Champs d'algues en Bretagne - après Lesconil voilà Moëlan-sur-Mer

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A ce rythme là, on n'aura bientôt plus de place pour nos bateaux....
Quiz : où seront implantées les prochaines cultures ?

L'équipage
23 oct. 2014
23 oct. 201416 juin 2020
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Et on y a gagné, une parcelle a été supprimée...

23 oct. 2014
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Si au moins les coins étaient bien balisés cf balisage cardinal !!!

23 oct. 2014
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qu'on puisse pas jeter une ancre ok mais on peut pas passer dans la zone avec un voilier ?? si ça continue toute la côte va être réservée :-(

23 oct. 2014
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L'appropriation de fait du domaine PUBLIC maritime inaliénable se poursuit avec un déguisement juridique...
:-(

23 oct. 2014
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Une concession ("à titre précaire et révocable") sur le DPM ("imprescriptible & inaliénable") n'est pas vraiment un "déguisement juridique". Toutes les huîtres et moules de France sont produites dans ce type de concession : ça serait dommage de tout acheter en Espagne (ou en Chine, c'est les plus gros producteurs mondiaux..).

Normalement ces concessions en eau profonde sont balisées de façon réglementaire. Bon, OK, dans le réalité ça n'est pas toujours parfait.

Pour la circulation entre les filières avec un voilier, méfiance, l'écartement n'est pas énorme. Au moteur, ça ne semble pas les déranger, vu le nombre d'hameçons (et même de superbes rapalas) qu'on récupère sur les cordes de moules : c'est assez compréhensible, quand on voit la concentration des poissons dans ces structures.

Donc le problème, une fois de plus, est le partage de l'espace entre les plaisanciers et les professionnels. A terre, c'est plié depuis des siècles, en mer, du moins chez nous, c'est en cours depuis une trentaine d'années, pas toujours dans le calme et la sérénité. Plusieurs projets ont été annulés après enquête publique, ou ont reçu de grands coups de canif (Cf La Malconche devant Oléron, voir Conchyliculteurs/mytiliculteurs VS Plaisancier ? www.hisse-et-oh.com[...]sancier ... ça ne volait pas très haut, les commentaires ...). Qui a raison : les propriétaires de villas sur la dune (qui ne veulent pas voir ces installations devant chez eux), ou les professionnels qui cherchent à gagner leur vie (et à satisfaire la demande, qui augmente sans cesse) ??

Le problème se pose ailleurs, par exemple en Ecosse avec les élevages de saumons : on leur avait promis des centaines d'emplois, ils se retrouvent avec une poignée de grosses sociétés, et des cages qui sont déplacées dans tous les sens au milieu des fjords, dès que les fonds sont trop pollués pour supporter un élevage (là il s'agit d'élevages intensifs, avec des tonnes d'aliments, et donc de déchets produits).

Donc, une fois de plus là aussi, le problème semble être la dimension de ces installations : de taille artisanale, ça serait dur (je pense ...) de les critiquer, mais si ça devient gigantesque ... problème (pour les éleveurs aussi, d'ailleurs : partage de la ressource nutritive, transmission de pathologies).

24 oct. 2014
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Combien, en nombre et en surface, de concessions ont été rendues au domaine public maritime depuis disons 1915 (année d’un décret important en l’espèce) ? Sans doute très peu. A l’échelle d’une vie de nos contemporains les surfaces soustraites à l’usage public n’ont pas cessé d'augmenter. Lorsque le «déguisement juridique » (je maintiens puisque l’aliénation de fait n’a pratiquement jamais de fin) ne suffit pas où ne vient pas assez vite les professionnels forcent la main à l’Etat. Ainsi on se souvient du raid d’une centaine de bateaux ostréicoles un beau matin du début des années 1980 qui occupèrent illégalement le banc d’Arguin à la sortie du bassin d’Arcachon. Le projet de modification de la réserve naturelle du banc d’Arguin de Juin 2014 reconnait d’ailleurs clairement que l’Etat s’est couché devant la force :
« Suite à l’installation illégale d’ostréiculteurs au début des années 1980 un nouveau décret ministériel portant modification de la réserve fut promulgué le 9 janvier 1986 afin de régulariser la situation ostréicole. Censé régler les conflits d’usage il autorisait les ostréiculteurs à exploiter une zone de 5 hectares dans la réserve. Malgré cette évolution favorable pour eux, les ostréiculteurs occupèrent une surface largement supérieure à celle prévue dans le décret de la réserve au début des années 1990, portant la surface exploitée à 80 hectares en 1994. »

Il n’y a aucune raison pour que cela change en vertu de l’argument de la création ou du maintien d’emplois. Selon l’expression triviale : « Les b…és comptez vous »…

www.gironde.gouv.fr[...]014.pdf

24 oct. 2014
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en l'occurence, c'est quoi l'"usage public" ?
le droit de circuler, je pense...

Ok, comme truc qui crée de la richesse et de l'emploi, c'est pas mal...
Mais moi j'aime bien les huîtres, je pense que ça n'est pas une activité destructrice de l'environnement (contrairement à la construction sur du DPM déclassé à très grand échelle, comme pour les stations littorales du Languedoc. Egalement sources de richesse, mais bon, pas dans le même style...)

je sens confusément qu'on ne se mettra pas d'accord.
Le DPM, dont l'origine remonte au domaine royal et à la gabelle, est plutôt une bonne chose - en particulier quand on le compare à ce qui se passe dans d'autres pays - mais n'est pas une raison pour stériliser toute activité maritime.

Par ailleurs je signale que pour certains champs de filières, par ex la Malconche, l'accès à des concessions en eau profonde ne peut se faire que contre le renoncement à des parcs découvrants... qui sont bien rendus au DPM.
Et il y en a eu pas mal d'autres

23 oct. 2014
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Le problème pour lesconil , c'est effectivement le balisage.

Sinon , tant mieux si des activités peuvent s'implanter , donner des emploi...

24 oct. 2014
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Si par mégarde on s'égare dans ces cultures d'algues que risque-t-on ? Que leur fait-on risquer ? Rien je présume.

24 oct. 2014
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Sais pas comment ces filières seront montées, mais en principe la "maîtresse", la partie horizontale, est une aussière tressée de 70mm. Les descentes c'est du 20mm. Il serait mieux de ne pas prendre une hélice là-dedans.
Je ne sais pas à quelle profondeur sera la maitresse dans ces nouveaux cas, la tendance actuelle est de faire des filières de "sub-surface", à ~1 m de profondeur (+/-, suivant la tension et la charge). S'il y a du courant traversier, les descentes peuvent, malgré les lests, être presque horizontales, et avec les algues, ça fait un gros paquet de salade.
Mais je connais surtout les filières à moules (et encore, celles d'il y a un bon moment), donc bon, je peux me tromper.

Prévoir en tout cas un sacré distribil si on se prend dedans, et éviter de sortir le grand couteau pour s'en sortir : ça pourrait ne pas plaire.

24 oct. 2014
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Enfin ça bouge: il est urgent de prendre des initiatives créatrices d'emplois .

24 oct. 2014
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Ouais, bon... ça dépend qui prend ces initiatives : si ce sont des industriels, la liberté de circulation des petits voiliers (et les paysages marins) ne va (vont) vraiment peser lourd, je crains...

(en clair : je ne suis pas un gros fan de la "ferme aux milles algues", pas plus que de celles au "million de saumons")

24 oct. 201424 oct. 2014
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Directement liée à l'exploitation des champs d'algues, j'ai lu qu'il était prévu 5 emplois de créés.
Mais avec 25% de surface exploitée en moins, par rapport au projet initial de 5 champs, on peut légitimement se dire qu'il n'y en aura plus que 4...
C'est mieux que rien, certes, mais c'est pas ça qui va relancer durablement l'économie chez nous.
Quant à la filière algues (cosmétique, alimentaire,...) je ne sais si cela va générer de l'emploi, cela va surtout dans un premier temps répondre à une demande de plus en plus forte en cette matière première.
Il faut espérer sur l'avenir que cela débouchera sur des créations d'emplois, mais à courts termes je n'y crois guère, sauf pour ceux liés à l'installation et la production de ces champs.
Ce n'est que mon humble avis.

24 oct. 2014
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4 emplois pour 225 ha de cultures... ça ressemble de plus en plus à la ferme des 1000 vaches !! On devrait aussi comptabiliser les emplois induits et le balance du commerce extérieur, mais bon ...

24 oct. 2014
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Je serai ravie de manger des moules de Moelan et pour les Algues tant mieux aussi. 4 emplois directs, c'est déjà bien , il y aura surement des emplois induits ou des emplois confirmés. Et puis est-ce qu'on veut faire de la Bretagne, uniquement un pays de retraités ou à Touriste ? Bonjour le programme! Les iles sont déjà une image de ce qui nous attend où les actifs ne peuvent plus se loger et ne peuvent y travailler que quelques semaines par an ...D'accord c'est plus petit, mais les parcs ne m'ont jamais gêner pour naviguer à Groix. Faudra juste faire un peu attention (il y avait déjà pas mal de casiers ou de filets de plaisanciers à éviter...)

24 oct. 2014
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Un peu marre de ce pays dans lequel il est difficile d'investir, d'innover, d'entreprendre sans se heurter à des "associations de défense" qui pour un oui ou un non bloque tout pendant des années. De tels projets ailleurs ne poseraient aucun problème, chez nous si. C'est peut être ce que l'on appelle une société bloquée ?

24 oct. 2014
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et bien souvent ceux qui font du bloquage n'ont qu'une residence secondaire et n'y passe que quelques semaines par an.

24 oct. 2014
3

Désolée pour Eric, je n'ai pas utilisé le bon cadre pour répondre...Et je vais me répéter.
Vivement les moules de pleines mer de Moelan! et tant mieux pour les algues. 4 emplois crées , c'est toujours bien. Et cela confirme certainement certains emplois dans les structures qui portent le projet, si ce n'est des emplois induits. On ne peut pas faire de notre région uniquement un havre pour les touristes et les retraités où les actifs ne peuvent plus se loger et ne trouvent à travailler que quelques semaines par an. Dans nos iles, c'est dejà comme ça. les villes côtières suivent le même chemin. Je travaille sur Douarnenez, la population vieillit, l'activité ralentit, les resto ont fermés depuis une bonne quinzaine déjà. Sur le port du Belon, c'est pareil, à part la cotriade ( Quel punch planteur! heureusement qu'ils étaient là encore) qui résiste encore un peu, tout est fermé, on voulait manger qq chose au port, chez Jacky ou à la crêperie sinon, râté!. Et puis entre nous, à la sortie de Belon, faut déjà faire un peu attention aux casiers et au filets des "plaisanciers"( pas des pros en tout cas). on pourra bien faire attention pour le gagne pain de quelques uns , non?

24 oct. 2014
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tadorne

tu as mille fois raison sur le fond , il faut bien que l'on puisse vivre et travaillé au pays .

neanmoins il est aussi important que des contre pouvoir s'expriment et attirent l'attention sur les concequences qui existent toujours ... car malheureusement si l'on laissait faire toute la Bretagne serait betonné comme La Baule (belle exemple d'expension) .

Ce Champ d'algues est un bon exemple ; il y a eu concertation entre les pour et les contre et le prefet a tranché ... c'est bien .

24 oct. 2014
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Bééé... dans ce pays, les premiers opposants aux champs d'algues (ou aux filières de moules), ça n'a pas été des assos de défense (de la vue depuis les maisons de riches retraités), mais les chalutiers, avec pas mal de conflits et même de destructions de matériel (comme pour les toutes premières filières d'algues, à la Malconche).
Ensuite sont venus les "écolos de terrain", souvent du style "not in my backyard" plutôt que théoriciens de la décroissance.

La défense de l'environnement est nécessaire aussi, sinon on va se retrouver vite fait avec des cages de morues transgéniques partout dans le paysage, et des élevages de 1000 truies derrière la maison (ou des parkings à bateaux géants dans des sites classés).
Ça me frappe souvent, en regardant des photos de navigation sur des sites US : il y a bien souvent des plates-formes de forage ou des cheminées d'usines à l'arrière plan, et pourtant c'est un pays où il y a de la place.
Avec la densité de population chez nous (surtout sur le littoral), et l'importance du tourisme, on a intérêt à faire gaffe ! Si en plus on s'inquiète pour la biodiversité (puisque c'est le mot qui remplace "nature" maintenant), on peut pas non plus tout laisser faire, au nom de la croissance (et quelle croissance, en fait ?). Ou alors, faudra manger du surimi et des huîtres chinoises (ce qui fait un peu peur, quand on voit la "qualité" de leurs eaux) et se baigner dans des piscines d'eau de mer reconstituée et stérilisée.

Donc tout est une question d'équilibre, je pense. J'ai été un défenseur des filières de la Malconche, mais je ne le serais plus si ça doit être multiplié par 10, ou si c'est promu par de grosses sociétés créatrices de 6,5 emplois : ça couterait plus à l'ensemble de la société que ça ne rapporterait (à quelques actionnaires).

24 oct. 2014
3

Pas trop le temps de m'étendre sur le sujet mais lire dans Le Marin qui paraîtra demain un papier de Bruno Sassier en page 16 sur le projet d'une nouvelle concession en Île et Vilaine.

La Bretagne essaie de sortir du marasme économique qui la touche et les conchyliculteurs comme les algoculteurs (ça se dit ?) qui sont souvent les mêmes font preuve d'imagination.
Pour le reste, concertation puis décisions et tout le monde y retrouvera ses petits.
Plusieurs projets intéressants si ça vous intéresse dès que je trouve un peu de temps.
Mais tirer sur tout ce qui bouge sans en connaître la direction est une pure agitation du bocal qui ne fera rien avancer ni pour les uns, ni pour les autres.
La Bretagne "maison de retraite", c'est bon, on a vu, passons à autre chose.

24 oct. 201424 oct. 2014
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et y'a pas que la Bretagne !! C'est pire encore en Charente Maritime...

Avec des problèmes communs : en plus des "villégiatures" littorales (et de leurs conséquences sur les prix de l'immobilier), on a dans l'arrière pays (= le bassin versant) des productions de céréales record du monde de productivité, ce qui ne se fait pas qu'avec de l'eau de pluie.

...Tout ça n'est pas très favorable aux cultures d'algues :-(

Il ne faudrait pas, pour la Bretagne, que les aquaculteurs fassent les mêmes erreurs que les éleveurs de poulets..
Question développement de ces activités, c'est surtout en Irlande que ça a eu lieu, avec des entreprises norvégiennes pour le saumon, et françaises pour les huîtres et les moules (qui sont excellentes, d'ailleurs).

24 oct. 2014
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Bien sur il faut des contre- pouvoir, comme partout , dans tous les secteurs, tous les métiers , toutes les corporations, personne ne peut être juge et partie,( et les "conseils de l'ordre" ne règlent rien en général, à part d'écrêter les vagues trop importantes, mais je dévie du sujet). Je souhaite une côte , un environnement respecté, mais pas une réserve. J'apprecie que le conseil du litorral ait protégé une bonne partie des rives du Belon ( vers la pointe, il faudrait d'ailleurs proteger un peu plus, les terrains sont à chaque fois redevisé en deux pour contruire une maison de plus... ce sera bientôt un vrai lotissement à la sortie du Belon! Mais de quoi veut -on vivre ? Est ce qu'on veut des écoles ici pour nos enfants. Dans les contres, ily a aussi l'"apub" Association des plaisanciers et utilisateurs du Belon". J'aimerai connaitre leur motivation et leur analyse du dossier.

24 oct. 201424 oct. 2014
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l'argumentaire le plus clair des opposants est présenté sur la page : www.cyberacteurs.org[...]lan.php

En gros : pompe à subventions, dossier opportuniste et mal ficelé, trop gros, risques, problèmes de voirie à terre, etc. Pas vraiment d'arguments écologiques (pollutions, mais lesquelles ? "risque d'emploi de phytosanitaires" ???).
Les craintes réelles des plaisanciers locaux (par ailleurs très dynamiques, semble-t il) sont surtout de se voir privés d'une partie de leur terrain de jeu, crainte légitime, vu l'ampleur du projet, mais sans rapport avec les arguments du collectif de défense, qui précise bien "qu'il n'est en rien opposé aux cultures d'algues".

Les familles Prat et Thaëron font partie des pionniers de l'aquaculture, depuis près de 40 ans.
Si le projet est bloqué en Bretagne, rassurez vous, il sera réalisé... en Irlande (avec des employés surtout français, ce genre de boulot n'a pas la cote en Irlande. Et des impôts irlandais !).

Je me demande si ces promoteurs n'ont pas sciemment demandé un truc énorme, en espérant arriver au final - et après rabotage - à la dimension prévue au début.
Ça serait de bonne guerre :-)

24 oct. 2014
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A noter que si le collectif reproche l'aspect mal ficelé du projet il est intéressant de voir que le leur est vite à bout de souffle se contentant d'énumérer des récriminations larmoyantes usées mais classiques dont l'éternelle "pompe à fric" en oubliant que les assos qui y participent passent une partie de leur temps à pleurnicher auprès des instances municipales, départementales ou régionales pour obtenir les leurs. :mdr:

Il reproche également l'absence d'étude d'impacts mais, bien sûr, sans apporter la leur.

Au moins, c'est une bonne base de négociation : il y a ceux qui veulent à tout prix et ceux qui refusent en bloc.
Ca a le mérite d'être clair. :heu:

24 oct. 201424 oct. 2014
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L'étude d'impact - obligatoire - c'est le truc pervers par excellence : comme ça peut coûter dans les 100 000€, ça élimine d'office (avec en plus le coût du balisage, s'il est fait dans les règles) tout projet d'échelle artisanale, qui pourtant plairait mieux aux défenseurs de l'environnement.

En plus, à part un point zéro, ça n'apporte "pas vraiment" de certitudes sur la prévision des pollutions. On est actuellement à peu près incapables de mesurer l'impact d'une ferme d'élevage de poissons en activité, dès qu'on s'éloigne de quelques dizaines de mètres de la source ! Alors prévoir l'impact d'huîtres ou de moules ??
Pour les algues, ce à quoi on peut s'attendre est une purification de l'eau et une augmentation de la population de poissons (les filières constituent d'extraordinaires récifs artificiels, en plus d'une "réserve de pêche"), plus l'apparition de quelques algues bizarres dans un rayon de quelques km (pour le wakamé, ces "essaimages" ont disparu dans l'année qui a suivi l'arrêt des cultures). Et éventuellement l'arrivée sur la côte d'un gros tas de merde, si ça casse lors d'une tempête (ça s'est déjà produit, parfois avec un peu d'aide. Ça ne donne pas un piège dérivant de 100m de long, mais un énorme noeud - dans les 5-6 m de diamètre - de cordages, ballons et "cordes garnies"en dessous).

Ah oui, des essais, il y en a eu plein, et ça n'a pas toujours marché, soit parce que c'était trop tôt (pas de marché), soit à cause de différents pb (comme des champignons, sur les algues oléronaises, peut-être à cause d'une température trop élevée).
On peut comprendre l'intérêt des subventions pour les promoteurs, l'aquaculture restant une activité à risques (climatiques, biologiques, techniques, commerciaux, sans parler du vandalisme, des vols ou des pollutions).

edit & dernières nouvelles (23/10): www.letelegramme.fr[...]677.php

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:litjournal: c'est le même lien vers Le Télégramme que celui que j'ai indiqué hier ?!?

24 oct. 201424 oct. 2014
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ah ben oui ... :oups:

c'était en lien sur le "journal des bonnes nouvelles" de Cyber@cteurs, j'ai pas vérifié
ben alors tout le monde a gagné, tout le monde devrait être content, impec

(mais je suis pas passé pour rien,j'ai découvert que les "smileys", ici, c'est des "binettes" :coucou: )

Phare des Sanguinaires - 6 juillet 2023

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