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Le chemin que tu donne ne doit pas correcte !

Bonjour,

Soit le chemin d'accès n'est pas le bon, soit le format n'est pas du JPG !

Dur l'informatique non !

Bonne balade,
Nono

ce serait mieux

de ne mettre que du jpg, pas trop gros, sinon le serveur de tom qui stocke tout ça va exploser!

Diable

Un peu vaste!

J\'espère qu\'en réduisant le format de l\'image (après l\'avoir dupliquée) elle apparaîtra plus petite lors d\'une autre tentative.

Si la précédente bloque trop de mémoire, n\'hésitez pas à la supprimer, Tom.

Pas plus d'un...

comme son capitaine!
L'écouvillonnage, le chargement par la culasse prenaient du temps, à supposer que la charge de poudre suivante ait été apportée par le mousse chaussé de patins de feutre depuis la Sainte-Barbe, à la lueur de la lanterne sourde.

Les pièces tiraient collectivement,par bordées, mais l'une après l'autre, sans doute pour ne pas déséquilibrer le navire. Le gros brin de cordage passant sur le canon est la brague, destinée à empêcher le recul de la lourde pièce montée sur roulettes, qui sinon dévasterait de sa masse tout l'entrepont, écrasant les canonniers sur son passage au gré des mouvements de la mer.

Les boulets n'explosaient pas, mais leur masse de fer heurtait des bordés de bois renforcés (qui avaient beaucoup plus de couples que sur les bateaux au commerce) d'où se détachaient, du côté intérieur appelé vaigrage, des esquilles de bois qui blessaient les canonniers mal protégés par leur bonnet, même quand le projectile ne perçait pas les bordés.

Les affûts étaient réglables en hausse, mais finalement on pointait avec le roulis, à l'angle de gîte supérieur pour tirer à démâter avec des boulets ramés (jumelés), en bas si on visait la flottaison.