Arte : La Méditerranée va-t-elle passer l'été ?

Ne regardez pas, c'est insupportable !

L'équipage
17 avr. 2018
17 avr. 2018

Je l'ai raté !

18 avr. 201818 avr. 2018

Ouf !
Moi aussi, loupé !

:-p :reflechi:

18 avr. 2018

onjour
tu peux toujours regarder en replay,
en fait ce genre de reportage ,basé sur la deploration des telespectateurs,vis à vis de ce sujet ne debouche absolument sur rien de concret ce genre de bisness décrit , à malheureusement ,encore de beaux jours devant eux il suffit simplement ,de s'en tenir
à l'observation de la nature des hommes mais là on entre dans un autre sujet.

18 avr. 2018

Quelle chance pour vous ! ;-)
Moi ça m'a filé un gros coup de cafard ! :-(

18 avr. 2018

sur arté +7 vous l'aurez dispo.

18 avr. 2018

Pas pu regarder moi non plus, mais c'est ici :

www.arte.tv[...]-l-ete/

18 avr. 2018

Je vais continuer à me faire du mal en regardant la fin que j'ai ratée pour cause de grosse fatigue -> dodo !
Je me suis arrêtée aux montagnes de détritus au Liban, une ignominie !
Ce qui me débecte c'est la désinvolture de ceux qui ont l'impression de ne pas être concernés.

18 avr. 201818 avr. 2018

bonjour ,
je l'ai regardé ,mais je savais déjà tout ça ,surtout la langue de bois des politiques responsables .
en ce qui concerne la tunise ,nous le sommes tous ,il suffit de ne pas acheter les phosphates pour qu'ils ne se vendent pas ....
j'arrête là ,la polémique ..
quand j'ai commencé la voile en med il y a bientôt 50ans
nous partions de toulon pour porqueroles en trainant une cuillière avec quelques plumes ,à l'arrivée on avait un seau de maqueraux ceveraux et quelques fois un loup ou une bonite ...
et on a vu la pêche se dégrader tout doucement ,depuis 5 ans il n'y pratiquement plus de poissons pélagiques dans la rade de hyères
cette année hiver pourri ,4 calamars ,d'habitude on en pêche au moins 20 à chaque sortie une fois par semaine ...
donc la pollution chimique ,même si elle n'est pas locale influence tout le bassin .ici c'est plutôt la pollution sonore sous marine qui fait fuir le poisson des frayères ...
je ne suis pas croyant ,mais je suis sur que c'est la nature qui nous a crées ,mais au lieu de la respecter on la détruit .
alain
:-(

N'est-ce pas un juste retour des choses que la punir d'avoir créé des horreurs telles que nous? :litjournal:

Il me semble d'ailleurs qu'elle a compris le message et qu'elle met tout en œuvre pour que nous contribuions nous-même à notre élimination.

18 avr. 2018

Voila ce qui se passe quand le libéralisme se met à l’œuvre sans la moindre vertu.
En Comparaison, notre belle Bretagne tient lieu de paradis, même dans ses parties les plus investies.

19 avr. 201819 avr. 2018

Well, sauf erreur de ma part le communisme polluait bien aussi, non ?

c'est l'homme en général, pas le système politique

20 avr. 2018

si tu avais écrit

Voila ce qui se passe quand le communisme se met à l’œuvre sans la moindre vertu.

j'aurais fait la mème réponse !!

j'habite dans une région occupée par l'U.R.S.S de 41 à 92, les dégâts causés sont encore visibles !

Et la seule cote qui est encore préservée en France c'est la cote corse et pas grace aux politiques de tout bord.

Dans les années 70, sur les 4 coproprios de notre joli excalibur, il y avait un breton tres breton et un corse tres corse.

Le corse avait été scié par le nombre de constructions en bretagne et ça n'a pas du s'arranger et c'est pour cela qu'on a fait Morlaix calvi pour le verifier !

la Bretagne nous est apparue sauvage et belle depuis la mer moins depuis la terre

20 avr. 2018

Je résume
cheri:
déjà dans les années 70 le corse très corse avait fait remarquer au breton très breton qui vantait la sauvagerie et l’âpre beauté de la Bretagne qu'il devrait aller faire un tour en Corse pour voir une nature préservée

et le beauceron, moi, impartial a plutot pensé comme le corse

cela dit je referai bien un tour aux sept iles et à l'ile tomé

20 avr. 2018

... surtout si tu hèles tes interlocuteurs d'un "chéri" !

Pourquoi?
Tu ne l'aimes pas, Yves? :tesur:

20 avr. 201820 avr. 2018

Jean, tu rétrécies mon point de vue à la seule pollution alors que je l'étends au domaine immobilier où ce libéralisme fait des ravages.
C'est évident pour ce qui concerne la méditerranée.
D'autres part, une certaine forme de libéralisme peut concerner le monde de la gauche. Le communisme dont tu parles ne s'est gêné pour s'accorder des libertés. Suffisait d'atteindre un certain niveau de pouvoir.
D'autres part, je ne peux en aucun cas cautionner ton dernier propos : ce sont des initiatives de décideurs politiques qui peuvent faire aller de l'avant. Et ce sont des électeurs qui choisissent ces hommes et femmes, c'est encore de la politique au sens premier du terme, au sens le plus noble.

20 avr. 2018

Toutes mes excuses, Jean, mais je n'ai rien compris à cette brillante démonstration !

20 avr. 2018

je crains que ce fil ne parte en c....e
le salut dans la
:acheval: :acheval: :acheval:

20 avr. 2018

faute malencontreuse ...

20 avr. 2018

Moi, une faute malencontreuse !
Pourtant, sous mon air courroucé (faut bien avoir l'air !), j'y croyais.

Tant pis pour lui, ce goujat ne me mérite pas !

20 avr. 201820 avr. 2018

@Jean : quand tu veux !

Ce qui voudrait dire qu'un gouvernement écologique polluerait autant que les autres ?

18 avr. 2018

Ce reportage est vraiment édifiant, et malheureusement il ne fait que confirmer l'incapacité des politiques à agir, nous nous enfonçons toujours un peu plus vers l'horreur. Mais nous sommes aussi tous responsables, c'est nous, consommateurs qui pouvons faire changer les choses !
Quand à la Bretagne qualifiée par Lorenzo de Paradis, elle n'est pas mieux placée!!! La pollution générée par les gros élevages industriels et les pratiques agricoles ultra-polluantes font des dégâts peut être moins visibles, mais tout aussi néfastes. Pauvre planète...

18 avr. 2018

C'est la raison pour laquelle je n'y mettrai pas mon étrave. J'y ai navigué un peu fin des années 70 et je trouvais déjà à l'époque une hérésie des horreurs comme la Grande Motte.
Depuis, tout à continué à empirer, avec des machin comme Port Camargue.
Et pour ce qui est de la Bretagne, il n'y a actuellement rien à voir avec la méd ne serait-ce que par l'existence de courants de marée.
Pour le reste, si les gens qui montent dans les immeubles de croisière avaient un peu plus conscience du résultat ou étaient un peu plus mis au courant, je ne suis même pas sûr qu'ils changent et s'en privent...

18 avr. 2018

Vendez vos bateaux ou vivez dessus si tel est vos choix de vie, mais par pitié pour la vie sur terre et pour nos enfants,arrêtez de consommer du loisir comme on consomme de l'essentiel et de l'indispensable. Les états d'âme écologistes sur la faune et la flore sont très sympathiques mais totalement inefficaces tout en donnant bonne conscience, comme la croissance verte est toujours de la croissance et par la même un cul de sac pour une population en développement perpétuel dans un monde fini. Vive la frugalité et la décroissance.

Ben oui treboul ,le probleme c'est qu'on est pas bien nombreux a penser comme toi :-)

18 avr. 2018

J ai pas pu aller jusqu a la fin, tellement cela me rend triste, et completement deprimee,
Au fait le gouvernement veut vendre un morceau de st marguerite , le petit paradis de Lerins au plus offrant , prive ou autre,
J espere que la mairie de Cannes faire barrage.
Souvent je suis contente de n avoir plus 20 ans tellement c est angoissant cette fuite en avant vers l abime et la perte de mare nostrum

19 avr. 2018

Mais personne ne parle du positif du reportage
La Corse ou plutôt son parc marin protégé ou les merous bruns pullulent :0)

19 avr. 201819 avr. 2018

On peut en effet se réjouir de voir une fleur résister au milieu d'un tas d'immondices.

Mais les chiffres parlent : 150 millions d'habitants aujourd'hui en bordure de la Med, 100 millions de plus dans les 20 prochaines années.

L'affaire est pliée.
Et pas seulement pour la Med qui, fermée, a quelques années d'avance mais pour l'ensemble de la planète.

19 avr. 2018

:0))
On est foutu on mange trop
Comme le dit la chanson....l affaire est pliée
J en suis certain mais je suis sûr qu' on va être sauvé....dommage qu' on ne sache pas encore la solution

19 avr. 2018

Merci pour l'info. Malheureusement j'ai l'impression que seul les gens déjà sensibilisés s'intéressent au sujet. Pensez vous que ce genre de reportages aide à rallier plus de gens à la cause?
J'aurais tendance à croire que ceux qui ne sont pas déjà sensibilisés une fois adulte ne feront que se voiler la face...
Les optimistes sensibilisés vous diront que l'on trouvera bien une solution!
Mais le réaliste que je suis se dit que la cupidité est sans limite ni raison.

Si c'était la cupidité la raison fondamentale de ces dégradations, ce serait moindre mal.
Il est facile de modifier la rentabilité d'une décision par le jeu des taxes ou des coûts.

Je pense plutôt que la raison fondamentale est la connerie et, malheureusement, contre la connerie on ne peut pas grand chose.

20 avr. 201820 avr. 2018

Si les taxes pouvaient résoudre les problèmes écologiques intergouvernementaux alors la taxe sur le carbone aurait déjà résolu le problème des gaz à effet de serre...
Si par connerie on veut dire imbécilité alors il faut bien que celle-ci soit menée par une pulsion plus forte que la raison, de quelle connerie parles-tu alors?

Mais je pense aussi que le problème en plus de la cupidité est l'effet de groupe: l'Homme ne va pas respecter des principes moraux ou environementaux au détriment de sa richesse personelle car il se dit qu'il donnera la place à d'autre qui le feront alors autant ne pas se priver. Ou l'équivalent qui est "si tout le monde le fait je ne vais pas m'embêter à me priver". Ca marche entre individu et aussi entre pays...

La paresse est aussi une de ces pulsions mais j'aurais tendance à croire qu'elle a moins d'impact que la cupidité bien qu'ayant la même finalité destructrice: le comfort personnel.

Les taxes "peuvent".
Par contre, les taxes existantes ne peuvent pas.
Mais ce n'est pas parce que les taxes en vigueur sont inefficaces que les taxes ne doivent pas être envisagées comme une réponse au facteur cupidité.

Je parle de la connerie ambiante inhérente à notre espèce qui est capable du meilleur lorsqu'on parle des individus et du pire lorsqu'on parle des groupes.

Mon avis à moi que j'ai, c'est que, tant que le débat se déroulera entre des groupes (écolo d'un côté, politiques et électeurs d'un autre) il restera stérile du fait des confusions d'intérêt des uns comme des autres qui brouille les messages.

En revanche, si la prise de conscience parvient à être singulière, égocentrée, individuelle, si chacun des interlocuteurs perçoit qu'il est de son intérêt personnel de trouver sa solution adaptée pour apporter sa pierre à la préservation de son écosystème, je pense qu'il y a une chance.

L'homme est un individu singulier pour le meilleur et un animal grégaire pour le pire.

20 avr. 2018

Cette hyper-consommation à la racine du problème est basée sur de la dette, une dette aussi folle et inédite que le délire collectif en place.
A mon sens c'est par là que les choses vont craquer. Bien sûr la raison voudrait que l'on anticipe la crise écologique et les risques liés à la démesure d'une économie basée sur du futile. Mais l'inertie est telle que la résignation l'emporte. Jouir et mourir sans penser, la devise sous jacente de la mondialisation.
Pour (tenter) de limiter la violence du choc à venir il faudrait un sursauts des consciences et surtout faire bloc en masse, retrouver l'énergie d'une lutte non violente mais implacable contre le système tout en offrant une alternative crédible et désirable.

Tu viens d'énoncer la confusion des genres que j'évoquais plus haut.

Ton post commence bien en nommant le problème :
"Cette hyper-consommation à la racine du problème"

Les ressources sont limitées, notre nombre est en croissance, il est inévitable que, à un moment ou à un autre, la courbe de croissance démographique va couper la droite, constante, des ressources.

C'est ensuite que ton propos s'égare.
La dérive politique (dette, mondialisation, lutte non violente de masse, etc.) de ton argumentation étouffe l'analyse froide du problème initial.

La seule influence que peut avoir une modification du prélèvement de chacun sur le patrimoine global sera de modifier l'inclinaison de la courbe de croissance de la consommation.

Mais, tant que la population humaine exclura tout risque de régulation naturelle, la croissance démographique va perdurer et finira irrémédiablement par couper la droite des ressources.
Ce sera juste plus tard, ou plus tôt.

Tu peux toujours faire sursauter les consciences, massifier le contestataire et révolutionner dans la lutte, un seul graphique résume toute la gravité de la situation :
d33wubrfki0l68.cloudfront.net[...]525.png

Nous sommes trop.

Mais, effectivement, c'est plus "rassurant" de parler de la dette et de la mondialisation.

Je n'ai jamais parlé d'asymptote, la courbe en est l'illustration.

20 avr. 201820 avr. 2018

C'est rassurant pour ceux qui ne veulent pas voir que, quelle que soit la résolution employée, c'est le nombre le problème et pas la consommation individuelle.

Si un nombre infiniment croissant de consommateurs prélèvent dans un milieu fini avec un taux de renouvellement fini il n'est pas possible d'équilibrer le dispositif.

Réguler la consommation n'aurait qu'un effet de ralentissement de la vitesse d'évolution du déséquilibre puisque le nombre, lui, continuera de croitre.

Au bord du graphique, et en caricaturant, si plus personne ne consomme plus rien à la suite d'une invention géniale mais que le taux de natalité persiste à être supérieur à celui de mortalité, nous n'aurons au final plus la place matérielle de nous tenir debout sur notre planète (bon, d'accord, avec 149.400.000 km2 de terres émergées ça nous laisse un peu de temps mais, finalement pas tant que ça).

Les seul moyens susceptibles d'apporter une réponse stable et à long terme seront soit de réguler le nombre par rapport à la consommation individuelle pour équilibrer le système, comme c'est le cas pour toutes les espèces vivantes qui profitent de cette régulation pour évoluer au cours des sélection, soit de faire croitre les ressources au même rythme que la croissance de la population en cherchant de la place sur d'autres planètes ou en agrandissant la nôtre (au choix entre les deux phantasmes)

C'est beaucoup plus rassurant de parler de dette et de mondialisation, non?

20 avr. 201820 avr. 2018

Et pourquoi donc " les conséquences de la surconsommation et les inégalités continueraient de peser sur la survie de l'humanité à moyen terme"?

Tout simplement parce que nous sommes, déjà, trop.

Regarde la courbe vers laquelle j'ai donné le lien plus haut et pose-toi la question de savoir ce qui a changé entre le début du 18eme siècle où beaucoup de familles avaient de nombreux enfants mais où nous n'étions que 1 milliard sur Terre et maintenant où, malgré le taux de natalité largement plus bas nous sommes 8 fois plus.

L'arithmétique est ainsi faite qu'elle n'est ni rassurante, ni confortable ni, d'ailleurs effrayante : elle est juste ce qu'elle est.

Je suis, depuis longtemps, convaincu qu'il faut que chacun y mette du sien.

En revanche, je suis persuadé que ce n'est pas un problème de collectivité mais d'individus.

Je ne connais aucun exemple de collectivité qui ait réussi quoique ce soit pour les individus (en dehors de l'alimentation des intérêts personnels de ceux qui en tienne les rennes) en revanche, ce ne sont pas les exemples qui manquent d'individus qui ont réussi à construire.

Une petite précision sur un point de ton post : je ne pense pas que la disparition future de notre espèce puisse raisonnablement être considéré comme un désastre.

Ce qui, en revanche pourrait en être un, c'est que notre planète ait dû attendre tout ce temps et subir le résultat de notre prétention.

Pour que ton hypothèse soit envisageable il faudrait admettre que l'humanité dispose de suffisamment de bon sens pour se rendre compte de sa médiocrité ce qui me semble totalement invraisemblable tant sa vanité est manifeste.

20 avr. 2018

Aucune chance: droit dans le mur, pied au plancher ! :famille: :doc:

Perdu :mdr:

22 avr. 201822 avr. 2018

Je ne "choisis" pas de n'accorder aucune valeur à l'humain je "constate" simplement qu'il n'a aucune valeur.

Ce que tu refuses de voir.

Pour ce qui est du "pari", parier sur une certitude ne me parait pas pertinent.

Ceci étant, si tu considères l'avenir comme un pari, libre à toi.

20 avr. 2018

ce n'est pas une asymptote il y a longtemps que les deux droites se sont coupées ,
l'année dernière c'était au moins de juin que nous avions atteint notre conso annuelle ..
alain

20 avr. 2018

Je ne vois pas en quoi pointer la dette et la mondialisation financière et commerciale a quelque chose de rassurant. Ce sont des éléments de l'équation.

En effet nous sommes trop nombreux sur Terre pour se permettre de vivre n'importe comment et en consommant n'importe quoi. Je pense qu'il y a une voie pour un partage des ressources et beaucoup de marge de manœuvre pour un système plus intelligent et sobre.

Malthus a théorisé une mécanique terrible. Notre responsabilité est de ne pas s'y résigner.

20 avr. 2018

La croissance démographie mondiale n'accélère plus dans les mêmes proportions qu'il y 20 ou 40 ans. Il ne faut simplifier le problème de la sur-consommation. L'augmentation de la population est un facteur aggravant. Si le nombre d'humains restait stable, les conséquences de la surconsommation et les inégalités continueraient de peser sur la survie de l'humanité à moyen terme. C'est bien le modèle de développement le problème.

20 avr. 2018

Il est peut-être plus rassurant ( et confortable) pour toi de penser que la fatalité de l'accroissement démographique engendrera fatalement le désastre.
Tu n'as peut-être simplement pas envie (ou intérêt) à voir les choses changer. Quand un système est idiot, il faut en changer et trouver l'énergie de le faire. Je ne sais pas si les dés sont déjà jetés, mais nous avons le devoir de ne pas courber la tête devant la difficulté.

20 avr. 2018

Je te cite "je ne pense pas que la disparition future de notre espèce puisse raisonnablement être considéré comme un désastre": voilà peut-être une clé sur l'origine du suicide collectif en cours.

20 avr. 2018

Pascal faisait le pari que Dieu existe car il avait tout a y gagner et rien à perdre. Je ne partage pas son point de vue. Mais il faut sans doute parier sur l'homme et croire en sa valeur avoir une chance de s'en sortir.

22 avr. 2018

Tu es cohérent. En ne relevant pas le pari tu choisis de ne pas accorder de valeur à l'humain. Défaitisme et lâcheté. Le moteur du suicide collectif.

22 avr. 2018

1- Ton constat est la conclusion de ta perception des événements, perception partielle et subjective. Ne la considère pas comme une vérité que je refuse de voir, il s'agit juste de ton opinion.
2- Nous sommes dans un monde d'incertitudes ou ce sont les probabilités qui rendent le mieux compte du réel. Le terme "pari" renvoie à cette réalité.
2- Ta vision dégradée de l'humain a alimenté la barbarie. Ce qui n'a pas de valeur ne mérite pas d'égard, on a vu par le passé et malheureusement encore aujourd'hui ce que cela donne.
Je te souhaite bon courage.

20 avr. 2018

On vit dans un monde d'égoïsmes partagés.

22 avr. 2018

Je suis content d avoir l age que j ai ! mais je m inquiète pour mes enfants

22 avr. 2018

Moi j'ai bientôt 30 ans et je ne suis pas inquiet.
Comme quoi...
(il est vrai que je n'ai pas vu le documentaire)

23 avr. 2018

heureusement qu a 30 tu n est pas inquiet cela serais triste !

24 avr. 2018

Ouais ben moi je regarde mon petit nombril quand je vois ça... Et je me dis que je suis responsable (presque) à part égal. Je consomme quoi. Et je navigue. Même si mon frêle esquif est bien modeste, il n'empêche que je lui colle de l'antifouling, j'utilise guère le HB 2T mais quand même etc etc.. En découvrant l"univers de la mer il y a 7 ans, j'ai compris doucement l"impact... C'est impactant. Dès que tu bouges en fait. Scooter, auto, bateau, train, avion... A part à vélo et à pieds... Bref, c'est compliqué. On peut fustiger tel ou tel système politico économique, il n'empêche que c'est bien chacun qui est responsable. Le "système" a bon dos non?

24 avr. 201824 avr. 2018

Naitre ou ne pas naitre est bien la seule question qui se pose.
D'après Shakespeare.

24 avr. 201824 avr. 2018

@nascia
Tu veux dire que tu as changé et te sens maintenant sensibilisé et est prêt à changer quelques comportements alors que jusque maintenant, par manque d'exposition au problème, tu n'y prêtais pas attention?
Si c'est le cas ça me rend un peu moins pessimiste sur le future de notre mère nature telle que nous la connaissons...

A 20 ans j'étais déjà inquiet pour la biodiversité et la bêtise et encore plus aujourd'hui vu que je m'embête à me déplacer surtout en vélo pour faire mon geste pour la planète (et indirectement couter moins à la société en atténuant le risque de maladie cardiovasculaire) et que je me fais insulter régulièrement par les automobilistes qui en plus me frôlent et accelèrent plus que nécessaire (merci les poumons) en me doublant :(

Quand on sera 2 fois plus sur la mer ça risque de finir comme sur la route. Sacrée croissance démographique et connerie humaine comme le dit si bien Némo...

24 avr. 201816 juin 2020

Une alternative ? Wind Surf ce jour devant Sanary. Pas d'échappement visible malgré le bruit de moteur.

Cabo Finisterra Galicia

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