Réduction de voilure sur un ketch? Quand? Comment?

Bonjour à toutes et tous,

Je me suis toujours posé la question de savoir comment on réduisait la voilure sur un ketch? on réduit la voile d'avant d'abord? puis la GV ou l'artimon?... et ça dépend de l'allure?

Peut-être que les possesseurs de Gin Fizz pourront me répondre (j'aime beaucoup ce bateau).

Merci d'éclairer ma lanterne.

Maricalement,

L'équipage
25 mars 2017
25 mars 2017
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Un ris dans la GV en premier, puis l'avant.

25 mars 2017
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L'artimon reste toujours haut?

25 mars 201725 mars 2017
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au début oui. Après diminution du génois, on prend le deuxième ris das la GV

25 mars 2017
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il y a plein de combinaisons c'est comme pour le yawl
ou la goélette tout dépend de la carène de l'allure de la force du vent et de la mer .
par exemple par gros temps au près une trinquette et l'artimon suffisent ,par vent moyen à la même allure on affale l'artimon qui ne sert plus à rien déventé par la gv
au portant on peut se servir de l'artimon pour caler le bateau et empêcher les embardées .
l'artimon aussi sert au mouillage bordé à plat pour stabiliser et empêcher de tirer des bords sur l'ancre .
je peux t'en mettre dix pages mais je te laisse le plaisir de découvrir
alain

25 mars 2017
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Sur le Gin Fizz version Ketch (d'origine la version sloop marchait mieux au près que la version ketch), le centre de voilure est compensée sur la version ketch par rapport au sloop par décalage du grand mat de 30 cm vers l'avant, ce qui le rend naturellement moins ardent quand le vent monte et que l'on a affalé le tourmentin.

Le truc du GF c'est que la carène est pas faite pour gîter au delà de 15° constant, et même s'il a la réputation non usurpée d'être raide à la toile, il ne faut pas hésiter à réduire à ce moment, il ne marche que mieux, aussi ne pas trop charger la baille à mouillage, sinon il fait un peu le sous marin au près dans la mer formée. Pour de longs trajets on peut déplacer le mouillage dans les fonds au dessus de la quille surtout si on prévoit du près.
La réduction au près est dictée en grande partie par la tendance à passer sur sa barre. On peut charger un peu plus de toile en avant du centre de voilure pour compenser mais pas trop sinon la carène enfourne et gîte avec une dérive accrue. Tout ça c'est une question de sensibilité et d'expérience comme le dit Fritz.

Après, il y a une infinité de combinaisons de réduction des voiles en fonction du vent et de l'état de la mer.
au près serré :
- première réduction affaler l'artimon, meilleur cap, meilleur VMG
- puis quelques tours dans le génois
- puis un ris dans la GV
- puis trinquette sur étai largeable, prendre une allure plus arrivée
- puis un deuxième ris voire un troisième dans la GV, jouable jusqu'à 30 40 noeuds
- puis affaler la GV et hisser l'artimon et laisser la trinquette, testé ponctuellement dans des orages méditerranéens, 40 nœuds établis rafales à 50+ c'est pas mal mais on fait pas beaucoup de route.
- puis tourmentin et un ou deux ris dans l'artimon, prendre une allure plus arrivée. Jamais essayé cette configuration, je fais tout pour pas me retrouver en condition d'avoir à l'essayer.

Du petit largue au grand largue;
- GV + Artimon + Gennaker jusqu'à 15 N max, après départ au lof garanti dans les surventes. (100m2) de voilure
- après, Génois + GV, après, GV 1 ris, Génois roulé partiellement. Puis GV 2 ris et Trinquette. Je préfère garder un peu de GV s'il faut changer de route rapidement et remonter au vent même si c'est plus compliqué à gérer. Surtout en med ou le vent peut rapidement changer de direction et de force.
- Après GV 3 ris ou affalée, tourmentin, jamais testé.

Plein vent arrière:
- GV + spi symétrique (100 m2 + 25 m2)
- GV+artimon+Génois tangonné les trois voiles en ciseaux pour les photos. Penser à mettre une retenue ou un frein de bôme.
- puis GV + Génois tangonné partiellement réduit.
- puis GV réduit ou affalée et génois réduit ou trinquette pour éviter d'abimer ce dernier.

A tout ça il faudrait inclure l'utilisation d'une voile d'étai 30m2 qui s'installe en avant de l'artimon utilisable autour de vent de travers par petit temps.

Très amusant à moins de 8 nœuds établis. (130 m2 pour 8,4 tonnes en charge, artimon, étai, GV, Gennaker, ça déhale fort, et on est vite à 7 noeuds; 7,5 noeuds avant que la barre deviennent incontrôlable;

Ce qui est sur c'est qu'il y a de quoi occuper un équipage, plus que sur les sloops et ça fait beaucoup d'huile de coude et de ficelles dans tous les sens.

Tout ça est le fruit de l'expérience, pas sur que cela soit transposable sur un autre ketch mais je pense qu'il y a quand même des constantes de comportement.

25 mars 2017
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tout doit dépendre aussi du bateau .

pour ma part : dans le sens de la montée du vent
- tout dessus
- f5= artimon rentré car la barre devient dure
-f6 = reduction du genois
puis reduction de la GV , puis plus de GV mais l'artimon resort ..

c'est la barre qui commande la voilure ,lorsqu'elle devient dure il faut reduire l'artimon ou la GV
-

25 mars 201725 mars 2017
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Bonjour,
un peu réducteur, comme opinion. Le gréement de ketch offre de multiples combinaisons intéressantes, ne serait ce que dans la brafougne l'artimon arisé et une petite voile d'avant qui équilibrent parfaitement le bateau, barre neutre, ce que je n'ai jamais trouvé sur un sloop. Comme le souligne The Cat, au mouillage, l'artimon bordé plat te tient dans le lit du vent et t'évite de déraper. Mieux, c'est la goëlette... Voir Bombigher.

25 mars 201725 mars 2017
1

Josuah était gréé en ketch, on a pas tellement entendu Moitessier s'en plaindre, et il a fait lui aussi une "petite boucle"... :heu: qui lui a permis de tester.

25 mars 2017
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On repart toujours sur le même débat, d'un côté les fervents du gréement de Ketch et de l'autre ce qui ont enlevé l'artimon et en ont fait un sloop !!! Ce n'était pas la question !!!!

25 mars 201725 mars 2017
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Quand tu vieillis, les réflexes intellectuels sont moins vifs, mais il vient quand même de me revenir à retardement que Pen Duick 2 à Eric Tabarly, Gipsy Moth à Sir Francis Chichester étaient aussi des ketchs, engagés dans la Transat anglaise de 1964 remportée par Tabarly. Tout simplement parce que cette config donnait au bateau un bon équilibre et des surfaces de voiles faciles à gérer en solo. Alors les états d'âme d'un archi qui fait du commercial mais plus capable de comprendre l'intérêt d'un plan de voilure éprouvé, on peut s'en passer.
Et Penjo Luno a raison, le débat, c'est que c'est plus facile de gérer du gros temps sur un ketch que sur un sloop, et qu'au portant, la voile d'étai d'artimon te donne un surcroît de puissance non négligeable.

26 mars 2017
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Moitessier donne moults détails croquis à l'appui sur ce sujet, et pour cause : Joshua était un ketch......

26 mars 2017
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Comme je suis encore relativement jeune par rapport à la moyenne des plaisanciers je partage mon expérience et mon ma science ????

Sur mon ketch au près quand le vent +f4 : j'affale la grand-voile et je garde le génois et artimon (pas hissé sinon).
Ça évite de se galérer avec des ris.
On peut ensuite moduler en réduisant le génois, et dans mon cas sortir la trinquette.
Le plan de voilure est ainsi tres étalé, ce qui est favorable à l'équilibre

26 mars 2017
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Idem, en solo aux allures du travers au près, je commence par ammener la GV, mon canot est équilibré sous artimon et génois et continue à caper correctement, ensuite je réduit au génois...
Au portant, je me passe facilement de l'artimon qui pertube un peu la stabilité de route, mais j'envoie la voile d'étai.
La bateau a une forme classique de bateau de travail avec une quille longue et arrière norvégien et l'artimon est petit et fort à l'arrière (limite yawl).
Je pense que le gréement ketch est plus adapté à ces carènes retros à stabilité de route congénitales qu'aux carènes modernes à aileron comme les GinFizz et autres Amphora.

26 mars 2017
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"ne vous écharpez pas" !!! Moitessier avait bien un Roc 129 gréé en ketch, pas fou le nanard, et Shackelton aussi !!! oui je suis sur et caisse tu dis ... Jesus sur le lac de Tiber... non cé des conneries ?? tas des fotos sur amstramgram ! ah bon fais voir

27 mars 2017
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je vous remercie tous pour votre contribution même si le sujet de départ à un peu ;-) dévié de ma demande. Le débat ketch ou sloop n'était pas ma préoccupation, je sais comment marche un sloop, du moins le minimum commun, mais je ne suis jamais monté sur un ketch d'où l'intérêt... bon en attendant j'ai déjà quelques réponses, peut-être d'autres viendront compléter le sujet de départ.

PS: Pendant ce temps, j'ai fait des recherches sur le Gin Fizz c'est un chouette canot (en ketch comme en sloop)

Maricalement à tous

28 mars 2017
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juste un exemple :une fois la voilure bien établi sur mon bateau ,en solo j'ai le temps de descendre dans la cabine me chauffer un café le bateau suit sa route barre libre ...c'est du confort

27 mars 2017
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J'ai vu des ketchs par brise bien établie se déplacer avec juste le foc et l'artimon, avec une aisance (notamment sur les virements de bords) qui faisait envie je dois dire.......

28 mars 2017
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Ben, c'est ce que je décris plus haut...

27 mars 2017
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Le vrai probleme de l'epoque des ketchs mais aussi des genois a grand recouvrement c'etait comment mettre des m2 dehors sans une immense perche qui soit a la fois legere et qui tienne debout.
Quand ce point technique a ete resolu (greement multi-etages, carbone ou alu a haute limite elastique, rods, cables compacts, fibres exotiques), les ketchs et les genois a grand recouvrement ont disparu. Le greement de sloop a foc a 100-105% et a grande grand-voile avec si possible une corne est tellement plus efficace.
La seule recherche de l'efficacite n'est pas toujours une raison suffisante et il reste d'autres raisons pour continuer a justifier le ketch. Toutes celles evoquees plus hauts sont valables.

27 mars 2017
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L'équilibrage de voilure me semblait être un argument intéressant. Les ketchs que j'ai pu voir à la manoeuvre étaient munis de focs sans recouvrement, vues les conditions de vent ils auraient eu du mal à envoyer un grand génois. Il semble qu'on ait davantage de possibilités de réglages permettant de naviguer avec la barre dans l'axe et donc avec une traînée de celui-ci réduite au minimum. C'est le genre de gréément qui gagne a avoir différents focs selon les conditions parce que là on peut se régaler pour peu qu'on ait pris l'habitude de saluer les grains.......

28 mars 2017
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Un sloop bien regle navigue avec la barre dans l'axe ou plus exactement avec un leger angle a abattre.
J'ai navigue de La Rochelle aux Saintes sur un ketch. L'artimon etait rarement dehors sauf par vent plus ou moins de travers. Au pres ou au portant il etait range.
Je n'ai rien contre les ketchs dont l'artimon et sa bome ont plein d'utilites comme celle de grue pour le HB de l'annexe ou comme support des antennes.
Mais force est de constater que de nos jours il n'existe plus de voilier affute qui soit gree en ketch.

28 mars 2017
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Tabarly détaille les réductions par le menu dans l'excellent "Guide de la Manoeuvre," illustré par Titouan Lamazou.

28 mars 2017
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j'ai un ketch et si quelqu'un veut un artimon, je lui vend le mien :heu:

28 mars 2017
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Parlons-en justement je suis à la recherche de ce livre de Tabarly "Guide de la manœuvre "qui n'est pas pour l'instant réédité si quelqu'un cherche à vendre le sien je suis preneur merci Francis

28 mars 2017
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Tu as raison, dans mon cas (voilier lourd à quille longue avec l'artimon réduit et trés en arrière -limite yawl à 80 cm près) : aucune interaction aerodynamique entre voiles d'avant et artimon.
L'artimon sert à "caper" et rendre le bateau ardent quand le genois et la trinquette donnent de la puissance et de la vitesse. Interaction d'équilibre. Sans artimon le bateau serait "mou" ...

28 mars 2017
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L'effet couloir entre voiles est une legende qui a la vie dure et qui n'a pas resiste a la dynamique des fluides assistee pas ordinateur (CFD).
En fait au pres le couloir entre GV et Genois est bien trop etroit pour permettre a l'air qui y arrive d'y passer.
Le guindant du genois cree une surpression qui perturbe le vent bien en avant et au vent du genois ce qui oblige l'air a passer sous le vent du genois, il y cree une depression qui assure 70% de la traction de la voile. Cette depression se continue sur la GV.
Au pres, d'un point de vue aerodynamique, la GV et le genois se comportent comme une seule voile qui va de l'etai a la chute de la GV.
Ceci explique que le recouvrement entre GV et genois ne sert a rien. Mais qu'il ne faut pas de trou non plus. D'ou le succes des genois a 105-110%.
Sur un ketch naviguant sous foc et artimon, il y a juste deux voiles qui travaillent peu ou prou independament l'une de l'autre avec un centre de poussee velique assez bas ce qui est bon pour la stabilite mais mauvais pour les perturbations du flux d'air. L'air est beaucoup plus propre et puissant a 15-20m au dessus de la mer.
La gestion de l'air dans la partie haute du mat est la seconde grosse evolution des greements. Les marconi en tete ont tendance a zapper cette section. les voiles y sont etroites, non vrillees et inefficaces.
L'air en haut est plus fort de 5nds environ et adonne de 5 a 10 degres. Pour en profiter il faut de la toile en haut et tres vrillee pour un bon angle d'incidence.
D'ou le succes des GV a corne avec greements non en tete. La surface haute est degagee du genois, bien vrillee et pousse comme un boeuf du fait d'un air adonnant et plus fort.

29 mars 2017
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Plutot des heures de discussion avec un architecte naval de la nouvelle generation qui a fait une these sur la CFD appliques aux voiles (Charles Bertrand).

29 mars 2017
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Enfin un théoricien qui tient la route :pouce:

28 mars 2017
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Sur mon Euros 39, je navigue avec artimon, gv et genois haut jusqu'à 20 nœuds réels a peu prés. Après je prends 2 ris dans la Gv et remplace le génois par un foc intermediaire d'environ 20 m². Si le forcit encore j'affale la GV completement et continue sous artimon foc ou artimon trinquette par la suite.
Avec ces configurations le bateau se barre presque tout seul sans pilote et je peux remonter au prés jusqu'à 42 nœuds apparents. (max que j'ai experimenté tout seul au prés). Au dela j'abats pour me mettre au bon plein ou au travers.

28 mars 2017
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Et le bateau fait facilement 5 à 7 nœuds de moyenne sous ces configurations.
En revenant des Baléares l'été dernier, je me suis pris 35 nœuds portant sous artimon et trinquette seuls, le bateau faisait des pôintes en surf à 14 nœuds et une moyenne de 10 nœuds. Moins de 36 heures pour revenir à Marseille, le tout sur un seul bords.

28 mars 2017
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C'est sur ton Kirk que tu as surfé à 14kn et fait une moyenne sur 24 heures de 10kn? oups!

28 mars 2017
28 mars 201716 juin 2020
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Un cas "particulier" … pas vraiment récent ! ;-)

… mais illustré . :litjournal:

28 mars 201716 juin 2020
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bonsoir ,
comment ça il n'y a pas de ketch modernes
et celui là ,c'est quoi??
alain

29 mars 2017
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Bon point là, bon point j'dis :whaou:

29 mars 2017
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et Marie Cha IV ... rebatisée Samouraï

28 mars 201728 mars 2017
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www.sailingeurope.com[...]_1a.jpg
et pour relancer paul et mike
le cat ketch c'est comment
alain

29 mars 2017
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J'ai utilise l'adjectif "affute" et j'aurais du preciser que je parlais de voiliers pas trop exceptionels disons inferieurs a 60'-70'.
La magnifique unite de fritz the cat est un peu hors categorie et de plus c'est plutot un super voilier de croisiere qu'un voilier affute type Sydney Hobart.
Le Freedom 40 est un voilier de croisiere qui n'est pas non plus dans la categorie des voiliers affutes meme si son greement est plutot efficace. Ses voiles ont de la toile dans les hauts et peuvent etre tres vrillees. C'est exactement ce que font aussi les voiles a corne.
Pour les memes raisons que celles evoquees dans un post precedent, il est difficile de faire de tels mats non haubannes qui montent tres haut donc le greement de ketch devient necessaire pour y mettre les m2.
Les greements mono-voiles de jonque sont aussi tres efficaces sur les voiliers pas trop gros.

29 mars 201716 juin 2020
1

autre point :

le ketch permet aussi d'ajouter des voiles additionnelle tel qu'une voile d'étai d'artimon dés que le vent apparent atteint une quarantaine de degrés ...et par petit temps c'est bien appreciable

29 mars 2017
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Et c'est joli, la mienne est à rayures blanches et tan...

29 mars 2017
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Correct, pour l'avoir experimentee, c'est une voile sympathique mais pointue dans son usage. A l'epoque il y avait meme des spis d'artimon.
Par petit temps rien ne vaut un grand mat qui va chercher la brise dans les hauts et une GV a corne pour en profiter. Le resultat est spectaculaire.

29 mars 2017
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ce que dit Pierre Gutelle

" Il semble bon dans tous les cas de donner à l'artimon une surface importante ,non seulement pour compenser au maximum le handicap que represente un deuxieme mat et son haubannage mais aussi parce qu'il peut alors influer favorablement sur les voiles qui le precedent de la m^me façon qu'une Gv vis à vis d'un foc .
Sa surface ne sera donc pas inferieur à 18/20% du total .
Le graphique de la figure 6-47 montre d'ailleurs que le fait de descendre l'artimon réduit de façon tres importante la force propulsive et en tout cas beaucoup plus que dans la simple proportion des surfaces "

29 mars 2017
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La CFD permet de mettre des analyses sur tous ces ressentis.
Les derniers grands ketchs ont leurs mats plutot egaux car l'objectif premier est de diminuer la taille des mats et l'artimon est le plus recule possible pour le soustraire aux effets negatifs du couple GV+genois.
exemple: Mari Cha IV

29 mars 201716 juin 2020
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Ici la voile d'étai en route...mal installée car non dans l'axe. Elle est sinon trop près de la GV et la perturbe trop.
Sympa de tout porter, on ne s'ennuie pas sur un ketch si on veut...et ça fleure bon la vieille marine ! :-D

03 avr. 2017
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C'est-y pas joli, on dirait des voiles de chez Armor Lux :-p

03 avr. 2017
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Bonjour à tous.

Le gros avantage avec un ketch, quand on navigue en solo, et que le vent monte fort d'un seul coup (genre med), on retrouve très rapidement un bateau manoeuvrant et équilibré en quelques secondes, et avec un minimum d'acrobaties, en affalant la GV.
Il n'y a alors plus qu'un génois sur enrouleur facile à réduire, et une voile d'artimon de faible surface et facile à manoeuvrer; le reste est un jeu d'enfant....

D'ailleurs certains ketchistes (je viens de l'inventer), disent ne jamais prendre de ris dans la GV.

03 avr. 2017
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oui
j'en suis arrivé à cette configuration
en tout cas du prés au travers

04 avr. 2017
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Idem pour moi.

04 avr. 201704 avr. 2017
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idem dans le mauvais temps mais quelque soit l'allure et genois reduit plus artimon le pilote auto fait tres bien son boulot par gros temps ce qui est d'un grand confort

Phare du Strombolichio - IT - 12 juillet 2023

Phare du monde

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Phare du Strombolichio - IT - 12 juillet 2023

2022