Multicoque auto-redressable ?

Hello !
Me revoici avec une idée stupide : est-il possible de concevoir un multicoque auto-redressable ? Est-ce que cela existe ?

Alors, je précise directement : auto-redressable sans lest ajouté, sinon, on revient au principe d'un monocoque.

J'écris ce fil, car je me dis qu'il y aurait une petite possibilité, à une condition :
- il faudrait nécessairement chaque flotteur ne soit pas suffisant pour supporter le déplacement total du navire. En d'autre terme, ce multi coque serait incapable de lever la patte : le flotteur sous le vent s'enfoncerait entièrement.
... Mais quelque part, c'est déjà plus ou moins le cas avec un trimaran (d'ailleurs, je viens de corriger ce texte en remplaçant catamaran par multi-coque)

De plus, il faudrait aussi nécessairement une super-structure centrale assez haute par rapport au centre de flottaison des flotteurs. (2 leviers d'action : un super-structure est très haute, avec un certain fardage associé, et/ou des coques très enfoncées, donc hautes et fines)

Intuitivement, j'ai vraiment l'impression que ce serait possible. (sans la moindre considération pour la navigabilité effective du monstre théorique qui peut en sortir)

L'équipage
20 sept. 2017
20 sept. 2017

beaucoup de recherches ont été faites à ce sujet dans les années 70, en particulier par Newick, sur des trimarans.
En cherchant sur le net, tu pourras trouver un article avec photo du redressement de son trimaran.
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Sur les catas anglais des années 60 et 70, les architectes ont d'abord eu recours aux quilles lestées, puis à la soucoupe en tête de mat (Iroquois).
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Cette dernière méthode et toujours utilisée par les écoles de voiles pour éviter le retournement complet des catas de sport et le bris du mat sur le fond.
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A part cette méthode efficace, il semble que plus rien ne soit prévu pour redresser les multicoques, mais que c'est l'architecture des multi qui a beaucoup progressé et que le seuil de risque de chavirage a clairement été repoussé.

20 sept. 2017

Je prendrais le problème à l'envers (sans jeu de mot)
Concevoir un cata qui ne chavire pas ou diminuer au maximum ces risques, les recettes existent.

20 sept. 2017

Bonjour. Vaste programme!. Sur un cata, plus c'est large et moins il y a de chances de se faire retourner, faire le tour comme un monocoque, pas encore de solutions. Mon opinion sur ce sujet, NE PAS FAIRE CES MONSTRES haut sur patte et avec leurs énormes timoneries..
Je laisse aux multicoquistes le soin d'élucubrer la dessus. :heu:

20 sept. 201716 juin 2020

Mes élucubrations qui datent de + de 50 ans

20 sept. 2017

il faudrait mettre un enorme airbag au bout du mat ainsi le bateau resterait à plat plutôt qu'a l'envers

20 sept. 2017

Merci pour ces réponses !
Je n'ai pas réussi à retrouver un tri de Newick auto-redressable, mais je ne sais pas dire ce mot en anglais non plus :) (auto straight something ? :D)
 
Je viens d'avoir une idée supplémentaire :
- l'objectif n'est pas tant d'avoir des volumes de superstructures énormes, mais seulement :
* que le centre de carène bateau retourné le plus haut possible. (il n'a pas besoin d'être très volumineux)
* que le voilier retourné "tombe" nécessairement d'un coté ou de l'autre
* que la coque qui doit couler coule bien ! A cette fin, on peut imaginer un volume qui se rempli progressivement d'eau quand il est retourné, mais aussi une forme qui le fait rentrer très progressivement dans l'eau au fur et à mesure que le voilier se rempli, pour atteindre une flottabilité que légèrement positive.
 
Sinon, effectivement, je ne me suis pas posé cette question pour les engins légers, qui se redressent facilement par l'équipage ou par une aide extérieure jamais très loin.
 
En fait, à la réflexion, cela me semble même particulièrement facile à obtenir sur n'importe quel tri habitable si on considère que l'on peut noyer volontairement une coque avec une pompe.

20 sept. 2017

www.google.com[...]/search

"self righting" :reflechi:

20 sept. 2017

ça s' appelle la quadrature du cercle

20 sept. 2017

En supposant qu'on puisse faire un multicoque auto redressable, comme par exemple un trimaran avec des flotteurs submersibles et un gros flotteur en tête de mât, ça impose des compromis architecturaux qui font perdre les avantages d'un multicoque.
Deuxième point, les solutions reposent toutes sur un flotteur en tête de mât, qui marche beaucoup moins bien quand le bateau est démâté, ce qui risque d'arriver quand dans les conditions dans lesquelles on craint le chavirage du bateau.

20 sept. 2017

Pour redresser plus facilement un trimaran, on peut effectivement remplir un flotteur, mais ça ne le fait pas couler pour autant, car la densité des matériaux est proche de celle de l'eau, voire plus légère (sandwich). Il est nécessaire de le lester avec des matériaux plus denses que l'eau, ce qui nécessite une intervention extérieure, sauf à transporter un lest mobile à bord, ce qui réduit sensiblement l'intérêt d'un trimaran.
La seule approche raisonnable est de ne pas chavirer, ou si on ne peut pas éviter ce risque, de ne pas y aller en multicoque.

20 sept. 2017

En fait, il n'y a aucun moyen de faire totalement "couler" le flotteur, sauf à faire un lest mobile, à le remplir d'un liquide plus lourd que l'eau (autre concept de lest mobile) ou agir sur l'autre flotteur.
En effet, toute la masse présente dans un flotteur se retrouve nécessairement dans l'autre flotteur (sauf à être asymétrique), et elle est donc équilibrée.
Pour éviter que ce flotteur ne flotte trop (car il flotte donc forcément), il faut qu'il soit le plus "vide" possible, pour que la différence de densité entre les 2 flotteurs soit maximale (et donc, qu'il ait besoin de très peu de force supplémentaire pour couler)
 
Par contre, si le flotteur ne va pas couler, une fois plein d'eau, il va déjà faire gîter (à l'envers) le bateau sur un bord, la gite dépendant surtout de la différence de hauteur entre la partie la plus profonde du flotteur et le centre de carène du voilier à l'envers. Il faut ensuite que cet angle suffise à amorcer le mouvement de retournement (qui est contrée par la réserve de flottaison résiduelle du flotteur qui voulait pas couler, qu'il fallait donc minimiser)
Il faut donc que le voilier sans ses flotteurs ait une forme naturellement instable (genre un gros losange ... Ca tombe bien, c'est déjà un peu la forme des coques centrales des tri-marrants ), ainsi qu'un centre de gravité initial (incluant les flotteurs) assez bas.
 
Bon, je me pose cette question par pure curiosité intellectuelle. Je considère aussi le pire cas (où il n'y a plus de mat).
Mais effectivement, pouvoir prévenir le problème, c'est pas plus con. (après, je ne suis pas certain que cela fonctionne dans tous les cas... Il ne faut rien laisser au winch par exemple)

20 sept. 201716 juin 2020

Bonjour, comme dit Tupperware le mieux est le préventif comme ce système anti chavirage www.ganovelli-concept.fr[...]dex.php
Petits éléments de stabilité et de norme.
Jac


20 sept. 2017

Exact : le redressement du tri de Newick nécessitant l'usage d'une barge, ou d'un engin de tractage puissant pour faire couler le flotteur rempli et redresser le bateau...

La question m'a fait sourire ! Je ne vois pas comment une personne seule pourrait redresser son tri renversé (hormis les catas d'école de voile).
Alors pour vous faire sourire à votre tour, imaginez un tri relié à ses flotteurs non pas par deux bras mais par un seul central. Lorsque le bateau est à l'envers, on tourne une manivelle et on retourne non pas latéralement mais sur la longueur, la coque centrale. Puis en ne bloquant le système que d'un côté on fait de même avec la coque au vent, puis l'autre !;))

et pour autant que l'on utilise des flotteurs symétriques (avant = arrière, haut = bas), on n'a qu'a faire pivoter la coque centrale sur l'axe de la poutre transversale.. une invention digne du petit baigneur.. ;+)

20 sept. 2017
20 sept. 201720 sept. 2017

Le concept Gougeon, où les limites de l'exercice....
Pour être redressable par un homme seul (s'il ne s'est pas foutu à l'eau pendant le chavirage), le catamaran doit être extrêmement étroit et léger... tellement qu'il chavire à la moindre risée !
Je leur laisse volontiers le plaisir de naviguer sur cet engin. Je n'y amènerais pas mes jeunes enfants.

20 sept. 2017

Petit souvenir : comment redresser un Prince de Bretagne...

22 sept. 2017

Et bien, voila la solution au problème:
pensez à embarquer 5 tonnes de vieille chaîne avec vous :reflechi:
On dit merci qui ?
merci Duduche Braz :pouce: :bravo: :bravo: :bravo:

20 sept. 2017

Par définition un multicoque est pratiquement aussi stable à l'envers qu'à l'endroit puisque sa stabilité statique est exclusivement de forme et volontairement importante. Sur un monocoque on joue sur les deux stabilités statiques et quand on joue mal on reste aussi à l'envers (cl le mono de course qui a fait pendant un an le tour du pôle sud quille vers le ciel. Un mono coulé reviendrait à l'endroit avant de toucher le fond
il n'est pas certain qu'un cata actuel fasse la même chose.

20 sept. 2017

le retournement d'un bateau se joue entre le centre de gravité du bateau et le rayon metracentrique de la surface de flottaison .

or le cdg est tres bas et le KMT est tres haut (compte tenu de la largeur du bateau) donc le couple de redressement est presque le m^me ou semblable au bateau à l'endroit ...

d'où le systeme de lest que Guillemot site qui fait monté le cdg

20 sept. 2017

Salut,
On a pas mal testé le truc en modélisme avec les copains, sur des hydros (des sortes de tri, un fuseau central et deux flotteurs, le tout très surmotorisé). Le principe, un des deux flotteurs est conçu pour se remplir à l'arrêt, et se vider en marche. Le retournement fonctionne de temps à autre, avec un grand coup de gaz pour aider... Et il n'y a pas de gréement. Bref, je n'y crois pas trop.

21 sept. 201721 sept. 2017

Encore une fois, les météos actuelles couplées au routage permettent d'éviter les mers dangereuses qui pourraient conduire à un chavirage ! Restent les imprudences, les erreurs, la fatigue, la condition physique insuffisante, l'incompétence, ...

Je suis peu les courses au large ! Banque Populaire et bien d'autres ont fait le tour dans les quarantièmes et sont revenus sans avoir chaviré ! Leur courbe de stabilité était pourtant loin d'être aussi bonne que celle des multicoques de croisière et ils ont croisé dans des zones bien plus dangereuses que nous ! Le secret, c'est le routage couplé aux gribs météo.

Le GPS, les météos fiables (gribs) et le routage, les matériaux composites(1), les capacités de calcul faramineuses(2) dont nous disposons sur nos smartphones tablettes et autres, internet disponible à bord et plus récemment la démocratisation des communications par satellite(pour le grand large) ... tout cela à tout changé !

Depuis plus de vingt ans, le champion du monde d'échec est une machine !

Jacques

(1) jusqu'à 20 fois plus léger que l'acier à égale résistance pour des pièces faites par des 'pros'
(2) fr.wikipedia.org[...]i/FLOPS 10 milliards d'opérations en virgule flottante par seconde, genre 1238750.654654645e12 x 5465897987.5465456464e23

21 sept. 2017

oh il n'est pas necessaire de faire le tour du monde pour chavirer, voici plusieurs années un grand cata a chavirer a l'entrée de Lorient par un temps maniable .Il semblerait que son écoute de GV soit resté bloqué ,bloqué comment ,,. et il s'est retrouvé sur le dos et remorqué par la SNSM

21 sept. 2017

Ce n etait pas quand ils ont fait faire le "tour d essai" a un equipage us/nzl (?) de la coupe america, quand ils ont commence a parler multicoque? Premiere sortie boummm le mat dans l eau

21 sept. 2017

Une idée : sans chercher à redresser coques et flotteurs dans le "bon "sens, ne pourrait-on imaginer de remettre le mat au-dessus? :reflechi: :reflechi: :reflechi:

21 sept. 2017

Ils doivent avoir commence a y penser, pour le moment ils ont deja mis les etraves inversees, en prevision du retournement :-)

21 sept. 2017

Avec un mât traversant et auto-porté sans doute
Un peu le concept du prao revisité, quoi.

21 sept. 2017

Le pb c'est qu'à partir d'une certaine taille de bateau, le mât casse lors du chavirage.

21 sept. 2017

La question n'est pas du tout celle du pourquoi, mais seulement du comment ! :D
Après tout, pourquoi faire de la voile quand on a un moteur ?
 
Le gréement peut être une aide autant qu'une contrainte. On peut supposer que les 2 s'équilibrent si le gréement est présent.
 
Après plus de réflexion, cela semble de nouveau être plus facile à obtenir sur un cata que sur un tri, à condition de réussir à avoir un centre de gravité très bas : en gros, la plupart des éléments lourds du navire doivent se trouver au fond des flotteurs.
Il semble aussi particulièrement utile d'avoir un "toit", tout en autorisant à ce que les volumes les plus bas de la cabine centrale puissent être envahis. (mais surtout pas les volumes proches du toit).
 
On peut observer la dynamique suivante :
- le voilier flotte sur le toit (on suppose à l'équilibre)
- un flotteur est rempli d'eau : ce flotteur rentre dans l'eau sans couler, l'autre flotteur se relève
- le centre de carène (le toit) se retrouve décalé par rapport au centre de gravité, donc le voilier continue de tourner, et le flotteur s'enfonce sous l'eau. (bon, c'est clairement le moment critique, si le centre de carène n'est pas assez décalé, cela ne va pas s'enfoncer, mais bon, une petite vague pourrait aider)
- à partir de là, c'est gagné, le voilier se retournera complètement, jusqu'à ce que l'autre flotteur touche l'eau
Bon, le flotteur noyé reste noyé, et du coup, le cata continue de flotter sur sa cabine centrale jusqu'à ce que le flotteur soit vidé. A ce moment, le cata pourrait se retourner à nouveau.
 
Bref, en théorie, ce serait possible avec une pompe.

21 sept. 2017

Le redressement que tu décris ne fonctionne souvent pas avec un monocoque, beaucoup plus étroit qu'un multi et possédant un lest.
Alors, ce là à penser que ça puisse fonctionner sur un multi !

21 sept. 201716 juin 2020

Cela a été tenté avec le Mac Gregor36 catamaran:
page 20 du premier document:
page 14 du second document:

Les pensées de Jan Ferrier:
en bas de la page:
www.f-boat.com[...]le.html


21 sept. 2017

jean francois andre a fait les plans d'un cata en alu qui a ete teste a l'herbaudiere

22 sept. 2017

Ma pensée profonde (creuse pour les mauvaises langues !) concernant la philosophie des multicoques.
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Vouloir faire couler une coque de cata ou de tri par ses propres moyens va à l'encontre de leur philosophie.
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Un multi se doit d'être léger (pour être rapide) et chaque coque totalement insubmersible.
Comment imaginer qu'on puisse laisser sombrer un engin ne possédant pas de lest, et qui plus est, construit avec des matériaux moins denses que l'eau ?? (à part l'alu, peu utilisé).
.
Plus que le chavirage, je crains l'ofni, qui perce une coque. Il faut pouvoir continuer à faire route, donc avoir des volumes d'insubmersibilité bien répartis. pour que la coque ne s'enfonce par trop

22 sept. 2017

Être conçu (et fabriqué...) pour permettre de continuer à faire route, en cas de percement d'une coque par un choc, est pour moi la sécurité élémentaire que tout bateau devrait obligatoirement offrir à ses utilisateurs...
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C'est peut-être plus facile à mettre en œuvre , d'ailleurs, sans rogner sur l'habitabilité et les volumes de rangement , sur un trimaran que sur un monocoque...
En effet, remplir les deux flotteurs de volumes d'insubmersibilité (pains de mousse à cellules fermées, bouteilles plastique vides et fermées par leurs bouchons...) peut procurer une flottabilité atteignant jusqu'au double de la masse-lège du navire.
Sur mon petit trimaran, j'ai quasiment complètement rempli de pains de polystyrène chacun de mes deux flotteurs.
J'obtiens une flottabilité d'environ 1200 litres, pour une masse en ordre de marche d'environ 650 kg, sans compter trois compartiments étanches à l'avant de la coque centrale, et un espace arrière encore vide et peu accessible pour du rangement, que je pourrais encore garnir de mousse...
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Il va sans dire que je ne tiens pas à être un jour confronté à une situation "critique" à même de me permettre de vérifier la véracité de mes précautions constructives... mais naviguer sur un bateau "incoulable", c'est bon pour le moral !!! :langue2:
.
Phil

22 sept. 2017

Effectivement, c'est une bonne remarque. C'est dommage si un système (fonctionnel ou pas) pour retourner un multi-coque entraîne la possibilité que ce multicoque coule tout seul :D

22 sept. 201716 juin 2020

Bonjour,
Ma petite contribution au débat :
lors de ma jeunesse (il y a fort longtemps !) j’ai travaillé sur un trimaran équipé d’un système d’auto redressement. C’était un plan Auzépy Breunneur et l’architecte avait déposé un brevet permettant le redressement d’un trimaran.
A l’époque j’avais trouvé "intéressante" l’idée générale du brevet, je vous l’ai redessiné de mémoire, vous le trouverez en pièce jointe.
Visiblement ce brevet n’a pas été diffusé ni commercialisé. Comme vous allez le constatez à la lecture de mon schéma il imposait un certain nombre de contrainte : des bras rotatifs, un système de pompes alimentant une tuyauterie d’alimentation d’eau et d’évents entre les flotteurs, des vannes, des palans, etc….
Le trimaran sur lequel je travaillais à assez rapidement « démonté » le système. Un deuxième petit trimaran qui servait de banc d’essais et de démonstration à lui aussi été transformé et le système abandonné !
Voilà, ma petite contribution pour alimenter les discussions de comptoir !
Bon déchiffrage !


22 sept. 2017

Bonsoir. Intéressant mais, car il y a un mais, dans une "bassine", çà peut marcher mais en condition réelle mer et vent, c'est tout autre chose! et ne résoud pas le cas des catas.

23 sept. 2017

Intéressant, mais j'ai un sérieux doute sur le passage de la position 8 à 9...
En raison du gréement et des voiles dans l'eau, je le vois bien se remettre à l'envers à fur et à mesure qu'on vide le flotteur immergé.

23 sept. 2017

Il y a aussi quelques menus problèmes techniques à résoudre :
- circuits de pompage et de vidage de l'eau, opérationnel dans toutes les positions
- bras de liaison repliables avec la cinématique voulue, incompatible avec le repliage transport ou place de port
- ancrage des haubans (on ne peut pas les mettre sur les flotteurs).

23 sept. 2017

Pour un petit tri (dont le mât ne casse pas lors du chavirage), je crois que la meilleure solution est l'airbag en tête de mât (cf Farrier) + basculement du gréement du côté du flotteur dans l'eau.

23 sept. 2017

a part les machines de courses , il y a des cata qui se retourne ?

Cabo Finisterra Galicia

Phare du monde

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2022