour les prendre, faire très vite avant que le bateau ne reparte trop loin et attention aux pendilles avec le moteur en prise.
remonter à bord pour s'occuper de l'avant, si c'est une bouée comme à Gruissan, demander de l'aide à la capitainerie, ils viennent à deux, l'un sur le bateau l'autre en barque à moteur.
S'il y a des bateau autour, gros parre-battage à l'avant et à l'arrière pour éviter de taper si le bateau tourne trop et s'appuyer gentiement sur les voisins qui se dépêcheront de venir aider...
Courage Jacques, les frères de la mer sont là...

26 fév. 2003

a la cap
tu te mets à la cap est le reste ce fait tout seul salut

26 fév. 2003

solitaire
Hello,

Il y a un truc qu'il faut connaitre pour les manoeuvres de port en solitaire, c'est l'amarrage dynamique CAD avec le moteur embrayé.

p.ex: le long d'un quai un bateau est stable avec une garde de l'avant du bateau a l'arriere du quai, moteur embrayé en marche avant et le safran poussant le cul du bateau vers le quai en deviant le flux de l'helice

ou alors, une pointe à l'arriere du bateau, moteur embrayé en avant et cette fois, le safran qui tire l'arrière du bateau loin du quai et pousse l'avant vers le quai (j'espere que c'est clair)

Ca permet d'avoir un ammarage rapide et provisoire pour pouvoir ensuite soigner ses ammares.

Evidemment pour un systeme de pendille, c'est un autre probleme et la je ne maitrise pas mais peut etre qu'on peut faire quelque chose en s'inspirant du principe...

26 fév. 2003

solitaire..
Je navigue en solitaire pratiquement depuis Israël
jusqu'aux Canaries. avec de très rares équipièr(es) de passage..
Pour moi le secret est un bon pilote... et donc pas de pb pour hisser ou affaler la GV.(ou prendre un ris..) le pilote maintient parfaitement le bateau au moteur "bout'au vent.."

Les maneuvres de port?? tant que les conditions sont clémentes.. pas de PB.. mais prendre un amarrage cul à quai avec un fort vent latéral n'est déjà pas simple avec un bon équipage.. et ne deviens pas plus facile en solitaire.. Heureusement, Hylas est équipé d'une hélice "Autoprop" efficace en marche arrière.. et si vraiment les conditions ne sont pas favorables, j'essaie de rester au mouillage sur ancre dans l'avant port et dès que les conditions deviennent meilleures, je fais mon amarage..

26 fév. 2003

Pendille et moteur

Benoît, oui cela marche aussi très bien avec une pendille ! Selon le même principe.

Si le vent est de face ou pas de vent, on vient en marche arrière cul à quai, on met deux aussières assez longues en empêchant de culer à quai au moteur, puis on met en marche avant assez fort: le bateau se stabilise bien dans l'axe en tirant sur ses deux aussières. Ensuite on a tout le temps de mettre la pendille à l'avant tranquilement moteur en marche.

Si le vent est latéral on met une seule aussière (celle AU VENT) puis en réglant la puissance du moteur on crée un couple de rotation autour de cette aussière unique qui s'oppsoe au couple créé par le vent latéral: le bateau est immobile ! On met tranquille la seconde aussière puis la pendille.

Pour partir du quai avec vent de travers, idem, sur une seule aussière (celle au vent), moteur fort, pendille larguée, on a un équilibre peinard. Si ça piaule TRES FORT, on aura pris soin de prendre une vieille aussière, et on largue à l'Opinel ... J'ai fait ça en solo avec 30 noeuds de vent de travers 3/4 face pour sortir de la panne très étroite à Porquerolles côté intérieur-nord avec un canote de 12 mètres.

Robert.

26 fév. 2003

noeud autolarguant
Merci du conseil, je n'y avais pas pensé (je n'avais jamais eu a y penser).

plutot que de sacrifier une aussiere, je connais un noeud autolarguant (nommé noeud SNSM) C'est pas facile a décrire par écrit mais le principe: tu garde le dormant à bord, tu tires dessus et hop! le noeud magique se défait.

26 fév. 2003

plaisirs solitaires...!
en solo, on navigue généralement sous pilote...donc la prise de ris ne présente pas de problèmes majeurs pour le solitaire!
-aux allures de près, il suffit de choquer la GV jusqu'à la déventer, et continuer à faire route sous génois seul,puis prendre son ris...
-aux allures arrivées, venir au travers et ensuite procéder comme précédement! ça bouge un peu plus mais rien de dramatique! penser à border son génois lors de l'auloffée!....
*Mais surtout appliquer une règle simple en croisière en solo, ne pas attendre le dernier moment pour arriser, et bien préparer à l'avance ses manoeuvres!.....
-Pour l'envoi face au vent, et bien sous pilote on vient...face au vent! CQFD! et sans pilote même combat!rajouter juste un amarrage provisoire de la barre! ...mais il est possible bien sûr d'envoyer la GV en faisant route à une allure de prés serré sous génois, il faut juste border la bôme légèrement pour éviter que le guindant de GV bloque surtout avec des lattes forcées...
-Pour la bouée du corps mort, eh bien...il suffit de prévoir l'amarre de pointe avant prête le long du bord chevauchant les filières de l'avant jusqu'au balcon AR en passant bien sûr l'EXTERIEUR de tout obstacles style haubans(!) , et de culer ensuite sur le corps mort, de saisir celui-ci à l'aide de la gaffe qui est là pour cela, et d'enbosser l'amarre!ensuite on vient cul à quai...en ayant déjà ses amarres arrières prêtes!

-sinon,lors d'une mise à quai entre deux canots par vent fort, ne pas hésiter à venir directement s'amarrer à quai à l'arrière puis se tenir en marche avant le temps de passer la pointe à la bouée à l'aide d'une annexe ou bien s'amarrer provisoirement sur les voisins s'ils sont bien assurés (côté amarrage bien sûr!)
-dans les situations les plus délicates, rentrez directement étrave à quai, amarrez l'avant, puis l'arrière sur les voisins,avec les retenues nécessaires si le vent vous pousse à quai, il vous sera facile ensuite quand le vent aura mollit de culer au moteur, en tenant l'avant amarré, vers le corps mort!... (pensez quand même à le mollir cet avant!)
PS1/ préférez autant que possible le côté sous le vent d'un ponton et pensez à manoeuvrer en gardant l'erre suffisante pour être efficace,mais aussi pour pouvoir stopper ou inverser à temps!(avant le quai ou le bateau du voisin!!!)
PS2/à propos d'assuré....pensez à bien défendre vôtre bateau avec un maximum de pare-battages, les fausses manoeuvres n'étant pas à exclure, autant limiter les dégats si vous voulez avoir quelques copains sur le quai de vos exploits!!!

26 fév. 2003

M'ENFIN.....
Messieurs!
larguer à l'opinel!!! pourquoi pas à la hache d'abordage (voir armes à bord) !!!
et noeud auto larguant !!!
pour de grands navigateurs, il me semble que vous avez oublié qu'une haussière peut se mettre en double!!! mais, à n'en pas douter, vous le saviez déjà et le gardiez pour vous!!!
:-)))

26 fév. 2003

en double!
Une amarre en double, c'est le debut d'une manoeuvre foireuse!

C'est toujours elle qui ne file pas comme il faut,
c'est elle qui va se bloquer quelque part, c'est encore elle qu'il faut remonter aussi vite que possible pour ne pas la prendre dans l'helice (qu'on doit remonter alors qu'on a mille autre choses a faire en solo). Non, moi je ne jure que par le noeud autolarguant. Un coup sec et hop! on remonte le tout a bord sans avoir a faire faire tout le circuit par le taquet de quai à 10 metres de bout.

26 fév. 2003

Jacques seaume dit le K pitaine
excuses moi, mais je n'ai jamais vu qu'il soit obligatoire de se mettre cul à quai! non, jamais vu çà et jamais entendu dire non plus! :-(((
surtout quand il y a du vent traversier...
Quelqu'un a un exemple d'interdiction quelque part?

26 fév. 2003

Michel , ,. hummm...

Michel, je suppose que tu es un grand navigateur, mais peut-être pas pour les prises de quai difficiles ... Moi c'est tout le contraire, je passe mon temps à quitter et reprendre des quais .. oui je sais c'est triste pour un grand navigateur ! on fait ce qu'on peut ; mais je ne parle pas de théorie, mais de pratique, et seul àbord en plus :-)

Une aussière en double ça foire TOUJOURS quand c'est chaud ...

Si le traversier est fort et l'espace disponible faible, cul à quai ou proue à quai, t'as le même genre de pb, avec des solutions différentes bien entendu.

Et mon canote se pilote aussi bien en arrière qu'en avant au moteur ... Un peu mieux même en arrière dans certaines circonstance :-) faut juste prendre le temps d'apprendre :-)

Robert.

27 fév. 2003

Rép. à TOUS y compris à Michel
Frères de Mer un TRES grand merci pour vos nombreuses réponses!Pastis ou rhum - au choix - à
TOUS!
Veuillez,je vous prie (comme le dirais mon Ami-
ral) de bien vouloir m'excuser de ne pas vous avoir tout dit.En effet,je suis l'Heureux Kpitaine d'un merveilleux CHASSIRON type C.F né à Marennes le 16 Avril 1962 (j'vous dit pas comment j'ai fêté ses 40 Printemps!!!).Porteur du numéro 4 de la série,il est donc en bois et pour ses 8,65 mètres,il a un poids lège de 4,440 Tonnes.

"Jeune", mais, retraité pas très riche,je n'ai pas encore suffisamment d'éconocroques pour m'offrir un pilote autonmatique (ST 4000).Afin de donner davantage de gueule à mon vieux "TIOCHON" (ANTIOCHE pour le carnet de Francisation)je lui ai adjoint un bout d'hors sans enrouleur (toujours ce manque d'éconocroques!!)et ,enfin,je n'ai aucun retour au cockpit!d'ou mes problémes de hissage de grand voile et de prises de ris.
Réponse à Michel:Argelès,Frioul,Ciotat,à CUL OBLIGATOIRE!!!Fraternité et bon Vent à TOUS!

27 fév. 2003

Kpitaine
je veux bien te croire, mais je serais fort étonné qu'un capitaine de port t'oblige à te placer cul à quai un jour de grand vent.
Quant à benoit et robert, je préfère ne pas répondre... je me demande comment une haussière trainant sur l'arrière d'un bateau en marche avant peut passer dans l'hélice! Ce qui compte c'est que chacun soit content avec son noeud auto larguant ou autre...

27 fév. 2003

A cul, jamais!
Salut Kpitaine,
Je deteste me mettre à cul, et personne ne me l'a demandé, et surtout pas à Argeles ( ou je m'arrete souvent).
Un petit truc quand même: j'ai un crochet d'alpiniste avec un cordage leger, qui me sert à bloquer provisoirement le bateau, dans les cas difficiles, le temps de passer les amarres.
Et si tu as vraiment des blémes pour manoeuvrer, l'arme absolue, c'est le propulseur d'etrave...

27 fév. 2003

Pourquoi tant de hargne...???
La voile et la mer sont les derniers espaces de liberté que nous avons...
Pourquoi certains sont-ils si persuadés de savoir mieux faire que les voisins, et surtout de s'autoriser à les juger en affirmant que leurs expériences personnelles sont la seule vérité ?
Certains quais présentent des fonds de moins d'un mètre à leur aplomb, bonjour le safran... On est donc obligés de s'amarrer en avant.
Mais quand c'est un ponton flottant au raz de l'eau avec une pendille à prendre en étant obligé de sauter pour l'attraper, j'aimerai bien voir le gymnaste arriver en marche avant pour le faire... Ce qui ne m'empêchera pas, puisque je le verrai, d'aller tenir son bateau par le balcon avant pour l'aider à s'amarrer, en osant à peine lui dire qu'il eusse été mieux de se présenter en marche arrière.
Que le vent vous soit doux et favorable...

27 fév. 2003

J'ai oublié...
C'est peut-être moi qui suis un peu hargneux...?

A Mon Humble Avis, AMHA... La mise à la cape est quelque peu dangereuse pour la prise de ris. Le bateau arrêté c'est peut-être pas mal, bien que, mais travers au vent la bôme est perpendiculaire au bateau et si la bosse de ris fait des coquilles et se coince en bout de bôme cela devient sportif pour aller décoincer le sac de noeuds.
Pour le noeud larguable, il doit s'agir d'une demi clé gancée sur un taquet, et pour ce qui est d'un risque de voir une aussière frappée à l'arrière et se prendre dans l'hélice en marche avant, il est plus qu'improbable.
Bon vent à tous

27 fév. 2003

solitaire
à l'accostage, j'ai jamais eu à me plaindre..Toujours quelqu'un à quai pour vous accueillir et vous filer un petit coup de main...En bon marin si vous êtes présents à bord, jetez donc un oeil prêt à rendre ce petit service..Les "autres" et j'en connais, et j'en ai vu, sont des navigateurs "Guy Cotten"..ceuss qui préfèrent avoir à bord le dernier cri du ciré plutôt qu'un compas de relèvement..et ceux ce sont ceux là d'ailleurs qui viennent vous donner leurs "conseils"..messieurs les bons apôtres..Amis solitaires..Bonne nav...

28 fév. 2003

Prise ed ris au vnt
Je n'ai pas encore osé porter le spi (j'ai un assymétrique de 100 m2) jusqu'à force 4, en fait qu'entends-tu André par force 4, car entre 11 et 16 nds de vent réel ça peut faire beaucoup de différence, non ? On peut laisser le psi en place jusqu'à 16 nd ?
J'ai aussi une chaussette de spi et c'est vrai ça change la vie !
Sinon ta solution génois sur la bome (GV dans son lazy bag), faut-il fixer le point d'écoute par une poulie tenue sur le coulisseau (où est fixé la bosse de prise de ris) le plus en arrière ? C'est pas fragile ? Tu as sans doute un autre moyen plus sûr à nous conseiller.
Autre question, comment faites-vous pour réduire la surface (prendre un ris pardon) de la GV en vent arrière ou au grand largue ? Faut-il revenir face au vent, dans ce cas ça peut être difficile ? Ou repositionner la bôme dans l'axe du bateau, vent arrière ?
Je navigue moi aussi de plus en plus souvent seul (sauf en vacances d'été avec Mme) et je trouve ça passionnant, outre la tecnhique de la voile il reste du temps pour une bonne méditation dans ce beau décort marin en solo.
Merci, bonvent et amitiés à tous, Jean-Yves.

28 fév. 2003

Prise de ris à la cape
Je n'ai jamais eu de problèmes en prenant un ris à la cape. Je l'ai fait des dizaines de fois. Mon expèrience est essentiellement celle du Corsaire, 5,50m, dans des forces de vent de 4 à 6.

En solitaire dans ces conditions la cape est la seule façon que je connaisse d'avoir une allure a peu près stable en l'absence de pilote automatique. Le bateau est sinon trop sensible aux vagues et aux déplacements de poids à bord dès que l'on choque la GV.

A la cape la bôme est en pratique entre 40 et 60° de l'axe du bateau. C'est à dire que la GV n'est pas plaquée dans les haubans. C'est d'ailleurs la condition d'efficacité de la cape. Dans le cas contraire cela voudrait dire que le vent prend dans la GV.

Il n'est naturellement pas question, surtout sur une petite unité, d'intervenir en bout de bôme. J'ai toujours navigué avec mes bosses de ris à poste selon un montage très simple:
une extrémite de la bosse est fixée sur un pontet sur la bôme un peu en arrière du point ou l'oeil de ris viendra se plaquer. La bosse monte dans l'oeil en question, redescend sur un poulie fixée à plat sur la bôme sur la face opposée à celle du pontet de départ, et est renvoyée sur un taquet sur la bôme proche du vit de mulet.

Avec ce montage rudimentaire il est possible de prendre le ris en restant au pied du mât.

Il me semble qu'avec des unités plus grosses et surtout un pilote, il n'est pas nécessaire de mettre à la cape mais cela reste en solitaire un moyen de se dépanner en cas de pépin.

Michel

28 fév. 2003

Tout à fait Michel de la Cape
Le Corsaire doit donc continuer à avancer à la cape ou le foc n'est pas très grand pour garder le nez du bateau un peu au vent.
En plus les bosses sont à l'extérieur de la bôme, donc moins sujettes à des caprices.
Mon Attalia à la cape se met pratiquement travers au vent, à l'occasion j'essayerai avec moins de génois pour voir...
Et les 3 bosses de ris (+ la bosse d'empointure) passent dans la bôme à lextrémité et guidées dans une "boite" de 4 réas, c'est là que ça peut coincer quand les bosses s'entremêlent en fouettant dans le vent et en faisant des coquilles, et plus y'a de vent et plus ça fouette...
Donc sous pilote au prés (50° du vent) la bôme reste au dessus du roof et j'envoie la manoeuvre.
Tout cela pour dire que certaines questions et réponses devraient être accompagnées de détails qui permettront une compréhension plus rapide, mais cela diminuerait les échanges...
Bon vent et à +

01 mars 2003

Cape suite
A mon tour de dire tout à fait. Je réduis le gênois, qui est sur enrouleur, pour prendre la cape et le Corasire avance, ou avançait j'ai changé de bateau l'année dernière, un peu. C'est d'ailleurs ce qui permet à la barre d'agir.

Pour répondre à Jean Yves je ne me serais jamais lancé dans une prise de ris vent arrière. Border la GV dans l'axe du vent (fort puisque l'on prend un ris) vent arrière est me semble-t-il une bonne recette pour se retrouver couché vent de travers.

Par ailleurs au moment ou l'on borde la bosse de ris, puis au moemnt ou on reprend la drisse de GV il vaut mieux que l'écoute de GV soit larguée.

Donc remonter au vent pour prendre un ris.

Michel

01 mars 2003

Tout à fait...
... pour le vent arrière.
Nous sommes donc toujours seul bord, personne ne peut contrer un départ au lof, ni non plus le plus le pilote si on borde la voile dans l'axe, et comme le dit Michel, si on doit prendre un ris c'est que le vent monte.
D'où la nécessité, surtout en solo, de naviguer avec la voilure du temps, et même un cran en dessous pour mieux anticiper.

Que le vent vous soit doux et favorable...

02 mars 2003

Pas toujours à la cape!
Le ris au vent arriére, curieuse recette ;-)
Avec du matos (cher zelas) on peut le prendre au travers:
avoir une grande voile lattée qui ne bat pas trop quand on la met en drapeau prés des haubans.
Un hale bas rigide et une bome à prise de ris en continu (j'ai une Selden trés efficace).
Soluce essayée entre Marseille et Toulon, par Mistral variable et le clapot qui va avec:
rouler le foc de 2 ou 3 tours et le border travers, laisser la GV ouverte. Remonter doucement jusqu'a ce que la GV ne porte plus, au travers, larguer doucement la drisse et reprendre la bosse en continu, en même temps.
Reprendre le cap et reregler le foc.
Ca marche trés bien en solo sur un bateau de 10M,
mais dans ces conditions je mets(au port) un working jib sur l'enrouleur à la place du genois, ça permet de ne pas sortir du cockpit jusqu'a un bon 7. A+

02 mars 2003

Prise de ris,de tête, de doigts etc...
Je m'amusais à lire la prose d'Alain et il a bien raconté ce que j'ai souvent entendu de çi de là...
Quand on voit du mauvais temps et surtout seul il faut ariser, le bateau ne s'en porte pas plus mal, car il moins toilé, va aussi xi ce n'est plus vite et il estsurtout beaucoup plus confort, et vous avez le temps de voir venir plus venteux avec des chances de le faire relativement tranquille.
Tous ces systèmes me paraissent compliqués, chers, gonflants et nécessitent du monde pour tout faire avec quand même beaucoup de risques de déchirures, plis, il faut défaire.
Je pense que le retour au poste de pilotage des manoeuvres est une moins mauvaise solution, mais c'est vrai qu'il tirer dessus.
A+
JPh

03 mars 2003

amarrage en belle
je mentionne les trucs suivants qui me servent bien:l'amarrage "en belle" (taquet central au maitre bau:on stabilise le bateau à quai ou à couple avec un seul bout aprés on a tout son temps.Pour les corps morts:gaffes équipées d'un trés fort crochet larguable à passer sur l'anneau du corps mort:aprés on a son temps pour passer classiquement une aussiere en double.Pour les prises de ris sous régulateur ou sous pilote,si voile solide et coulisseaux bien ajustés:ne pas hésiter à prendre des ris au portant:ç'est pas orthodoxe mais ça le fait comme on dit.
L'affaire des amarrages cul à quai...est plus compliquée en solo si plus de 10 metres et plus de 20 kn de vent:personnellement je rentre nez à quai,sauf par calme plat:je n'aime pas que mon régulateur vienne se frotter à quai ou serve de marche=pied.Et puis on ne m'a jamais rien dit.Cependant,dés qu'on navigue...plus loin...ya pas de marinas,ya pas de cul à quai,ya plus que des manoeuvres simples,et des copains.Nicolas

05 mars 2003

MERCI!
Un grand MERCI à TOUS ces Frères de Mer qui ont bien voulus rèpondre au sujet que j'ai lancé.
Que personne ne vienne dire qu'entre Gens de Mer,
la FRATERNITE n'existe pas!Ces MULTIPLES réponses en témoignent ICI!
BON VENT!BONNE MER!et...BONNES MANOEUVRES à TOUS!
Le Kpitaine K...un beau bateau!

20 déc. 2006

etiquette ?
Bonjour,

Je découvre ce sujet avec le plus grand interet : je pars de bretagne en avril prochain pour aller naviguer en méditerranée 6 mois, en solitaire, en passant par le canal.
Je quitte donc les catway de bretagne pour les pendilles de med, enfin quand il y en a c'est déjà plus facile que de mouiller cul à quai.
Et comme je n'ai jamais naviguer seul en med., j'ai aussi cette grande angoisse : comment se mettre cul à quai en solo.
Plein d'infos dans ce sujet, merci à tous les contributeurs.
IL me reste une question: si il y a déjà un bateau cul à quai, pourquoi ne pas se mettre à couple le temps de mettre les amarres à terre et de récupérer la pendille ensuite, calmement ?

Est-ce que vous pensez que ca craint ?? Je me dis que rien ne craint tant que c'est fait avec respect, mais connaissant mal la med., je ne voudrais pas "faire des choses qui ne se font pas"... Merci de me dire ce que vous en pensez.

20 déc. 2006

est modus in rebus
edouard,

si tu arrives au port avec un seul pare battage, à toute vitesse vers un bateau en leur criant "je me mets à couple avec vous avant de prendre mes pendi....SBAMMM", bon tu ne vas pas te faire beaucoup d'amis

si -surtout en solo- tu t'approches calmement, en prevenant les gens de tes intentions, quitte à faire deux ou trois tours sur toi meme avant de rentrer dans ta place... aucun problème :-)

ou si en ce cas il y a qqun qui te pose des problèmes ce sera à son tour d'aller demander comment ça marche ;-)

20 déc. 2006

etiquette ?
Bonjour,

Je découvre ce sujet avec le plus grand interet : je pars de bretagne en avril prochain pour aller naviguer en méditerranée 6 mois, en solitaire, en passant par le canal.
Je quitte donc les catway de bretagne pour les pendilles de med, enfin quand il y en a c'est déjà plus facile que de mouiller cul à quai.
Et comme je n'ai jamais naviguer seul en med., j'ai aussi cette grande angoisse : comment se mettre cul à quai en solo.
Plein d'infos dans ce sujet, merci à tous les contributeurs.
IL me reste une question: si il y a déjà un bateau cul à quai, pourquoi ne pas se mettre à couple le temps de mettre les amarres à terre et de récupérer la pendille ensuite, calmement ?

Est-ce que vous pensez que ca craint ?? Je me dis que rien ne craint tant que c'est fait avec respect, mais connaissant mal la med., je ne voudrais pas "faire des choses qui ne se font pas"... Merci de me dire ce que vous en pensez.

20 déc. 2006

pas de soucis
étrave à quai...

de toute façon u vas avoir du mal à choquer quiconque en med, a part faire vraiment n'importe quoi ;-)

20 déc. 2006

prise de ris, vent arrière
j'ai navigué en solo sur un 8 m et prendre des ris vent arrière ne m'a jamais posé de problème avec retour de drisse au cockpit et une GV classique de 15 mètres carré sans lazy-machins.
Bateau sous pilote (girouette et fletner)
1-détendre le hale-bas
2-choquer l'écoute
3-reprendre la balancine
4-larguer la drisse
5-border la bome dans l'axe
6-prendre le ris au pied du mat
7- hisser en veillant à que la tétière ne passe pas sous les bas-haubans
8-choquer l'écoute
9-choquer la balancine
10- reprendre le hale-bas
En trois minutes le ris est pris même par la nuit la plus noire

20 déc. 2006

espace quand tu nous manques
a porquerolles cul a quai est demandé par la capitainerie a lalonde des maures c'est necessaire par manque de place dans le chenal entre les catways
agde il n'y a pas de consigne donc on voit de tout

21 déc. 2006

espace
ex a lalonde l'espace entre les pontons doit etre ~~ 9 10m
1)quand on prend une place en marche ar le virage se fait plus serre et on a une meilleur visibilité
2)on met cul a quai car c'est plus facile de descendre ou monter par la poupe que de sauter ou monter de sa proue
3)on ne prend pas le risque de se mettre les bouts de la pendille dans l'helice
4)vu le manque d'espace c'est plus facile de sortir de sa place en marche av et de prendre l'axe du chenal de sortie quitte a se faire aider par une aussiere sur la pendille du voisin
mais ceci est valable pour la competence d'une majorite de plaisanciers car il y aura toujours la minorite qui maitrise la rotation sur place et qui saute de sa proue :bravo:

:alavotre:

21 déc. 2006

Gréements années 70/80
sur mon BdM 31, le génois fait DEUX FOIS la surface de la GV: impossible de prendre un ris à la cape.
Au début, j'essayais quand même, en enroulant au maximum...

Jusqu'à ce que je découvre qu'en enroulant TOUT le génois, je me retrouvais vent de travers, un peu ballotté, mais peinard pour prendre mon ris.

Une espèce de cape "molle", avec la barre qui fait ce qu'elle veut. Faut bien se tenir, mais plus d'écoutes qui fouettent les jambes, de bruits stressants, etc. Vraiment peinard.

Evidemment, il faut de l'eau sous le vent.

21 déc. 2006

je n'ai que
survole les contribs j'ai possede les deux enrouleurs ley systeme et profurl le profurl me semble un peu au dessus sauf le gros handicap le poids de la bôme frein de bôme vendu avec et obligatoir. le ley systeme n'est pas si mauvais qu'on veut bie,n le dire et il fonctionne bien le pb est le reglage de la bôme por enrouler et si la voile a ete taillee pour il y a encore moins de soucis le frein de drisse qui serait egalement nescessaire sur la profurl, j'ai regle le pb de la façon suivante de la main gauche je retiens la drisse pendant que la main droite enroule en tirant sur la bosse eviter de se servir des winchs c'est dangereux pour le materiel l'envoi de la gv est un peu physisque mais nous sommes des voileux ou des conducteurs d'engins? c'est la seule depense physique que l'on fait.
pour le mouillage cul au quai (frioul) ou les bouees sont loin) mettre le cul à quai passer un amarre en double remettre en avant en laissant filer l'amarre et passe egalement un boot en double sur la bouee et en laissant filer gentiment l'avant border derriere pour revenir ai quai j'espere que c(est assez clair

21 déc. 2006

personne ne parle
du sens de rotation de l'helice qu'il faut bien connaitre et qui complique pas mal les manoeuvres accostage.

22 déc. 2006

pour la
marche arr d'autres pb sont presents les self drive avec l'helice à 2.5 /3m du safran pour un cc on commence à diriger le boat qu'apres plusieurs dizaine de metres et certains bateaux refusent categoriquement la marche arr j'en ai eu l'exemple cette semaine pour peu qu'il y ai un peu de vent ou de courant, contrairement à ce que j'ai lu il est beaucoup plus facile de sortir en marche arr qu'en avant et surtout si la place est limite, ne pas oublier que c'est l'arriere qui chasse et on ne peu mettre de la barre qu'une fois sortie completement ou presque ce qui revient à dire qu'avec un bateau de 10m on est deja dans les pendilles d'en face ( à Lalonde) de toute façon dans ce coin là on est bien plus tranquile au mouillage qu'au port surtout en saison ou par contre il vaut mieux arriver tres tot au port et tres tard au mouillage

22 déc. 200616 juin 2020

une generalité
:whaou:une de mes derniere loc c'etait un bi safrans avec une helice bec de canard la seule direction precise en marche ar "la ligne droite"

22 déc. 2006

Portrait robot d'un noeud larguable?
Salut les noueux!

L'un d'entre-vous aurait-il la gentillesse de nous poster une photo/un schema d'un noeud larguable?

Merci par avance!

22 déc. 2006
22 déc. 2006

pendilles ? en avant c'est mieux !
y a pas photo pour moi, mais je prefere entrer en marche avant pour prendre la pendille, je trouve ça plus facile et comme dit plus haut, ça évite de se faire mater !

lorsque j'avais une place attitrée a une amarrage sur pendille, j'avais attaché à la pendille un bidon de 5 litres vide (donc flottant) à environ une longueur de bateau du quai: cela me permettait d'attraper la pendille à l'aide de la gaffe et de me guider en douceur entre les bateaux voisins, même en solo.

et les jours de vent de travers, un bout en double sur le taquet du bateau voisin au vent et ça va tout seul.

jacques, maintenant à couple // au quai.

2013-05-31 - Près de Stokksund (Norvège) Phare Kjeungskjær

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